26/12/2012
Instants
Ma bite encapuchonnée et gelée comme il se doit la pénètre enfin. Elle tremble de plaisir. Pour ma part je ne sens que la chaleur de ses parois, pas la texture, ni son relief, ma bite se comporte comme si je passais de la lumière à l’ombre, il me faut l’accommoder …
Les jambes ouvertes sa main branle mon sexe et sa bouche l’avale à intermittence, je lutte pour ne pas lui lâcher ma semence. Elle s’empale et nous supplice en montant et descendant, j’hurle de jouissance, son visage défaille du plaisir de m’entendre …
Je donne quelques coups de reins pour un plus profond l’embraser, sa mâchoire se crispe des yeux brillent, ses lèvres tremblent, elle est suspendue au dessus de moi et se jette sur le coté pour étendre ses jambes. Je dois bouger aussi, me lève, mes membres ne me portent plus je me tiens aux murs pour ne pas chavirer, ma tête n’est qu’une caisse qui raisonne des battements de mon orgasme.
« Je ne suis plus fontaine, j’ai tarie, à moins que tu ne sois sourcier !?! «
Ma main plonge en elle, deux doigts qui recourbés enserrent sa partie qui palpite, je ferme et lâche, je branle en même temps. Son regard penaud, quand elle me dit « j’ai tout lâché » ...
Ma bouche collée à son clito j’aspire et le mange. Elle se tord comme un poisson asphyxié par l’air trop pur ? non , j’y vais trop fort …
Alors que mon corps coulisse goulument entre ses cuisses, sa chatte se fait bouillante et trempée, un liquide m’irradie les couilles et son vagin se contracte sur ma bite haletante. Elle a éjaculée l’odeur de mouille se mêle à celui de l’urine, une flaque est absorbée par les draps blancs de notre lit. Fantôme jaune de cet instant rare, cadeau que nous nous sommes fait en guise de félicité.
Elle se redresse et je me retire, elle se roule en boule et je l’enlace brûlant encore d’envie de la pilonner, de lui exploser les cordes vocales, de me faire péter le cerveau, de la tuer à coups de reins.
« Je suis désolée mais je dois y aller maintenant », coups de poignard de ce putain de temps, retour à la réalité, même l'éternité a une fin.
13:27 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (9)
Commentaires
Waid, depuis le temps qu'on te dit que ce n'est pas de l'urine... (mais des sécrétions des glandes de Skene...) même si il y a une très légère fragrance je conçois.. pour être aussi femme-fontaine.
C'est un bonheur sans nom que de jouir ainsi ..
c'est aussi un talent de la part de celui (ou celle) qui sait faire ... tout le monde ne sait pas ;-)
(heureuse... : j'ai un Maître qui sait ! )
Bonne fin d'année à toi :-)
Écrit par : Maellis | 28/12/2012
"Perchè Io so come farti morire"
Écrit par : Kurland | 30/12/2012
Je suis passée par chez vous...je vous ai lu...et je vous embrasse mon ami
Écrit par : Cat | 02/01/2013
Bonjour Waid
Ou êtes vous donc passé? ... Elle ne vous a pas laissé partir celle là ion dirait...LOL
Écrit par : s | 07/01/2013
Maellis
je le sais mais des fois le relachement est total et il y a donc un peu d'urine et cela sent , rire
bonne année à toi aussi
Kurland
heu ça veut dire quoi ?
Cat
hey bonne année , j'espere que tout va bien
S
FB m'a privé de message pendant un mois il parait que je ne parle pas qu'à des gens que je connais dans la vraie vie
Écrit par : waid | 07/01/2013
Que mourir à coup de reins est une belle mort.
Écrit par : Kurland | 08/01/2013
Kurland
mais ressusciter pour recommencer aussi ;)
Écrit par : waid | 14/01/2013
Joli style pour nous parler de ce qui nous préoccupe avant toute chose : le sexe. Et j'aime beaucoup les fesses de la Dame sur la photo.
S
Écrit par : Sibylle | 01/03/2013
Sybille
moi aussi j'ai adoré ses fesses , plus qu'adoré même ...
bienvenue dans le monde des blogeurs, j'espere que votre lieu vous procurera autant de belles choses que j'ai pu en vivre depuis 5 ans avec le mien.
Écrit par : waid | 01/03/2013
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