17/07/2012
Nuit Moldave
"Zu Oranienburger Straße hôtel A ..."
Le parking est une véritable station de métro, les taxis jaunes en file déposent ou reprennent des clients.
L’adresse donnée, me voilà à retraverser Berlin en sens inverse, celui de la vertu, du lit qui m’attend, de la journée normale de visite de galeries et de musées, de mes amis qui n’imaginent pas que je me suis échappé conduit par le stupre de mon autre vie.
Je compose le numéro, je sais qu’elle ne dort pas, être vestiaire d’une soirée échangiste maintient en éveil. "Alors racontes", me dit-elle , "moi ce fut calme ce soir mais hier après midi dans le jardin ce ne le fut pas."
Me voilà dans un taxi Berlinois conduit par un kurde, à raconter au téléphone à une parisienne en soirée échangiste mon dépucelage avec une prostituée moldave dans un bordel ...
L’Artemis à Berlin est l’un d'eux, je l’avais sagement fréquenté trois ans auparavant me contentant de gouter à la décadence de la situation pour composer un poème que j'ai publié dans nuit berlinoise.
De retour dans la ville et en mal d’expérience à raconter une idée m’est venue, celle de tenter au sexe tarifé pour comparer.
L’endroit ressemble de l’extérieur à un hôtel baladin, si ce n’est la foule et les taxis devant l’entrée, là un desk où l’on vous demande si c’est votre première visite et votre langue.
Un prospectus vous est tendu. "Droit d’entrée 80 euros, boissons sans alcool à volonté, jetons alcool 10 euros, filles 60 euros la demie heure avec fellation et coït compris à leur régler directement après"
Je lis et m’acquitte du droit d’entrée. Autour de moi le monde entier, allemands, américains en uniformes, anglais en costumes, indiens, hommes d’affaires arabes ou turcs.
Les vestiaires sont pleins de vie, la douche accueille comme des sportifs les arrivants ou les sortants, de tous âges , des beaux, des petits, des biens membrés des circoncis, des asiatiques petitement montés, tout cela ri et se douche.
Peu d’hommes seuls, des groupes en copains, nous sommes loin des ambiances glauques. C’est comme un sauna libertin hyper propre, des femmes frottent partout, les clients déambulent en peignoirs beiges et chaussons bleus.
En bas une grande piscine, des transats, des hommes dorment certains se font masser par un professionnel, les saunas et hammam sont vident mais superbes.
Une salle de cinéma à gradin- lits, trois couples, deux se font sucer , le troisième est monté en amazone. L’escalier passé j’entre dans une pièce immense avec un îlot bar et gradins avec canapés beiges.
C’est le centre du lieu, des grappes de filles nues, soulignées d’une chaîne à la ceinture ou d’un serre taille, montées sur des talons compensés transparents, déambulent ou dansent. Blondes en majorité, canons en vérité.
Quelques noires, asiates ou beurettes. Des poitrines artificielles, des naturelles, de franchement très belles filles, la vingtaine.
Elles boivent parfois un verre avec des clients , assises sur eux, les caressent, fument, rigolent. Tout cela est assez léger, elles vous abordent et finalement on en vient à décliner presque tout le temps leurs sollicitations tellement il y en a.
Je bois mon verre en observant la scène, je cherche une jolie arabe ayant eu vent de la qualité de leurs caresses.
Hélas, les seins outrageusement refaits me rebutent je n'aime pas le look zahia. Une très fine blonde, taille moyenne, se présente devant moi, 25 ans, petit cul superbe et doré, des jambes longues et fines,des petits seins naturels, tant pis pour le Maghreb, j'opte pour la Moldavie et vive les voyages.
Issabela roule les r, je la suis à travers les couloirs, nous descendons aux coins câlins, ma main caresse le galbe excitant de ses fesses, elle se retourne et me fait des clins d'oeils...
Pour le reste ... comment dire ? voilà:
une carrosserie de bolide , un moteur mort
la professionnelle vous annonce un supplément si je craque dans sa bouche et fait tout pour l'obtenir, n'y arrivant pas elle passe vite au plat principal, décidément le client doit pas tenir bien longtemps.
Interloquée parce que je lui impose mes préservatifs dont je connais l'efficacité, elle met une ridicule noisette de crème, moi qui adore le gel, je suis circonspect.
Devant un tel postérieur, je sollicite une levrette, une main me guide puis reste pour contrôler les opérations et surtout tenter de me faire craquer plus vite, n'y parvenant pas elle demande une position plus traditionnelle.
Son sexe est mort sans vie, sans humidité, cela n'est franchement pas agréable.
Elle pousse des cris comme dans des pornos, cela en est risible, rapidement elle me demande de finir
"hey darling come on now ..."
J'accélère pour y arriver car même si le spectacle de son sexe lisse et fin est superbe, son contact n'est pas excitant, mes coups sont donc plus profonds ce qui provoque des cris.
"hey darling, be careful to my pussy ! "
bon sang je n'aurai jamais imaginé cela, je faire accusé de défoncer une professionnelle ! Pourtant mes coups de reins n'ont rien de particulier, je termine pour en finir.
Elle vérifie que le préservatif est bien resté en place lorsque je me retire et nous allons à mon vestiaire pour régler ,elle me remercie.
Retour au bar, une fille se précipite sur moi
"ohhhh you have destroy the pussy of my friend !!!"
C'est tellement incongru que j'éclate de rires ,décidément le sexe tarifé n'est même pas une idée de ce que c'est que le vrai sexe, une bonne branlette est plus jouissive, c'est ce que j'ai du faire au retour de l'hôtel tellement cette expérience fut frustrante.
13:55 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (16)
Commentaires
Ah ces professionnelles, ce n'est plus ce que c'était. L'amateurisme peut avoir du bon ;)
Écrit par : Emeline | 17/07/2012
emeline
ben oui moi qui croyais à des mains expertes , à des secrets de pro ...
Écrit par : waid | 17/07/2012
Rire.
Peut etre avec l'Himalaya ?
Sinon, trouver des amatrices enthousiastes pour compenser l'absence de professionnalisation ?
Écrit par : Emeline | 17/07/2012
emeline
des amatrices enthousiastes !?! oui la j'en connais et ça dur pas si peut de temps, vive les relations non commerçantes , à bas le capitalisme dans le sexe
Écrit par : waid | 17/07/2012
Je rejoins Emeline et sa déception.
Petites questions techniques : la prostituée et son client vont dans les " coins câlins ", au même endroit où peuvent aller les clients entre eux ? Donc le couple prostitué/client peut participer à l'orgie des autres clients ? A quel tarif pour le client ? ( ou alors l'établissement n'est ouvert qu'aux hommes, hétéros donc ? )
Et est-ce qu'il y a possibilité pour le client d'avoir 2 ( ou plus ) prostituées en même temps ? Tarif doublé ou prix de " lot " ?
( bon et en dernier : qui parle berlinois pour m'y emmener si ce n'est pas réservé juste aux hommes ? )
Écrit par : missdactari | 17/07/2012
Waid - Dans une clinique on distingue la prestation hotelière de celle du praticien.
La taule est satisfaisante et s'améliore au fil des années mais on peut encore moins espérer de nos jours le serieux d'une artisane dans cet environnement industriel.
Pour une prostituée, le client restera toujours un micheton.
Emeline - Face à l'amateurisme ambiant, l'Ecole des filles de joie prévoit elle des contrats de professionalisation ?
Écrit par : Pier'0 | 17/07/2012
miss dactari
c'est un coin calin comme il y en a dans les clubs mais fermés par un rideau , il n'est pas d'usage que d'autres personnes y rentre, ce n'est pas un club libertin le plaisir n'est pas dans la copulation de groupe.
il me semble que le lieu peut être ouvert aux femmes mais attention je ne pensent pas qu'elles soient les bienvenues à faire gratuitement ce que les autres font pour vivre.
pour avoir deux filles en même temps, oui bien sur c'est d'ailleurs ce que m'a immédiatement proposé isabella et une copine à elle a pointé son nez , le tarif est le double, je n'ai pas accepté car je ne pense pas qu'avec une prostituée cela ai quelconque charme, je pense que c'est surtout un moyen de pas trop s'occuper du client en usant son temps en jouant avec la copine.
au vu de la prestation d'isabella je pense que j'ai bien fait.
pour le langage t'inquiete pas avec un anglais de voyage on s'en sort super bien à berlin, ils parlent tous bien mieux anglais que nous
pier o
c'est exactement cela , tu le dis parfaitement, le client est un micheton , cela peut satisfaire ceux qui sont en misère sexuelle mais pas les amoureux du sexe
Écrit par : waid | 18/07/2012
Waid, dans un billet précédent, tu avais dit toi-même qu'il fallait arrêter les grandes blondes froides. C'est donc bien vrai, tu n'as aucune mémoire.....
Écrit par : Odette | 22/07/2012
C'est...comment dire...désopilant ? Non désopilant n'est pas le mot. Il y a du pathétique dans la candeur stupide pleine de préjugés imbéciles du consommateur de chair que vous êtes.
Passons sur votre prose qui se voudrait précieuse et dandyste ( J'ai hésité avec dandysante tant qu'à taper dans le néologisme mais dandyste hein...il y a un jeu de mot vous lire c'ets un peu la roulette sans anesthésie quand même), ce serait drôle si ce n'était si long et si mal écrit : je vous met un 4. Arrivons-en au fond (enfin au fond...). D'abord ce petit florilège de préjugés raciaux qui donne à votre billet une senteur de philo de comptoir au pmu un dimanche matin : ahhhh le sexe "petitement monté" des asiatiques, eh les caresses des arabes, hein waid ? les 1001 une nuits Sherazade, tout ça...
Bon arrivons en au coeur du billet : comment Waid ? Les putes ne mouillent pas ? Et en plus elles ont des délicatesses ? Elles ne supportent pas qu'on soit un peu brutal ? Et en plus leurs copines viennent faire du scandale ? Ben mon vieux, j'espère que vous vous êtes plaint, le client est roi, merde. Que l'impudente se fasse sévèrement corriger pour cet outrage.
Quand on pense, quand on pense au privilège qu'a eu cette petite moldave (vous l'aimez bien non ce mot ? ) de tripoter votre sexe de grand gloseur sans passion...
Vous savez quoi ? J'en connais des putes par mon métier, ben j'en connais pas une qui aie le quart d'indélicatesse que je lis dans ce billet.
Écrit par : Dick Takeur | 22/07/2012
C'est...comment dire...désopilant ? Non désopilant n'est pas le mot. Il y a du pathétique dans la candeur stupide pleine de préjugés imbéciles du consommateur de chair que vous êtes.
Passons sur votre prose qui se voudrait précieuse et dandyste ( J'ai hésité avec dandysante tant qu'à taper dans le néologisme mais dandyste hein...il y a un jeu de mot vous lire c'ets un peu la roulette sans anesthésie quand même), ce serait drôle si ce n'était si long et si mal écrit : je vous met un 4. Arrivons-en au fond (enfin au fond...). D'abord ce petit florilège de préjugés raciaux qui donne à votre billet une senteur de philo de comptoir au pmu un dimanche matin : ahhhh le sexe "petitement monté" des asiatiques, eh les caresses des arabes, hein waid ? les 1001 une nuits Sherazade, tout ça...
Bon arrivons en au coeur du billet : comment Waid ? Les putes ne mouillent pas ? Et en plus elles ont des délicatesses ? Elles ne supportent pas qu'on soit un peu brutal ? Et en plus leurs copines viennent faire du scandale ? Ben mon vieux, j'espère que vous vous êtes plaint, le client est roi, merde. Que l'impudente se fasse sévèrement corriger pour cet outrage.
Quand on pense, quand on pense au privilège qu'a eu cette petite moldave (vous l'aimez bien non ce mot ? ) de tripoter votre sexe de grand gloseur sans passion...
Vous savez quoi ? J'en connais des putes par mon métier, ben j'en connais pas une qui aie le quart d'indélicatesse que je lis dans ce billet.
Écrit par : Dick Takeur | 22/07/2012
odette
elle était pas trés grande justement ....
dick
vous devez avoir une bien haute opinion de vous même pour juger ainsi, bravo votre diatribe a du vous auto exciter, mon texte vous aura au moins permis de prendre votre pied au clavier, deux fois semble t il, vous deviez être pleine de fébrilité
tous les chemins mènent au plaisir ...
pour le reste je ne vous donnerai pas le plaisir de vous répondre
Écrit par : waid | 23/07/2012
A quoi sert l'expérience si elle n'est partagée avec personne ? Ou faut il partager en restant objectif et neutre donc sans personnalité aucune ...
Etes vous un si grand voyageur Mister Takeur que vous connaissiez tout de tout ?
Pour ma part , je suis curieuse de tout , et Vous remercie Monsieur Waid , pour ce partage :)
Votre expérience conforte mon idée : comment donner du plaisir a un homme quand on est pas heureux soit même ?... et vice versa
Vous me trouvez naive Mister Takeur ? aussi naive que Monsieur Waid ? ... hé bien oui .... mais je préfère encore être et restée comme cela que de dégager autant de cynisme que vous .... !
quand à moi , Monsieur Waid , je Vous trouve touchant ... même si c'était couru d'avance :)
Le sexe doit être une envie pas un travail ... et pour en avoir dans mes connaissances , je ne connais aucune prostituée heureuse de l"être ..
Écrit par : Charlotte | 25/07/2012
Et bien, vive la liberté d'expression...à condition qu'elle soit constructive et non grandiloquente. À quoi bon,monsieur Dick Takeur, se plonger dans le dictionnaire en début de prose pour une conclusion aussi vulgaire et basique ?
Merci Waid pour ces billets/pages intimes simples et emplis de vie.
Écrit par : Jade | 25/07/2012
C'est gentil de me donner du "Monsieur" et du "Mister", les filles. Vous avez des manières, moi pas trop d'où sans doute la conclusion vulgaire et basique? J'ai essayé de faire du flafla et du ronflon mais le vernis craque vite et me voila démasqué. N'empêche que moi, au moins, quand j'vais aux putes, j'm'attends pas à des feux d'artifesse façon Versailles des grands soirs et je vais pas ensuite pleurnicher mon dégoût de la gente tarifée en public (Et vive la liberté d'expression : "La tolérance, il y a des maisons pour ça" disait Paul Claudel. Désolé encore une tentative de me vernir.)
Écrit par : Dick Takeur | 30/07/2012
@Charlotte
Vous trouvez Waid touchant ? Qu’est-ce qui vous touche le plus ? Le fait qu’il finisse rapidement sa besogne malgré l’aridité de l’entrecuisse de la demoiselle ou sa petite déception de ne pas avoir su en retirer des conseils de pro ? Peut-être est-ce le fait qu’il ait dû se finir tout seul dans une chambre d’hôtel ? Je suis pourtant émotive et plutôt sensible mais, ici, l’émotion qui vous touche m’échappe.
Je vais le dire simplement, moi, il m’écœure ce texte et il n’y a pas de méchanceté dans mes propos. Je ne prends pas la peine d’ironiser, d’ajuster mes mots pour le dire. Je l’ai lu ce texte et ce texte, je ne parle pas de Waid en tant que personne, je ne le connais pas, mais ce texte, il manque tout simplement d’humanité, de recul et de réflexion. De plus, je m'attarde sur les commentaires et on pourrait presque croire que certains sont écrits au second degré mais ils ne le sont pas et c’est consternant. (c'est mon avis, je ne force celui de personne.)
Il m’arrive de lire des choses que je réprouve en tant qu’individu parce qu’on ne peut pas lire seulement ce qui nous plait, parce que moi aussi je suis curieuse et je ne me satisfais pas de me pencher seulement sur les personnes qui ont les mêmes convictions que moi. Cependant, c’est un blog, autant je ne peux pas réagir à un bouquin que je lis… autant ici, je peux, non ? Waid a assez de lecteurs complaisants pour avoir un haussement d’épaule dédaigneuse aux personnes qui n’ont pas son regard. S'il me disait d'aller me faire foutre, je n'en prendrai pas ombrage. :0)
Je ne vous trouve pas naïve pour ma part… je vous trouve gentille et la gentillesse, pour moi, est une vraie qualité, assez rare, mais quand elle se fait au détriment de la réflexion, elle en perd de sa valeur. Toutefois, je l'admets sans complexe… si vous m’assurez que rien ne vous met mal à l’aise dans ce texte alors, alléluia, votre curiosité, bien que la mienne soit vorace, vous rend plus ouverte et tolérante d’esprit que je ne pourrais l’être un jour. Chanceuse que vous êtes, profitez-donc… c’est épuisant d’être révoltée.
@Waid
Baiser sur le pouce dans un bazar si c’est pour à la fin baiser à blanc, il vaudrait mieux bander ton arc sous d’autres balcons qui ne font pas commerce de cette philosophie horizontale dont tu sembles si friand. Si le prix de ta dignité ne vaut rien de moins que le prix des agréments d’une des enchanteresses dans ton couvent de la bagatelle, il est dommage de la faire payer plus que ce qu’elle ne représente à cette dernière plutôt que de l’offrir à une belle assoiffée...
A chaque fable, il faut une morale paraît-il. Voici la mienne. Un peu chiadée. (ça fera plaisir à Jade. :0))
Écrit par : Rose | 30/07/2012
oh là que de polémiques
bon je vais remettre les choses au clair même si ce blog peut paraitre l'exact contraire de ce que je dis, mais je ne suis pas à une contradiction prêt, je ne suis pas un baiseur, je peux me passer totalement de sexe pendant de longues durées, et au coups d'un soir je préfère les rencontres authentiques où il y a un vrai échange.
Je n'avais jamais été tenté par le sexe tarifé à cause de cela, c'est donc une expérience que j'ai voulu tenter pour la décrire, vous en êtes choquées et bien soit mais cela existe.
c'est donc avec une certaine candeur et sans perversion que j'ai abordé cette experience, je n'ai pas pris de pied, je m'en doutais, mais je voulais le vérifier, cela me conforte dans la connaissance de moi.
quant à l'épisode que je cite, j'ai été très courtois avec cette jeune personne qui était là pour bosser et pas pour mes beaux yeux , je fus même qualifié de gentleman , je n'ai pas de leçon à recevoir, j'ai été étonné simplement que des coups de reins sommes toute bien habituels et en rien violents, ne provoquent cette réaction, cela me conforte dans la pauvreté du sexe tarifé par rapport au sexe libertin ou amoureux.
je n'ai pas vanté mon dégout, j'ai simplement exprimé mes sentiments comme je l'aurais fait pour d'autres notes, si cela ne plait pas je m'en moque, je trouve même amusantes ces réactions agressives, je pense qu'elles cachent autre chose , cette note n'en était que le pretexte, et bien tant mieux, j'aime ne pas être consensuel
ce lieu est l'endroit où je m'exprime librement sans contrainte et je n'ai pas l'intention de cesser.
Écrit par : waid | 11/08/2012
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