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29/02/2016

Roselyne

Roselyne est une jolie femme, fin de vingtaine, au fessier à la Rubens , d'un port altier qui lui donne un air hautin et aristocratique.

Helmutt Newton est le photographe de l'érotisme glamour, mâtiné de fétichisme, ses femmes sont toutes en jambes, seins arrogants, regards durs, talons hauts ou accessoires pour le fétichisme, il est adulé des grands magazines et shoot les beautés anonymes ou célèbres de la planète.

Helmutt obtient l'accord de Roselyne et ils vont shooter au château d'Arcangues chez Guy D'Arcangues, 8e marquis d'Iranda, illustre famille Basque.

Le Marquis est un homme de culture, poète, portant beau, golfeur émérite, journaliste à Paris-Match, Vogue, Adam, Jours de France dans les années 1960.

Les deux hommes se connaissent donc, ils partagent le gout des belles femmes, le château reconstruit en 1900 sera l'écrin des photos, décor fastueux de bois, d'escalier somptueux de livres rares,de canapés profonds.

Le corps de Roselyne habillé d'une robe noire très ouverte sera le personnage de la pièce muette à créer.

Le tout confère une puissance érotique extrême, luxe, tradition, corps qui se dénude comme une invite à l'extase pulsionnelle.

La séance est une absolue réussite et les images s'arrachent dans de nombreux ouvrages, des retirages se vendent aux enchères 25 000 euros chez Christies.

40 ans ont passé Helmutt Newton né en 1920 est mort, la beauté de Roselyne aussi, qu'est elle devenue ? je ne sais, mais elle ne supporte plus de voir sa plastique passée s'exposer sur tous les table books de la planète.

Elle entame un procès à la fondation Newton et à plusieurs éditeurs pour atteinte à son droit à l'image, car son cul lui appartient et elle entend en partager le fruit et réclamer à tout ceux qui ont fait tant d'argent à son insu une part de cette fortune.

Le procès à lieu à Paris, Roselyne est française.

Sous les plafonds surchargés d'or et dans les murs qui ont vu les grands procès de Zola avec j'accuse à Pétain à la libération, les juges se penchent sur les photos de Roselyne, emportent ils le soir chez eux les images d'Helmutt pour mieux juger, qu'en ont pensé leurs femmes, je ne sais ?

Mais il viennent de juger en la faveur de la fondation pour rejetter toutes les demandes de Roselyne, on ne la reconnait pas assez sur plusieurs de ces clichés  selon eux et pour ceux où on la reconnait, elle avait donné son autorisation.

Le corps de Roselyne figé dans le temps appartient juridiquement et commercialement pour cette séance à Helmutt Newton qui peut en disposer au profit d'éditeurs pour notre plus grand bonheur, leurs plus grand bénéfice,et la plus grande frustration de Roselyne.

Roselyne n'aura rien juste la gloire de son corps qui au delà des années continue d'exciter les imaginations par l'érotisme qui se dégage des photos de l'immense Helmutt Newton. 

 

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27/02/2016

Nuit des noeuds

 

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 (photo contractuelle)

 

C ... passe les nœuds un peu stressée du résultat à obtenir, de mon œil qui scrute dans les vapeurs viniques d'un Collioure un peu fort en degré.

Première pour ma complice de cette soirée, se faire attacher, 

Première pour C ... attacher et se faire voyeuse d'une baise entravée.

Le résultat est parfait et la séance photo commence.

Mes deux coquines sont heureuses et elles attendent de moi la seconde partie du programme.

Hélas, l'alcool la fatigue de la très petite nuit précédente font que mon corps n'a pas la force de cette seconde partie.

C ... nous quitte un peu déçue, je suis flottant et à moitié endormi, je n'ai qu'un désir vite aller au lit, me blottir contre ma complice maintenant détachée et dormir comme un innocent bébé.

Deviendrai je popote !?

 

 

 

21/02/2016

Sang Valentin

 

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La nuit est mutine me voilà bandant dans le noir, le corps chaud contre le mien est un puissant aphrodisiaque, je passe ma main,son sexe  est trempé, il faut dire, connaissant la visiteuse de mon lit que toutes ces heures sans sexe doivent avoir été une épreuve pour sa chatte si gourmande. J'avoue ne jamais encore avoir rencontrée femme si gourmande ...

J'enfile une capote et délicatement entre en elle, une main commence à me caresser, ma cuillère de douce s'accélère.

Nous passons en missionnaire et je m'enfonce au plus profond d'elle, pour buter et provoquer des gémissements plus marqués.

Je m'écrase sur corps, et puissamment la pilonne sans précipitation, je viens et le lui indique, elle se laisse aller et nous voyageons de concert.

La nuit nous reprend jusqu'au prochain appétit et nos corps s'emboitent à nouveaux, je joue avec sa chatte de mes doigts, de ma queue.

Le matin arrive et j'ai encore envie d'elle, je rebande et le lui signifie lui glissant que j'aimerai bien qu'elle me chevauche, position que je tiens peu en principe mais son sexe si serré devrait m'aider.

La voilà qui s'empale et je joue de ma hampe, je suis dur et me caresse les tétons, je pousse des gémissements de plaisir, je sens ma queue prise, parfois écrasée sur ses parois qui me disent ahhhhh j'adore te sentir, regarde comme je jouis je vais te faire hurler.

Cela dure, et nous partons ensemble heureux de cette nouvelle position qui complète nos complicités corporelles.

Courte pose, elle me dit qu'elle a envie de jouir à nouveau, mais mon sexe est vide, elle m'avoue avoir envie de jaillir, je la découvre femme fontaine, une idée me traverse la tête la sucer puis la doigter pour la soulager, mais j'avoue que l'idée de dormir dans un lit trempé me refroidit.

Elle se lève et va au toilettes, je l'entends gémir et crier , elle a jailli, j'ai un peu honte de l'avoir laissé faire seule, on se rendort.

Au levé dans le noir je rejoins la salle de bain, il y a des traces de sang sur la cuvette, et le lavabo, mon ventre se serre.

Je vais vers la chambre et éclaire, le lit est plein de taches rouges, de traces de doigts sanguinolents, je regarde mes doigts ils sont rouges sang séchés.

Il y a eu un meurtre dans ce lit et je suis le tueur !?!

Non ma complice respire sont corps n'est pas lardé de coups de couteaux.

A la vue de l'état des lieux elle saute, affolée se précipite dans la salle de bain.

J'avoue flipper de son affolement.

je lui indique que mes draps en on vu d'autre nous nous calmons.

Elle aura cette phrase extraordinaire qui clôt ce souvenir et en constituera le titre, c'est la " Sang Valentin".

10/02/2016

Nuit de la dentelière

GetAttachment.jpgphoto contractuelle 

 

 

Dans le bouillonnement de Paris j’attends cette jeune lectrice qui quelque jours avant avait osé déposer dans ma boite mail un message.

Une bouteille à la mer est faite pour être ouverte et découvrir l’emplacement du trésor.

Un échange badin s’en était suivi où la Demoiselle jouait le froid et le chaud, cela m’amusait et me charmait.

Une jeune femme se présente à moi, je mets un visage à un joli postérieur qui m’avait été envoyé, politesse des coquines qui montrent d’abord le lieu de nos envies avant de dévoiler leur visage.

Nous buvons un verre au milieu de couples formés ou en formation, l’alcool pénètre mon sang et le chauffe, il nous semble évident que cette nuit nous allons en couple nous unir.

Nous nous levons et elle me suis vers chez moi, il faut toujours avoir une adresse de rendez vous à 5 minute d’un chez soi.

Le froid nous dégrise et l’ascenseur nous monte au 9e ciel

Je ferme les yeux et l’embrasse, sa langue glisse, nos bouches jouent l’une de l’autre.

Elle m’avait promis des dentelles et me voilà dentelier à l’effeuiller.

Le noir de ses dessous souligne le galbe et la douceur de sa peau.

C’est nue que je la contemple, offerte à ma lippe gourmande

Ma bouche la parcourt et effleure son sexe trempé.

J’hésite et me redresse, cela sera d’abord les doigts !

Ils jouent de son sexe l’ouvre, le masse puis la pénètre.

Son antre est douce tendue, étroite, hérissée d’envies.

Je m’enfonce, la fouille, trouve, appuie, m’attarde, elle se tord étonnée des sensations provoqués par ma paume qui se referme sur son clito.

Ma langue prend la suite lèche, slurpe, tourne, agace, aspire, elle coule, rit, jouit.

J’ai envie d’elle, sa bouche me happe, je me roule sur le dos pour la contempler et me laisser aller.

Elle est avide, joue, m’avale, déglutie, coule sur moi, me branle, recommence, mes doigts se crispent sur les draps pour ne pas éclater, mes reins s’enflamment, mes couilles bouent, je suis une barre de bois luisante de sa salive, je joui mais ne craque pas, trop envie d’entrer en elle, sentir ses chairs écartées de mon sexe chauffé à blanc de son infernale bouche.

Elle joue avec mes tétons, je durcis encore plus et entre en elle …