10/08/2020
Nuit aux esclaves suite
Je ne décrirai rien, cela serait trop long et pas assez intense par rapport à ce que j'ai vécu.
Ce que j'ai vécu l'a été comme un fantasme, il y a eu des jeux de caresses, du martinet, des baisers tendres, un fessier à damner un ciel entier de saints. Un fessier transformé en brasier où je me suis enflammé.
Le 2e homme fut défaillant, j'ai du pour deux, contenter la dame dans divers coins du club, mon dieu, ma chemise était en eau de l'intensité de nos échanges.
Son corps était divin, son cul diabolique quand je l'ai pénétré. Visiblement il n'attendait que ma venue et m'a avalé tout en me faisant diablement jouir.
Accroupie sur un fauteuil club en cuir, je voyais dans la lumière rouge de la pièce notre enculade dans une glace, c'était aussi beau qu'une messe à Notre Dame, l'orgue c'était ses encouragements, faster and hardeur, please . Elle était insatiable, je comprends que le mari avait décidé de se reposer.
Ce fut aussi long qu'un sermon de prêtre Bourdaloue, celui qui a donné son nom à un récipient en porcelaine que les femmes utilisaient dans ses sermons pour se soulager sans quitter l'église, ses propos dépassant la capacité moyenne de leurs vessies.
Ma complice regardait envieuse, elle qui désormais a inscrit l'anal dans ses annales coquines.
J'ai jouis, j'étais en eau, elle s'est retournée, on s'est embrassé ce fut doux, j'ai glissé jusqu'à son sexe et je l'ai faite jouir à nouveau, jusqu'à ce qu'elle se recroqueville sur elle même pour gouter son plaisir.
Il était temps de la quitter et jouer avec ma complice trop négligée, j'avais un peu honte de tout se plaisir pris sans elle.
Nous avons gouté aux joies d'un fauteuil électrique qui monte à hauteur de bouche, puis redescend à hauteur de bite, tout en maintenant les jambes ouvertes. Nous avons testé toutes les positions.
Préliminaires agréables avant de passer au plat de résistance, un trio avec le soumis loué.
Il nous attendait sagement, libéré de toutes ses maitresses femmes. Nous nous sommes allongés et j'ai pris ma complice qui avait envie de plaisirs roboratifs, pendant ce temps elle le suçait ou lui la suçait.
Ce fut intense et tendre, profond très profond, nous retrouvions notre complicité charnelle inexprimable.
Ma jouissance sur son dos, le soumis qui a tout étalé en la caressant, ses patientes caresses qui longtemps après mon orgasme et le sien, l'on faite à nouveau jouir alors que nous étions tendrement enlacés, tout cela fut beau à regarder au plafond miroir.
En bas les couples discutaient, j'ai remercié la blonde et son mari. ils avaient l'air ravi et m'ont indiqué qu'ils partaient vivre dans les îles.
Nous sommes sortis, il pleuvait, Paris était humide, les pavés brillaient, nos corps étaient repus, nous étions vidés et heureux. Même sous la pluie, trempés d'elle ou de nos ébats Paris restera toujours une fête.
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22/05/2020
Nuit de la déconfinée
Il vient, emplit, prend le contrôle de mes coups de reins, sort en des gémissements de plus en plus libérés, je me colle à elle, la sens monter, trembler, son sexe me broie, je jouis de plus en plus à me retirer tellement il se fond avec moi, mes couilles se trempent de jus, je tente de durer, je voudrais qu'elle explose en même temps, je la sens proche ,si proche, mais mon corps ne peut tenir, il me hurle de perdre le contrôle, d'oublier l'autre, de jaillir en elle, d'ensemencer ce con qui m'aspire, de l'inonder pour éteindre son feu.
je tremble, plonge ma bouche dans son cou, hurle sur sa peau. De mon dos la décharge part, elle se propage en chaque point de mon être, j'expulse la tension de nos ébats, de mes retenues, c'est des chevaux libérés qui courent dans une plaine de l'ouest américain ivre de la liberté de l'immensité.
Elle reçoit cette onde qui saute dans son corps, me serre pour mieux la déguster, je tente de reprendre conscience, de la fourrager pour qu'elle explose aussi. Mais mon plaisir est trop fort pour décider il m'abandonne à la descente de L'explosion, j'oublie tout en respirant son odeur, bercé par ses bras qui ont la tendresse du bonheur d'avoir donné.
Deux mois de confinement, deux mois sans sexe, virginité qu'elle m'a offert, cul pluggé pour plus de perversité, instant de grâce, où j'ai lu à la pointe de mon dard les variations de son émois intime. Union, fusion, évidence non évidente pour une 1er rencontre d'inconnus. magie du sexe qui est une langue universelle, espéranto sensuel.
Bien sur il y eu les chocolats , le jeux buccal et anal de leur fondant. Mon jeu buccal, nos allers et venus en staccato, du sensuel à l'animal. son abandon malgré l'appréhension.
Mais ces jeux de corps auraient été bien banals s'il n'y avait pas eu plus.
le sexe m'a ouvert ses cuisses, et j'ai lu son âme, ses combats passés et gagnés, la soif de vie de ceux qui savent qu'elle est fragile, dure, méchante, mais merveilleuse quand on peu parfois la croquer.
Le virus nous entourait et nous avons baisé pour triompher de thanatos.
Mais ce virus n'était pas ce qui l'emprisonnait.
Je fus l'inconnu choisi dans un site au choix pléthorique, pour un déconfinement qui n'était pas que sanitaire, c'était en réalité un acte de détachement.
La bondageuse était en fait plus attachée que ses soumis !
Sa confiance m'a ému, c'est parfois la magie des baises entre inconnus, on s'y découvre plus que mille discours.
Curieusement ce détachement nous a attaché.
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08/05/2020
Le con de ...
Si petit et si grand que je me sens un géant, ce n’est pas le con d’Irène mais celui de …
Si petit et si grand royaume que je parcours tel le roi soleil triomphant de je ne sais quelle bataille homérique.
Il m’aspire et m’inspire, il m’avale, me gobe, me retient, pleur de me perdre, ri de me retrouver.
Con cédant à mes assauts, con jurant de continuer, confus de mes ruses pour le rendre fou.
Ce con est plus grand que l’univers, c’est mon ciel et ma terre tremblant de l’eau et du feu de ma crémation, incendie de sens.
Ce con est si petit et me rend si grand que ses cris me louangent, m’encouragent, me décuplent.
Si petit et si grand que ce n’est plus une mouille mais un déluge qui noie l’ivresse de nos orgasmes simultanés.
Repus, vidé, je suis désormais trop petit dans ce con devenu si grand.
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02/05/2020
Nuit de la demi Finale
Après nuit de la chambre 44, nos retrouvailles allaient t elles être aussi intenses ?
L’indécence, la folie de notre première fois pourrait elle se perpétuer dans le classique de mon appartement ?
Cette première nuit ne fut elle pas trop haute pour vivre une seconde?
Si la première fois fut inconscience, nous allions baiser en conscience.
Nos corps se sont reconnus, nos langues ont dansé, nos sexes se sont complétés, ce fut moins fébrile que la première fois, moins fougueux, plus sensuel, plus long, plus enveloppé.
Fenêtre ouverte sur la douceur estivale de paris, tu as commencé à crier et les voisins ont répondu d’ovation.
Tout l’immeuble a crié sur ton orgasme et les cris se sont répandus sur la ville.
Tout Paris criait , hurlait sautait,
Tu criais et la ville te répondait, tu criais les voisins chantaient, j'ai crié avec eux.
L’équipe de France venait de se qualifier en demi finale de la coupe du monde.
Hébétés et repus de nos amours, nous sommes sortis, la ville était envahie de supporters, qui éructaient de joie, plus possible pour toi de rentrer chez ton mari.
La France nous a offert notre première nuit ensemble et le matin c’est en fan que je t’ai regardé me faire l’amour.
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30/03/2020
Nuit du lez
C’est un petit oiseau qui se pose entre mes cuisses, qui s’y louvoie, qui s’y installe.
C’est de petits gazouillis qu’il me donne pendant que je sens mon sexe écrasé de ses parois goulues.
Rien ne bouge et tout bouge en moi
Rien ne bouge et tout bouge en elle
Le plaisir monte, rien ne bouge,
le plaisir déborde et elle se lâche, rien ne bouge
Rien ne bouge et pourtant nous sommes tout rouge de plaisir
Elle gazouille
Je gazouille avec elle
22:52 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (1)
29/03/2020
confinement: nu aux légumes
20:21 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (0)
confinement: nu aux légumes
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Nuit Hellenique
Un mot échangé, un hasard, et une Iliade née.
Selon Homère, Aphrodite avait permis à Paris de séduire la belle Hélène puis de l’enlever à son mari, j’aime Paris son pseudo était Aphrodite et elle était aussi jolie qu’Hélène, grecque comme elle.
Moi qui cherchais à panser mes plaies d’amour quoique meilleurs onguents qu’une nouvelle rencontre, page blanche d’une aventure nouvelle.
Une robe rouge, une ceinture noire, des lèvres écarlates, Aphrodite ressemblait à Paloma Picasso, méditerranéenne, c’était la Crête qui entrait dans mon antre.
Baisers, doux, presque timides qui se découvrent, nos mains se cherchent, nos mains se séparent, les miennes glissent le long de la fermeture éclair, éclairant ma nuit de la lumière de sa peau nue.
C’est Aphrodite la déesse qui apparaît sur le piédestal de sa robe à ses pieds, nue, soulignée de sa ceinture qui avait été laissée, rehaussée de ses talons noirs.
Les gestes se font plus empressés, plus désireux, plus fébriles, nos mots échangés par mails, la tension érotique créés par eux, enfin, mutés en plaisirs charnels.
J’allais être Paris, devant ce Paris nocturne, devant ce sacré cœur qui m’avait donné tant d’ardeur à lutiner.
Te voila nue sur mon lit tel Vénus de Giorgionne, Titien , Manet .
Les timidités tombent, te voilà plus dominatrice que la bonne éducation de ton milieu l’autoriserait, me voilà pris en main.
Mais n’en déplaise aux dieux et au risque de froisser une déesse, l’insoumis que je suis, reprend la main et conduit la valse.
Une valse à 3 temps, une valse à 5 temps, une valse hors du temps.
Deux méditerranéens dans la nuit parisienne, deux nourris à l’huile d’olive glissant l’un sur l’autre, s’oubliant, se culbutant.
Deux expressifs pour dire à mes voisins que je suis revenu.
Deux adultérins dans la nuit s’adonnant au dieu priape,
Incendiant notre couche comme la Troie du roi Priam.
Mais point d’odyssée pour le retour, le lendemain je t'attendais.
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24/03/2020
confinement: mon confinement à l'EHPAD en 2040
00:27 | Lien permanent | Commentaires (0)
23/03/2020
confinement: troublé
23:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
confinement : la salle de bain
modèle camille belle de jour
23:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
22/03/2020
Aux confins des tes fesses
Aux confins de tes fesses, tu confines tes mots.
Se quitter pour mieux se retrouver?
Se quitter pour mieux s'oublier ?
De ces deux hypothèses je retiens le mieux.
Le mieux étant l'ennemi du bien,
je vais consigner tes fesses et confiner mes mots.
19:54 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (0)
21/03/2020
Nuit du Râteau matin du masque avec l'inconnue
Paris une heure du matin quelque part, 2 heures de marche avec 1 artiste saoule avec qui je discutais sur Gleeden depuis des semaines.
Arrivé à Paris à 22 heures, rendez-vous pris à minuit. Une jeune femme au bar Le Fumoir, totalement ivre, déception suis-je trop classique, je n’aime pas les gens ivres.
Visiblement je ne réponds pas à ses attentes, ne complimente pas, je ne la rassure pas, je comprends que ces aventures sont un moyen de se rassurer sur son nouveau physique.
Elle me lance on va pas se quitter comme ça au moins discutons ! accompagnes moi je vais marcher dans la rue me dégriser !
Je fus dégrisé de mon acceptation, 2 heures de marche le froid, la pluie, quelque part entre le Louvre et le Sacré-Cœur.
Elle me dit je suis dégrisée j’appelle un taxi je rentre chez mon mari. Le taxi arrive je tente de l’embrasser sur la bouche, elle détourne sa tête et me dit non juste 1 hug.
Je rentre furieux contre moi-même d’avoir tenté de l’embrasser alors que visiblement je savais que j’aurais un râteau. Voulais-je rentabiliser les 2 heures mouillées ? !
Je marche sous la pluie et me penche sur l’application, un profil est encore ouvert en cette heure tardive, je lance un mot, vous aussi à marcher mouiller sous la pluie, après un râteau nocturne ?
À ma très grande surprise une réponse. S’ensuit une discussion fluide évidente. Nous convenons le lendemain d’un rendez-vous, je l’attendrais dans mon appartement avec 1 masque imitation léopard sur les yeux.
Le noir me cache du ridicule de la situation, je suis sur mon lit habillé un masque léopard sur les yeux.
La porte s'ouvre, quelques pas, des habits qui tombent, un grand, rire, mais qu'il est choux avec son petit masque, mon lit s'enfonce, je sens un pull prêt de moi, des lêvres froides, une langue bouillante m'envahit, je me laisse aller.
très vite je suis déshabillé et un corps nu et voluptueux m'enveloppe, la bouche à la langue infernale m'avale, m'aspire, glisse, pompe, effet immédiat, rires de satisfaction de l'inconnue.
Dans le noir je dessine ses formes sensuelles, je vis son caractère fougueux et entreprenant, me voilà servant de pâle à une chatte noyée d'envie, ses mains sur mes tétons elle a bien compris mon mécanisme et s'en émerveille.
Sous le bandeau les autres sens sont décuplés l'odeur, le touché, le bruit, je jouis à ses hauts et bas, puis elle me tourne le dos et se délecte de mon gland qui la frotte là où elle désir.
Je suis guidé et le noir me devient lumière comme si le plaisir envahissait mes yeux clos.
Je m'enhardis de diriger, oui l'aveugle prend la direction et sans tâton, la positionne en levrette pour l'embrocher là où le pâle ne l'avait pas encore supplicié, on dit que les martyrs jouissaient de leurs tourments, elle ne mourra pas en martyr mais à jouis de mon supplice , bruyamment même.
Me voilà à la sucer, puis à la rebaiser, puis à être sucé, puis branler, puis à baiser, il n'y a pas eu de miracle je n'ai pas recouvré la vue mais mon dieu que ce noir fut coloré de nos jouissances.
3h plus tard, elle se lève, se rhabille, rigole encore de mon masque, trouve que baiser un aveugle est plus sexy quand il remplace les verres noirs par un tissu panthère, la porte claque, j'enlève le masque , la lumière me brule les yeux, je suis vide et heureux.
On dit par litote que l'on a connu pour dire que l'on a couché et bien moi j'ai couché sans connaitre ...
Le téléphone vibre, un message de mon inconnue,
- on recommence encore avec le masque la prochaine fois, chiche !?
- ok chiche ...
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29/01/2020
je cherche un Homme
Diogène cherchait un Homme.
Je cherche une femme que Diogène qualifierait d'Homme.
Demain j'ai rendez vous avec une athénienne,
je viendrais au rendez vous avec une lampe à huile et comme Diogène je lui dirai que je cherche un Homme.
21:33 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (6)
21/01/2020
Axiome géométrique de l'amant polygone
Le triangle est une figure habituelle du couple, on parle de triangle amoureux;
FEMME
MARI AMOUREUX
Il aspire à être isocèle mais tend vers le rectangle.
J'ai testé pour ma part l’Hexaèdre, figure à 6
MARI
AMANT 1 AMOUREUX
AMANT 2 MOI
FEMME
Puis le tout est devenu carré ;
MARI FEMME
MOI AMOUREUX
Mais Rien n'est carré dans la vie, le mari a soupçonné la femme qui a eu peur de perdre le mari, elle l'a dit à l'amoureux, qui s'est retiré.
La femme ne voulait pas perdre l'amoureux, la peur dissipée, l'amoureux est revenu. La femme de culpabiliser d'avoir perdu l'amoureux n'a plus été capable de le tromper avec l'amant.
Elle a quitté l'amant.
Axiome de géométrie à usage d'un amant polygone:
L'amour est plus fort que le sexe, par deux points ne passe qu'une droite, tout amant polygone fini de coté
20:16 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (3)