19/06/2016
j'ai écarté les lourds rideaux
J'ai écarté les lourds rideaux de ton alcove libertine,
de ton attente je t'ai libérée,
de mes caresses je t'ai aliénée,
de mes reins je t'ai sodomisée.
Odeur de luxure, parfum concupiscent,
sens en bouleversement,
amants indécents, boudoir gourmand.
Ce n'est la poétesse qui m'a voluptiné mais l'aimée.
Nuit folle à ne pouvoir plus hurler
tellement nous avons baisé.
Au matin que des corps désarticulés
mais encore le doux corps de mon aimée pour baume de mes reins martyrisés.
16:53 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (7)
Commentaires
Peut-être est-elle "poétesse"...mais vous, un poète hors pair...
Après cette douce lecture....une furieuse envie de luxure! :je m'essaye à la poésie et c'est pas gagné! (sourire)
Continuez Mr Waid...continuez...
Écrit par : La Pompadour | 25/07/2011
Tu sodomises ton aimée ? Rhoooooo... pervers !
Écrit par : Emeline | 25/07/2011
La pompadour
alors cet essai ?
allons allons laissez vous aller , ecrivez puis enlever, enlever, on n'ôte jamais assez ...
Emeline
ben , c'est de la poesie .....
pervers ?!? oh oui :)
Écrit par : waid | 25/07/2011
Ca tombe bien... envie de perversion et de folies !
Écrit par : Emeline | 26/07/2011
Emeline
moi aussi .... maris cachez vos femmes !
Écrit par : waid | 26/07/2011
Et sortez ensuite, ca m'intéresse ;)
Écrit par : Emeline | 27/07/2011
Peu importe les actes, l'ambiance est là et ce boudoir est bien troublant ! ;)
Écrit par : chilina | 28/07/2011
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