13/12/2015
Nuit de la défloration
Retour de la vierge dans mon appartement, elle sait que cette fois quand elle en sortira, elle n’apparaitra plus dans les grottes, tout a une fin et elle allait non, m’offrir son dépucelage mais s’offrir un dépuceleur expérimenté, encore que je dois avouer que c’est ma première vierge, j’étais trop sage au temps où mes amantes pouvaient encore être vierges.
De ma main qui connaît bien ses zones de plaisirs, je commence à la caresser, déclencher ces ondes qui mouilleront sa chatte d’envie. Mon pouce puis ma bouche commencent à jouer avec son clito, mes autres doigts effleurent son sexe qui commence à se réveiller.
Puis vient le suc de ses désirs, mon doigt écarte ses lèvres et la pénètre en lui massant l’intérieur du vagin pendant que ma bouche et mon pouce jouent de plus en plus fort avec son clito.
Elle se tortille et halète, son vagin se trempe, son anus palpite à ma pulpe de doigt contre lui et ouvre légèrement son anneau serré pour que je m’y enfonce à peine.
Deux doigts maintenant dans sa chatte et je vais au plus profond lui masser son intime, elle s’agite, et commence à jouir, je les écarte pour la préparer à la largeur de mon sexe.
Je la sens prête et me fais bander, penser que je vais pénétrer cette chatte serrée m’excite, j’appréhende le sang et j’avais placé une serviette éponge sous elle.
Je suis étonné que mes doigts puissent aller si au fond, preuve de ma méconnaissance en matière virginale.
La vierge adore et se laisse complètement allée, elle se révèle et me regarde voit mon sexe tendu et ma main qui se retire d’elle, je met une capote, une noisette de gel et pose mon sexe sur ses lèvres.
Elle me regarde anxieuse et impatiente, je commence à pousser doucement et entre le gland, puis la moitié de mon sexe, elle est serrée mais une main se pose sur ma poitrine elle me stoppe en me disant qu’elle a mal.
Je me retire, elle a l’air contrariée de cet échec, je la rassure et lui présente mon gode fuchsia vibrant, il est plus étroit que mon sexe.
Elle le prend et l’enfile délicatement, le passage se fait sans douleur, cela la rassure, elle va, vient, joue avec les vibrations et commence à jouir.
Je la regarde la main sur ma bite pour ne pas retomber mais le coté serré de son sexe m’a excité j’ai hâte d’y retourner.
Je prends possession du gode et joue un peu lui dans sa chatte, pas de sang, rien elle apprécie, je le retire et me place au dessus d’elle.
Cette fois je pénètre sans à coup, et quand je suis bien au fond lui dit qu’elle n’est plus vierge, elle est étonnée de cette facilité, alors je commence à me retirer puis faire des va et viens, elle se laisse aller, gémie, son souffle se fait plus court, son sexe si serrée me fait encore plus bander, et j’attends ma dureté totale rapidement en elle.
Elle est emplie, et ravie de mes mouvements je vais assez lentement pour qu’elle profite de ses sensations et atteint assez vite un orgasme, je me retire.
Elle se montre heureuse et m’enlace, cela n’a pas été éprouvant et mon sexe n’est pas plein de sang, au bout d’un moment elle se lève et va à la douche saignant un peu … ouf le sang virginal pourra être montré sur le balcon à la famille.
Elle revient et nous nous enlaçons elle me suce et je rebande vite, me replace sur elle et la reprends, je joue avec sa chatte mais sadique je décide de ne penser qu’à moi il faut dire que j’étais un peu frustrée, rapidement j’atteins l’orgasme alors qu’elle pas encore, je jouis en elle bien au fond, humm … c’est délicieux puis me retire pour ne pas qu’en débandant la capote ne glisse. Elle se montre contrariée que cela soit fini, je rigole et sexe hors d’elle lui dit qu’il faut qu’elle apprenne aussi la frustration avec les éjaculateurs rapides.
Nous nous rhabillons et elle file, je n’aurais plus de nouvelles d’elle sauf un jour un message me demandant si je revenais, sur mon interrogation de son intérêt, elle m’avouera qu’elle commençait à me regretter, sa deuxième expérience masculine ayant été catastrophique avec un garçon qui l’avait prise sans ménagement et lui avait selon son gynéco fait une petite déchirure intérieure.
20:48 | Lien permanent | Commentaires (12)
Commentaires
Je ne vous aurais pas vu en bull...Ou plutôt en inséminateur de vie sexuelle. Clinique. Que vous arrive-t-il?
Écrit par : mars | 14/12/2015
C'est glaçant !
Écrit par : Fermina | 14/12/2015
Mars
Ben rien ...
Fermina
Breuuuuuh à ce point ?
Écrit par : waid | 14/12/2015
Je suis d'accord avec les autres commentaires et serais tenté d’écrire "mais que vous arrive-t-il ?"
Écrit par : Vagant | 15/12/2015
Vacant
Par ce que pour une des 1er fois il n'y a pas eu cette complicité qui d habitude m habite
Écrit par : Waid | 15/12/2015
Aham ! En lisant ce récit vous m'avez fait l'effet d'être un soudard, quelle débâcle pour un libertin quinquagénaire.
Écrit par : Fermina | 19/12/2015
fermina
on a trouvé soudard moins respectueux je vous rappel qu'on est pas obligé d'être amoureux pour libertiner
Écrit par : waid | 20/12/2015
Je plussoie. Certainement pas soudard. L'adjectif "clinique" était plus juste. On sent la volonté de "faire le job", et de le faire bien, sans la complicité nécessaire pour que ce soit un moment d'amour.
Écrit par : Vagant | 20/12/2015
Je me souviens avoir eu des commentaires un peu du même genre, quand j'avais raconté comment j'avais été « choisi » par une jeune femme pour la déflorer. Bizarrement, on se mettait à me reprocher ce sexe sans amour (qui n'est pas sans tendresse) comme si ce qui était acceptable entre libertins ne l'étaient plus quand il était question d'un moment solennel, la perte de la virginité.
Peut-être aussi sommes nous malhabiles, toi comme moi, pour ces récits, pas habitués à ce genre de dons (moi je n'étais pas si sage quand j'étais jeune, mais mes partenaires étaient, elles, plus âgées et plus expérimentées que moi), et que nous ne savons pas comment les retranscrire...
Écrit par : Comme une image | 28/12/2015
CUI
c'est vrai que tu avais eu les mêmes réactions comme quoi ...
effectivement cela n'a jamais été mon fantasme et je n'étais pas super à l'aise pourtant je pense avoir été celui qu'on a voulu que je sois.
merci
Écrit par : waid | 28/12/2015
C'est très intéressant la réaction de CUI.
C'est vrai qu'on sur réagit quand il s'agit d'une première fois, moi la première!
Cette sorte de pression sociale de la defloration.
Ce qui m'intéresse c'est que la question de la perte de la virginité revient souvent dans les interventions auprès des jeunes sur la sexualité. et qu'est ce que vraiment perdre sa virginité?
Merci CUI pour cette éclairage. ça me pousse à réfléchir...
Écrit par : dita | 15/01/2016
dita
réflèchir à quoi dita ?
Écrit par : waid | 17/01/2016
Les commentaires sont fermés.