Web Analytics Made Easy -
StatCounter

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

18/03/2013

Colloc

 

tumblr_miorytuopy1s55zdho1_500.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Va falloir que je trouve une colloc ... 

colouer un baise en ville cela vous dit ?

pas de jours de roulement ,

une partouze en cas de surbooking

15/03/2013

Habemus Papam



J’ai fais un rêve étrange.

j’étais le majordome du pape, et je le levais le matin.

En tirant sa couverture, j’ai vu qu’il avait la trique …

Que cela signifie t' il ?

 

10/03/2013

le désert des Tartares


desertdestartares1.JPG

 


 

Alors que je suis en train de lire Le Désert des Tartares, roman parabole de l'existence humaine qui n'est qu'une vaine attente vers la bataille ultime, la mort, et que notre vie n'est que le dérivatif pour oublier cette inéluctable rendez vous, je m'aperçois que cette vie dont vous n'avez à lire que la facette coquine, est peut être si pleine pour ne pas comme le capitaine Drogo, m'apercevoir que quand l'heure viendra, demain ou aprés demain, je ne me retourne vers le vide d'une petite vie où le temps se serait écoulé sans ces accelerations qui vous font vibrer qui vous donnent de l'adrénaline qui vous titillent le désir.

Buzzati a raconté les circonstances très quotidiennes qui, en 1939, firent germer en lui l'idée du Désert des tartares, alors qu'il travaillait comme chroniqueur dans le microcosme routinier du Corriere della Sera.

Pendant une certaine période j'y ai travaillé de nuit, à un travail de routine. A côté de moi, il y avait des collègues qui avaient le même âge que moi, mais la plupart étaient plus vieux. Quelques-uns même avaient déjà beaucoup d'ancienneté. Tous, évidemment, dans leur jeunesse, avaient espéré pouvoir faire quelque chose de plus brillant ; ils avaient espéré devenir envoyés spéciaux, par exemple, c'est à dire faire de grands reportages, voyager à travers le monde, etc….. Et puis, peu à peu, ils s'étaient fossilisés là, dans la rédaction, renonçant progressivement à leurs espoirs. Et cette grande occasion, que probablement chacun d'entre eux avait espérée, peut-être sans s'en rendre compte, était devenue de plus en plus lointaine, et s'était complètement évanouie. Cette monotonie du travail m'a fait penser à écrire une histoire où serait résumé le destin de l'homme moyen, de l'homme qui espère en cette grande occasion, qui fait tout pour la faire venir.…Et cette occasion apparaît, il semble qu'elle soit sur le point de se concrétiser, et puis elle disparaît et s'éloigne. Ou bien, quand elle arrive, il est trop tard pour lui. Un de mes amis disait " Tout arrive, dans la vie. Cependant, mal, tard, et en partie ". 

Dans le Désert des tartares il y a la mise à jour d'une anxiété latente face à une existence atrophiée et chacun se demande s'il en sera toujours ainsi, " si les espoirs, les rêves inévitables lorsqu'on est jeune s'atrophieraient petit à petit, si la grande occasion viendrait. "

Heureusement je fais mes gammes de désirs et de rêves pour ne pas que ma machine à espoir s'atrophie.

En attendant comment vais je faire pour bosser demain alors que l'intérimaire du bureau, arrivée jeudi,  superbe black au petit cul rebondi, à la poitrine pointue et au minois coquin hante mes idées coquines  ?

No sex at work parait il ... vais je tomber dans le clicher du boss qui couche avec sa secrétaire ?

 

20:00 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (7)

03/03/2013

Le coeur est moins obéissant qu'un téléphone ...

tumblr_lvojgq2BJf1qdy38lo1_500.jpg


Elle m'avait dit que l'on se retrouverait, qu'elle pensait à moi malgré ses impossibiltés de me répondre.

Nous devions nous croiser à la croisée de nos périgrinations, quelques instants volés sur nos obligations familiales.

Le temps de se toucher, de se sentir que nos corps palpitent du désir inassouvi. Vol de secondes pour sensation d'unité. Oublie de nos chaînes conjugales pour enlacements adultérins.

L'heure avançait, mon coeur palpitait et mon sexe frémissait.

J'ai composé son numéro, j'ai espéré et ... attendu. 

Las, la sonnerie n'a fait que sonner dans un vide meurtrissant.

j'ai compris et j'ai détourné mon chemin. 

Les jours suivants, le silence comme explication.

Dont acte,

les mots tendres n'engageaient que celui qui les écoutait, 

bien sot celui qui les prenait au mot.

J'ai donc effacé son numéro.

Je tente d'effacer son nom de ma mémoire mais le coeur est moins obéissant qu'un téléphone ...

17:10 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (27)