16/02/2014
Partition sexuelle
Acte 1 BOUCHE
Acte 2 DOIGTS
Acte 3 CUNI
Acte 4 LEVRETTE
Acte 5 JAMBES SUR EPAULES
Acte 6 ORGASME
22:07 Publié dans ENVIES | Lien permanent | Commentaires (23)
02/02/2014
Me voilà dans de beaux draps
Il y avait une donnée à laquelle je n’avais pas pensé en devenant propriétaire d’une garçonnière, c’est celle de la gestion des draps.
Jadis occupant d’hôtel, je ne me souciais pas des draps où alors uniquement lorsque les ébats les avaient marqué au delà du raisonnable, je me souviens d’une sodomie nocturne et de la nécessité le matin d’aller voler dans la buanderie une paire de drap propre puis faire disparaître ceux morts au champs d’horreur.
Il est vrai que nous étions en suisse pays du blanchiment.
Là, il en est différemment, je n’ai pas le temps à Paris de squatter les laveries et ma quasi chambre de bonne est trop petite pour un lave linge ( j’ai casé un lave vaisselle quand même non mého ).
Impossible de ramener à la maison les draps, qui se transformeraient immédiatement en constat d’adultère de 4 m2. J’avais trouvé comme solution la concierge à qui je laissais un sac de mes draps et qui me les remontait propres et repassés.
Mais comment dire, je me suis rapidement aperçu que ma consommation de draps propres et les marques univoques dessus allaient faire jaser. Surtout une concierge !
Il faut dire que je n’ai pas été raisonnable et que changer de draps trois fois en un weekend cela pouvait me faire passer au mieux pour un maniaque au pire pour un libertin.
Bref, il me fallait une autre solution, que j’avais trouvé en la personne du kurde à l’angle de la rue, il ne me connaît pas et parle le kurde, cela limite l’effet concierge, il est ouvert même le dimanche et assure en 24h le lavage et le repassage, 6 euros le draps ma foi ce prix valait bien celui de ma réputation dans l’immeuble.
C’est donc serein que le dernier weekend end de mon passage j’amenais le linceul de mes ébats, un peu de sang, beaucoup de gèle et un cul qui s’était allé, constituaient les stigmates de la passion de nos corps.
J’informe le kurde qu’il sont assez sales et qu’un 60° sera nécessaire, pas de problème me répond t il en franco kurde (la traduction est libre mais le sens certain)
Je l’informe que mes parents viendront les chercher, je les paie d’avance.
Serein je quitte mon appartement l’esprit tranquille et le corps vide, je n’ose dire les couilles aussi …
Las, le surlendemain texto de mes parents,
« W … on est allé cherché tes draps, c’est une horreur appelle nous «
Gloups, penaud j’appelle…
On final nul trace de ma luxures mais des draps devenus bleus par grosses tâches … contact avec de la couleur (comme les sous vêtements je suis draps blancs)
Un ange passe … de soulagement.
Mais je perds l’usage et la confiance en mon Kurde, me voilà dans de beaux draps …
14:00 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (28)