07/10/2013
correspondances des mille et une nuits
(fantasme absolument contractuel)
je suis un peu en retard ce matin mais avec le décalage horaire je pense que ç'a ira.
A l' heure où je vous écris je suis encore nue, assise le corps vibrant encore des secousses qui l' ont parcourus.
Vous étiez juste là en moi à chaque moment, comme une fusion imaginaire qui m' a apporté beaucoup de sensations.
Je vous raconte depuis le début....
Hier soir aprés notre conversation et votre envie de me voir faire l' amour en pensant à vous,je suis allée dans ma chambre, tirant les rideaux pourpres et épais.
J' ai déposé un peu de parfum à la racine de mes cheveux, sur mes poignets, pas trop car j' aime que l' on sente l' odeur de ma peau...
Puis je suis allée le trouver ,il était assis, énervé, presque au bord de l' explosion.
je me suis mise devant lui en le regardant avec des yeux malicieux, je les avais souligné par khol pour mieux les habiller...
je me suis avancée, j' ai pris son sexe dans ma main en le fixant de regard, j' ai adoré le voir si troublé, perdu, ne sachant plus ou il en était devant cet élan soudain de ma part...
.... Je l'ai invité à se rafraichir un peu dans la pièce d'eau en me tenant à la porte le regardant laver son sexe et son corps.
Il m'a pris par la taille pour aller sur le lit, commença à m' embrasser les seins m'a déshabillé et mordillé mon corps un peu partout, mes cuisses mon ventre mon sexe...
Voyant comme je me trémoussais sous l'effet de ses lèvres et parfois ses dents, il a glissé son doigt dans mes fesses qu'innocemment je cambrais à sa vue (innocemment bien sur) et il a commencé une exploration des plus intéressante,
qui fini par une bonne sodomie, les fesses écartées, impatientes, et apparemment très chaudes à l'intérieure,
J' ai eu le droit à ce qu' il glisse sa main sur ma bouche pour ne pas ameuter toute la maison avec mes cris de jouissances , j' adore la sodomie, encore plus quand on me tient les cheveux ou que l' on me bâillonne d' une main sentant le sexe....
mmmmmh ... to be continued
bises waid
21:14 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (11)
30/09/2013
Colère ... contre -adopte-
W... Waid, 15:16 (CEST):
objet résiliation compte ouvert sous w....@.......fr:
Monsieur
En application de vos conditions générales de vente et surtout de l'article L121-20 du code de la consommation j'exerce mon droit de rétractation sur le service que j'ai souscrit le XX XX XX.
Je vous précise que vous ne pouvez m'opposer l'article L121 - 20- 2 1° du code de la consommation qui interdit cette rétractation pour un service déjà commencé car cet article dispose que dans ce cas vous auriez dû me demander l'autorisation et m'avertir de cela.
Ci joint copie de cet article
Le droit de rétractation ne peut être exercé, sauf si les parties en sont convenues autrement, pour les contrats :
1° De fourniture de services dont l'exécution a commencé, avec l'accord du consommateur, avant la fin du délai de sept jours francs ;
Ici cela ne fut pas le cas, je ne vous ai jamais donné cet accord, aucune demande claire et non équivoque de commencer le service avant de délai de rétractation n'a été sollicité et votre publicité satisfait ou remboursé dans un délai de 12 jours est à cet égard de nature à tromper le consommateur, il n'est pas mentionné dans le renvoi que vous faites en bas de page que ce droit ne s'exerce que sous réserve du non exercice du service.
De plus, la connaissance des conditions générales de vente ne constitue pas la preuve d'un accord express de dispense du droit de délai de rétractation.
je vous remercie en conséquence de cette rétractation de clôturer mon compte adopte un mec , cesser les prélèvements à la prochaine échéance , bien que je serai en droit de demander remboursement , vous conserverez par contre celle prélevée le XX XX puisque j'ai tout de même usé de votre service
Je vous précise aussi ,que bien que cela n'est pas obligatoire, que ma rétractation est motivée sur le fait que la durée minimum d'engagement de 12 mois n'était pas clairement indiquée lors de la souscription du service.
Dans le cas d'un refus de votre part je serai contraint outre le fait de saisir le juge de proximité, d'informer la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes de vos pratiques.
Sentiments distingués
waid
Lettre utilisée contre AUM pour mettre fin à un essai soit disant sans engagement que je pouvais résilier au bout de 12 jours sans frais ...
ils m'opposaient le fait que j'avais commencé à utiliser le service ce qui rendait la résiliation impossible.
J'ai obtenu gain de cause et remboursement.
Non mais !
13:19 Publié dans COUPS DE GUEULE | Lien permanent | Commentaires (31)
16/09/2013
Envie de ...
22:58 Publié dans DIVAGATION, ENVIES | Lien permanent | Commentaires (8)
11/09/2013
Ma vie est un enfer
( contractuelle dans ... mois années)
Mon minois ne suffit plus, j'ai du me mettre à la muscu ...
sur suggestion de Fifi bulle
23:18 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (45)
09/09/2013
Nuit de la cave
Au programme soirée quatuor, mais le maestro est capricieux un sms nous donne rdv prêt de chez ma logeuse.
L’immeuble comporte une cour, une porte de fer en fond, nous tapons, DSK nous ouvre, enfin son sosie, un escalier de pierre qui descend dans les tréfonds, une corde pour s’accrocher, la descente commence au sens propre et au figuré.
Une cave du 13e siècle d’un château rasé à la révolution, les pierres nues, un mobilier en fer, des tissus oranges 80’s à ma droite des bocaux de verre à l’intérieur des dessous, un prénom et une date, notre DSK est un maitre BDSM mais à ce palier je ne vois qu'un maitre du kitsch.
Champagne de rigueur, mauvais, je suis snob, mais l’hédonisme est peu compatible avec les ersatz.
Nous l’écoutons pérorer sur ses aventures, sa cave est célèbre, le tout Paris y accourt, des noms nous sont livrés, notre sosie de DSK nous indique qu’il a partagé une maitresse avec l’original, il porte cette anecdote comme un ruban rouge à sa boutonnière. Sans la femme de chambre de New York il aurait pu la recevoir des mains du président libertin.
Un homme est à ses cotés, sportif, il nous indique être un gode sur pied, homme aux 3000 culs défoncés, notre DSK nous indique qu’il aime à voir ses suppliciées livrées à des hommes priapiques, pour le bonheur de leurs maris.
Un vague gout amer dans ma gorge, pas le champagne mais la vision d’hommes pas assez virils substituant le BDSM à une bite qui ne suffit pas à la libido de leurs compagnes.
Nous descendons plus bas, le purgatoire.
Une salle des questions, celle de l’inquisition, tout y est.
Au centre une table chirurgicale surmontée d’un palan électrique, plus loin un fauteuil gynécologique, une croix de saint André, un pilier avec des fers, une cage , dans la pièce plus au fond un grand lit et un cercueil.
De belles commodes sont remplies de godes, de chaines, de cordes d’anneaux à sertir, des pinces, des aiguilles, des vibro-masseurs.
L’amie du couple qui nous accompagne est déshabillée, on lui masque le visage, la place sur le lit chirurgical, qui s’écarte pour la placer en croix, le lit monte et des chaines lui sont mises de telle sorte qu’elle peut une fois le palan mis en marche monter en croix, et attendre suspendue son sort.
Coups de martinets et de cravache sont donnés par le maitre de la cave, son public derrière il aime à attendre les gémissements de sa victime..
Elle se trémousse, les chaines tintes, pour faire silence on la bâillonne.
Cela m’ennuie un peu, le fauteuil à coté de nous est tentant je demande à ma coquine de s’installer et je me place entre ses cuisses, tout est prévu même un coussin pour ma génuflexion.
La tête plongée en elle, un voisin lui caresse les seins, elle se trémousse et gémie de ma langue titilleuse ... trop on nous dit de faire silence, nous génons à la séance, le recueillement est de mise.
J’entends la tête enserrée dans les cuisses un bruit de cliquetis, puis des gémissements très forts et des chaines qui se choquent, je lève la tête pensant que ce bruit ressemble à une tondeuse, notre maitre taillerait il le buisson de la suspendue ?
je n'ai jamais vu cela et cela m'amuserai.
Non c’est son petit gode qu’il use sur la chatte en feu de la suppliciée qui gémit et coule de jouissance.
Elle est redescendue, remise sur le lit chirurgical épuisée, son homme s’approche, elle sanglote et il l’enlace …
Au tour de ma coquine, la voilà suspendue nue, le Maitre prend une perche avec un gode au bout et l’empale, elle ose dire qu’elle n’aime pas les godes, le Maitre est interloqué on ose dire quelque chose, il recule, tourne sur lui même.
"On est pas chez charlot ici, les soumises se taisent, je te descends la séance est terminée …"
Sa colère monte, éclate, il en est homériquement ridicule, son autorité contestée est contestée dans son royaume, j'ai envie de rire, je me pince les lèvres décidement cette nuit est bien SM.
Ma coquine se rhabille, les autres sont muets.
Nous remontons dans la partie kitsch, nouvelle bouteille de champagne et anecdotes de l'hôte, il nous raconte comment un homme était devenu le cheval d’une domina, le matin il était attelé et tirait une carriole en recevant des coups de cravache.
Nous apprenons qu’un acteur célèbre pour ses amours princières était venu se faire sucer par une soumise aveuglée devant sucer tout ce qui se présentait à sa bouche.
Plus tard dans un autre lieu, un hotel de province pour être plus précis, le hasard de la vie me fera gouter aux talents de sucions de cette femme, d’une douceur incroyablement efficace d'ailleurs.
L’heure tourne, 3 heure au cadran ma coquine se trémousse, il lui manque une bonne partie de jambes en l’air,Je m'ennuie ferme aussi, je prétexte une fatigue, et nous remontons enfin l’escalier, la porte de fer se referme sur nous.
Paris est vide avec le couple qui nous accompagne nous allons vers l’appartement tout proche de mon accompagnatrice, les 5 étages gravis nous voilà nus à 4 dans son lit.
Baise "cotacotique ", nos voisins étant trop amoureux pour partager et puis ma logeuse veut me croquer le cuni l’avait affamé, je la nourrie de ma bite qui avait fort faim elle aussi, la douleur d'autrui met en appétit sans nourrir son homme.
Cinq heure, l’heure du sommeil des braves, nos voisins nous quittent, nous remettrons le couvert 3h plus tard en rigolant de la colère de ce Maitre.
Je lirai quelques mois plus tard son livre, tout à fait de lui … pédant et narcissique.
Je ne suis plus retourné dans un donjon, je suis plus sexuel que cérébral pour tout dire, ce texte vous l'avoue même pas sous la torture ...
00:08 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (14)
06/09/2013
Analmour
Elle me parlait de son amour fou
Je n’étais que son amour chou
Sur le son d’anamour
Nous passames une nuit analmour
16:47 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (11)
02/09/2013
Mauvais oeil
Mon sexe sort de l’anus, la capote est légèrement souillée
De ma main droite j’introduis à nouveau ma verge et je fourrage
Ses gémissements m’invitent à des coups plus profonds plus rapides
Elle est au paroxysme et s’écroule en boule, ses jambes tremblent
Bite à l’air la sueur de mes échauffements me coule dans les yeux
De ma main j’ôte cette goute de l’œil droit, j’oublie que ma main est souillée
Le lendemain ma paupière est gonflée et me fait mal
Verdict de la faculté, blépharite, infection de la paupière par bactéries, 7 jours d'antibio est une paupière gonflée pendant 3 semaines ...
La sodomie donnerait elle le mauvais œil ?
10:58 Publié dans COUPS DE GUEULE, ELLE | Lien permanent | Commentaires (22)
25/08/2013
Nuit Oops
Le petit couple de hipster s’emboite, elle sur lui, mouvements lents, lascifs, leurs corps se tendent et se détendent réduisant leur présence sur le matelas noir.
Derrière eux une grande baie, les lumières de Barcelone éclairent la scène.
Couples éparpillés dans la pièce qui se pénètrent. La cadence du plaisir de chacun pour concert de leurs mouvements.
Ma novice est aux anges, je n’aurai pas pu espérer endroit plus propice pour l’initier aux frissons des amours collectifs.
Nous étions arrivés tard dans cette grande maison des hauteurs de Barcelone, quelques couples en tenue se dirigeaient vers un portail anonyme, derrière une grande maison patricienne début du siècle avec ses parement de pierre et de stuc.
A l’intérieur, en total contraste, de vastes espaces ouverts donnent sur des pièces aux tonalités grises, décor ultra contemporain qui redonne un coups de jeune à cette architecture centenaire.
La clientèle est parsemée, plouc sexy, nulle envie de partager.
Une heure plus tard, dans la solitude des coins câlins, nus sur la couche de nos envies de stupre nous jouons de nos corps, préliminaires précurseurs des autres convives.
Les couples s’installent, les peu appétissants sont partis, les plus mimis sont restés.
Les sens s’éveillent, vision d’une fesse féminine, d’un sexe avalé.
Amazone, missionnaire, levrette les jeux commencent et les premiers râles excitent nos envies.
Une belle grecque nous regarde, son homme allongé la suit, je lui prends la main et lui l'appelle en désignant ma compagne.
Elle se tourne vers son homme, il opine, voilà ma coquine initiée aux baisers saphiques.
Plus tard alors qu’elle suce son complice , elle se lèvera, viendra chercher ma libertine et l’installera sur le sexe dressé de son compagnon. Empallement libertin pour ce hongrois, une première offerte par sa compagne.
Elle m’amènera loin pour ne pas les perturber et tentera de me redresser des mes jouissances passées.
A peine sa bouche commence à faire de l'effet que je vois ma belle empalée qui revient, suivie de son chevaucheur, sexe flasque,une capote pleine de foutre qui pend. Vision drolatique dans cette antre onirique.
C'en est fini pour moi mon inconnue grecque me quitte.
Partout des couples enlacés, partageurs ou pas, performeurs ou lascifs, partouze chic.
A la cave une croix et des fouets, un couple fornique, c’était nos voisins de tout à l’heure, elle hoquète de jouissance, ce son érogène me remet en scène.
Sur le divan bas, ma belle totalement dans l’ambiance a oublié toute ses timidités, elle dresse sa croupe humide, je l’emplie et nous revoilà dans nos chairs coulissantes.
Dernier feu de cette nuit magique.
Il est Cinq heure, les sens apaisés, envie de retrouver notre hôtel.
Nous quittons cet endroit, titubants de sommeil et de fatigue.
A l'arrière du taxi silencieux dans le noir illuminé de la ville, heureuse et étonnée elle même de ses audaces, ma coquine se blottie contre moi, un oeil lubrique et amusé nous observe dans le rétroviseur.
L'adresse et la tenue de ma jeune compagne ne font pas de doute pour le chauffeur quant à la raison de notre fatigue ...
21:10 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (14)
19/08/2013
summer pictures (6)
contractuelle
00:29 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (18)
14/08/2013
summer pictures (5)
(contractuelle)
16:10 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (11)
11/08/2013
Mail privé
Message privé à l’attention de royale coquine
Je serai heureux de continuer notre dialogue
01:13 | Lien permanent | Commentaires (8)
10/08/2013
summer pictures (4)
(contractuelle xaddict photographe)
22:52 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (7)
04/08/2013
Summer Pictures (3)
(contractuelle)
22:31 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (9)
28/07/2013
Summer Pictures (2)
(contractuelle)
17:05 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (15)
22/07/2013
summer pictures
(contractuelle)
23:33 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (20)