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27/11/2011

foutre sans conscience n'est que ruine de l'âme

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Comme monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir je viens d'apprendre que cette nuit je l'ai sodomisée sans le savoir ...

 

21:13 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (31)

17/11/2011

Plaidoyer à un mari libertin

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Monsieur le mari,

j'ai l'honneur par la présente de plaider ma cause, afin de vous convaincre d'autoriser votre coquine et si splendide femme à libertiner aussi avec moi.

Je sais certes vos régles libertines d'amusements autorisés à la seule condition qu'ils restent à vu des deux , mais les régles ne sont elles pas faites pour être transgressées quand on est comme vous un libertin?

D'ailleurs libertinage et règles n'est il pas antinomique ?

Votre femme est un joyaux dont l'éclat ne peut que vous irradier au polissage des caresses du plaisir.

Songez à la force de ses sentiments de vous rejoindre et de vous préférer pour les jeux plus sérieux de l'amour alors qu'elle s'adonne à ceux excitants mais temporaires de la gaudriole.

Qu'avez vous à craindre de me la prêter vous qui aimez en d'autres bras vous amuser et qui adorez la livrer en orgies?

De la perdre bien sur et je vous comprends car perdre un tel joyaux serait vous faire perdre l'éclat de votre bonheur.

Mais cette peur est injustifiée et elle peut même vous conduire à de bien grands risques.

C'est ceux ci qui me conduisent à ce plaidoyer qui n'est pas comme vous pourriez le croire en faveur de ma seule cause mais doit vous éclairer sur votre la continuation de votre bonheur.

Certes je ne suis pas de ces amants godes que le libertinage affectionne pour être anonymes et finalement sans risque.

Bites toujours raides mais taisantes que l'on use comme un olisbos pour désir fatigué

homme chosifié pour un plaisir physique réifié.

Je ne sais foutre sans ce plus qui fait que le sexe s'humanise, libertin affectif je suis, mais n'ayant nul intention d'affecter vos liens.

Vous craignez peut être un danger de ma singularité et de celle de nos désirs avec votre femme alors que loin de moi une intention de mise en danger.

Vous êtes un superbe couple et mon amour pour l'esthétique me répugnerait à tenter de briser l'harmonie plastique à vous voir ensemble.

La beauté se respecte et je ne suis pas de ces destructeurs de beau pour assouvir une laideur que je masquerai.

Non le vilain canard  que je me considère en comparaison de vous ne peut et ne veux porter ombrage au cygne que vous êtes.

Et si votre femme oublie en moi ce fait objectif par la magie de mes mots , qu'ils ne soient nuls maux pour vous. Je sais ce que vous lui apportez et ne pourrai lui assurer ce pourquoi elle vous est de coeur fidèle, elle en est trés consciente  et nulle ambiguité sur ce point là ne nourri nos aspirations conjointes.

Ce qu'elle cherche dans mes bras n'est que le plaisir libertin que vous cherchez tous les deux ailleurs.

Seulement ce plaisir n'est pas qu'animal il est aussi ce libertinage de connivence, de respect qui n'est certes pas la marque d'un Laclos mais plus d'un Casanovas.

Pourtant on ne s'attache à un Casanovas , on en jouit , on s'embellit du plaisir de la séduction mais l'on sait que cela n'est qu'un jeu et que l'on ne vit pas dans le jeux sauf à tomber dans le vice.

Je ne suis là que pour la faire briller le temps de quelques temps mais pas celui de la durée des vrais sentiments.

L'envie, l'enthousiasme, la gourmandise et la luxure que je lui prodiguerai sont des pêchés capitaux mais si véniels quand on les compare aux qualités qui font qu'une femme préferera toujours à cela une relation sérieuse.

Or cette relation c'est à vous qu'elle vous la confie et que vous seul peut lui donner , elle n'existe que parce qu'un projet commun existe entre vous deux.

Mon projet est l'éphémère du plaisir, du désir et non la force de l'amour qui lui est éternel.

Mais et voilà mon plaidoyer comme le cristal, l'amour est à la fois un matériaux trés dur et fragile. Il peut se briser s'il est manipulé avec force.

On voit des amours trop oppressants briser l'élan de la plus amoureuse  ?

Lui refuser la liberté de quelques instants sans conséquence que son plaisir, n'est ce pas un grand danger pour votre couple? 

Ce n'est pas sa frustration qu'il faut craindre , je ne me crois pas assez attirant pour qu'elle soit frustrée du manque de moi, non le risque que vous engendrez est plus pernicieux et plus nuisant.

L'obéissance à une injonction crée souvent le ferment d'une révolte, alors que ce qui est non imposé est toujours librement partagé.

Votre véto la ravale à un rang inférieur à une époque où l'égalité homme femme n'est plus un slogan mais une réalité exigée par nos compagnes.

Vos craintes pour le motiver ne rèvelent que faiblesse alors que les femmes admirent la force qui pourra les protéger.

Votre refus vous affaiblit et la blesse alors que la marque de confiance en elle et en votre couple que vous lui témoigneriez en me l'accordant serait le plus solide des ciments sur lequel l'édifice de votre couple se fonderait.

ce n'est pas de règles que se batit un couple c'est du liant des matériaux de votre dualité.

Ses aspirations en association avec les vôtres, ses envies disposées avec les vôtres le tout s'harmonisant de l'ensemble crée.

Cela crée un édifice plus durable qu'une fusion des deux au risque de l'abandon toujours temporaire de la personnalité de l'autre.

Ce n'est donc pas pour moi que je plaide mais pour votre amour, laissez sa force resplendir, que votre tolérance ,illustration de votre respect et de la confiance que vous lui témoignez vous la lie à tout jamais.

Un homme si fort qu'il la laisse vivre des instants libres, sera toujours plus fort que celui à qui il a concédé ces  instants.

le vainqueur n'a pas à craindre la grâce qu'il offre au vaincu.

un amour fondé sur l'égalité de liberté et la confiance sera le plus fort des liens et triomphera des faiblesses de la chair.

Force à vous donc, au lieu des craintes que vous nourrissez sans fondement , ignorant vos qualités et doutant sans raison de celle qui en connaît et en apprécie les immenses valeurs.

Mon plaidoyer se termine, je ne suis finalement rien d'autre que celui qui plaide pour recevoir un peu alors que vous deux en me laissant croire à mon bonheur éphèmere allez vivre celui éternel des vrais sentiments.

Je vous demande du libertinage et vous donne les clefs des liens de l'amour , le marché me semble bien moral au point où sans ciller je me permet de vous le soumettre.

Acceptez le comme venant d'un ami de votre couple et en respect de vous monsieur, plutôt que comme un ennemi de l'ombre ce que jamais je ne serai.

bien sur vous êtes seul juge et je ne vous demande pas de trancher de suite.

J'en appel à la raison de votre jugement alors qu'en ces matières l'on est souvent guidé par l'émotion des sentiments.

Je vous laisse délibérer et considèrerai sans appel et comme d'airain la sentence que vous jugerez, je la respecterai donc scrupuleusement n'ayez crainte.

Mes amusements ont pour limite la souffrance d'autrui et je respecterai un rejet de ce placet comme expression de celle ci.

 

 

19:47 Publié dans ELLE, ENVIES | Lien permanent | Commentaires (22)

12/11/2011

nuit trio (suite et fin)

 

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Caresses, embrassades, nos quatre mains sur son corps, la chauffent, la brûlent, l'embrasent. S...  la déshabille. Je profite pour couvrir sa peau de ces baisers qui ne sont que des avants goût de brasiers. Les dessous sont ôtées, nudité offerte à l'avidité de nos mains de nos bouches, de nos corps entiers que nous dénudons aussi pour mieux sentir l’animal désir qui nous parcourt.

On  se touche, on s'enlace, mes mains prennent possession de ses seins. Petites poires dardant leurs tétons dressés. Je suce, pince, tire, mordille, avale, inonde, à son plus grand plaisir.

La main de mon complice prend possession de son sexe. La belle se cabre, se tortille. J'imagine les dards sensuels qui percent son corps de nos mains de conjurés.

S... me laisse le champ humide qu'il a labouré. Le sexe est petit, lèvres  bien découpées, glabre et doux, ma main en fait le tour sans appuyer comme pour survoler ce qu'elle va pénétrer. Je lance un doigt en apnée de sa cyprine qui inonde sa grotte intime. Vite j'en explore les parois à la recherche des marques du plaisir. Je la découvre légèrement rugueuse et qui enfle au fur et à mesure que je masse. Le corps entier se tort, un œil au dessus et je les vois enlacés dans un baiser vorace.

Deux doigts maintenant jouent dans ce lieu dont je comprends mieux la géographie. La bosse rugueuse est parcourue de mes deux pulpes, en alternance, parfois ma main se crispe et se referme appuyant fortement sur ce que j'avais flatté. Effet immédiatement comme un claquement de fouet accompagné de l'écho d'un râle. C... aime et je vais en abuser à la rendre essoufflée.

La main fatiguée, je plaque ma bouche sur sa chatte trempe, le goût est doux, délicat. Ma langue plonge en elle puis remonte, parcourt les lèvres, les tournent, les aspirent, en cercle s'approche du clito, qu'elle ne quittera plus.

Doigts, langue, lèvres, menton et mes mains qui la caressent me font perdre le sens de moi même je ne vis que pour le souffle de ses râles.

Animal qui se cabre, se raidi, implore, geint, encourage jusqu'à me repousser n'en pouvant plus. Instant de court répit, son homme lui donne enfin l'estocade de sa bite roide.

Je les observe, affalé, le goût d'elle sur mes lèvres, l'odeur de leurs luxure au fur et à mesure qu’elle s’accélère dans mes narines.

Je ne suis ni excité, ni frustré, je me sens bien comme un entracte où l'on jouerait une scène pour patienter.

Les jambes de notre coquine se lèvent bien haut, sa tête se lance en arrière et le dos de son mari s'anime de plus en plus jusqu'au paroxysme libératoire qui le jette de coté m'appelant du regard.

Je m'approche, elle me suce, me durcit et vite réclame des yeux mon corps en elle. Je la pénètre, contrition de son sexe serré, lubrifié des flux matrimoniaux. La chaleur de sa chatte traverse le latex et pénètre ma queue. Au premier coup de rein elle l'accompagne. Merveilleuse voracité de son con qu'elle me lance pour amplifier mes mouvements.

Je lui glisse de me pincer les seins, effet turgescent immédiat nous en sourions et jouons de plus belle.

A quatre pattes, elle m'offre sa vulve ouverte et son anus, une idée lubrique me traverse mais je n'ose, alors je l'empale classiquement jusqu'à la garde. Me sentir bien au fond d’elle. A grand coups, répond ensuite à ses impatientes invites, elle semble très apprécier. Une claque tombe sèche, impromptue, sur ses si belles fesses, à ses cris de joie, ma main s'en donne à cœur joie.

J’avoue oublier tous les détails de nos ébats et de ceux de S ... une vision me revient, elle nous quitte brusquement et se jette au bout du lit n'en pouvant plus de trop d'émotions.

Sur le lit elle répètera trois fois que cela en est trop.

Je me vois aussi me blottir contre elle ou lui sucer ses orteils avec la sensualité d’un enfant comblé.

La chaleur de la pièce devient étouffante, nous nous levons et rejoignons nus et en sueur le salon. Fraîcheur bienheureuse, réparatrice, nos gosiers sont asséchés. Le canapé nous accueil dans cette liberté nue qui sied si bien aux amants heureux.

Nous buvons encore, il est tard mais l'envie de recommencer nous reprend, nous retournons à la chambre et nous enlaçons cette fois plus en mêlée.

Mes mains touchent le corps de son mari alors qu’il est en elle et me caresse le sexe. A son orgasme, je le remplace et lèche sa bite à hauteur de ma bouche.

Odeur de sexe fatigué libéré d'avoir joui,  de chatte avide et son goût de foutre dans ma bouche pour carburant de mes reins de notre coquine décidément très coquine.

Nous restons là épuisés, la nuit est si avancée qu'il faut rentrer, je les quitte heureux espérant qu'ils l'ont été.

10/11/2011

Nuit trio (1)

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C'est en courant que j'arrive rue C ..., Téléphone à l'oreille tentant de convaincre mon ado de fille de rentrer de sa balade nocturne avec son boyfriend d'un mois. Négociation non aboutie au moment où la porte s'ouvre. L'appartement est grand, vide, chaud de son parquet patiné, Clair de ses murs blancs, intello des livres posés à même le sol en bibliothèque d'amoncellement.

Le canapé gris souri est  occupé par mon hôtesse C ... blonde Botticelli, teint rehaussé par le rouge qui illumine ses petites mais pulpeuses lèvres, des bas noirs soulignent ses jambes rehaussant la sagesse d'une robe portée pour être ôtée.

S..., Son mari débouche le vin que je lui tend, le libertinage est plaisir que ceux de bouches présagent.

Les augures sont favorables par le goût du vin, le charme intellectuel de notre conversation. Culture, art, réflexions libertines, nos mots glissent pour une discussion qui s'installe quand enfin mon ado cède à mes injonctions SMesques. Soulagement du père, libération du libertin.

Difficile de changer de braquet , du badinage au libertinage. Une pointe de timidité parfois. Je quitte mon fauteuil et m' installe sur le canapé tout près de ma jolie hôtesse. premier contact de nos doigts, peaux qui s'échangent les flux du désir.

Les mots continuent, ma main s'autonomise effleure le nylon, le mari me regarde, sa femme le regarde, je regarde mes mains.

Nous passons à la chambre. lit blanc, rideaux tirés, bougies allumées ,  une immense affiche de détail d'un tableau ancien, à droite un miroir au sol dont le tain fatigué ouvre une perspective d'infini au lit.

Nos bouches se découvrent, merveilleuse langue et non moins merveilleuses lèvres que je suce, je m'écarte pour que S ... L'embrasse aussi. Nos passes de trois vont commencer, n'étais-je pas invité pour cela.

 

 

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Caresses, embrassades, nos quatre mains sur son corps, la chauffent, la brûlent, l'embrasent. S...  la déshabille. Je profite pour couvrir sa peau de ces baisers qui ne sont que des avants goût de brasiers. Les dessous sont ôtées, nudité offerte à l'avidité de nos mains de nos bouches, de nos corps entiers que nous dénudons aussi pour mieux sentir l’animal désir qui nous parcourt.

On  se touche, on s'enlace, mes mains prennent possession de ses seins. Petites poires dardant leurs tétons dressés. Je suce, pince, tire, mordille, avale, inonde, à son plus grand plaisir.

La main de mon complice prend possession de son sexe. La belle se cabre, se tortille. J'imagine les dards sensuels qui percent son corps de nos mains de conjurés.

S... me laisse le champ humide qu'il a labouré. Le sexe est petit, lèvres  bien découpées, glabre et doux, ma main en fait le tour sans appuyer comme pour survoler ce qu'elle va pénétrer. Je lance un doigt en apnée de sa cyprine qui inonde sa grotte intime. Vite j'en explore les parois à la recherche des marques du plaisir. Je la découvre légèrement rugueuse et qui enfle au fur et à mesure que je masse. Le corps entier se tort, un œil au dessus et je les vois enlacés dans un baiser vorace.

Deux doigts maintenant jouent dans ce lieu dont je comprends mieux la géographie. La bosse rugueuse est parcourue de mes deux pulpes, en alternance, parfois ma main se crispe et se referme appuyant fortement sur ce que j'avais flatté. Effet immédiatement comme un claquement de fouet accompagné de l'écho d'un râle. C... aime et je vais en abuser à la rendre essoufflée.

La main fatiguée, je plaque ma bouche sur sa chatte trempe, le goût est doux, délicat. Ma langue plonge en elle puis remonte, parcourt les lèvres, les tournent, les aspirent, en cercle s'approche du clito, qu'elle ne quittera plus.

Doigts, langue, lèvres, menton et mes mains qui la caressent me font perdre le sens de moi même je ne vis que pour le souffle de ses râles.

Animal qui se cabre, se raidi, implore, geint, encourage jusqu'à me repousser n'en pouvant plus. Instant de court répit, son homme lui donne enfin l'estocade de sa bite roide.

Je les observe, affalé, le goût d'elle sur mes lèvres, l'odeur de leurs luxure au fur et à mesure qu’elle s’accélère dans mes narines.

Je ne suis ni excité, ni frustré, je me sens bien comme un entracte où l'on jouerait une scène pour patienter.

Les jambes de notre coquine se lèvent bien haut, sa tête se lance en arrière et le dos de son mari s'anime de plus en plus jusqu'au paroxysme libératoire qui le jette de coté m'appelant du regard.

Je m'approche, elle me suce, me durcit et vite réclame des yeux mon corps en elle. Je la pénètre, contrition de son sexe serré, lubrifié des flux matrimoniaux. La chaleur de sa chatte traverse le latex et pénètre ma queue. Au premier coup de rein elle l'accompagne. Merveilleuse voracité de son con qu'elle me lance pour amplifier mes mouvements.

Je lui glisse de me pincer les seins, effet turgescent immédiat nous en sourions et jouons de plus belle.

A quatre pattes, elle m'offre sa vulve ouverte et son anus, une idée lubrique me traverse mais je n'ose, alors je l'empale classiquement jusqu'à la garde. Me sentir bien au fond d’elle. A grand coups, répond ensuite à ses impatientes invites, elle semble très apprécier. Une claque tombe sèche, impromptue, sur ses si belles fesses, à ses cris de joie, ma main s'en donne à cœur joie.

J’avoue oublier tous les détails de nos ébats et de ceux de S ... une vision me revient, elle nous quitte brusquement et se jette au bout du lit n'en pouvant plus de trop d'émotions.

Sur le lit elle répètera trois fois que cela en est trop.

Je me vois aussi me blottir contre elle ou lui sucer ses orteils avec la sensualité d’un enfant comblé.

La chaleur de la pièce devient étouffante, nous nous levons et rejoignons nus et en sueur le salon. Fraîcheur bienheureuse, réparatrice, nos gosiers sont asséchés. Le canapé nous accueil dans cette liberté nue qui sied si bien aux amants heureux.

Nous buvons encore, il est tard mais l'envie de recommencer nous reprend, nous retournons à la chambre et nous enlaçons cette fois plus en mêlée.

Mes mains touchent le corps de son mari alors qu’il est en elle et me caresse le sexe. A son orgasme, je le remplace et lèche sa bite à hauteur de ma bouche.

Odeur de sexe fatigué libéré d'avoir joui,  de chatte avide et son goût de foutre dans ma bouche pour carburant de mes reins de notre coquine décidément très coquine.

Nous restons là épuisés, la nuit est si avancée qu'il faut rentrer, je les quitte heureux espérant qu'ils l'ont été.