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04/07/2011

Nuit de St germain en Laye

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Nous attendons sur une bite de parking, la nuit tombe sur cette place de St Germain en Laye, nous sommes en retard, Paris est plus loin que pensé.

Aucun taxi en vue et d’autres patientent,  j’appelle et quelques minutes plus tard un visage souriant vient nous rechercher en voiture pour nous mener dans le sage pavillon d’une famille comme il y en a tant. Sauf qu’en descendant l’escalier qui mène au salon, les meubles sont poussés et si les 4 couples sont assis sur les canapés, les hommes sont déjà déchaussés, des matelas sont en fond posés et du gel est en évidence sur la cheminée. Soirée libertine à ne pas douter.

 Des mots banals échangés, une coupe de champagne avalée. La glace est brisée par un des hommes qui commence à déshabiller ma complice. Les couples se défont pour d’autres formés.

Education oblige…  j’enlace l’hôtesse, superbe noire au corps parfait, couleur d'ébène brillant.

Après les Antilles me voilà en Afrique, quel voyage.

Mes doigts glissent sur sa peau tendue et douce, ma main ouvre son sexe fin, mon sexe s'y engouffre, fourreau serré et glissant.

Les vas et viens commencent et le plaisir apparait en apaisement de la tension des avants, cette croupe qui s’agite quand on la pénètre décuple la jouissance ânonnant, au gré des coups de reins, de part et d'autres.

L'Afrique est sauvage, sensuelle et diablement à l’unisson, bien que je ne sois pas assez percutant pour le potentiel de mon hôtesse, début de soirée certainement, elle jouit, je me réserve pour tenir, il y a quand même 4 autres femmes à butiner.

Mon accompagnatrice est elle-même enlacée avec son cavalier qui la quitte, sa femme le remplace et je me colle à elles, vite ma bite est sucée par une bouche connue et diablement efficace, moi-même suce celle qui suce le sexe de la bouche qui me suce. 

Je sais il faut suivre. Tout cela est somme toute confus mais drôlement excitant.

Mes doigts pénètrent et font mouiller, parfois ma bite change de bouche, nos trois corps ne font qu’un bête polyandrique pour gémissements polyphoniques.

Une pause et du champagne ou quelques canapés, des femmes dansent, des hommes se recomposent, bite vidée et air exténué, des mots et des plaisanteries, tout cela est très naturel sans artifice ou pose.

Une jolie blonde se fait sauvagement pénétrer, elle jouit bruyamment.

Me voilà à chevaucher à grandes enjambées le sexe blanc de celle que j’avais tant fait mouiller, terrain idéal pour le galop, cravaché de ses cris d’encouragement.

Parfois en levant la tête j’aperçois sur le canapé la même scène.

Voir un film et y être, qui ne l’a pas rêvé.

Au retour de la cuisine, une autre convive noire suce notre hôte à quatre pattes sur le matelas, elle me montre sa croupe brillante et ses deux points plissés, le plus long est légèrement ouvert et m'appelle irrésistiblement.

Mes mains plaquent ses hanches, la voilà prise, et moi qui retrouve le goût de se sensuel continent, décidemment oui j'aime ce voyage.

Les coups et les slurpes s'enchainent, quand craque notre sucée, ma belle croupe se retourne heureuse découvre son fouteur et m'embrasse puis court rejoindre son homme.

Ma coquine esseulée semble triste, je la rejoins et reprends mon foutage, ce retour d'une bite amie et connue lui arrache vite un orgasme si bruyant qu'il détourne sur nous les regards et suspend les reins le temps de ceux-ci.

Décidemment le sexe n'est pas que science des mécaniques, il est jeux des cœurs, en témoigne ses larmes quand à l'oreille lui avoue qu'un de mes foutages fut divin. Le libertinage est lutte contre la possession et la jalousie, détachement apparent pour plus grand attachement.

Consolée et cajolée, je ne me reprendrai plus  en partouze, à des confidences sur l'oreiller.

La blonde que je trouvais avoir du chien suce son blond ami qui lui avait tant apporté de plaisir, en croupe offerte aux groupes je prends place et aussi sauvagement que ne l'avait fait son sucé je jouis en elle en levrette, mon amie tente désespérément de faire vivre la queue énorme du compagnon antillais d'une de mes honorées. Elle me caresse le torse entre deux bouchées.

Las le monstre ne veux se redresser la voilà abandonnant la partie.

Ma blonde jouit  sous mes coups, en témoigne les sucions de plus en plus frénétiques sur le pal de notre blond dont le visage cramoisi trahi de sa haute lutte pour ne pas exploser.

Mon dos coule, ma bite brûle, les baisers dans le cou et les caresses tendres de mon amie m'enflamment.

L'assistance est en pose nous sommes le spectacle, les commentaires joyeux vont bon train.

Arggggh un énorme orgasme se libère en moi me laissant vide et suant, la blonde lâche son blond qui respire enfin, elle est radieuse et épuisée.

Une coupe de champagne et le frais de l'air de ces pas, mes jambes flageolent.

 

Je regarde des couples enlacés, les hommes semblent épuisés, sauf notre blond coureur de grand fond qui entreprend mon amie avec la même fougue qu'au début, elle jouit bruyamment de ses assauts implacables.

Nous voilà enchevêtrés les uns dans les autres, je suce un sein, masturbe un vagin, caresse un clito d'une autre main, c'est le repos du guerrier.

Les corps ont exultés, le mien est reposé de ces 5 femmes en une soirée goutées.

4h du matin il faut rentrer, un taxi nous amène à paris, nous sommes épuisés, sur notre lit canot de sauvetage pour naufragés libertins exténués, ma bite pourtant reprend vie, réflexe pavlovien, en raison du nombre impressionnant de fois où elle a baisée sur cette couche qui a le don de la ressusciter.

J’enlace mon amie qui m'ouvre avec joie ses bras, s'en suis une superbe baise où nous jouissons fort, décidément la partouze a l'art de rendre nos retours orgasmiques.

Enfin Morphée nous tend ses bras, ce n'est qu'un entracte, aux rayons de soleil, notre libido nous titillera encore.

Commentaires

Pour ma part je préfère m'endormir dans ceux de Morphée, ceux d'Orphée étant occupés par son instrument ... de musique

Écrit par : Mythologiste | 04/07/2011

Mythologiste

remarque si pertinente que dans la version relu je viens de modifier.

merci

Écrit par : waid | 04/07/2011

De rien, c'est parfois dur de s'essayer à la Cul-ture
On ne peut prétendre être un Dieu en tout !

Écrit par : Mythologiste | 04/07/2011

je crois surtout qu'il faut que je me relise.

les dieux sont morts cher mythologiste et il est humain qu'une autobiographie finisse en hagiographie, ne vous fiez pas aux mythes le récit en est toujours symbolique ;)

Écrit par : waid | 04/07/2011

J'aime bien ta réflexion

"Le libertinage est lutte contre la possession et la jalousie, détachement apparent pour plus grand attachement"

Une maturité du cœur que permet complicité et échanges

Écrit par : Pier O | 04/07/2011

votre récit m'a donné le vertige, c'est épuisant à lire.... on ne sait plus qui est qui et où donner de la tête. Enfin...de la tête....Bon... sinon vous savez que Morphée est un homme hein, mais je sais que vous n'y êtes pas non plus forcément insensible ;))

Écrit par : anne | 04/07/2011

Quelle soirée!! et quelle photo!!... la position des doigts est parfaite!(sourire)
Mon passage préféré :" le repos du guerrier"...Ce moment parfait où le corps se repose après tant de jouissance et où le temps est comme suspendu...une main posée là... et une autre là....bref, le bonheur tout simplement!

Écrit par : La Pompadour | 04/07/2011

pier O

c'est du vécu ;)

anne

il fut épuisant à vivre aussi

au fait il faut que je vous raconte les réponses à mes envois

La pompadour

le bonheur est simple une partouze , un guerrier , un repos

au fait je vais aller vers chez vous ... si si

Écrit par : waid | 04/07/2011

Ah la ville de mon enfance, de ma naissance, je n'aurais pu imaginer que s'y passent de telles ignominies....;-)

Écrit par : Samantha | 08/07/2011

samantha

je comprends mieux maintenant lol

Écrit par : waid | 16/07/2011

Les commentaires sont fermés.