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06/05/2012

Confession

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Comme un alcoolique honteux qui cache son état,

je suis un désabusé qui cherche à chasser la clairvoyance de son regard dans l’ivresse du désir

Je cours pour me prouver que je me trompe

Marathon où je lutte pour ne pas abandonner malgré les chutes de mes audaces de confiance

Me relever et recommencer pour ne pas sombrer

29/04/2012

(suite) masochisme Wartenberg

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Cette roue qui avait effleuré son corps excitant ses parties sexuelles d’une pointe délicate, pénètre désormais en elle, s’enfonçant dans la peau diaphane et pure.

Au gré de ma pression, de plus en plus intense, se créé un chemin de trais rouges, perlant parfois de ce sang qui afflue dans mon sexe en excitation de ma perversion.

Nuls cris de sa part, sa chair se contracte et ses yeux s’humidifient au fur et à mesure de la démesure de ma pression, mais la douleur subie, son regard fier reprend comme une invite à plus.

Le sentier de douleur va du bas de la gorge à l’intérieur de ses cuisses, une ligne de sang sur un corps en sueur.

Elle m’observe, crânement, triomphatrice de l’épreuve, ce regard veut plus.

Je sors ma fiole, imbibe le coton d’alcool à 90°, le porte sur les plaies, en sens inverse du parcours de la roue.

Elle sursaute et lâche un cri qui éclaire mon œil d’une satisfaction sadique, tandis que son regard me fixe pour regretter sa perte de contrôle.

Imperturbable, je continue de jouer de mon coton et de la fiole, m’attardant plus longuement à proximité de son sexe humide intouché jusqu’alors.

La douleur des épingles devient ligne de feu, corps coupé en deux d’une brulure profilaxique.

Elle se tord sur le sol, beauté d’un corps violé d’une ligne de douleur.

D’un ordre j’exige qu’elle se mette à quatre pattes, lui glisse une corde sous le cou, et tourne les deux brins pour l’enserrer.

Elle commence à étouffer et je relâche très légèrement la pression.

Alors d’une main, tenant la corde comme les rênes d’un attelage, je m’enfonce dans son trou le plus étroit, sans préparation aucune. Sa carotide se gonfle du cri qu’elle ne peut pousser.

étouffée, je relâche un peu la corde et pousse plus encore dans ses entrailles.

Sa main tape le sol et d’une puissante claque sur la fesse j’applique une douleur de divertissement.

Les sphincters désormais matés, je peux coulisser au gré de mon plaisir, mon sexe est trop étroit dans ma propre chair tellement je suis excité, je deviens animal, butor l’oubliant, m’oubliant pour me concentrer de la seule sensation de ma bite qui jaillira avant que mon cerveau n’éclate en déflagration rouge et bleue, nuage champignon de mon orgasme.

Nous nous jetons sur le coté, le froid des tomettes me saisi, les yeux au plafond, je jouis des restes de mon inouïe explosion, elle se tourne vers moi et m'enlace.

 

 

 

25/04/2012

Masochisme

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« Homme sadique cherche maso « 

 

A cette annonce elle avait envoyé les photos de ses fesses martyrisées, chef d’œuvre de scarification avec ce mot : « Il m’a quitté , la douleur s’en est allée, elle me manque en seriez vous capable ? »

 

Café, place Palais Royal, j’attends. Elle arrive, visage diaphane de blonde sage, une tenue passe partout et une lassitude dans son regard délavé. L  est clerc de notaire. Elle s’ennuie à rédiger des compromis de vente et s’ennuie encore plus à voir les jeunes hommes de son âge qui tentent de la séduire. Elle n’aime ni le sexe alcoolisé en déshynibateur, ni les jeux vidéos, ni les coups de reins en pornos mal digérés.

 

Définitivement classée comme asexuée par ses connaissances masculines, elle cache un amour pour la douleur né des punitions de son père.

Me ferez vous réellement mal ? Je n’aime pas les amateurs me dit elle, j’aime la souffrance lente qui monte et qui me tourne les sens.

 

Je suis averti, rendez vous pris deux semaines plus tard.

 

Même air doux et résigné. Ses habits tombent à ses pieds. Ses marques ont presque disparues, page blanche pour les maux que je vais y apposer.

 

La pièce est vide à l’exception d'un fauteuil de cuir au dossier carré.

 

Au plafond deux crochets et des liens qui y pendent.

 

Elle marche pied nu sur la tomette, et se dresse devant moi, son regard s’éclaire, il est presque crâneur, mes doigts se crispent sur la trousse noire que je tiens ...


( à suivre ...)


23/04/2012

Curiosité New Yorkaise

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( à monsieur pseudo ce n'est pas ma photo

à mes lectrices je n'ai pas l'adresse mail du modèle)


Si paris est une ville de plaisirs, londres une ville d’excentricité New York est la patrie du paraître.

Nul par ailleurs hormis à Tokyo les looks sont aussi recherchés et pointus.

Le New Yorkais branché la trentaine porte

 

Une coupe avec mèche

Une barbe

Des lunettes présentes noires

Une chemise

Un gilet ou une veste

Un jean ou un chinos avec bas retroussés et pantalon très relevé

Une paire de chaussures pas géniale en principe

Certain une bite en plastique molle pour donner l’illusion d’une présence d’importance dans le pantalon

En effet, vu dans un sex shop de New York des sexes d’hommes au repos en plastique mou, curieux j’ai interrogé la vendeuse sur leur usage, elle m’a montré les slips qui permettent de les porter sous un jean; ça donne de la présence m’a t elle dit.

Je suis pas assez bon angliciste pour lui avoir demandé si quand le slip tombe l’éclat de rire  est assuré.


Le plus incroyable est que j'ai vu aussi ce type d'appendice en petite taille, à ne rien y comprendre.

18/04/2012

domaine de V séance photo 4

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photo contractuelle G à l'appareil

08:52 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (13)

16/04/2012

domaine de V fin

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21:33 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (6)

15/04/2012

de retour

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De retour, les poches vides de texte mais les valises pleines d'images...

 

23:39 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (6)

13/04/2012

domaine de V séance photo 2

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12/04/2012

domaine de V séance photo 3

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11/04/2012

domaine de V séance photo

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10/04/2012

A NEW YORK pour la semaine

 

 TAXI DRIVER ( note de septembre 2009 curieusement cette paire de fesses sera à NY la semaine prochaine aussi)

 

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(c) chut ... envoi anonyme

 

Bar du Marriott, eleven PM o’clock, Manhattan, New York.
Avec pour compagnon un cognac mon aîné de vingt ans, j’écoute les couples qui discutent autour de moi, seul dans la ville monde qui ne dort jamais.

Sont-ils amoureux ou en affaire, joignent-ils l’utile à la bagatelle, dans cet univers où le seul dieu est dollar et ses voies business.
Enfoncée dans les fauteuils moelleux, une femme lit Cosmopolitan, version française.
Il est vrai que la grosse pomme ressemble à un verger normand tellement elle est parcourue par nos congénères, ivres du taux de change.
Elle croise et décroise ses jambes, absorbée par la lecture, la couverture du magazine vante les amours imprévus de l’été.
Vêtue d’une robe verte, elle a l’élégance et la classe naturelle des françaises que les américaines n’atteignent qu’après des années de lectures de Vogue et des milliers de dollars offerts aux prêtresses de Bloomindale.
J’aime les bars des grands hôtels , on y trouve toujours d’excellents cognacs, des représentantes de commerce russe et des imprévus.
J’avais goûté au cognac, j’aspirais à l’imprévu, serait-il lecteur de Cosmopolitan ?
Un mot griffonné à son attention et confié au barman pour le savoir.
« J’aime moi aussi lire Cosmopolitan quand il raconte une rencontre imprévue au bar du Marriott à NY avec une belle française, posez le magazine si de lectrice vous souhaitez devenir actrice de l’article »
Elle lit, l’attente , je doute …
Victoire, elle pose le magazine après un regard discret en ma direction.
Je griffonne un deuxième billet, poulet encore une fois confié aux bons soins du barman.
« Si l’inconnu vous fait frissonner comme moi, alors allons au Morgan où je loge, la nuit est longue, la vue vertigineuse, le lit immense comme mon envie de vous entendre jouir »
La belle sourit, son œil s’illumine, elle se lève, règle, et prend l'ascenseur.
Je la suis. Trop tard. Les portes se referment, je saute dans celui d’à coté .
Le lobby est vide, je passe l’entrée et la vois sur le trottoir hélant un taxi.
J’hésite. Dois-je la rejoindre, ne suis-je pas allé trop loin ?
Avant de s’engouffrer dans le cab, ses mains se portent sur sa jupe, elle la soulève et me montre ses fesses, comme une réponse à mes questions.
Il serait goujat d’ignorer une telle invite. Je saute dans le taxi qui suit, donne un billet de 1OO dollars au chauffeur en exigeant qu’il ne perde pas de vue le taxi devant.
Après une longue course, comme pour me faire languir, nous nous arrêtons devant le Morgan.
La suite … et bien lisez cosmopolitan l’année prochaine nous l’avons envoyé au journal pour les remercier.
 

PS ce texte m’a été inspiré par un chiche brillamment emporté par une belle et surtout par un de ses mails de l'été
 

 

 

 

14:52 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (5)

05/04/2012

Nuit rêvée par l'autre bout de la lorgnette

 

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Nous rentrons chez moi, repus après un excellent repas. Je suis en manque de son contact, de son corps après son absence mais le sens ailleurs. Nous nous couchons, discutons, ambiance un peu tendue. Malgré cela, envie de lui. Besoin de jouir pour me détendre, trouver le sommeil. Je commence à le caresser, le suce, l’encapuchonne et l’enfourche avant de passer en missionnaire, classique que nous apprécions beaucoup tous les deux. Je jouis, heureuse ; lui non, pas envie de faire durer, nous avons trop et trop bien mangé pour cela. Il se retire, je me blottis contre lui pour essayer de trouver le sommeil. Celui ci se fait désirer, je somnole à peine, encore tendue. Les heures passent, je tourne et retourne dans le lit, Waid essaie de dormir. De nouveau envie de lui mais il dort, point d’envie nocturne ni de sexe spontanément dur, tâtage de bite à l’appui.  Je commence à me branler mais il me manque une queue en moi. Après une pénultième et vaine vérification sur la bête (sait-on jamais…), je sors Tom de son tiroir, une noisette de lubrifiant et me l’enfonce. Mes mouvements ont à moitié réveillé Waid, il bougonne, fatigué. J’en profite pour le faire participer, lui vole une main que je pose sur moi tout en faisant aller et venir Tom dans mon sexe. Orgasme enfin et le sommeil tant cherché. Je rejoins Morphée et Waid fait de même après avoir protesté que j’exagère, quand même !

 

Epilogue

Le lendemain soir, nous discutons de tout de rien. Je lui glisse au passage : C’était très bon hier soir quand tu m’as baisée, merci. Mais je ne t’ai pas baisée ! Ah ??? Non, tu as rêvé, tu t’es juste branlée avec Tom, deux fois en plus, pas moyen de dormir ! …

 

Je reste bouche bée de cette révélation : impossible de savoir si j’ai rêvé cette baise ou non, aucun détail qui me permette de faire la différence. Et bien sur, inutile de compter les nombreuses capotes dans la poubelle pour me donner la réponse…

21:23 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (22)

03/04/2012

Nuit rêvée

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Dans la pénombre du lit partagé, le ventre tendu d'agapes bien arrosées, ma libido est loin, dans les limbes d'un estomac trop plein.
 
A côté de moi, ma logeuse me tourne le dos, enveloppée dans les bras de Morphée.
 
Je sens ses fesses s'agiter, ses jambes prendre vie, sa main sur son sexe, la dame se donne le plaisir nocturne que ma bite rassasiée qu'une poularde de Bresse à la broche lui a refusé avant l'extinction des feux.
 
Je suis intrigué, des râles commencent à poindre, la coquine n'y va pas de main morte.
 
Elle se redresse allume la lumière et ouvre le tiroir au stupre de la table de nuit, fouille, enlève menottes, vibro et autre boules pour un sexe rose à forme anatomique, de taille humaine ou plutôt d'une taille presque identique à la mienne.
 
Ce gode s'appelle Tom, nom de baptême donné alors qu'un Tom trop mou nous quittait d'une soirée trio et qu'il était avantageusement remplacé par la raideur de ce substitut d'homme qui fut appelé ainsi en souvenir des services rendus.

La voilà Tom en main qui se l'enfonce dans la chatte et commence à gémir.

Pas un mot à mon attention, ni un geste je suis absent.

Puis une main attrape mon bras gauche et pose ma main sur ses seins, son corps se love contre le mien, la main plaque la mienne pour que je lui presse la poitrine et le manège hédoniste continue jusqu'à son point d'acmé.

Tom est enlevé, ma main repoussée, le calme revient dans la chambre sans qu'une parole ne soit échangés.

Le lendemain à midi une confidence, " tu m'as divinement baisée cette nuit, c'était bon ... j'ai adoré"

suivie d'une confession, " je n'ai rien fait du tout cette nuit, tu dormais et tu t'es à ma stupéfaction branlée devant moi "

et d'une conclusion

pour la première fois nous avions vécu chacun différemment une crise de somnambulisme sexuel.

02/04/2012

Modération

en trois jours J'avais rendez vous avec : 

une clerc de notaire

un modéle   pas confirmé

une communicante

une galeriste

une architecte

une enseignante

 

mais n'allez pas croire que je veuille coucher avec toutes quand même ... j'aime avant tout discuter

 

bon ok

 

j'ai payé la clerc de notaire

j'ai couché avec la communicante

j'ai mangé avec la galeriste et n'ai pas osé alors qu'elle se séparait de 16 ans de vie de couple aller plus loin

j'ai stoppé l'archi à la mini mini jupe 45 mn et j'attends son projet

on a couché avec l'enseignante

je bookerai une autre date pour le modéle

note de fainéant vous l'aurez compris ...

 

 

 

27/03/2012

Nuit dépravée

 

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Retour de pause restaurant après ces instants avec elle. Dans le lit de ma logeuse absente pour cause d'anniversaire et plus si affinités, je ferme les yeux
 
C ... est dans la salle de bain, moi sur cette couche qui a vu tant de galipettes qu'elle ne s'en souvient plus, en mémoire ma queue qui quelques heures plutôt enfin fusionnait avec le si mimi bas ventre de C. Tension enfin noyée dans la cyprine de son envie, fusion charnelle enfin consommée de nos corps appétant. Ses yeux qui tête en bas et sexe en l'air s'humidifiaient de mes vas et viens lents et profonds. Coups d'archets de musique de chambre. Ses cris oh oui, putain que c'est bon couverts par mes râles de plaisirs au déplaisir de la voisine.
 
Mentalement je me destinais à remettre le couvert, envie de sa chatte encore; moi qui avais été frustré lors de notre première rencontre de ne pouvoir visiter que son cul.
 
La sodomie est bonne mais plus grande est la fusion d'une bite dans une chatte et orpheline une unique sodomie.
 
Je ferme les yeux et une main me frôle, j'ouvre les yeux et vois étonné E ...  ma logeuse accroupie à me caresser, encore en tenue de sa soirée.
 
- Mais ton plan cul ?
 
- Oublié je suis rentrée.
 
Les longues jambes de C passent la porte, en soutien gorge et cul à l'air elle vient me rejoindre et découvre  E ...
 
surprise, arrêt, interrogations sur son visage.
 
Ma logeuse est une vorace et profitant de ma nudité m'enlace puis me dévore la bouche.
 
C... s'approche et s'assied sur le lit à nous regarder, acquiesçant implicitement à l'incroyable nuit qui allait se dérouler. Elle pourtant non libertine dont le la seule transgression au rite du couché amoureux fut trois rencontres adopte un mec.

Rapidement je suis en E ... et rapidement elle gémie, ce qui conduit C ... à se caresser à nos cotés.

Me voilà quittant E ... pour C ... qui commence à sucer E ... Puis deux bouches pour ma queue et quelques doigts pour mon cul en guise d'apéri-culs, il faut beaucoup de force pour ne pas exploser en préliminaires.

La nuit fut échange de l'une à l'autre les capotes emplissant la poubelle à chaque changement, me levant pour me laver les mains ou la bite pour respecter l'hygiène de chacune.

Scènes de trio banal si ce n'est l'efficacité et le naturel de C ... dans ses caresses buccales à E ... ou dans son laissé aller à nos caresses ondoyantes.

Mais le banal ne devait pas être le thème de cette nuit et cette coquine d'E ... propose à C ... de la prendre au gode ceinture ce qui ravie notre novice.

La voila sur E ... qui la pénètre de son gode, son cul m'est offert, ville ouverte aux soudards qui vont la piller, ma bite en bélier pour forcer ses défense s'enfonce comme doigt dans motte de beurre, il est vrai que mon chibre est raide de cette nouvelle composition.

Tout au fond je sent le gode d'E ... Commence alors une longue double pénétration ponctuée des cris de plaisirs ou d'encouragement de C ... littéralement ouverte de nos deux bites qui glissent doucement en elle pour l'affolement de ses sens.

E ... toujours dessous est ravie et reçois l'humide hommage de notre C qui coule sur elle.

Mon sexe se sent de plus en plus à l'aise dans son anus qui me laisse libre court, plus de lenteur , plus de mesure, j'entre au plus profond là où la bite de E ... me titille à travers la parois mon frein.

La voisine à du nous maudire de nos jouissances sonores au diapason de nos plaisirs.

Je sens que je vais exploser et sans retenue aucune conduit les coups de reins qui vont provoquer mon orgasme.

Celui ci est d'autant plus puissant qu'il est le premier de la soirée à ce moment là milieu de la nuit.

électrochoc au niveau de la bite dans ce cul devenu suffisamment lâche pour me permettre de coulisser sans difficulté, suffisamment étroit pour me conduire en d'infinis plaisirs.

Je m'écroule sur ses fesses, C ... est sandwich, tranche de coquine entre deux pains au levain pervers.

Je sors, sexe encore dur, C ... se libère de la bite en plastique d’E ... qui se relève.

La coquine est en transe de ce qu'elle a vu et vite me suce pour me remettre en selle, son orgasme sera puissant.

La nuit s'impose, nous nous serrons l'un contre l'autre, tendres visages sous mes bras qui les enserrent.

Parfois un bisous.

D’autre fois pris de bouffées de chaleur nous tentons de nous éloigner les uns des autres dans l'étroit lit, pour plus nous enlacer quand nos corps ont trop froidis.

Le sommeil nous donne quelques forces et au matin E est encore plus en appétit, C ... moins, je nourrie mon affamée de coups de rein bien appuyés ce qui réveille l'envie de C ....

La voilà sur le ventre à plat, moi au dessus d'elle en pompe matinale, me voilà sportif comme jamais je ne l'ai été, mes bras et mes reins épuisant notre C ...

E ... me lance garde des forces pour moi, et profitant d'une demande de souffle de C ... me souffle à elle pour jouir de moi.

Tout cela me donne envie de jouir mais mes excés me rendent l'orgasme plus difficile. J'ôte le préservatif, demande à E de m'enfoncer un anéros, me voilà ouvert de son entrée en mon tréfonds.

Ma bite se raidit plus encore, mes sens sont incroyablement plus aigus . Mon sphincter joue à titiller via l'anéros mon point P, je me trémousse et me sens déffaillir quand les bouches m'avalent.

Ma jouissance sera hurlante et plus grande sera celle de voir deux paires d'yeux brillants, du spéctacle d'une main qui branle une bite ivre de jouir et déversant en gouttes brûlantes la semence de mon engeance.


Tout cela fini à midi dans l'odeur fauve d'une nuit de stupre.

L’eau de la douche pour nous laver de nos pêchés et les mots posés ici pour me confesser de cette nuit de dépravé.