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28/07/2011

crise de la quarantaine

Crise de la quarantaine

La crise de la quarantaine est un terme employé dans la société occidentale pour décrire la période de doute que ressentent certaines personnes à la "moitié de leur vie", ayant pour résultat une sensation de passer de la jeunesse à la vieillesse. Quelquefois, des événements vécus lors de ces années là, tels que le vieillissement, la ménopause, la mort des parents, le départ de la maison des enfants peuvent déclencher cette crise. La personne atteinte souhaite alors faire des changements radicaux dans sa vie de tous les jours ou dans sa situation professionnelle, son mariage ou ses relations amoureuses.

Des recherches académiques faites depuis les années 80 ont rejeté l'idée que la crise de la quarantaine touchait la plupart des adultes. Selon une étude, 10% environ des adultes présentent les symptômes psychologiques de cette crise due à leur âge ou vieillissement.1 On pense que le type de personnalité et l'historique psychologique prédisposent certaines personnes à la crise de la quarantaine.2 Les personnes touchées par ce trouble montrent des symptomes et comportements variés.

De nombreux quadragénaires vivent des événements qui peuvent aboutir à une période de stress psychologique ou de dépression, comme la mort de l'être aimé ou un échec professionnel. Toutefois, ces événements peuvent survenir plus ou moins tôt. En ce cas, on les qualifie de crise, mais pas de crise de la quarantaine.

Certaines études semblent indiquer que certaines cultures sont plus sensibles à ce phénomène que d'autres. Une étude notamment à montré une très faible prévalence de cette crise de la quarantaine chez les personnes de culture Japonaise ou Indienne, mettant en exergue que cette crise a une origine profondément culturelle. Les auteurs de cette étude ont émis l'hypothèse que la "culture de la jeunesse" présente dans la société occidentale expliquerait, au moins en partie cette crise.3

Certains chercheurs ont montré que la quarantaine est le moment de la réflexion et de la remise en question personnelle, mais que ce questionnement ne débouche pas nécessairement sur une crise psychologique.

Sommaire

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Occurrence [modifier]

Approximativement 10% des quadragénéaires connaissent une crise de la quarantaine. Cette crise peut survenir entre 35 et 50 ans (une étude en 19904 à montré que l'âge moyen de cette crise est de 46 ans). La crise de la quarantaine dure de 3 à 10 ans chez l'homme et de 2 à 5 ans chez la femme.

La crise de la quarantaine peut être due au vieillissement proprement dit ou en combinaison avec les causes suivantes:

  • Travail ou carrière

*Relation inter-époux

  • Indépendance des enfants
  • Vieillissement ou mort des parents
  • Changements physiques dus au vieillissement (rides, ménopause, etc...)

La crise de la quarantaine semble affecter hommes et femmes de façon différente. Des chercheurs5 ont proposé que le déclencheur de cette crise diffère chez l'homme et la femme. Chez l'homme, le déclencheur est souvent un événement dans la vie professionnelle.

Quelques-uns6 ont émis l'hypothèse qu'une autre cause de la crise de la quarantaine chez l'homme pourrait être la ménopause imminente de l'épouse mettant fin à sa fécondité, ce qui renouvellerait l'intérêt pour l'homme de séduire des femmes plus jeunes.

Caractéristiques [modifier]

Lors de la crise, les individus peuvent ressentir les impressions suivantes:

  • Recherche d'un but ou rêve indéfini
  • Remords à propos des buts non atteints que l'on s'était fixés.
  • Envie de se sentir à nouveau jeune.
  • Besoin de passer du temps seul ou avec certains amis.

Cela provoque souvent les comportements suivants:

  • Alcoolisme
  • Fièvre acheteuse -- Acquisition inhabituelle ou coûteuse d'objets tels que les vêtements, les voitures de sport, de bijoux, de gadgets, de tatouages, de moto, etc...
  • Dépression
  • Attention exacerbée à l'apparence physique.

15/07/2011

Nuit Anglaise

 

 

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Nostalgie, dans le Swinging London je danse entre ses cuisses, torsions de nous en appétits matinaux de notre festin vespéral.

Sexe en elle, va-et-vient retenus pour plus de jouir. Durer le temps pour qu'il n'existe plus, coups qui se donnent à ne plus s'appartenir. Ma bite vibre aux plis de ses chaires trempées mordant mes rets. Combien de fois au lit d'Albion nos corps emmêlés à ne plus se dénouer ? Nœuds de nos envies à corps démêlés.


A potron-minet chevaucher, au réveil recommencer, l'après-midi en un lieu discret se mettre en selle et le soir cavaler à perdre haleine.

Equipées de nos lubricités, corps transmutés d'appétences jamais rassasiées, jouir au delà du raisonnable, miracle que de ne pas s'être consumés d’une libido épique.

Epopée sauvage à la sensualité laissant mort d'émoi.

Jamais deux fois d'identiques plaisirs.

Je fouette, elle suce, je sodomise, elle pénètre, je souille, elle m'avale, ping-pong indécent, corps succulents,nos imaginations composent des tableaux obscènes.

stupre oral, anal, aux annales de nos râles.

La ville pour respiration entre nos ébats. Excentrique et sexy en diable qui nous émoustille puis offre à nos pas la respiration de nos ébats.

Shopping fétichiste en cent chaussures essayées, frisson de lieux SM gay visités.Au coin de rue un joli déhanché sur des chaussures à talons vertigineux.

Temps des vacances et des apétances.

 

Une nouvelle fois recommencée, après cette année passée.

Back to london 

 

04/07/2011

Nuit de St germain en Laye

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Nous attendons sur une bite de parking, la nuit tombe sur cette place de St Germain en Laye, nous sommes en retard, Paris est plus loin que pensé.

Aucun taxi en vue et d’autres patientent,  j’appelle et quelques minutes plus tard un visage souriant vient nous rechercher en voiture pour nous mener dans le sage pavillon d’une famille comme il y en a tant. Sauf qu’en descendant l’escalier qui mène au salon, les meubles sont poussés et si les 4 couples sont assis sur les canapés, les hommes sont déjà déchaussés, des matelas sont en fond posés et du gel est en évidence sur la cheminée. Soirée libertine à ne pas douter.

 Des mots banals échangés, une coupe de champagne avalée. La glace est brisée par un des hommes qui commence à déshabiller ma complice. Les couples se défont pour d’autres formés.

Education oblige…  j’enlace l’hôtesse, superbe noire au corps parfait, couleur d'ébène brillant.

Après les Antilles me voilà en Afrique, quel voyage.

Mes doigts glissent sur sa peau tendue et douce, ma main ouvre son sexe fin, mon sexe s'y engouffre, fourreau serré et glissant.

Les vas et viens commencent et le plaisir apparait en apaisement de la tension des avants, cette croupe qui s’agite quand on la pénètre décuple la jouissance ânonnant, au gré des coups de reins, de part et d'autres.

L'Afrique est sauvage, sensuelle et diablement à l’unisson, bien que je ne sois pas assez percutant pour le potentiel de mon hôtesse, début de soirée certainement, elle jouit, je me réserve pour tenir, il y a quand même 4 autres femmes à butiner.

Mon accompagnatrice est elle-même enlacée avec son cavalier qui la quitte, sa femme le remplace et je me colle à elles, vite ma bite est sucée par une bouche connue et diablement efficace, moi-même suce celle qui suce le sexe de la bouche qui me suce. 

Je sais il faut suivre. Tout cela est somme toute confus mais drôlement excitant.

Mes doigts pénètrent et font mouiller, parfois ma bite change de bouche, nos trois corps ne font qu’un bête polyandrique pour gémissements polyphoniques.

Une pause et du champagne ou quelques canapés, des femmes dansent, des hommes se recomposent, bite vidée et air exténué, des mots et des plaisanteries, tout cela est très naturel sans artifice ou pose.

Une jolie blonde se fait sauvagement pénétrer, elle jouit bruyamment.

Me voilà à chevaucher à grandes enjambées le sexe blanc de celle que j’avais tant fait mouiller, terrain idéal pour le galop, cravaché de ses cris d’encouragement.

Parfois en levant la tête j’aperçois sur le canapé la même scène.

Voir un film et y être, qui ne l’a pas rêvé.

Au retour de la cuisine, une autre convive noire suce notre hôte à quatre pattes sur le matelas, elle me montre sa croupe brillante et ses deux points plissés, le plus long est légèrement ouvert et m'appelle irrésistiblement.

Mes mains plaquent ses hanches, la voilà prise, et moi qui retrouve le goût de se sensuel continent, décidemment oui j'aime ce voyage.

Les coups et les slurpes s'enchainent, quand craque notre sucée, ma belle croupe se retourne heureuse découvre son fouteur et m'embrasse puis court rejoindre son homme.

Ma coquine esseulée semble triste, je la rejoins et reprends mon foutage, ce retour d'une bite amie et connue lui arrache vite un orgasme si bruyant qu'il détourne sur nous les regards et suspend les reins le temps de ceux-ci.

Décidemment le sexe n'est pas que science des mécaniques, il est jeux des cœurs, en témoigne ses larmes quand à l'oreille lui avoue qu'un de mes foutages fut divin. Le libertinage est lutte contre la possession et la jalousie, détachement apparent pour plus grand attachement.

Consolée et cajolée, je ne me reprendrai plus  en partouze, à des confidences sur l'oreiller.

La blonde que je trouvais avoir du chien suce son blond ami qui lui avait tant apporté de plaisir, en croupe offerte aux groupes je prends place et aussi sauvagement que ne l'avait fait son sucé je jouis en elle en levrette, mon amie tente désespérément de faire vivre la queue énorme du compagnon antillais d'une de mes honorées. Elle me caresse le torse entre deux bouchées.

Las le monstre ne veux se redresser la voilà abandonnant la partie.

Ma blonde jouit  sous mes coups, en témoigne les sucions de plus en plus frénétiques sur le pal de notre blond dont le visage cramoisi trahi de sa haute lutte pour ne pas exploser.

Mon dos coule, ma bite brûle, les baisers dans le cou et les caresses tendres de mon amie m'enflamment.

L'assistance est en pose nous sommes le spectacle, les commentaires joyeux vont bon train.

Arggggh un énorme orgasme se libère en moi me laissant vide et suant, la blonde lâche son blond qui respire enfin, elle est radieuse et épuisée.

Une coupe de champagne et le frais de l'air de ces pas, mes jambes flageolent.

 

Je regarde des couples enlacés, les hommes semblent épuisés, sauf notre blond coureur de grand fond qui entreprend mon amie avec la même fougue qu'au début, elle jouit bruyamment de ses assauts implacables.

Nous voilà enchevêtrés les uns dans les autres, je suce un sein, masturbe un vagin, caresse un clito d'une autre main, c'est le repos du guerrier.

Les corps ont exultés, le mien est reposé de ces 5 femmes en une soirée goutées.

4h du matin il faut rentrer, un taxi nous amène à paris, nous sommes épuisés, sur notre lit canot de sauvetage pour naufragés libertins exténués, ma bite pourtant reprend vie, réflexe pavlovien, en raison du nombre impressionnant de fois où elle a baisée sur cette couche qui a le don de la ressusciter.

J’enlace mon amie qui m'ouvre avec joie ses bras, s'en suis une superbe baise où nous jouissons fort, décidément la partouze a l'art de rendre nos retours orgasmiques.

Enfin Morphée nous tend ses bras, ce n'est qu'un entracte, aux rayons de soleil, notre libido nous titillera encore.