Web Analytics Made Easy -
StatCounter

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

09/02/2019

nuit anale

46168129_p.jpg

 

Je serre mon sexe et le dirige vers l’œil obscur que décrivait Georges Bataille

Elle ne bouge pas, attend, fébrile.

Mon gland écarte son anneau qui résiste peu, le voilà absorbé.

Je marque une pause.

Elle me supplie de continuer.

Sa chair me serre.

A sa stupeur je sors, un regard réprobateur m’interroge dépité.

Je m’enduis de plus de gel.

Mon retour est tout de douceur, ses muscles pressent mon sexe d’un délicieux pincement. Ce cul est une bouche infernale.

Les cm s’enfoncent, mes bourses caressent son sexe, je suis calé au plus profond d’elle. Présence envahissante, cul obéissant, respiration saccadée.

Alors lentement je la quitte, lui arrachant des cris de protestations, de joie, de plaisirs.

Mon sexe respire l’air frais de la pièce, choc de température, elle reste ouverte comme en apnée d’un second souffle

Avec la même assurance, sans précipitation mon gland passe l’anneau apprivoisé , lui provoquant de douces décharges.

Je suis plus tendu de cette pause , je glisse, l’écarte, l’envahit, la comble.

Je dirige mon dard de telle façon qu’il appui certains points de son vagin provoquant des frissons de plaisirs.

Alors je joue entre ses sensations, l’envahissement, le retrait , le libéré, l’extension, les pointes sur son sexe.

Je demeure sourd à ses injonctions, autiste à ses cris, je n’écoute que les staccato de son cul sur ma bite, tel une araignée je me guide aux vibrations pour mieux la capturer.

Je lit sur mon sexe la géographie de son intime, le rugueux de l’entrée, la chaleur de la pénétration, le plaisir de mon frein tendu quand tout au fond je tape encore d’un ultime coup de rein.

La lenteur la rend folle, ce n’est plus un petit plaisir limité, c’est un enveloppement, une vague qui pénètre chaque millimètre de son corps.

La voilà délirant, éructant, son cerveau devient un feu d’artifice observé des étoiles.

Des mots crus sortent de sa bouche comme expulsés par les coups de mes reins qu'elle incite de ses mouvements.

Elle se noie dans un bain de plaisir qu’elle ne peut localiser.

De son anneau, de son ventre, de son clito, de son dos, de ses fesses c’est une chaleur et des vagues dont le centre est partout et le rayon sans fin.

Mes envahissements s’accélèrent, son cul se mue en chatte gluante, trempée, ouverte , béante, avide, incandescente, vice capital.

Mes couilles claquent sur ses lèvres, mon pubis l’écrase et elle sent en son plus profond ma chair incandescente. Je suis l’amant infernal.

Son cul coule, bave comme pour réclamer plus de violence, de bousculement.

Mes poils se remplissent de cet élixir, sa chatte coule et mes couilles sont inondées à chaque choc.

Le métronome est implacable, il s’accélère provoquant des cris de plus en plus inhumains.

Il n’y a plus de mots , il n’y a plus de sens, tout est sans dessus dessous

Parfois le cul cris famine comme amputé de mon sexe qui ressort puis il avale la chair revenue plus dure de cette respiration, la tension la rassure, l’apaise, l’enflamme.

Alors comme un cris de champs de bataille, de nul part et de toute part un brasier surgit, souffle incandescent qui explose dans tous les plis de son être.

Une plainte inhumaine traverse la pièce, son dos tendu se fige encore plus et hurle sans retenue

Le pal est un supplice qui emporte tout sur son passage

son cul crache son plaisir

son sexe s’embrase

son ventre s’enflamme

sa colonne vertébrale s’électrise

sa tête explose

ses membres sont écartelés

et sa bouche éructe dans le coussin comme si on l’amputait sans anesthésie

j’accélère, je suis en bois, ces cris me rendent fou, mes reins ne retiennent plus les coups, je deviens soudard qui viole un soir de victoire. Joueur de tennis à un point du match, je cogne, cogne.

Cela gronde, mes doigts se crispent, elle le sent hurle, j'hurle et lâche mon foutre au fond de ses entrailles, orgasme puissant qui claque mon dos et illumine mon cerveau.

Je me bloque, elle halète, je ne bouge plus ivre, mes neurones sont des lucioles un soir d’été partouzique.

Je m’effondre sur elle qui tremble encore, nos corps en sueur se soudent, je respire son odeur.

Rien dire, pas bouger, me fondre en elle, déguster nos vagues, ne faire qu’un.

Putain … de jouissance

Commentaires

C'est fou comme la douceur et la puissance se mêlent dans une sublime alchimie du plaisir ... La vue sur un dos tendu de désir est si exaltante.

Sublime écrit !

Ed

Écrit par : Ed | 12/02/2019

Les commentaires sont fermés.