02/03/2014
sexe & vue
Où
Loin, très loin, Hong Kong, Hotel Intercontinental ***** sur kowloon
Prix
Cher mais expérience unique.
Avec qui
Bien sur nous Français un peu bobos, on dirait une coquine locale, pour réduire le bilan carbone de la coquinerie mais on ne serait pas in the mood of HK , non là bas c'est le culte de la mondialisation, l'eau est française et vient d'Evian, le montres de suisses, les smartphones de Corée, les voitures du Japon, les ascenseurs sont allemands, et les cafés de seattle.
Il faut coucher mondialisé donc importé , importez donc qui vous voulez pourvu qu'elle soit coquine bien sur ...
Pour quoi faire ?
pour baiser devant cela !
Devant la plus belle baie du monde, une seule position pour en profiter à deux, la levrette, après dans cette position faites ce qui vous plait.
je pense que cela devra tout de même être long pour prolonger la magie de la vue avec celle d'un plaisir qui s'empare doucement du corps jusqu'à ce que les images de la nuit dansent comme des étoiles de jouissance.
Et Après
hummm après buvez une bonne bouteille de vin , à hong kong les grands vins sont plus faciles à trouver que chez nous et sirotez encore et toujours devant la vue mais dans un bain chaud.
remettez un peu le couvert quand même, vous n'aurez pas souvent cette vue pour attiser votre libido
Puis allez dans ce petit boudoir décoré comme un salon libertin qui s'appelle le Feather Boa pour gouter les daikiris fraises chocolat et faire des rencontres improbables, à 7 euros le daikiri vous ferez des économies pour la chambre.
10:41 Publié dans HOTEL D'UNE NUIT | Lien permanent | Commentaires (11)
16/02/2014
Partition sexuelle
Acte 1 BOUCHE
Acte 2 DOIGTS
Acte 3 CUNI
Acte 4 LEVRETTE
Acte 5 JAMBES SUR EPAULES
Acte 6 ORGASME
22:07 Publié dans ENVIES | Lien permanent | Commentaires (23)
02/02/2014
Me voilà dans de beaux draps
Il y avait une donnée à laquelle je n’avais pas pensé en devenant propriétaire d’une garçonnière, c’est celle de la gestion des draps.
Jadis occupant d’hôtel, je ne me souciais pas des draps où alors uniquement lorsque les ébats les avaient marqué au delà du raisonnable, je me souviens d’une sodomie nocturne et de la nécessité le matin d’aller voler dans la buanderie une paire de drap propre puis faire disparaître ceux morts au champs d’horreur.
Il est vrai que nous étions en suisse pays du blanchiment.
Là, il en est différemment, je n’ai pas le temps à Paris de squatter les laveries et ma quasi chambre de bonne est trop petite pour un lave linge ( j’ai casé un lave vaisselle quand même non mého ).
Impossible de ramener à la maison les draps, qui se transformeraient immédiatement en constat d’adultère de 4 m2. J’avais trouvé comme solution la concierge à qui je laissais un sac de mes draps et qui me les remontait propres et repassés.
Mais comment dire, je me suis rapidement aperçu que ma consommation de draps propres et les marques univoques dessus allaient faire jaser. Surtout une concierge !
Il faut dire que je n’ai pas été raisonnable et que changer de draps trois fois en un weekend cela pouvait me faire passer au mieux pour un maniaque au pire pour un libertin.
Bref, il me fallait une autre solution, que j’avais trouvé en la personne du kurde à l’angle de la rue, il ne me connaît pas et parle le kurde, cela limite l’effet concierge, il est ouvert même le dimanche et assure en 24h le lavage et le repassage, 6 euros le draps ma foi ce prix valait bien celui de ma réputation dans l’immeuble.
C’est donc serein que le dernier weekend end de mon passage j’amenais le linceul de mes ébats, un peu de sang, beaucoup de gèle et un cul qui s’était allé, constituaient les stigmates de la passion de nos corps.
J’informe le kurde qu’il sont assez sales et qu’un 60° sera nécessaire, pas de problème me répond t il en franco kurde (la traduction est libre mais le sens certain)
Je l’informe que mes parents viendront les chercher, je les paie d’avance.
Serein je quitte mon appartement l’esprit tranquille et le corps vide, je n’ose dire les couilles aussi …
Las, le surlendemain texto de mes parents,
« W … on est allé cherché tes draps, c’est une horreur appelle nous «
Gloups, penaud j’appelle…
On final nul trace de ma luxures mais des draps devenus bleus par grosses tâches … contact avec de la couleur (comme les sous vêtements je suis draps blancs)
Un ange passe … de soulagement.
Mais je perds l’usage et la confiance en mon Kurde, me voilà dans de beaux draps …
14:00 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (28)
13/01/2014
Ce que l'on peut dire quand on est amoureux ...
23:10 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (6)
05/01/2014
Bonne année
(photo contractuelle)
Que vous souhaiter ?
22:08 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (18)
22/12/2013
Nuit des chocolats
Nos deux corps penchés, le regard avide, en apnée, la tension érotique s’accroit.
Jamais auparavant rencontrée et pourtant en quelques minutes, cote à cote avec dans l’esprit des jeux de corps et la bouche qui salive à l’idée saugrenue et furieusement sensuelle d’un association improbable de sodomies et de chocolats
La vendeuse de chez Genin perçoit elle que nos regards sur ses doigts vont au delà du carré noir à la brillance annonciatrice, que nos esprits voguent vers le lit qui nous attend et les promesses d’une attente qui titille notre libido?
Voulez-vous en gouter un ?
Surtout pas encore !
Son œil sourit, elle a compris, ma spontanéité m’a trahie.
De là à lui avouer que ces chocolats seront le plaisir buccal qui coulera en complément de mon sexe qui pénétrera sa cliente par la plus intime des voies ?
Je suis pudique, je n’ose, ma complice me regarde et ses yeux brillent, promesse évidente d’un désir qui n’en peu plus.
Nous quittons vite la boutique et allons à nos envies nous adonner.
Le reste ni ne s’écrit, ni ne se murmure, encore moins ne se hurle, il se remémore tout simplement mais jamais plus elle ne mangera des chocolats fins sans une pensée pour cette après midi de décembre.
22:17 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (9)
23/11/2013
Le morne regret des chimères absentes
Le morne regret des chimères absentes, m’empli à nouveau,
Au matin de mes levers, ce n’est pas le sexe qui me manque mais la douce chaleur d’un corps qui se love en moi.
Envie de ces instants où tout passe par un souffle régulier au diapason du sien.
Eblouis par les réverbères de Paris, dans la fatigue aurorale.
D'un regard qui vous fait roi, de petits riens plus vastes que des empires.
Dans les ténèbres futures espérer désormais sa lumière et s'avouer que tout le stupre exposé ici ne cache qu'une envie d'Amour.
Un merci à Baudelaire et ses bohémiens
23:21 Publié dans DIVAGATION, ENVIES | Lien permanent | Commentaires (26)
16/11/2013
Garde robe
En train d’essayer ce manteau, gris clair ou noir, j’hésite, je pèse, soupèse, 14H30 , zut je demande au vendeur de les garder 24h le temps que je revienne, et je file à mon rendez-vous anonyme et obscur
Il y a comme une sorte d’habitude chez moi à associer une rencontre avec un élément de garde robe.
Je ne suis vêtu que de souvenirs érotiques.
Costume de banquier avec F …
Ceinture avec E …
Chemise Charvet avec S …
Caleçons avec E …
Manteau avec I …
tout cela pour finir à poil entre leurs cuisses ...
11:30 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (19)
11/11/2013
20 d'écart
sur le bord de la piscine la jeune mère de famille me regarde d'un oeil sombre, elle porte ce qu'il faut aux femmes de bonnes moeurs, la bague de fiançailles, la jolie alliance et des rondeurs qui trahissent le laisser aller des femmes casées.
Décidément les 20 ans d'écart avec celle qui se blottie contre moi ne passent pas , je suis fusillé du regard.
si elle savait que dans quelques années elle sera inscrite sur sur gleeden elle serait plus tolérante ...
21:08 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (47)
03/11/2013
Nuit rue Malher
Sa bouche enferme mon sexe et mon œil se ravit à la vision crépusculaire de son corps gracile au dessus de moi.
Quelques semaines auparavant je m’étais inscrit sur gleeden, conseillé par quelques coquines qui en avait fait leur magasin de Candy.
Me voilà sucre d’orge offert à des lèvres clandestines.
Nous avions accroché, ses réparties sibyllines avaient retenu mon attention.
Nous en étions venu à nous donner rendez vous dans la pénombre d’une chambre d’hôtel avec comme consigne que notre rencontre se ferait sans parole.
Comme à son habitude ses écrits étaient brefs, émoustillants avec cette retenue qui pouvait en faire douter.
Aucun des décomptes habituels pleins d’enthousiasmes, un certain silence avant la date fatidique.
Je doutais donc quand la porte s’est ouverte.
Nos corps se sont immédiatement accordés, dans la promiscuité de l’obscurité.
Sa bouche me travaille et je jouis de tous les sens qui s’embrouillent dans mon cerveau.
Ma main guide ses joues pour un jeu de poupée.
Ma main tire ses cheveux à sa plus grande volupté.
La voilà qui se redresse me plaque au sol, je darde mon sexe qui lui sert de pal.
Supplice consenti avec empressement.
Son sexe liquide s’écrase, va et vient, des décharges électriques partent de mon anus pour mourir sur mon gland.
Ses chairs le serrent, électrisent mon dos, mes tétons sont des sonnettes que je me plait à tirer comme pour quérir un orgasme que j’espère et retarde.
Me voilà derrière elle et une claque fuse, notre pacte est rompu … elle brise le silence par un "oh oui vas y … "
une deuxième sanctionne cette incartade ou récompense sa perte de contrôle ?
Je n’en sais rien mais son plaisir est certain.
Viennent ces accélérations qui sonnent l'acmé des ébats, les corps sont frénétiques, ma main tire ses cheveux, et son dos se tord de plaisir, de ses bras j’use pour plus l’attirer à moi à n’en plus pouvoir, mon doigt presse son œil sombre.
Le temps certainement bref, est suspendu en accords de nous.
L’apesanteur finalement rompu, nous-nous roulons sur le lit en sueur, trop de retenue de ma part, j’ai joui sans exploser et je me sens perdre des forces.
A nouveau en elle pour droit dans les yeux jouir de son regard.
J’ai envie de l’envelopper de mon corps, de la couvrir, mais je n’ose pas, les premières fois sont toujours une phase de découverte.
Nous restons là flottant hors du temps, avant qu’il ne reprenne son empire sur elle.
« A ton le droit de parler maintenant ?
je ne peux tarder me dit elle «
La vie reprend son cours et nous nos courses, avec ce je ne sais quoi de fort, d’inachevé, d’espérance d’encore qui font le sel de ces rencontres.
Je file vers le grand palais, j’ignore où elle va et si nous nous retrouverons ...
21:49 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (11)
25/10/2013
Éros & thanatos
Je ne sais si elle viendra.
1er rendez-vous dans l'obscurité d une chambre de son quartier.
Je doute qu'elle vienne et je redoute le SMS qui viendra.
Le SMS est arrivé deux heures avant l'heure prévue de notre rencontre.
Je l attendais mais il m'effondre :
" c'est fini depuis matin , on l'enterre samedi "
Elle est venue et son audace m'a ravie.
Son corps gracile pansant la plaie de la nouvelle.
Eros pour oublier thanatos.
Eros pour croire que l'on triomphe de thanatos ?
14:22 | Lien permanent | Commentaires (9)
20/10/2013
Crazy envie
Parmi toutes les choses que j'aimerai bien faire cette année c'est un spectacle au crazy horse qui me fait une folle envie.
22:35 Publié dans ENVIES | Lien permanent | Commentaires (5)
13/10/2013
Nancy CUNARD
Si en art je suis passionné par l’art contemporain, je n’oublie pas mes émois premiers à propos des années d’entre deux guerres :
Dada, le surréalisme, l’art déco, le modernisme, le Bauhaus mais aussi la littérature, Eluard, Desnos, Radiguet, Cocteau, Bataille, Paul Morand cet exécrable précurseur de la mondialisation, on disait alors le cosmopolitisme.
Les américains, Gertrude Stein, Hemingway, Pound, mais surtout Miller et Anais Nin.
Parmi ceux qui ont donné vie à cette si riche période, il y a Nancy Cunard, Nancy la scandaleuse, à elle seule elle incarne la quintessence de cette période, transgressive , foisonnante.
Si l’on a en tête la femme garçonne de cette période on ne peut que penser à Nancy Cunard, qui alliait un incroyable flair artistique, la libération de la femme, transgression, lutte contre le racisme.
Elle naquit en 1896 d’une famille qui roulait ou plutôt flottait sur l’or, les Cunard étaient les propriétaires de la compagnie de transatlantiques du même nom, célèbre pour un naufrage celui du Titanic.
On a souvent dit toutefois que son père était l’écrivain Georges Moore, ce qui expliquerait l'attirance sexuelle de sa « fille » pour les grands talents de ce siècle.
Une éducation dans la haute société Edwardienne aurait pu faire de Nancy le chantre de cette aristocratie anglaise, hautaine de ses richesses, de son droit d’ainesse.
Mais Nancy était toute autre, certes le fait qu’elle fut une nantie lui a permis de s’imposer dans une société cosmopolite et culturellement avancée ( possibilité déniée au démuni ou à celui qui doit travailler pour vivre, hors les artistes)
Elle incarna à Paris où elle s’était installée La Femme des années 20 dans le physique, la mode, ou la libération sexuelle et intellectuelle.
Longiligne, un port et une grâce évidente, elle avait l'habitude de couvrir ses bras de bracelets d'ivoires, une coupe à la garçonne, sa vie sexuelle ne fut pas le moindre de ses talents.
Aidée par sa fulgurante beauté archétype de cette époque, un célibat , surtout une ablation de l’utérus ( dont on ne sait si cela fut du à la conséquence d’une maladie vénérienne) sa position sociale, Nancy fit tourner bien des têtes et collectionna les amants.
On ne conservera le nom que des plus célèbres mais attention Nancy aimait les gens talentueux : Aldous Huxley lors d’amours fulgurantes et ombrageuses, il faillit y perdre tout ses biens, Tristan Tzara co inventeur de Dada, Norman Douglas,Pablo Neruda.
Aragon qui avant les yeux d’Elsa n’avait d’yeux que pour elle, d’ailleurs le Con d’Irène est largement inspiré de Nancy, la littérature mondiale faillit d’ailleurs le perdre à cause d’elle puisqu’à Venise ( Thomas Mann n’a t il pas écrit mort à Venise ?) il fit une tentative de suicide quand Nancy le trompa pour un pianiste Noir de l’hôtel Luna , originaire d’Atlanta, Georgie, Pablo Neruda, Henry Crowder.
Ce fut d’ailleurs son immense amour, elle l’emmenait partout dans les plus grandes soirées au point que sa mère la scandaleuse et leste Lady Cunard en était folle de rage. ( Nancy le lui rendit en écrivant sur elle un pamphlet et en l'envoyant en guise de voeux de noël aux amis de sa mère en 1932)
Nancy avec Henry découvrit la condition des « nègres » comme on disait à l’époque et lutta pour l’égalité des droits, s'installa à Harlem ce qui fit scandale, publiant même la première anthologie des écrivains « nègres » intitulée NEGRO, cela souleva une telle indignation dans cette période colonialiste qu’il fut interdit.
Nancy ouvrit aussi une petite maison d’édition et publia Noman Douglas, robert Grave Ezra pound, et même en 1930 Samuel Beckett c’est dire son flair. Y venaient la voir, James Joyce, Dali, Bunuel, Max Ernst, Paul Eluard, Man Ray
Elle fut aussi le fantasme de grands écrivains, on a vu pour le Con d’Iréne, mais aussi Hemingway où elle l’influença pour le personnage féminin du Soleil se lève aussi.
Bien sur elle milita pour les Républicains durant la guerre d’Espagne et fut même la première à inventer les pétitions d’intellectuels d’un usage désormais si galvaudé.
Nancy Cunard n'était pas femme "à transiger avec son désir". Toute sa vie, elle n'a transigé sur rien. Frêle, c'était une force de la nature. L'alcool, la nouba, les nuits blanches, les excès en tout genre semblaient n'avoir pas de prise sur elle. Elle portait toujours beau et chic. Vieillissante, elle continuait d'impressionner et de séduire, même des jeunes gens en âge d'être ses fils.
Cette femme qui incarna les années 20 mourut en 1965 dans une salle de l’hôpital Cochin, elle avait été ramassée dans la rue famélique , ne pesant que 26 kg, dévorée par l’alcool, les dépressions, assaillie de visions et de regrets, demandant des nouvelles de ses amis T.S. Elliot , Beckett, et Crowder son grand amour qui étaient disparus …
Il ne reste d’elle que les superbes photos de Man Ray, de Cecil Beaton, bien sur le Con d’Irène et sa légende que je ne fais que colporter ici, cette femme étant pour moi un fantasme.
henry crowder
19:10 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (15)
07/10/2013
correspondances des mille et une nuits
(fantasme absolument contractuel)
je suis un peu en retard ce matin mais avec le décalage horaire je pense que ç'a ira.
A l' heure où je vous écris je suis encore nue, assise le corps vibrant encore des secousses qui l' ont parcourus.
Vous étiez juste là en moi à chaque moment, comme une fusion imaginaire qui m' a apporté beaucoup de sensations.
Je vous raconte depuis le début....
Hier soir aprés notre conversation et votre envie de me voir faire l' amour en pensant à vous,je suis allée dans ma chambre, tirant les rideaux pourpres et épais.
J' ai déposé un peu de parfum à la racine de mes cheveux, sur mes poignets, pas trop car j' aime que l' on sente l' odeur de ma peau...
Puis je suis allée le trouver ,il était assis, énervé, presque au bord de l' explosion.
je me suis mise devant lui en le regardant avec des yeux malicieux, je les avais souligné par khol pour mieux les habiller...
je me suis avancée, j' ai pris son sexe dans ma main en le fixant de regard, j' ai adoré le voir si troublé, perdu, ne sachant plus ou il en était devant cet élan soudain de ma part...
.... Je l'ai invité à se rafraichir un peu dans la pièce d'eau en me tenant à la porte le regardant laver son sexe et son corps.
Il m'a pris par la taille pour aller sur le lit, commença à m' embrasser les seins m'a déshabillé et mordillé mon corps un peu partout, mes cuisses mon ventre mon sexe...
Voyant comme je me trémoussais sous l'effet de ses lèvres et parfois ses dents, il a glissé son doigt dans mes fesses qu'innocemment je cambrais à sa vue (innocemment bien sur) et il a commencé une exploration des plus intéressante,
qui fini par une bonne sodomie, les fesses écartées, impatientes, et apparemment très chaudes à l'intérieure,
J' ai eu le droit à ce qu' il glisse sa main sur ma bouche pour ne pas ameuter toute la maison avec mes cris de jouissances , j' adore la sodomie, encore plus quand on me tient les cheveux ou que l' on me bâillonne d' une main sentant le sexe....
mmmmmh ... to be continued
bises waid
21:14 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (11)
30/09/2013
Colère ... contre -adopte-
W... Waid, 15:16 (CEST):
objet résiliation compte ouvert sous w....@.......fr:
Monsieur
En application de vos conditions générales de vente et surtout de l'article L121-20 du code de la consommation j'exerce mon droit de rétractation sur le service que j'ai souscrit le XX XX XX.
Je vous précise que vous ne pouvez m'opposer l'article L121 - 20- 2 1° du code de la consommation qui interdit cette rétractation pour un service déjà commencé car cet article dispose que dans ce cas vous auriez dû me demander l'autorisation et m'avertir de cela.
Ci joint copie de cet article
Le droit de rétractation ne peut être exercé, sauf si les parties en sont convenues autrement, pour les contrats :
1° De fourniture de services dont l'exécution a commencé, avec l'accord du consommateur, avant la fin du délai de sept jours francs ;
Ici cela ne fut pas le cas, je ne vous ai jamais donné cet accord, aucune demande claire et non équivoque de commencer le service avant de délai de rétractation n'a été sollicité et votre publicité satisfait ou remboursé dans un délai de 12 jours est à cet égard de nature à tromper le consommateur, il n'est pas mentionné dans le renvoi que vous faites en bas de page que ce droit ne s'exerce que sous réserve du non exercice du service.
De plus, la connaissance des conditions générales de vente ne constitue pas la preuve d'un accord express de dispense du droit de délai de rétractation.
je vous remercie en conséquence de cette rétractation de clôturer mon compte adopte un mec , cesser les prélèvements à la prochaine échéance , bien que je serai en droit de demander remboursement , vous conserverez par contre celle prélevée le XX XX puisque j'ai tout de même usé de votre service
Je vous précise aussi ,que bien que cela n'est pas obligatoire, que ma rétractation est motivée sur le fait que la durée minimum d'engagement de 12 mois n'était pas clairement indiquée lors de la souscription du service.
Dans le cas d'un refus de votre part je serai contraint outre le fait de saisir le juge de proximité, d'informer la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes de vos pratiques.
Sentiments distingués
waid
Lettre utilisée contre AUM pour mettre fin à un essai soit disant sans engagement que je pouvais résilier au bout de 12 jours sans frais ...
ils m'opposaient le fait que j'avais commencé à utiliser le service ce qui rendait la résiliation impossible.
J'ai obtenu gain de cause et remboursement.
Non mais !
13:19 Publié dans COUPS DE GUEULE | Lien permanent | Commentaires (31)