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02/03/2017

Nuit des surprises

 

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(version relue suite aux nombreuses protestations reçues ...)

 

 

La pièce étroite est bondée de nous, six à forniquer, corps qui jouissent peaux qui se frôlent, peu d'espace mais grande complicité dans cette cabine des retrouvailles. Je dois lui faire une surprise et je lui ai donné rendez vous au sauna de son initiation, elle ignore que deux complices invités la lutineront.

Plaisirs multiples et saphiques pour plus de lubricité d'une passée novice, vite convertie.

Son sourire énigmatique dont la cause se résout lorsque durant une brassée dans les bains bouillonnants du lieu une main me touche l'épaule.

Celle de ma chère C ... en évasion de son amoureux avec un complice de ses libertés, lui même grand corrupteur de mon invitée laquelle savait cette présence.

Tel est surpris qui croit surprendre, deux vielles connaissances coquines en ces lieux à cet instant !

 

A quatre, bras dessus dessous aller vers les cabines et s'attarder sur un attroupement de voyeurs en admiration de galipettes exhibitionnistes.

 

Y reconnaitre que l'objet de l'attention du public est mon couple de complices lutineurs qui las d'attendre s'est en public lutiné.

 

Cela tombe bien mon couple complice est ami de longue date de celui surprise, réunion de vieilles connaissances. Le hasard crée de bonnes surprises et les surprises jamais n'abolissent le hasard.

 

Vite s'enfermer pour mieux s'enlacer.

 

Retrouvailles en effusion.

 

Amoncèlements de chairs qui tanguent vers l'extase ou en ce qui me concerne pestent de ne point assez vite bander.

 

Sucions de bites, de cons, de seins, de langues, de pieds et de culs.

 

Orgasmes qui se vivent ou s'entendent.

 

6 à baiser dans 6 m2

 

Pourtant point d'angoisse de la sardine en sa boite enfermée, nous sommes des anguilles dans la mer des sargasses à frayer.

 

Flashs de ces instants trop riches pour être tous fixés:

 

Ma bouche dans son sexe pendant que sa tête par la fenêtre hors de la cabine sortie se fait caresser par les passants des couloirs , mains inconnues  qui la soutiennent ou la caressent , langues qui l'enlaçent et moi qui la suce.

 

Son orgasme à mes cotés sur notre complice qu'elle chevauche, celui sonore de ma complice qui bien vite se lassant du saphisme par moi se fait empaler.

 

Les levrettes et autre foutreries à nos cotés et puis le calme, plus que 4 à rester , corps épanouis et libérés de nos orgasmes , rien faire , rien dire , juste vidés par le plein de nos émois encore surpris de nos surprises.

 

Se décider à sortir, surprise ;  le soleil de l'après midi a disparu, une heure du matin, temps de rentrer.

 

Mais la nuit est ainsi faite que celle qui m'accompagne à l'hôtel veut encore de moi, cela tombe bien je brûle d'elle , sexe à deux infiniment plus fort que nos multiplicités pour achever nos moments de lubricités.

Expérience nouvelle avec un gode anal de l'orgasme prostatique en une fulgurance qui la laisse sans jambe, tétanisée par la force de mon membre qui jamais n'a autant bandé si dur, bonheur partagé de cette tension qui écrase mes chairs et éclate son con.

 

Au matin , des encore et des encore d'autant plus puissants que le plaisir doit de loin être retrouvé et pour la première fois l'entendre dire à midi « tu m'a tuée ».

 

Aveu de satisfaction de trop de pâmoisons, de ses muqueuses ivres de trop de satiété, de ses jambes molles d'avoir tant tétanisées , de sa bouche épuisée de ses si longues sucées , de son corps apaisé et pourtant martyrisé.

 

Croyant, je sais qu'elle va bien avant le troisième jour ressusciter, pour en croix encore haleter aux plaisirs de ses vices.