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11/01/2012

Toi l'inconnue

 

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Par monts et par les vaux , je cours vers elle,

elle que je ne connais point, mais qui demain sera mon Elle

Inconnue non encore eu comme chantait le poète, tu m'intrigues et m'attires

Te trouver et me retrouver

T'aimer et me poser

J'ai connu les stupres des libertins

J'ai pleuré aux adieux de quai

Mais toujours j'ai espéré te rencontrer

Je cours vers toi dans la nuit de mes envies

Mais toi que fais tu ?

Tu ignores que j'existe et jamais tu liras ces mots ...

 

 

 

Pour réponse au comm de Dita ...

ben oui ... moins glam

 

 

 

Commentaires

Je suis certaine qu'un jour elle sera tienne. Il suffit d'y mettre toute ta volonté et ne cesser de la chercher. Je te conseille la lecture du vagabond des limbes ;)

Mais dis... cette quête ça ne serait pas celle de l'éternel féminin ?
Dans ce cas... cette femme tu la trouveras en toutes les femmes ;).

Bises et tous mes voeux pour 2012 & co.

Écrit par : Jill | 11/01/2012

jill

je crois que pour la trouver il faudrait que j'arrête ce blog qui me donne une étiquette qui ne correspond pas à ma personnalité ...

Écrit par : waid | 12/01/2012

t'as vu on ne commente pas !!! :)
on est vexé :pp

Écrit par : dita | 12/01/2012

dita

rires ...

des bises

Écrit par : waid | 12/01/2012

Je sais pas pourquoi mais en ce moment les bloggueurs disent tous qu'ils sont incompris , que leur lecteurs se trompent sur eux etc...
moi je vais faire ma crise de lectrice de blog et vous demandez de nous faire un peu confiance. Un tout petit peu! merde alors!
:)

Écrit par : dita | 12/01/2012

dita

je ne dis pas que je suis incompris où que l'on se trompe sur moi ... je dis que ce blog ne donne qu'un aspect d'un tout qui sans connaitre ce tout peut entrainer une extrapolation de cette partie pour composer intellectuellement un tout qui n'est que parcellaire de mon vrai tout

suis je clair ?

Écrit par : waid | 12/01/2012

oui ,très ...
bon ok... montre nous à quoi tu ressembles quand tu es grippé, que tu traines en pyjama , et que tu es de mauvaises humeur et que tu regardes des bêtises à la télé en douce...

Écrit par : dita | 12/01/2012

Dita

réponse dans la note :)

Écrit par : waid | 12/01/2012

quand t'es malade , tu ne mets pas de grosses chaussettes en laine??
tu veux que je t'en tricote?

bon ben t'es foutu avec tes lectrices... tu fais exprès ou quoi, d'être sexy même malade ou quoi??
elle est pas prête de venir ton inconnue...

Écrit par : dita | 12/01/2012

dita

j'en ai en cachemire orange cadeau de ma fille à noel

zut faut que je fasse quoi alors pour qu'elle ne soit plus inconnue l'inconnue

Écrit par : waid | 12/01/2012

Que tu deviennes abordable dans tes déplacements. A mon avis tu dois tellement courir que tu ne regardes pas vraiment bien autour de toi. c'est toujours le même problème ... une histoire de regard sur les choses!
en fait c'est moi qui fait des semi marathon mais c'est toi qui court beaucoup plus que moi..
:)

Écrit par : dita | 13/01/2012

dita

l'homme pressé de paul morand ;)

Écrit par : waid | 13/01/2012

tu me résumes? je ne connais pas...

Écrit par : dita | 13/01/2012

pierre nox est un antiquaire, un homme qui vit à 100 à l'heure prenant l'avion et roulant en bugatti nous sommes dans les années 20. Il ne vit que de désir qui le quitte dés qu'il l'a atteint sans jamais jouir vraiment, il ne joui que de la course vers se désir et jamais l'objet de celui ci.

il rencontre une femme ( hedwige) elle est douce et l'apaise un temps il se marie et son démon de tout faire ici et maintenant et sans attendre le reprend , il attend un bébé et il veut que celui ci naisse en avance pour ne pas perdre de temps effrayé sans femme s'enfuit

Pierre gâche tout, l'amitié, l'amour, la paternité, par sa hâte fébrile à précipiter le temps. A cette allure vertigineuse, il ne goûte plus ce qui fait le prix de la vie, ni les moments d'intimité que sa femme Hedwige lui ménage, ni la poésie des choses. Il se consume et consume les siens en fonçant vers un but qu'il renouvelle, chaque fois qu'il l'atteint.

il fini par tout perdre y compris sa vie qu'il aura brulé et qui partira plus vite le foudroyant d'une crise cardiaque

Écrit par : waid | 13/01/2012

dita

une apres midi à regarder un plafond mais tu me tus là ...

( à propos de se dialogue y a plein de gens qui le lisent en plus

Écrit par : waid | 13/01/2012

merci... ça me donne envie de le lire.
oui c'est tout à fait ça l'idée que je sous entendais. mais que peut on faire quand on est comme ça? il doit être difficile de réussir à ralentir .
tu devrais venir faire un stage avec moi. Je peux passer une am à contempler un plafond sans avoir eu l'impression de perdre mon temps :)

Fais peut être une nouvelle note, ça devient gênant ce dialogue :)

Écrit par : dita | 13/01/2012

roooh le pyjama... très sexy funky dis donc !
dita n'a pas tord lorsqu'elle dit de faire confiance aux lectrices ou lecteurs
et l'homme pressé est une évidence, c'est vrai !
par contre, mettre des étiquettes aux gens, ce n'est pas bien, du tout.
même ton "inconnue"...
B

Écrit par : Brigit | 13/01/2012

brigit

je ne cherche pas un lecteur ... rires jsuis hétéro

Écrit par : waid | 14/01/2012

L'homme pressé cherche la porte et passe devant (Goethe).

Écrit par : A8 | 14/01/2012

M'enfin quelle idée de nier ce blog... ici c'est une partie de toi et sans cette facette, ça ne serait pas Waid.
Aïe ! Bordellum... je déteste les pyjamas - rien de tel qu'un homme dans son plus simple appareil. Bon parce que c'est toi et qu'en ce moment tu sembles inquiet de ce que tu es à nos yeux - je ne te collerai pas une étiquette "pervère pépère" ... ou alors vraiment s'il en faut une : "pervère polymorphe voire parfois en pyjama"
Bises & bon we
;)

Écrit par : Jill | 14/01/2012

Que fait-elle, l’Inconnue ? !
Elle vous lit, tout simplement.
Depuis longtemps, depuis toujours peut-être. Tellement elle semble vous « connaître » au bout de son regard auquel vous offrez vos instants de stupre et luxure, de doutes et certitudes chancelantes.
Elle vous lit, voyez-vous, cette Inconnue qui tique, parfois, à vos faiblesses orthographiques. Faiblesses qui ne l’empêchent pas de continuer à vous lire, à vous suivre dans vos descentes et remontées : « connaître » et comprendre un peu plus à chaque fois l’homme derrière l’étiquette, l’homme simple, nu, débarrassé de toute envie de plaire, de conquérir, de chevaucher, dompter, l’homme à bout de force après son dernier coup de reins, l’homme qui rentre « chez lui » en lui, une fois vidé de l’animal qui ronge sa vie par le bout de la queue, par le bout de son âme errante. Et qui écrit… qui écrit pour qui, pour quoi peu importe. C’est cela, aussi, sa course contre lui-même : fixer en mots ce qu’il donne, ce qu’il prend dans son fidèle infidélité à la vie qui le strangule… Garder une trace de ses belles débauches qui s’entassent les unes sur les autres dans des archives éthérées ?! Soit… Puisque sa mémoire a peur de perdre les fulgurances qui rassurent sa virilité, sa soif d’idéal jamais atteint, juste frôlé par ci par là, par un bout de peau, par une lèvre baisée, par un sexe comblé l’instant d’une rencontre fugace comme le temps qui l’oppresse… lâchement. C’est ainsi (et encore autrement) cet homme que vous planquez dans vos mots, sans jamais le dire tout à fait. Pudeur, malgré tout, de ces larmes d’homme que personne ne voit, que personne ne goûte sur vos traits tirés quand tout vous accable. Alors, vous jetez à tout va vos cris de jouissance, vos sourires de satisfaction feinte dans l’écrit.
Et, puisque vos écrivez, elle vous lit… il y a longtemps qu’elle a arraché l’étiquette à votre costume de dandy taillé sur mesure.
Elle vous lit. Et vous le savez. Qu’elle vous lit. En simple inconnue qui s’attarde le temps d’une page. Puis s’en va…

Écrit par : (une) Inconnue | 14/01/2012

[ Elle remet le "u" manquant à la bonne place:
Et, puisque voUs écrivez, elle vous lit.]

Écrit par : (une) Inconnue | 14/01/2012

inconnue

réponse à venir ...

Écrit par : waid | 15/01/2012

Réponse à l'inconnue

C'est la première fois que je réponds aussi longuement à un commentaire mais vos mots m'ont bousculé, vous m'avez mis à nu en faisant fi du loup libertin qui masque ma face en anonymat dérisoire.

L'orthographe ! Oui, parlons en ... il est déplorable et inadéquat avec les textes qu'il pollue.

J'ai parfois l'impression d'écrire à l'oreille plus qu'à la raison, je dois vous confesser que je n'aime pas écrire, je dicte presque tout, ma main est trop lente à mes idées et je peste de ce que les lettres trainent au flot de ce que je veux exprimer. Un jour j'ai fais analyser mon écriture, la sentence fut terrible : impatient ... l'homme pressé qui a du mal à s'attacher à la forme alors que ses idées se concentre sur le fond.

Mon écriture est comme ma vie en contradiction, Lautréamont pourrait l'écrire, incongruité de la rencontre non d'un parapluie et d'une machine à coudre, mais de la culture avec l'analphabétisme.

Pour ma décharge si les mots m'enchantent, les règles m'ennuient, je n'ai de cesse que de m'en affranchir.

J'ai aussi une façon particulière de lire, reste d'une méthode audio globale en vogue à l'époque de mon apprentissage, je lis les deux premières lettres et les deux dernières puis je reconstitue mentalement le mot, d'où une quasi impossibilité de bien lire des mots inconnus comme les noms propres.

Pourtant des âmes charitables m'ont offert leur aide, mais je l'ai déniée, pourquoi ? Je ne sais, peut être parce que mes textes sont spontanés et sortis il faut les exposer aussitôt au risque d'en affadir à mes yeux le goût, exutoire ou jubilatoire.

Voilà pourquoi je pense encore vous faire tiquer Madame l'inconnue dont j'imagine les agacements à l'évidence de certaines violations des règles les plus élémentaires de l'orthographe.


Quand vous parlez de strangulation vous êtes dans le vrai, impression terrible de ne pas être là ou je devrai être qui vous coupe le souffle et vous strangule, alors brûler le temps pour écarter ses mains qui enserrent ma gorge pour me permettre de reprendre mon souffle et en apnée continuer vers une nouvelle bouffée.

Pendant ce temps garder effectivement la trace de ce qui s'efface si vite dans une mémoire peut être trop stimulée pour être fidèle, on n'accélère pas le temps impunément, chronos vous puni en l'effaçant, ce blog comme mémento, je dirai même mémento mori car la mort rode derrière ses lignes de vie, ne la regarde ton pas pour sa seule longueur ?


Ce n'est pas une soif d'idéal par contre, je dirai une insatiabilité intellectuelle plus que physique, c'est mon intellect qui commande, pas le physique. En insatiable curieux ou penseur compulsif, mon esprit saute de désirs en envies, de scenarii en audace.

je ne pense pas feindre la satisfaction , je la dis , l'insatisfaction je la tais et n'écris point sauf une fois quand je sais qu'on me lit, limite peut être à mon exercice de mémoire qui s'inscrit en carnet rose, il faudrait un carnet noir ailleurs, où le cynisme qui m'habite dans le regard que j'ai du monde et que de toute mes forces je tente de bannir dans mes coquineries serait toléré de sortie et d'expression, carnet sulfureux d'un coté obscur de moi même qui est tapi et que je dois toujours surveiller.

Je ne suis pas d'accord avec la soif d'un idéal jamais atteint, je ne cherche pas l'idéal, j'ai trop conscience de son inexistence, je ne cherche pas non plus une satisfaction animale, comme un cerveau qui jamais ne se repose, mon désir est intellectuel, et oui je peux pester ou m'étonner que mon corps arrive ou n'arrive plus à suivre une insatiabilité affective, peut être crée non par un manque, mais un trop d'amour maternel, je ne sais.

Ce qui m'excite c'est justement ce mouvement, ce déséquilibre qui fait bouger et vivre, fulgurance de l'instant à renouveler à chaque instant.

Je ne suis pas d'accord avec la satisfaction feinte que vous évoquez, elle est réelle comme tous les textes ici. Je ne m’autofictionne pas, je ne couche que le beau de ce que je vis, ce n’est pas une entreprise romanesque c’est une relation pour moi même, l'insatisfaction, sauf une fois je ne l'exprime pas, limite de ce carnet lu ou je tais la part obscure de moi même, celle que je combats et qu'ici je ne veux pas.

Peut être qu'il y a une part de moi qui est épatée de ce que jamais je n'aurai cru possible et que cela sonne creux, comme un monde de Walt Disney.

Cette part cynique, trempée à l'acide d'un regard désabusé sur notre humanité où la grandeur est un effort et la petitesse, l'égoïsme une action naturelle est trop prégnante pour que je la laisse vivre ici.

l'abattement existe , souvent , comme une descente d'un trip puissant, où d'un sentiment de vide qui angoisse le sur actif amateur de canapé ( toujours mes contradictions) , cet abattement je l'exprime ici, peut être trop, exutoire qui fait miroir grossissant trop grossissant parfois, alors qu'objectivement la vie me gâte même dans ses punitions qui sont vénielles, peut être parce qu'il y a le pêché originel qui fait que ce manque existe et s'accroît au fur et à mesure que mes substituts de drogue ne font plus d'effet sur une douleur chronique.

Alors j’écris, pour moi en exhibition de tout cela et en creux de tout mes non dits qu'il faut lire en plein et en vide comme le braille se lit sur le relief du papier.

Et vous lisez, anonymes ou connus, ceux qui me connaissent ne semblent pas trouver une dissonance entre ce que je dis et ce qu'ils ont vécu, ni entre ce qu'il parait que je suis et ce qu'ils découvrent de moi, peut être sont ils déçus de ce que je ne sois pas exactement comme dans leur imagination qui pare de plus grande qualités que la réalité. Je ne sais.

Vous lisez, et vous repartez, voyeurisme ou satisfaction de mettre à nu somme toute un homme qui n'a pour qualité que celle d'avoir osé écrire les courants qui traversent son esprit ou ses reins ?

Car quand même, si vous êtes l’inconnue que je cherche dans le tumulte de mes errances érotiques et que vous partiez sans mot dire, c’est que je ne suis pas l’inconnu que vous recherchez.

Écrit par : waid | 17/01/2012

Waouh ! :)
(oui, je sais, très constructif comme commentaire)

Écrit par : Emeline | 17/01/2012

emeline

à quoi ça sert que je trempe ma plume , roooh

Écrit par : waid | 17/01/2012

Pour le plaisir ?

Tu veux un commentaire en 4 pages ?

Écrit par : Emeline | 17/01/2012

emeline

tu le feras sous l'oreiller

Écrit par : waid | 17/01/2012

Il n’y avait ni voyeurisme, ni satisfaction de mettre à nu l’homme sans trop de qualités sauf une (comme vous le dites vous-même, mais pas moi)… il n’y a rien de cela. Il n’y avait que ce mouvement spontané après lecture de votre billet pour répondre à la question qui le clôturait presque : que fait l’inconnue ? Non pas celle que vous recherchez ou attendez. Mais celle qui vous lit, en dehors de l’ignorance. Une inconnue. Une parmi tant d’autres, certainement. Celle qui semble… j’ai bien écrit « semble »… connaître au bout de son regard les traits que vous laissez de vous ici et ceux que vous laissez, parfois, dans l’ombre et qui se devinent… J’aurais pu écrire le jeu de miroir que la lecture procure, parfois, cette façon de tendre le miroir dans lequel l’autre peut se regarder et voir sa face cachée. J’ai bien fait de ne pas l’écrire. Et j’aurais bien fait de préciser encore plus ma pensée. Il s’agissait, aussi, d’un écho à une des vos réponses dans les commentaires avant le mien. Bon, bref… ce n’était pas le bon billet sous lequel laisser tout ça.

Donc, non… je ne reconnais pas mon voyeurisme en vous lisant ; comme je ne reconnais pas non plus votre exhibitionnisme dans ce que vous écrivez. Et je reconnais encore moins une quelconque satisfaction dans votre mise à nu par mes mots. Qui soit dit en passant ne se voulaient ni blessants, ni juges… se voulaient-ils, peut-être, une preuve de ce qui émeut, donne à réfléchir chez vous. Preuve mal exprimée, semble-t-il.

Je ne me reconnais pas, non plus, le culot d’être celle que je ne suis pas ; ni celui de la recherche de mon inconnu en vous. Cela, par contre, j’aurais vraiment bien fait de la marquer en majuscule!

Oui, Lautréamont « pourrait l’écrire », mais il ne peut plus le faire de là où il est, le pauvre. Lui, il parlait de la beauté de Mervyn, comparable (entre autres) à la rencontre fortuite dont vous parlez. Même si votre réponse me va comme un gant chirurgical, je ne vais quand même pas passer vos contradictions sur une table de dissection. Ceci pour dire que je préfère être tiquée, orthographiquement-culturellement parlant, plutôt que pas du tout.

Et, enfin, MERCI ! pour la primeur concernant la longueur de votre commentaire. Sincèrement apprécié.
Désolée pour la bousculade. Promis, je ne recommencerai plus.

Écrit par : (une) Inconnue | 18/01/2012

l'inconnue

La bousculade que j'évoquais était positive, comme un reflet de mes mots dans le miroir de votre lecture.

Elle m'a permis de sortir un peu plus du bois et d'exprimer ce que je pense dire plus en creux dans mes notes, c'était donc le bon billet pour laisser cela et entamer un dialogue qui est enrichissant.

Quant au voyeurisme, ne vous offusquez pas de ce mot, c'était un trait d'esprit , une façon de retourner le dialogue et de ma recherche vous renvoyez peut être à votre propre recherche.

Je pense en effet, et l'experience m'en donne des signes de démonstration que la rédaction des blogs ou leur lecture répond à un manque , une recherche. De l'âme soeur, de soi même, ou de la compréhension mais toujours une recherche de cet inconnu. C'est dans la nudité de l'autre que l'on explore sa propre nudité. C'est dans la recherche de l'autre que l'on se recherche aussi.

Alors peu importe que je sois votre inconnu ou que vous ne soyez pas la mienne ou vice et versa , ce qui importe c'est justement la mise en abyme qu'une recherche d'un inconnu en terra incognita provoque lors de la lecture à une inconnue.

Pour finir sur la bousculade, pour que ces commentaires aient un sens, il leur faut de la legereté , un peu de séduction et une pointe de bousculade alors tout cela tout cela sera interessant à lire.

la preuve les statistiques explosent

promettez de recommencer.

Écrit par : waid | 18/01/2012

Sous ou sur l'oreiller ? :)

Écrit par : Emeline | 18/01/2012

emeline

vas débat y aura t il même un oreiller dans l'endroit prévu

Écrit par : waid | 18/01/2012

Au moins on a une explication (recevable) concernant l'orthographe ! :)

Écrit par : A8 | 19/01/2012

Positive, oui… c’est ainsi que je l’ai perçue, la bousculade, jusqu’à votre trait d’esprit qui ne m’a point offusquée. Fait sourire, oui. Comme me fait sourire, aussi, votre passage sur « pour que ces commentaires aient un sens ». Donc, sans légèreté, sans « un peu » de séduction… pas de sens ?! Et moi qui croyais qu’un point de gravité ne vous ferait pas de mal ! (je plaisante, bien sûr…)

Quant à la nudité et l’exploration… comment vous dire… vous seriez obligé de rester nu un bon moment si je me mettais à explorer ma nudité dans la vôtre. Vous avez bien fait d’enfiler le rouge-noir-blanc.

Pour les statistiques… je n’y suis pour rien, n’ayant dissimulé aucune bombe sous mes mots ! Mais tant mieux… ça prouve que… vous êtes lu !

Et pour finir, une seule promesse (non tenue) suffit.

Écrit par : (une) Inconnue | 19/01/2012

A8

ben oui c'est pas ma faute mais la faute de la société qui m'a corrompue.

inconnue

gravité ?!? mais la situation est si grave qu'il faut avec légereté danser sur le volcan qui couve.


je vous concède en parlant de nudité, l'incroyable complexité introspective du cerveau féminin que ne peut égaler celui masculin ...

quant aux promesses , dans notre pays , le votre est il sur ce plan plus sérieux ? nos hommes politiques ont coutume de dire aprés campagne que les promesses n'engagent que ceux qui y croient

Écrit par : waid | 20/01/2012

Ah ! danser ?! Moi qui danse si mal, vous pensez bien que sur un volcan qui couve, même légèrement sur la pointe des pieds, je ne saurai éviter la brûlure, alors j’ai encore besoin de mes orteils. Je préfère les regarder de loin, cracher leur lave. Et parfois, je leur chante un truc. Leur danse solitaire, alors, allume des pépites dans mes yeux. Bon, j’arrête là, parce que j’aurai les volcanologues sur le dos, sinon ! Par contre, je passerais bien un coup de fil à Newton, dans l’au-delà, pour qu’il change un peu sa loi : a un peu abusé, lui : on n’est pas toujours responsable de notre chute, hein, même si on est grave…

Et oui… dans mon pays, on est graves de chez graves, surtout avec les promesses. C’est pour ça que nous ne faisons pas de campagne électorale, comme chez vous. Puis de toute façon… suis pas trop « croyante ».


(p'tit p.s.: suis pas d'accord sur le truc que vous dites sur le cerveau, là...)

Écrit par : (une)Inconnue | 20/01/2012

une inconnue

ce comm me fait penser à une photo de pied qui danse sur des clous que je dois publier un jour tiens.

les femmes contestent toujours la complexité incroyable des méandres de leurs réflexions ... rires

Écrit par : waid | 25/01/2012

Bien... bien... on attendra la publication, alors!
Pour voir si le clou vaut le volcan!


Ah, non... je ne me la fais pas à la Dutronc, vous savez... mais quand-même, il y a femme et femme. Comme il y a homme et homme.

Écrit par : (une) Inconnue | 25/01/2012

inconnue

femme au carré = réflexion exponentielle LOL

Écrit par : waid | 26/01/2012

J'adore ton pyjama Waid, tu me le prêtes, dis ??? ;-)

Écrit par : Elea | 29/01/2012

Elea

tu veux me faire tomber le bas de pyjama ..... roooooh

remarque , je me verrai bien te baisser le patalon pour y faire une fessée

Écrit par : waid | 29/01/2012

Le pyjama est pour moi un accessoire ultra sensuel pour une fessée... je trouvais le tien à la hauteur de cet érotisme, c'est pour cela que je voulais te le piquer...

Écrit par : Elea | 31/01/2012

Elea

je te le confie ... moi je trouve hautement érotique qu'une femme enfile un habit de son amant

une chemise ouverte au matin

un pull à même la peau et les fesses nues

la veste de costume nue dessous

pourquoi pas le bas d'un pyjama avant une fessée déculottée

Écrit par : waid | 31/01/2012

Les commentaires sont fermés.