Web Analytics Made Easy -
StatCounter

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30/05/2011

Histoire d'O

N4Fa7vzXdldsz4amg3oWPxNwo1_500.jpg

 

Surprise je la croyais en chair, elle était toute fine et antillaise de surcroit.

Un sourire à damner l'ange qui subsisterait encore en moi si je n'étais si coquin, des yeux pétillants comme champagne un soir de fête.

Notre discussion est immédiatement fluide , magie de la rencontre lorsqu'elle comble au-delà de l'attendu.

Une femme intelligente et sensible, coquine de surcroit, que demande le peuple si ce n'est de la révolutionner. Nous nous y trompons pas la belle est venue s'encrapuler avec une gamahucheuse que je lui avais promis.

Trio femme, femme, homme, première pour elle, premier exotisme pour moi aussi, désormais converti.

Vite les 5 étages de notre lubrique nid gravis, nos bouches se collent, langues qui se découvrent dans cette danse toujours un peu pataude des premiers tours. Mes mains entre en scène et caressent son corps, s'immiscent sous la culotte, s'enivrent de sa cyprine abondante et pénètrent pour prendre ce sexe dégoulinant d'envie.

argh ..... ma main se referme dans son vagin qui de suite réagit en s'hérissant. Le jeu devient sexuel et diablement bon, les langues dansent enfin au diapason , les choses sérieuses commencent, un bandeau sur ses yeux pour les lui faire vivre plus intensément.

Je la conduis dans la chambre voisine où ma complice s'impatiente, la couche, la déshabille, l’enlace, la caresse.

Observation caudalique de leurs saphiques jeux, notre coquine semble aux anges, son sourire en témoigne.

Vite je me joins à elles pour une nuit qui ne sera que fougue , délices , hurlements , pluralité , douceurs, tendresse.

Une nuit où j'étais redevenu enfant jouant avec mes deux jouets, tour à tour au milieu de leurs caresses et baisers lesbiens.

Une nuit avec une pose des plus amusante, nous habillerons notre coquine de cuir et de vinyl pour une soirée fetish. Aprés lesbos et trio , la perversité des tenues , des coups de fouets , des laisses, un monde qu'O n'imaginait pas.

La belle n'en sera pas mari, pire ses yeux et son sourire éclatent quand ma complice lui confie une laisse avec au bout un soumis, nu et harnaché.

Joie pour elle de le tenir à sa merci, de lui écraser les testicules pour qu'il se torde à ses pieds.... oui nous avons fait cela , nous avons révélé à notre invitée ce qu'elle ignorait, son immense plaisir à dominer.

Autour de nous des hommes soumis, des femmes fouettées , des tenues des plus excitantes . Des cris mais point de râles , nous donnerons le spectacle et serons avec mon insatiable complice le seul couple à faire l'amour au milieu d'une assistance amusée et respectueuse de nos ébats.

Le soumis croit son heure arrivée et darde une immense bite vers O qui en bonne dominatrice,  décidément après moults caresses lascives, le frustre de son refus.

Bras dessus, bras dessous en homme heureux, je suis au milieu de mes coquines, dans le taxi qui nous ramène vers notre antre tantrique.

L'Aurore, le lit est là et mon envie aussi, en témoigne une érection maintenant matinale offerte à la libido de mes anges.

Las, le trio ne sera que duo, notre coquine est aux abonnés absents, épuisée de ses heures précédentes, seule ma complice à encore la force de mes envies.

Enfin le repos dans ce lit étroit de nous, nos corps les uns comme les autres, petites sardines en boite de fer blanc, bien rangées pour mieux tenir dans l'attente du matin.

Il arrivera cinq heure plus tard, Garcia Llorca chantait celle ci, l'heure du toréro et de sa mort.

Dans le compte égalitaire de nos galipettes je dois m'occuper d'O, hummm ce fut un festival, qui terminera en un orgasme si fort que je m'en fracasse la mâchoire ....

Llorca a raison la petite mort pointait.

Les longues jambes fines d'O se lèvent, enfilent sa culotte et filent retrouver une vie plus conventionnelle, mes galipettes dominicales, elles, allaient vite reprendre.

Paris est une fête qu'il ne faut pas manquer de fêter, à trois ou à deux il y a toujours des cotillons.

Commentaires

Vous mélez avec malice les scènes de belle cruauté à des tableaux de plaisirs délicats...Le principe premier étant de s'abandonner à ses passions....
On vous lit avec ce petit pincement au ventre qui vrille les sens...
Petits jeux fétichistes: on s'amuse et on l'assume!
Mr Waid? Pornographe chic, qui ne sombre jamais dans le vulgaire....Bravo!

Écrit par : La Pompadour | 30/05/2011

la pompadour

j'adore le petit pincement au ventre qui vrille les sens.

c'est vrai que je tente dans la mesure du possible de fuir le sexe glauque ...

Écrit par : waid | 30/05/2011

Hmm... jolie photo qu'on peut imaginer ressemblante (sauf pour la blondeur de l'antillaise ?)

Écrit par : Emeline | 30/05/2011

emeline

oui difficile de trouver des photos de trio avec une antillaise ... c'est drôle d'ailleurs pourquoi :)

Écrit par : waid | 30/05/2011

"Une nuit où j'étais redevenu enfant jouant avec mes 2 jouets..."
Oui, le sexe est un jeu, jeu de rôle, jeu de hasard, jouer à être quelqu'un d'autre, s'éloigner d'une réalité...
Il faut rentrer dans le jeu: d'ailleurs, je parle souvent de mes amis libertins comme "mes compagnons de jeux"
...et le jeu est créateur d'émotions puissantes!
Continuez à jouer, Mr Waid, à vous faire plaisir, de toute manière il n'y a rien de meilleur!! C'est ce que je me dis à chaque fois!

Écrit par : La Pompadour | 01/06/2011

la pompadour

oui je crois que ce libertinage que je décris au fil de ces notes est un jeu, jeux des corps , des rires , des émotions.

il doit en comporter l'humour, les rires, les joies.

Écrit par : waid | 01/06/2011

Les commentaires sont fermés.