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25/06/2013

Autobiographie

 

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Je n’avais jamais osé dépasser mes fantasmes et mes expériences sexuelles étaient bien maigres, la lecture en couple d’Union, journal relatant les expériences de ses lecteurs n’avait pas convaincu mon épouse de briser la monotonie bimensuelle de nos relations intimes.

40 ans, marié, deux enfants, une belle réussite professionnelle comme on dit. Après toutes ces années studieuses et nuptiales trop sages, j’avais envie de tout déclasser, de me désordonner pour ne pas regretter une vie sans débordement.

La découverte d’internet me fit entrer dans un autre monde, celui-ci ne fut pas à mon goût ; glauque et écœurant, quelques rencontres féminines via un site d’échangisme me décevraient.

La première voulait un soumis à martyriser sous cocaïne, elle a fuit avant que je ne m’évanouisse des sévices qu’elle me proposait. Cherchant à se marier, mon alliance m’avait sauvée.

La seconde Thanatopracteur aspirait à l’homme de sa vie pour fonder une famille, las de ses insuccès sur les sites dits sérieux elle prospectait sur les sites culs un homme sérieux et pas effrayé d’être caressé par des mains qui avaient touché la mort, quête impossible qui commençait à l’aigrir.

La mort me traumatisant, la monogamie m’étant impossible, le repas fut laborieux et le café final avant l’au revoir attendu des deux cotés.

Sur ce même site un couple de la cote d’azur exposait ses photos, des échanges sans aucune volonté de rencontre, il me donnèrent le lien de leur blog.

Je ne savais même pas que ce genre de journaux intimes existait.

C’était un beau couple trentenaire. Photographe amateur il mettait en scène sa femme, l’exposant à la concupiscence des lecteurs. Là où je découvrirai que les blogs similaires étaient vulgaires, et sans saveur, il se dégageait de leur lieu, le doux son d’une ode amoureuse d’un mari envers sa femme.

Les  échanges de commentaires me firent être apprécié d’eux, au point qu’un week-end je fus invité à une séance photo.

Profitant d’un séjour de ma famille à la campagne, je franchissais le Rubicon.

Au lendemain, déniaisé j’avais trouvé ma voie, désormais ma crise de la quarantaine serait libertine.

Je devins vite un habitué du blog, celui-ci était fréquenté par une femme qui écrivait sur ses déboires conjugaux. Victime de la froideur d’un mari asexué, elle avait trouvé la chaleur du corps auprès d’une relation professionnelle.

Frustration et embrasements scandaient ses mots sur la toile fortement influencés par Paul Eluard. Ses nombreux commentateurs semblaient une barrière infranchissable pour un nouvel arrivant, mais curieusement je fus admis dans le top 5 des ses commentateurs préférés. Au hasard d’un échange, elle me donna son mail . Sans jamais connaître nos voix, il était rapidement devenu évident que le virtuel devait être dépassé.

Elle devait venir sur Paris pour formation, invitée par deux ou trois de ses amants. Dans son lourd agenda, une nuit pour moi, nous convenons du Lutétia pour la passer.

J’ignorais comment elle était, je n’avais pas osé lui demander une photographie. Un matin un texto, elle était en réunion de travail, son voisin plus âgé la complimentait.S’apercevant qu’elle dialoguait avec moi il lui disait que son interlocuteur avait beaucoup de chance. Excitée elle me l’écrivait, je lui répondais  de demander à son complimenteur de me faire sa description. La voilà lui expliquer que celui qui a bien de la chance de bientôt passer une nuit avec elle, ne la connaissant pas souhaiterait qu’il lui en fasse la description pour qu’il puisse vérifier qu’il avait vraiment de la chance.

Mon téléphone vibre d’un numéro inconnu, l’homme me décrit ma coquine, il est réellement pris au jeu et me décrit une jeune femme blonde, un peu ébouriffée aux yeux bleus coquins.

J’apprendrais plus tard que directeur d’une importante société il lui avait offert un emploi au cas où il aurait la même chance que l’inconnu du téléphone. Pôle Emploi devrait revoir ses techniques de placement.

Quelques jours plus tard au bar du Lutétia, mon ventre se tordait, « suis-je fou ? ».

Apparaissait une furie blonde bouclée et ébouriffée qui trainait une lourde valise à roulette, le sort était jeté,  la roulette allait être incroyablement généreuse, elle transforma ma vie.

Alors que nous étions le lendemain matin à nous balader dans la rue Monge, elle me fit rentrer dans un Cyber Café et me montrait comme elle complétait son blog.

 

«Tu devrais t’y mettre, tu écris bien »

« Je n’ai rien à dire ma vie sexuelle est inexistante »

« Lances toi  et tu verras bien»

 

Je me lançais et créais un lieu qui me correspondait, Art et érotisme serait le fil conducteur de mes publications.

Celles devaient être une sorte de verbatim de mes pensées, coups de cœur, de gueule ou de rencontres.

Le titre : un Dandy plus sage qu’il n’y paraît.

Cinq années de ma vie allaient commencer.

Le sexe en serait le thème, la recherche de moi même le secret dessein.

Mes notes des instagrams.

 

23/06/2013

elle a osé

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Ce blog devient un lieu de toutes les audaces, pas les miennes, celles de certaines lectrices, l'une de celle-ci rêve de sms érotiques, ludiques, excitants voilà sa règle du jeu

le numéro de tel


XX XX XX XX XX ( jeu terminé )

 

Règle du jeu :


Être créatif, courtois, coquins, fun, respectueux et subtile (si, si même avec le sexe c'est jouable ;)
Seuls les mots et leurs plaisirs sont admis 
Exclusion totale des photos, vidéos, insultes et toutes choses désagréables
Le jeu c'est tout ce qu'on fait sans être obligé

Conditions de publication sur le blog  Waid and See :
Sms les plus coquins , les plus drôles, les plus insolites...
Tri totalement subjectif de moi et/ou  du blogueur nommé Waid

Caractéristique téléphonique  :
Téléphone vintage ne recevant pas de MMS et autres modernités
En mode silencieux nuit et jour
Numéro de téléphone temporaire, jetable et qui disparaitra du site dans un mois maximum 

Conditions générales du non-contrat. Aucune exception n'y sera faite.
L'envoi d'un sms implique une acceptation sans réserve par l'envoyeur d'aucune obligation de ma part : aucun bien/service/produits/offre/réparation/réponse/échange/  n'est proposé.
En cas de panne contacter votre SAW : Waid and See


Allez vous y jouer attention je me reserve le droit de publier certains échanges ... chiche ?

 

à vos claviers ...

23:29 Publié dans ELLE, ENVIES | Lien permanent | Commentaires (34)

16/06/2013

Avant / Après

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13/06/2013

c'est enfin le printemps

Envie de mouvement

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perpétuel

 

 

09/06/2013

Realis magnitudine sexus meus

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Tout a commencé sur un commentaire, j’avais eu l’outrecuidance de citer un chiffre, aussitôt contesté par quelques coquines dont les reins ou la bouche servaient selon elles d’étalon à leur mémoire pour jauger mes propos d’étalon et les dénoncer en propos de vantard ?

 

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Une question s’est donc posée, ma mémoire était elle bonne ?

N’avait elle pas transformé mes quelques centimètres de chair en un pieu héroïque, aux dimensions taillées à la hauteur de mon arrogante écriture.

Le chiffre n’étant plus une mesure objective mais une dimension mythique comme l’âge de mathusalem ou les concubines du roi Salomon.

Etais je dans le mythe d’une gloire autoproclamée sur le net ou dans l’objectivité de la moiteur d’une salle de bain ?

Ou encore le réel d’une pénétration vaginale dans le sexe aguerri et non complaisant de mes contradictrices sur messagerie privée ?

Cela faisait plus de trente ans que j’avais mesuré, en une période où la taille de l’engin vous pose en homme accompli ou en un ado boutonneux et complexé.

Il fallait donc vérifier, objectiver ma mémoire ou la leurs.

Bien que je possède un télémètre laser il m’est paru dangereux d’exposer mon intime aux brûlures d’un rayon.

 

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La technique du contour de mon anatomie en érection sur papier millimétré pour une lecture à bite retombée fut aussi écartée, je ne possède pas un tel papier et acheter une pochète entière pour un usage aussi unique me semblait ridicule.

J’ai longtemps cherché mon double décimètre de bois jaune avec mesure en inch et en centimètres , mais je ne l’ai pas trouvé, tant pis ce blog ne sera pas international, d’ailleurs mon anglais est pitoyable ce qui constitue pour moi une blessure narcissique aussi profonde qu’une anatomie insuffisante.


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Il a fallu me rabattre sur mon vieux mètre à ruban qui me sert tant pour mes œuvres d’art, de là à mesurer un chef d’œuvre ?


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Je me suis donc déshabillé et nu sur mon lit mes doigts ont commencé à caresser mes tétons ( je suis très, trop tétons ) ma mémoire s’est concentrée sur les flash de mes rencontres les plus hot. Garces aux bouches de feu qui m’ont consumées de  plaisir.

Mon sexe a grossi , j’ai commencé à le sentir en forme, turgescent, sa hampe c’est légèrement cambrée pour imprimer une douce courbure sur l’arrière, idéale pour titiller la parois du point G.

La corolle de mon gland c’est déployée pour se tendre dans l’air de la chambre donnant à mon chapeau cette forme caractéristique du casque de Dark Vador.


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Voilà devant moi ce que je pourrai qualifier de sorte d’asperge, celles dures que l’on croque en été.

Je trouve ma bite assez jolie quand même. De couleur plus sombre que ma carnation naturelle, la circoncision donnant une pureté de forme , un less  is more d’une grande efficacité esthétique.

J’ai alors déployé le ruban du mètre, du pubis au méat, soit la distance de chair qui pénètre entièrement dans les orifices sexuels offerts par mes coquines à mon dieu priape.

Victimes sacrificielles de nos plaisirs partagés en une liturgie concupiscente d’un décadent  érotisme.

Première mesure,

Deuxième mesure,

je cligne d’un œil pour mieux repérer la marque du ruban atteinte.

Je pose le mètre je tire sur ma peau, ma bite se tend plus encore, de sa couleur  brune des jours de baise forte, je remesure, je recligne de l’œil.

Je tourne le mètre et le plaque perpendiculairement sur ma bite en son point le plus large, mais en réalité mon anatomie n’est pas conique mais plus rectangulaire, je n’ai pas de base large qui diminue mais une largeur constante jusqu’au gland.

Voilà les dernières mesures sont faites, je me reconcentre sur mon plaisir, ma main va et vient se rappelle ces fellations et branlettes qui me font tant tordre de plaisir.

 

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Mon autre main titille voir pince mon téton, arghhhhh que n’ai je une bouche au dessus qui coule pour lubrifier tout cela.

J’explose en soubresauts orgasmiques, ma semence se répandant d’autant plus abondamment sur mon ventre que je ne m’étais pas occupé de ma vidange depuis quelques temps.

Une chose molle et petite est affalée entre mes jambes, fini l’arrogante turgescence, place à une ridicule excroissance ridée bavant un filet.

Ah nous sommes peu de chose nous les hommes, être mené par un Janus , tantôt triomphant et superbe et tantôt ridicule.

 

PS

la taille ah oui ?


17cm

 

Une taille moyenne, mais pour un homme ce n’est pas la taille qui compte mais le plaisir que ces centimètres confèrent , ben oui faut être un peu égoïste , non mais …


PS 2


le vainqueur est CUI qui sans sucer l'avait mesuré pourtant je jure que je n'ai jamais baisé CUI , comme quoi les mecs matent en partouze ... 


 

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PS 3


remarquez je suis un ancien modèle , il parait que les plus récents diminuent en taille ...


http://www.topsante.com/couple-et-sexualite/sexualite/tro...

06/06/2013

Bientôt la vérité sur mon sexe ...

Teasing ....

02/06/2013

bilan chiffré

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470 notes

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quelques nuités relatées

qui aurait cru que ce blog aurait duré aussi longtemps ...