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10/08/2020

Nuit aux esclaves

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La salle voutée est pleine, célibataires, couples, trouples, quatuors attendent assis en cercle que les enchères commencent. A droite les esclaves résignés, excités d'être exhibés, l'esclavage n'a pas été totalement abolie, juillet 2020, 23h30, Cris et Chuchotement, les ventes reprennent. 25 personnes, jauge oblige, jaugent et comptent plein d'espoir la monnaie qui leur a été fournie pour soutenir les enchères, Catin ou Goulue, remplacent l'euro

Les lots offerts vont, d'une soumise aux fesses haussées sur des talons vertigineux, à un soumis entièrement nu, habillé d'une chaine, mimi à souhait avec un tatouage slave sur la fesses.

Complète le lot une jolie blonde slave, un soumis, travelo quarantenaire en tenue de pute.

Mon accompagnatrice que je m’apprêtais à vendre, regarde le jeune soumis qui debout sur son coté n'ose porter le regard sur elle, pourtant, nue vêtue d'escarpins, d'un collier et d'une chaine, elle est assortie avec le mâle soumis.

Maitresse,ose t il, achetez moi et je vous servirez.

Mon amie est toute émoustillée, je toise le soumis et lui demande s'il vaut l'argent que l'on va devoir dépenser pour lui, oui maitre je peux vous le prouver.

Nous le testons immédiatement et le voilà au pied de mon amie, la caressant, lui baisant les pieds, engageant sa tête dans son entrejambe. Elle est conquise par les aptitudes linguistiques du soumis, il se montre très endurant lors de ses apnées entre ses cuisses.

La vente commence, le 1er lot est une femme aux fesses nues, offerte comme soumise, le propriétaire des lieux fait le crieur, incite aux enchères, elles tardent à monter à son gout de maquignon.

Le voilà qui fait l'article, petite penches toi sur ce tabouret montre tes fesses, hummm dit il en lui flattant la croupe, j'ai le meilleur métier du monde, ajoute t il, son regard le criant plus fort que ses mots.

La soumise s’exécute trop heureuse d'exhiber la fierté de son anatomie, et on comprend pourquoi. Des fesses parfaites finissent des jambes interminables, mais le coup de grâce pour les petits enchérisseurs, c'est son mouvement de jambes et d'escarpins quand elle tourne sur elle mème pour nous montrer à 360 degré son cul.

Ce fut un cri, 700,800,1000,1400 ... une fois deux fois adjugé à ce groupe de 4 femmes, mené par une jeune Nina Hagen. 8 yeux se braquent sur ce beau lot quand il se met à ses pieds, un regard mutin éclaire son visage, les 4 filles sont toutes excitées, Nina Hagen les couve de son regard noir.

Le lot suivant est le travesti, je plaisante Pascal le propriétaire qui ne caresse pas cette fois ci le lot à vendre, tout le monde en ri, l'ambiance est bonne enfant.

Vient le lot que nous convoitons avec mon amie, le jeune soumis suceur apnéiste, vendu pour tous désirs sexuels hétéros.

je laisse commencer les enchères, le groupe de 4 filles est déchainé et lâche de suite des sommes importantes. Je suis, suis distancé, relance, suis rattrapé, il fait chaud, le soumis est ravi de la lutte, son égo gonfle au gré de l'enchère. Nos 2 bourses ne peuvent rien fasse à 4 bourses, et les filles l'emportent, le soumis les rejoint, côte à côte de la première soumise, il doit rêver à des accouplements avec elle pour leur donner des bébés esclaves, son sourire est béat des sévices qu'il imagine, celui de ma complice triste du jouet perdu.

Je discute avec les filles qui consentent à me le louer, aux enchères on appelle cela la révise, se redistribuer le lot entre marchands une fois le lot acquis. Mon stage à Drouot pendant mes études m'a bien servit ce soir là.

Voilà ma complice est heureuse de ma négociation, je ne suis pas un dominant, je déteste qu'une femme soit frustrée, faiblesse rédhibitoire en soumission.

Un homme s'approche, l'homme de la blonde de Prague, futur lot à être soumis au feu des enchères, Pascal est un vrai commissaire priseur, il garde les plus beaux lots pour la fin, cela maintient la tension.

Achète ma femme, je te couvre du prix tu l’achèteras avec cet homme, tu la prendras en sandwich, elle doit être punie, 5 ans que je vis avec elle et elle refuse de parler français.

je suis étonné de cette demande, comme quoi je suis encore étonnable avec toutes ces années de coquineries, mon œil pétille à la vue du lot présenté, juste somptueuse ...mon accompagnatrice me lance des regards complices, waoooouuuu vas y ...

Bien sur les enchères commencent fort.

Je suis, je fais semblant de réfléchir, je relance, je dépasse mes fonds.

Il faut savoir que dans cette cave Bdsm, la folle enchère est punie de la croix de st André, le fol enchérisseur, livré à la salle pour tout le restant de la soirée. Il doit encore pourrir quelques cadavres de fols enchérisseurs sur la croix pour avertir du sort des tricheurs.

A mourir en croix autant que ce soit pour une diablesse, je vais au delà de ce que je possède pour la posséder, et j'emporte.

La salle est surexcitée ou c'est moi qui la voit ainsi, mais en tout cas le mari est ravi , la soumise encore plus,  l'homme qui va la sandwicher nous rejoint, il est grand et son pantalon montre que tout est grand chez lui.

Tout le monde se lève, il est temps de consommer nos lots, dans la cohue du désir des participants de passer aux choses sérieuses, on oublie de me faire passer à la caisse, en fait tout est jeu, ce monde est bienveillant.

Nous nous dirigeons vers une petite salle aux tortures la blonde et son mari nous précède.

A suivre

 

 

 

 

Nuit aux esclaves suite

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Je ne décrirai rien, cela serait trop long et pas assez intense par rapport à ce que j'ai vécu.

Ce que j'ai vécu l'a été comme un fantasme, il y a eu des jeux de caresses, du martinet, des baisers tendres, un fessier à damner un ciel entier de saints. Un fessier transformé en brasier où je me suis enflammé.

Le 2e homme fut défaillant, j'ai du pour deux, contenter la dame dans divers coins du club, mon dieu, ma chemise était en eau de l'intensité de nos échanges.

Son corps était divin, son cul diabolique quand je l'ai pénétré. Visiblement il n'attendait que ma venue et m'a avalé tout en me faisant diablement jouir.

Accroupie sur un fauteuil club en cuir, je voyais dans la lumière rouge de la pièce notre enculade dans une glace, c'était aussi beau qu'une messe à Notre Dame, l'orgue c'était ses encouragements, faster and hardeur, please . Elle était insatiable, je comprends que le mari avait décidé de se reposer.

Ce fut aussi long qu'un sermon de prêtre Bourdaloue, celui qui a donné son nom à un récipient en porcelaine que les femmes utilisaient dans ses sermons pour se soulager sans quitter l'église, ses propos dépassant la capacité moyenne de leurs vessies.

Ma complice regardait envieuse, elle qui désormais a inscrit l'anal dans ses annales coquines.

J'ai jouis, j'étais en eau, elle s'est retournée, on s'est embrassé ce fut doux, j'ai glissé jusqu'à son sexe et je l'ai faite jouir à nouveau, jusqu'à ce qu'elle se recroqueville sur elle même pour gouter son plaisir.

Il était temps de la quitter et jouer avec ma complice trop négligée, j'avais un peu honte de tout se plaisir pris sans elle.

Nous avons gouté aux joies d'un fauteuil électrique qui monte à hauteur de bouche, puis redescend à hauteur de bite, tout en maintenant les jambes ouvertes. Nous avons testé toutes les positions.

Préliminaires agréables avant de passer au plat de résistance, un trio avec le soumis loué.

Il nous attendait sagement, libéré de toutes ses maitresses femmes. Nous nous sommes allongés et j'ai pris ma complice qui avait envie de plaisirs roboratifs, pendant ce temps elle le suçait ou lui la suçait.

Ce fut intense et tendre, profond très profond, nous retrouvions notre complicité charnelle inexprimable.

Ma jouissance sur son dos, le soumis qui a tout étalé en la caressant, ses patientes caresses qui longtemps après mon  orgasme et le sien, l'on faite à nouveau jouir alors que nous étions tendrement enlacés, tout cela fut beau à regarder au plafond miroir.

En bas les couples discutaient, j'ai remercié la blonde et son mari. ils avaient l'air ravi et m'ont indiqué qu'ils partaient vivre dans les îles.

Nous sommes sortis, il pleuvait, Paris était humide, les pavés brillaient, nos corps étaient repus, nous étions vidés et heureux. Même sous la pluie, trempés d'elle ou de nos ébats Paris restera toujours une fête.