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19/02/2019

Nuit Boulogne la question


  • Haut de Seine, Boulogne, Avenue marcel Dassault,

    Au sous sol de la maison d angle

    1h du matin,

    Au surlendemain de la saint Valentin

    Après hermann au corps d athlète noir

    Après la brune au doigts du diable

    Sur un lit

    Elle, moi, lui dont on ne connait pas encore le prénom.

    Elle hurle à ses 19 cm de tourments

    Amant et amantes déments

    Spectateur je soutiens sa tête comme un secouriste assiste le mourant

    Elle jouis, gueule, défaille

    Son visage est beau des grimaces de jouissances

    Son regard part loin, petite mort au champs d orgasmes.

    Quand elle rejoint le monde conscient, elle répéte en boucle entre le mantra et la question :

    "Suis je une salope ?"

    Au dessus de son corps mon regard et celui de son tourmenteur nos mots pour la rassurer

    Mais elle n entend rien tous chakras ouverts elle flotte au nirvana de son stupre.

     

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15/02/2019

Bientôt jamais

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Arles, bientôt , jamais, le rêve n’a pas de date que des souvenirs

Le bruit de la ville entre avec le soleil par les fenêtres ouvertes.

L’appartement vide est plein de nous.

Nous, nus à jouir de marcher sur les tomettes, de chauffer au soleil, de nous rouler sur le matelas qui meuble la pièce.

Rien faire que d’écrire et de baiser ou plutôt écrire que l’on baise, à moins que cela soit baiser pour l’écrire

Nus pour être toujours prêts.

Nus car nos corps nous excitent.

Nus car telle est notre liberté.

Ecrire le point de vue d’A MAN l’amant sodomite de Tony Bentley dans ma reddition

Si elle s’est rédemptée par les 299 sodomies de cet homme qui ne lui demandait rien mais l’emplissait tant, lui que pensait il quand il s’introduisait dans ses entrailles ?

Pensées lubriques ou cosmiques ?

La sodomie est un art de la complicité

Leurs pensées s’emmêlaient elles dans le son de leur 299 coïts ?

La baiser pour imaginer.

Puis nus et repus taper ces pensées, le mac calé sur ses fesses alors que le soleil et le bruit de la ville nous habillent de l’impudeur des mots tapés.

15:04 Publié dans ENVIES | Lien permanent | Commentaires (0)

09/02/2019

nuit anale

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Je serre mon sexe et le dirige vers l’œil obscur que décrivait Georges Bataille

Elle ne bouge pas, attend, fébrile.

Mon gland écarte son anneau qui résiste peu, le voilà absorbé.

Je marque une pause.

Elle me supplie de continuer.

Sa chair me serre.

A sa stupeur je sors, un regard réprobateur m’interroge dépité.

Je m’enduis de plus de gel.

Mon retour est tout de douceur, ses muscles pressent mon sexe d’un délicieux pincement. Ce cul est une bouche infernale.

Les cm s’enfoncent, mes bourses caressent son sexe, je suis calé au plus profond d’elle. Présence envahissante, cul obéissant, respiration saccadée.

Alors lentement je la quitte, lui arrachant des cris de protestations, de joie, de plaisirs.

Mon sexe respire l’air frais de la pièce, choc de température, elle reste ouverte comme en apnée d’un second souffle

Avec la même assurance, sans précipitation mon gland passe l’anneau apprivoisé , lui provoquant de douces décharges.

Je suis plus tendu de cette pause , je glisse, l’écarte, l’envahit, la comble.

Je dirige mon dard de telle façon qu’il appui certains points de son vagin provoquant des frissons de plaisirs.

Alors je joue entre ses sensations, l’envahissement, le retrait , le libéré, l’extension, les pointes sur son sexe.

Je demeure sourd à ses injonctions, autiste à ses cris, je n’écoute que les staccato de son cul sur ma bite, tel une araignée je me guide aux vibrations pour mieux la capturer.

Je lit sur mon sexe la géographie de son intime, le rugueux de l’entrée, la chaleur de la pénétration, le plaisir de mon frein tendu quand tout au fond je tape encore d’un ultime coup de rein.

La lenteur la rend folle, ce n’est plus un petit plaisir limité, c’est un enveloppement, une vague qui pénètre chaque millimètre de son corps.

La voilà délirant, éructant, son cerveau devient un feu d’artifice observé des étoiles.

Des mots crus sortent de sa bouche comme expulsés par les coups de mes reins qu'elle incite de ses mouvements.

Elle se noie dans un bain de plaisir qu’elle ne peut localiser.

De son anneau, de son ventre, de son clito, de son dos, de ses fesses c’est une chaleur et des vagues dont le centre est partout et le rayon sans fin.

Mes envahissements s’accélèrent, son cul se mue en chatte gluante, trempée, ouverte , béante, avide, incandescente, vice capital.

Mes couilles claquent sur ses lèvres, mon pubis l’écrase et elle sent en son plus profond ma chair incandescente. Je suis l’amant infernal.

Son cul coule, bave comme pour réclamer plus de violence, de bousculement.

Mes poils se remplissent de cet élixir, sa chatte coule et mes couilles sont inondées à chaque choc.

Le métronome est implacable, il s’accélère provoquant des cris de plus en plus inhumains.

Il n’y a plus de mots , il n’y a plus de sens, tout est sans dessus dessous

Parfois le cul cris famine comme amputé de mon sexe qui ressort puis il avale la chair revenue plus dure de cette respiration, la tension la rassure, l’apaise, l’enflamme.

Alors comme un cris de champs de bataille, de nul part et de toute part un brasier surgit, souffle incandescent qui explose dans tous les plis de son être.

Une plainte inhumaine traverse la pièce, son dos tendu se fige encore plus et hurle sans retenue

Le pal est un supplice qui emporte tout sur son passage

son cul crache son plaisir

son sexe s’embrase

son ventre s’enflamme

sa colonne vertébrale s’électrise

sa tête explose

ses membres sont écartelés

et sa bouche éructe dans le coussin comme si on l’amputait sans anesthésie

j’accélère, je suis en bois, ces cris me rendent fou, mes reins ne retiennent plus les coups, je deviens soudard qui viole un soir de victoire. Joueur de tennis à un point du match, je cogne, cogne.

Cela gronde, mes doigts se crispent, elle le sent hurle, j'hurle et lâche mon foutre au fond de ses entrailles, orgasme puissant qui claque mon dos et illumine mon cerveau.

Je me bloque, elle halète, je ne bouge plus ivre, mes neurones sont des lucioles un soir d’été partouzique.

Je m’effondre sur elle qui tremble encore, nos corps en sueur se soudent, je respire son odeur.

Rien dire, pas bouger, me fondre en elle, déguster nos vagues, ne faire qu’un.

Putain … de jouissance

10/01/2019

Toute fin est une amputation

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Toute fin est une amputation, il subsiste le membre fantôme, ce bras que l'on ressent alors qu'il n'est plus. Ce bras qui manque et qui virtuellement vit encore. Le fantôme de nous deux.

Le poète chante « temps suspend ton vol »

Le libertin « sentiment suspend ton vol, ne transforme pas le léger en lourd , les embrassades en reproches, les rires en pleurs."


L'esprit humain est ainsi fait qu'il ne sait pas cueillir le temps présent, il lui faut l'avenir. Mais l'avenir n'est-il pas la certitude de notre disparition ?

Le libertinage est une griserie pour éviter d'y penser mais il y a toujours un lendemain de fête.

02/01/2019

Arrgh ...

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Je viens de jouir

merde déjà fini ... l'éternité devrait être vraiment éternelle 

19:21 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (0)

26/12/2018

proposition d'un amoureux

Utilisateur de Facebook
 
hello.

ma demande est la suivante. Nos sommes mariés depuis 20 ans et parisiens très 'hauts de gamme (entendre branchés)'.

Ma femme est sublimement jolie et serait ouverte pour un plan à 3 avec un autre mec mais…

Il faudrait qu'il soit très beau, cultivé, cool, sympa, agréable et drôle.

Elle est contre toute idée de préparation à l'avance mais je sais que si le courant passe entre moi et cette personne, on peut mettre en place une sorte de jeu de séduction où on pourrait sortir tous les 3 boire un verre, etc…et il pourrait la draguer, etc…

La finalité évidemment est de terminer la soirée tous les 3 à l'hôtel (ou ailleurs mais pas chez nous) et de passer un agréable moment mémorable...

Bien entendu, tout cela doit se faire de manière très discrète et surtout avec beaucoup de tact, d'érotisme et de jeu.

Je précise encore que ma femme est vraiment très très jolie.

Si tu penses correspondre à ma recherche, on peut continuer...

 

 

j'aime quand les hommes sont amoureux

Nuit de la balancelle

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La pièce est étroite toute entière occupée par un étrange objet.

4 chaines au plafond suspendent une peau de cuir en forme de siège.

Balançoire lubrique qui t’allonge, sexe haut.

Des bracelets aux chaines permettent d’être attaché des 4 membres.

Tu es offerte au balancement des chaines et aux mains des spectateurs

Attachée pour mieux ne rien contrôler, un bandeau sied tes yeux et le jeu commence.

Des mains frôlent, touchent, palpent, des doigts glissent écartent toutes les lèvres

Rien, pas un mot que ton souffle qui s’accélère, la chaleur monte au fur et à mesure que la micro pièce se remplie.

Ma bouche souffle sur ton sexe trempé et de ma langue cueille ta cyprine.

Tu gémis heureuse et inquiète

Tes seins sont pincés

Ma bouche a fixé sa cible et ma langue travaille à te rendre folle.

Tu gigotes, le bruit des chaines attire d’autres hommes.

Ils te saisissent pour ne pas que tu t’éloignes hors de ma bouche.

Tu coules mais je ne vais pas jusqu’à ton explosion.

Je me relève, baisse le pantalon et m’enfonce dans ton corps bouillant

Le siège fait merveille, à chaque coup de rein il s’éloigne de moi pour mieux revenir.

Les va et viens sont de plus en plus forts.

Un homme te suce les pieds, un autre te caresse les seins

Une femme masse tes cheveux quand ses doigts se crispent à la pénétration du sexe de son homme, de la pression de ses caresses tu sens son mâle lui donner du plaisir.

Tu tournes la tête et aspire le sexe dont l’odeur chatouille tes narines.

Cette bite comble le vide que ta langue voulait combler

Te voilà comblée.

La femme cris.

Tu aspires et reçois mes chocs

Tu gémis et pleure de plaisir.

Le noir, ces caresses, ma bite, la bite que tu suces, la femme qui gémie c’est un tout qui t’envahit et se confond.

Ton corps est le bien commun de tous et tes soupirs nos inspires.

Combien de temps as tu été notre jouet ?

J’ai jouis et l’homme dans ta bouche a jouis, la femme a jouis et son homme a jouis.

Je demande à tous de nous quitter.

Jamais tu ne les verras

Je te détache

Epuisée tu tombes dans mes bras

Tu as rêvé

Ce lieu n’existe pas, ces fantômes n’étaient pas là

Tes jouissances sont des fantasmes

Es tu seulement réveillée

Entre songe et souvenir tu ne peux décider

 

 

 

21/07/2018

Le RDV

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20 H rdv en aveugle dans la chambre 44 hotel Langlois 9e

 

mais avant :

 

Il y aura le son de vos pas dans la rue

Il y aura l inconnu qui nouera votre ventre

Il y aura l excitation qui inondera votre sexe

Il y aura la raison qui dira tu es folle

Il y aura le désir qui dit non vas y

Il y aura la porte à franchir
 
Il y aura le regard du portier

Il y aura la recherche de l escalier

Il y aura l'odeur surannée de l'hôtel

Il y aura le coeur qui bat devant une porte entrouverte

Il y aura la découverte de la suite
 
Il y aura le bandeau et la cravache
 
Il y aura votre attente dans le noir qui happe 
 
Il y aura ses minutes de silence
 
Il y aura cette peur et ces palpitations
 
Il y aura ce temps qui n'est plus
 
Il y aura le froid de la clim
 
Il y aura la méditation sur vos audaces
 
Il y aura le bruit d'une porte qui s'ouvre
 
 
 
 
 
 
 

12:54 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (0)

01/07/2018

Nuit Nantaise

 

 

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Je sais que tu m'attends,

cela fait trop longtemps que nos corps n'ont pas fusionnés.

Un an que nous nous sommes rencontrés, un an de sexe, de messages, de partage, de pleurs, de retrouvailles.

J'achève ma tâche, bâcle les salutations et saute dans la voiture.

L'autoroute est en feu, c'est enfin l'été, les camions doublent et je glisse entre leurs silhouettes.

150 km et l'aéroport pointe, le portique s'ouvre à mon billet,  je ne sonne pas.

Je m'installe dans le siège, sort mon livre et m'endort.

un songe et une heure plus tard, me voilà en Bretagne

terra incognita pour explorateur sensuel.

un jour je dessinerai ma carte du tendre.

Le taxi file, et la ville défile.

Mon téléphone sonne, encore le travail, mon téléphone vibre et te voilà nue avec ce mot hâte.

l'Hôtel est une ancienne église, tu connais mon gout pour les lieux atypiques.

Je me présente comme ton mari, union matrimoniale pour la clef de chambre.

La porte s'ouvre, te voilà désirée et désirante.

Une douche et quelques bulles pour oublier le voyage et les ennuyeux du travail.

Nous nous enlaçons et nous nous retrouvons.

ton sexe est doux et coule à mes lents va et vient.

union charnelle sous le toit d'une église défroquée.

tes fesses valaient bien un office, nos un an une transgression.

 

13/06/2018

Pensées nocturnes

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Cette nuit je vous ai prise, vous étiez debout, penchée sur vos talons.

Votre sexe trempé, le mien qui luttait pour ne pas éclater

La tête en bronze du rosebud me regardait

Il me disait remplace moi ... libère moi ... vide toi

Vous gémissiez que mon sexe était énorme ... sensation d'être totalement envahie

Je n avais pas changé de taille pourtant, c était les contractions provoquées par le plug

Je l ai écouté, je vous ai écouté

Je l ai enlevé

Je me suis retiré

Vous avez vivement protesté

Alors je l'ai remplacé

Et la vous avez vacillé sur vos talons

La suite n'était plus humaine ...

mais animale

et les animaux n écrivent pas,

ils hurlent !

22:10 Publié dans ENVIES | Lien permanent | Commentaires (0)

24/02/2018

autoportrait

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Ce blog est mon autoportrait, plus nu que mes nus les plus crus.

écrire pour se dénuder, habiller ces pages de mes crudités

mais toujours se vêtir du voile de l'érotisme

miroir de mon âme 

A ne voiler qu'en deuil de mes désirs

 

 

 

A la coquine inconnue

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En me promenant sur le pont Alexandre III j'ai vu la seine en crue et ce pied à croquer, je les ai photographié et au développement m'est apparu le graphiti ...

 

 

07/01/2018

Rue Le Regrattier

 

 

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J'écris ce soir et pourtant je ne saurai dire, trop de mots et de souvenirs pour les filtrer et les exposer.

Mais les mots sont des génies malins qui s'assemblent tout seuls, pour résonner à ce que j ai goûté.

Ils se forment et composent sous mes doigts comme possédés d'une histoire à raconter.

Ce soir laissons les oeuvrer.

Ile saint louis 1h du matin, alors que mes pas me portent rue Le Regrattier dans l'humidité d'après pluie pour des photos du Paris que j aime, un couple marche. Elle, bas résilles et talons, lui visiblement sur un 31 inhabituel.

Je les observe, souri, les envie.

Il s arretent et sonnent, s'inquiétant de savoir s'ils seront admis.

La porte s ouvre et les engouffre.

Dans la rue vide mes yeux descendent vers la cave qu'ils convoitent.

Je vois des corps qui s'enlacent dans le pourpre lubrique de la lumière d'une piece aux miroirs,pendant que mon corps jouis et exulte de notre union orgiaque.

La bruine me ramène dans la rue.

Je tressaille de froid et de solitude.

Une seconde de mélancolie m'assaille.

Je ris tout seul comme un sot, hier nous étions ce couple !

Je repars alors, le coeur léger et apaisé, capturer la couleur de la nuit qui bras dessus, dessous avec ma belle, avait enchanté nos corps épuisés, le long des quais de ce Paris, désormais pour nous libertin.

22:48 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (0)

05/12/2017

Le baiser du pont Alexandre

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(photo contractuelle)

 

Sur le pont Alexandre III ,

sous les feux des réverbères ,

avec la tour Eiffel comme témoin

Deux promeneurs se sont embrassés.

Les touristes les ont photographié ,

ravis de capturer ce Paris romantique ,

ils ignoraient que les embrasseurs répétaient

Yeux fermés ouverts sur leurs reves

Comme les amoureux de l hôtel de ville

Immortalisés par Cartier Bresson

Ce n était que deux acteurs d'une scéne qu'ils désiraient

le jour où ils rencontreraient l'amour.

 

 

 

 

 

 

21:50 Publié dans ELLE, ENVIES | Lien permanent | Commentaires (0)

01/12/2017

Dans une semaine

 

 

Dans une semaine et 10 000 km nous serons à nouveau ensemble

23:33 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (1)