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18/04/2011

Une nuit où je me morfondais

 

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Une nuit où je me morfondais, dans des draps trop bien repassés, je l'ai vue et j'ai bandé.

Son cul était petit , sa taille fine et ses jambes minces soutenaient une silhouette gracile.

Regard mutin aux perles noires, couleur de jaie de ses cheveux.

Ses petits seins arrogants pointaient leurs désirs et me tiraient des soupirs.

Bite en l'air et main dessus je me suis branlé.

Casanova appelait cela se manustuprer.

Le plaisir est monté.

Mon corps s'en est allé, de ci, de ça, en des chemins de bohéme que vagabond des nuits je bourlinguais.

Mes jambes se sont figés , mes muscles tétanissaient pour mieux m'électriser, une main parfois pinçait un de mes tétons, brûler de jouir.

Et mon foutre montait comme montait mon trouble, tête qui hocquetait ou dodelinait au métronome de ma main qui extirpait d'inommables jouissances.

Le monde  rouge comme mon chibre dont la carnation rougeoyait.

Je bandais dur à défaillir.

Les minutes étaient heures et mon corps suait.

Des sursauts et des coups de tête en arrière je me suis laissé aller.

Mes poumons ont craché le cris de cet abandon, mon sexe a craché le blanc de ma reddition.

Jus qui saute et gicle au dessus de ma main , sur mon corps , les draps ou le mur.

Jus qui dardait tant que son laché m'a estomaqué.

Jus dont l'odeur se joint à ma transpiration qui inonde les draps.

Jus miraculeux qui conduit mes nuits en des processions licencieuses.

J'étais oin de cette huile libertine que les coquines goûtent au sacre de leurs baisers.

J'étais vidé et heureux

Je pouvais me rendormir effaçant le doux souvenir de cette silhouette convoquée pour m'exciter.

08:31 Publié dans ENVIES | Lien permanent | Commentaires (7)

13/04/2011

Brûler la chandelle par les deux bouts (1)

 

 

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Minuit, sonne le juste, devant une devanture noire et anonyme d’un magasin parisien.  La porte s'ouvre nous pénétrons dans ce qui n'est qu'un sas.

Devant une porte blindée, à droite une caméra, souriez nous sommes filmés.

Nous attendons que l'on nous jauge, la sélection est drastique, les chandelles tiennent à leur réputation.

La porte s'ouvre sur un homme efféminé, à la silhouette chère à Hedi Slimane, l'ancien styliste de chez Dior qui avait révolutionné la mode masculine, en imposant des hommes sans corps, frêles et quelque peu maladifs.

L'entrée est étroite, un petit comptoir, un vestiaire, dans le dos une console, et un escalier qui descend.

Nos prénoms sont demandés, notés sur une fiche qui nous est remise, sacs, mentaux et vestes déposés au vestiaire, nous sommes prêts pour descendre dans l’antre du vice parisien.

Les escaliers étroits, éclairés à chaque marche, nous mènent au sous-sol, une longue pièce voûtée percée d'ouvertures qui s’ouvrent à d'autres pièces.

Capitons rouges sur les murs, sol en dalle, miroirs, chandeliers, verrerie, nous sommes dans un boudoir luxure.

La musique envahit les lieux, la lumière d'une sono traverse parfois le seuil de notre pièce.

Sur les dessertes un buffet de friandises, petits oursons Cémoi sur coupe de verre, Michocos dans boite d'argent, Carambars dans drageoirs , quelques coupes de fruits, fraises, ananas tranchés.

Les papilles apaisées du sucre grappillé, nous poursuivons notre exploration.

Des couples apparaissent, je suis subjugué par la beauté des jambes, compas fins qui arpentent ce lieu, les talons aiguilles sont vertigineux, les culs à tomber.

Robe courte de vigueur, talons de 12 cm comme norme, jupes , robes courtes, décolletés excitants, les appâts féminins sont de mises et quelle mise.

La clientèle voisine entre 25 et 40 ans pour les femmes, un peu plus âgée pour les hommes.

Silhouettes fines pour les dames, parfois bien musclées pour leurs compagnons.

Il ne se dégage aucune vulgarité du lieu, ni des gens, les hommes portent encore cravate de la journée de travail, cadres supérieurs, peu de vieux libidineux (que sont devenus les vieux libertins), quelques professionnelles, beaucoup de couples, pas mal de sex friend.

Nous nous installons au bar pour contempler, dans cette seconde salle qui sert de piste de danse, sur les bords des banquettes rouges, des petits poufs et des tables noires. La piste de danse petite, agrandie par des miroirs en fond.

La serveuse est une jolie brune, avenante et gai, envie de l'embrasser.

Les jolis petits culs des femmes qui virevoltent autour de moi affolent mes sens, mon accompagnatrice le voit et s'en amuse, jalouses passezvotre chemin il n'y a que souffrance en ce lieu libertin.

 

à suivre ...

03/04/2011

Hotel RELAX Marseille

 

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Hotel RELAX, Place de l'Opéra, Marseille

60 euros la chambre sur cour avec odeur de moisie

65 euros la chambre avec vue sur l'Opéra, à privilégier

 

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Eléments remarquables:

 

La qualité de son décor kitch.

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La modicité du prix propre à assouvir une pulsion pendant une balade.

 

A quel moment

Aprés une aprés midi passée au soleil, avec une ancienne nuit, devenue furieusement monogame, en compagnie d'une nuit furieusement polygamme.

En cas d'envie soudaine de meler des sexes hurlants d'encore, malgré une nuit hurlante de oui.

 

Pour quoi faire

Baiser dans le plus simple appareil et la plus classique des combinaisons.

Juste s'ennivrer de ses sens exacerbés par la nuit précédente passée, jouir d'être en elle, jouir de son corps, perdre la tête d'un corps à corps au son des cors de l'hallali.

 

Autour

Marseille 

La rose de tunis pour ses gateaux à affoler une balance ...

Les bars à Matelots pour le frisson d'un mauvais champagne et la décandence d'une conversation vérolée.

27/03/2011

Ma vie est elle une sculpture ?

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Les vies sont comme les œuvres d'art, depuis que Marcel Duchamp a mis une pissotière au musée, toute existence, même de chiotte, peut être exposée, il suffit d'en trouver le piédestal.

Ma vie devient œuvre, je la sculpte en stature licencieuse.

Le sculpteur part du plein pour arriver au vide, comme Yves Klein dans l'exposition chez Iris Clerc.

 

 

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je suis parti du vide pour le remplir, comme Armand, chez la même Iris.

 

 

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L'équilibre des deux devient oeuvre , qu'en est il du mien ?

Mon vide me désespère et rend abyssal mon mal.

Mon plein m'emplit mais m'agace de mes attentes.

Contradiction qui crée un déséquilibre, celui de la marche de l'homme si bien sculpté par Giacometti.

 

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C'est peut être cela la vie, marcher vers ses désirs et ne jamais s'arrêter comme la petite oeuvre  d'hans peter Feldmann qui oscille continuellement à ma porte , son titre :

l'homme qui court ...

 

 

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25/03/2011

Petite annonce New Yorkaise

Je suis une belle (superbe, même) fille de 25 ans. Je m’exprime bien et j’ai de la classe. Je ne viens pas de New York. Je voudrais me marier avec un mec qui se fait au moins un demi million de dollars par an. Je sais bien que ça fait pas terrible, mais faut pas oublier qu’à New York, on est dans la classe moyenne quand on gagne au moins un million, alors je ne pense pas que je mets la barre trop haut.

Est-ce qu’il y a des mecs qui se font 500k ou plus sur ce site ? Est-ce que vous avez des femmes ? Est-ce que vous pourriez me donner des tuyaux ? Je suis sortie avec un gars qui bosse dans les affaires et qui se faisait dans les 200 – 250 000 dollars. Mais c’est là que je me plante, apparemment. 250 000 m’emmèneront pas du côté de Central Park Ouest (meilleur quartier de New York, ndlr). Je connais une femme dans mon club de yoga qui s’est mariée avec un banquier d’affaires et qui habite à Tribeca (quartier chic de Manhattan, ndlr), et elle n’est même pas aussi bien que moi, ni même si maligne que ça. Alors, pourquoi ça le fait avec elle ? qu’est ce que je peux faire pour y arriver comme elle ?

Voici mes questions, en particulier :

Vous, les mecs célibataires et riches, où est-ce que vous aimez bien aller ? Donnez-moi des noms de bars, restaurants, clubs de gym…

Qu’est ce que vous recherchez dans une nana ? Soyez francs, les mecs, je ne crains rien.

Est-ce que je dois cibler une tranche d’âge en particulier (j’ai 25 ans) ?

Pourquoi certaines des bonnes femmes qui mènent une vie de rêve du côté de l’Upper East Side ont l’air si banales ? J’en ai vu plein de ces bonnes femmes tartignolles  qui n’ont rien pour elles mariées à des types incroyablement riches. J’ai vu des nanas belles à tomber par terre toutes seules dans des bars. Qu’est ce qui cloche ?

Est-ce qu’il y a des professions spéciales dans lesquelles il faut que je cherche ? Avocats, banquiers d’affaires, médecins. Combien ces mecs gagnent en réalité ? Où est-ce qu’on peut les trouver ? Quand les mecs qui font dans les hedge funds sortent, où est-ce qu’ils vont ?

Comment choisissez-vous entre le mariage ou seulement une copine ? Moi, je veux UNIQUEMENT ME MARIER.

Merci de garder vos insultes pour vous. Ici je parle à cœur ouvert. La plupart des belles nanas sont superficielles ; moi, au moins, je dis la vérité. Je ne chercherais pas ce genre de mecs si je sentais que je ne faisais pas le poids sur tous les plans, physique, culture, classe, et même pour tenir une maison.

 

PostingID: 432279810

La REPONSE :

Chère Personne 432279810,

C’est avec beaucoup d’intérêt que j’ai lu votre annonce, et j’ai réfléchi sérieusement à votre problème. Je vous propose l’analyse suivante pour expliquer votre embarras.

Tout d’abord, je ne vous ferai pas perdre votre temps, je rentre moi-même dans vos critères, puisque je gagne plus de 500 000 dollars par an. Cela dit, permettez-moi de vous expliquer comment je vois les choses :

Coupons court au baratin, ce que vous proposez, c’est un marché tout simple : vous apportez votre beauté de votre coté, et moi je fournis l’argent. Correct, simple. Mais là où le bats blesse, c’est que votre charme va se dégrader, alors que ma fortune va probablement continuer à augmenter… Donc, en termes économiques, vous êtes un actif qui se déprécie, tandis que moi, je suis un actif qui rapporte. Non seulement vous êtes un actif qui se déprécie, mais votre dépréciation s’accélère ! Laissez-moi vous expliquer : aujourd’hui, vous avez 25 ans, et vous allez probablement rester super sexy pendant les cinq prochaines années, mais de moins en  moins chaque année. Puis la dégradation va commencer. A 35 ans, vous ne vaudrez déjà plus un clou ! Donc, pour employer le langage de Wall Street, vous êtes ce que nous appelons une valeur spéculative, pas une valeur à conserver en portefeuille…et voilà où le bats blesse…

Mariage. Cela ne vaut pas le coup de « vous acheter » (puisque c’est ce que vous demandez), aussi je préfère la location. Au cas où vous m’estimeriez cruel, je voudrais vous dire la chose suivante. Si mon argent venait à disparaître, vous en feriez de même, aussi, lorsque votre charme va s’en aller, j’aurai besoin de pouvoir partir moi aussi. C’est aussi simple que cela. Donc le seul marché qui en vaille la peine, c’est qu’on sorte ensemble, mais pas le mariage.

De plus, j’ai vite appris quand j’ai commencé ce qu’est un marché performant. Alors, je me demande pourquoi une fille aussi superbe que vous, qui s’exprime bien et qui a de la classe, n’a pas été fichue de trouver son mec plein aux as. J’ai du mal à croire que si vous êtes si sublime que vous le dites, qu’un gars gagnant son demi million de dollars ne vous ait pas trouvée, même seulement pour un essai.

Avec tout ce que je vous ai dit, je pense que vous êtes dans la bonne direction : classique « bonne à prendre et à jeter ».

J’espère vous avoir été utile, et si vous souhaitez que nous envisagions un contrat quelconque, faites-le-moi savoir.

 

20/03/2011

baiser ou écrire il faut choisir

 

 

 

 

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baiser ou écrire il faut choisir

c'est le printemps, alors j'ai choisi

pas de nouvelle note ce week end

13/03/2011

Mon chat est un patachon

 

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Mon chat se révèle être un sacré patachon :

 

Il se fait nourrir dans une autre maison.

A des fois un parfum de femme qui reste dans sa fourrure.

On l'a vu dans le jardin du voisin copuler avec une chatte puis la laisser et finir avec une autre.

 A la maison il ne fait que manger et des siestes entre deux virées dans le jardin du voisin.

 

Et pourtant ma compagne l'a fait castrer.

 

Je vais me garder de toute comparaison anthropomorphique mais vous croyez que c'est du mimétisme ?

 

pour le plaisir la tirade de pomponette ...

 

07/03/2011

Nuit au Cap 3 et fin

 

 

 

 

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La porte est franchie, je marche en avant et tiens par la main ma complice dont un bandeau cache la vue.

Les hommes sont nombreux dans les couloirs, seuls ou en groupe, ils nous dévisagent, nous soupèsent, nous espèrent.

Les plus déterminés s'approchent, muscles, poils ou bites en avant, d'un geste je les stoppe. Nous visitons, mes commentaires pour guide de sa cécité.
 
Parfois une porte et un groupe de mâles debout à regarder deux ou trois autres allongés, on devine entre les corps des mouvements et une jambe de femme.

Dans ce coin un mari regarde sa femme cinquantenaire qui gémit des coups de boutoir d'en adonis musclé.
 
Au détour le bar et son canapé, couples au repos avec leurs hommes sélectionnés, les traits tirés, le regard apaisé, madame heureuse , monsieur en suiveur de la conversation.
 
J'avais promis de choisir, il faut le faire, la question n'est pas si cela est facile ou pas, mais si je décide d'un beau ou d'un laid ?
 
L'idée d'un laid à la queue bien foutue me tente bien, la voir jouir en aveugle, brûler de tous ses sens puis encore incendiée, recevoir la douche froide de la vision de son pineur moche me plaît assez, ne dit on pas que les libertins sont des pervers ? Je m'encrapule.
 
Deux personnes derrière nous, une devant et une quatrième qui tâte les fesses de mon accompagnatrice.

Un d'eux attire mon choix, il nous suit poliment, sans regard insistant avec ce je ne sais quoi qui montre son respect et témoigne d'une douceur à s'exprimer.
 
Je glisse à l'oreille de mon aveugle, je l'ai choisi, viens par là entrons.
 
C'est une des rares pièces qui puisse fermer, heureusement car il faut que j'arrête deux autres hommes qui tentent de nous suivre.
 
Mon choix est... Non je vous le décrirai plus tard quand ma coquine aura perdu son bandeau, à la fin de ses ébats, juste qu'il se prénomme Alessendro et qu'il est italien.
 
Nous sommes confortablement allongé, dans une pièce aux miroirs, je peux ainsi suivre leurs ébats de face de dos et de hauteur,  mon italien se révèle délicat et enveloppe de ses caresses son offrande, ses mains se font de plus en plus indécentes jusqu'à provoquer lors de la pénétration un sursaut.

Pour ma complice qui a pourtant copieusement jouis cette soirée, je ne parle même pas de la journée, la cécité augmente le plaisir lui même exacerbé par le sentiment d'être offerte à l'inconnu. Et l'inconnu se débrouille très bien, très sensuellement, parfois de ma main je rajoute une touche mais mes forces sont épuisées.

En sexe mou je contemple le dard dur pénétrer ma coquine qui hennit de jouir... L'odeur de leurs corps, le bruits de leurs chocs, les gémissements rendent la situation excitante, sulfureuse.

Perversion pure ayant plus que satisfait ma libido physique.

Ils jouissent à quelques centimètre de moi, frôlent parfois ma peau, s'accrochent même... Il n'en peu plus, le corps en sueur il jouit.

Leurs ébats s'achèvent... Les mains reprennent leurs caresses, notre italien est d'une grande douceur.

Ses mains balaient le corps de ma coquine avec la même attention que dans les préliminaires, nous parlons de sa ville que je connais, de sa découverte du Cap, il était arrivé deux jours plus tôt et se trouvait comme au pays de cocagne.

Ses nuits étaient courtes et ses désirs comblés.

Ma coquine est heureuse, et me demande si Alessendro est beau, je traduit à notre italien qui ri.

Veux tu le savoir ou veux que je lui demande de nous quitter et ainsi tu ne sauras jamais si c'est un prince charmant ou un crapaud qui t'a tant et si bien baisé ?

Silence, puis... je veux le savoir, le bandeau lui est retiré, elle écarquille les yeux.

Alessendro est beau, très beau même, une silhouette harmonieuse, une peau lisse et imberbe, une couleur ambrée, ni trop musclé ni mou, des yeux marrons très doux et une petite barbe qui fut utile tout à l'heure.

Ma joueuse est aux anges, heureuse de cette découverte, yeux d'enfant un soir de noël, la concupiscence en papier cadeaux.

Nous allons boire un verre au bar, un couple passe devant nous, Alessendo  a les traits tirés, ma complice l'air épanouie... mais je ne suis pas suiveur de la conversation et donne rendez vous dans 3 mois à Alessendro à Turin où je dois me rendre.

Il est temps de partir de ce sauna qui ferme, nous rentrons dans la voiture et filons vers Montpellier, dans la chambre mes forces sont revenues, nous nous enlaçons à nouveau... l'avantage des nymphos c'est qu'elles sont toujours enthousiastes.

Je ne vous raconte pas mon lendemain... qui fut plus chaud que mes nuits.
 

27/02/2011

bloc note du week end

Tout noter pour pas oublier

 

Vendredi, arrivée à 14 h orly

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la maison des trois thés pour ravitaillement en thé discussion avec le directeur de Maitre Tseng.

ses thés sont pire que de la drogue quand on y touche on peut plus decrocher.

 

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sandwich 15 h je file voir l'expo extraordinaire à la galerie In Situ  de Martin Dammann un allemand qui collectionne les photos de la deuxième guerre mondiale et compose des aquarelles géante.

 

j'aime ce coté morbide ..... vais je craquer sur une ?

 

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je saute dans un taxi et me voilà au Marais , visite de la galerie G.B.AGENCY ( à coté du celebre café la perle   où john galliano insulte ses voisins,  puis de celle de Chantal Crousel , à l'honneur un artiste videaste Egyptien.

 

On m'amène en voiture espace République dans un ancien entrepôt de la chambre de commerce transformé en galerie ... superbe j'en ferai bien mon lieu de vie.

 

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17h20 haie ..... à 17h50 je dois être au café les grandes marches à Bastille ... vite le métro.

 

17h40 ouf j'y suis , je m'installe , mon inconnue doit arriver dans 10 mn , 10 mn exactement aprés une jolie jeune femme semble attendre " attendez vous quelqu'un à 17h50 mademoiselle ... "   " oui"

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une heure trop courte passée .... elle file à ses fourneaux ayant invité des amis à manger ... snifff

 

10 mn plus tard ma logeuse sort du boulot et me rejoint, nous buvons.

 

Hop métro puis grimper l'escalier 5e étage ( faut que je me remette au sport) , nous devons sortir mais la demoiselle visiblement est contrariée de ma tempérance , je me retrouve dans son lit ....

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Finalement non pas besoin de sport

 

une heure plus tard douche et on file bras dessous bras dessus café Marly pour prendre un verre en attendant minuit.

 

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minuit , Club les Chandelles , une première superbe .... vraiment superbe une note peut être à venir, souvenir d'une paire de seins anonyme , qui bandaient sous ma langue.

 

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                                                 ^

                                          nous étions là deuxiéme coussin  ( entre autre) 

 

3H30 nous sortons , taxi et couette

 

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sauf que ... bref couché à 4h30

 

réveillés 9h petite envie du matin

 

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recouchés

 

11h45  petite envie encore ...

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Douche et nous filons vers la brulerie verlet pour ses superbes cafés.

 

queue pour acheter , quelques mots échangés avec le patron et hop un petit café dans le godet

 

 

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et  derrière, la place vendome chez mon chausseur fétiche .... essayage .... craquage ( je suis un homme qui ne sais pas résister à mes envies)

hummmmm dans 2 mois elles seront prêtes.

 

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Metro vers saint germain des prés 15 h 30  les restau ne servent plus .... zut fait faim

hop la patisserie hugo et victor , l'un des deux nous reconnait ( on était déjà à son ouverture ), on papaute et repartons avec un mille feuilles vanille et un éclair aux clémentines.

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un café à coté du Bon Marché nous dégustons ..... hummm orgasme buccal

 

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Véro ( oui la véropaillon nous appelle) on se retrouve et nous filons au café de la rue St Dominique , il pleut. ( nostalgie c'était l'endroit où jétais avec nuit rive gauche il y a trois ans, je lui envois un texto , elle me répond qu'elle se souvient trés bien ... )

17h30 on file , arrêt de la vitrine de Louboutin ( celle de cette note)

18h le Marais .... visite des galeries , des têtes connues , nous parlons artistes , expo à venir et foires ... un artiste,  remarqué , à suivre.

j'apprends qu'une jeune artiste norvégienne ida Ekblad,

 

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( on ne médit pas .... je ne l'avais jamais vue avant mon achat ... nan ce n'est pas sa plastique qui m'a fait craquer ....)

 

achat d'il y a un an est prise dans une trés grande galerie de New York et va faire une expo à la biennal de Venise.

21h30 on file à l'épis d'or , sur le comptoir deux aumonières, crêpes et pommes caramelisées on les reserve ... ( trés bon bourgogne givry) , fin du repas, il fait froid coups de fatigue, nan il sera pas dit qu'on va se reposer.

 

 

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23H je file avec ma logeuse au Beverley le dernier cinéma porno vintage, 8 personnes dans la salle dont une en fauteuil roulant, dessins animés d'époque, film porno des années 70 , les mecs ont encore des poils et les chattes sont natures, même plus...  en forêt vierge ( y a que la forêt qui le restera) , nous nous levons et baisons un peu en levrette ... personne ne proteste ... mais la position est inconfortable

 

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1h on rentre et dormons (oui ... direct ça arrive des fois peu c'est vrai avec mon hôtesse)

9h réveil hummm partie de jambes en l'air 

 

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elle me demande de la violence , la voilà giflée , étranglée et copieusement baisée... elle adore ( pardon à mon lectorat qui me croit tendre ... )

 

re réveil 11 H

 

ben bis répétita mais en douceur ... on est pas des bêtes quand même. ( mon lectorat est il réconcilié avec ce retour de la tendresse ?)

 

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12H 30 douche , thé et  traiteur libanais servis par une trés jolie  somptueuse serveuse libanaise

 

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arrrrgghhhhh heureusement que ma logeuse n'est pas officiellement jalouse , vive les Libertines.

14H un taxi je la laisse fondation Cartier , nous avons du vague à l'âme on évoque la prochaine rencontre peut être dans quinze jours

Orly m'attend .... et l'inorganisation d'Air France un jour de départ en vacances.

 

23/02/2011

Nuit du claque

 

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Pas de souvenirs

Que des images

les mots sont muets de trop de rêves

1929 shangai / paris 2009

claque d'un film au claque de Pigalle

histoire d'ô, à moins que ce ne soit l'amant ?

brulure, claque de cravache

douceur de tes lèvres 

douleur de mon anus

rouge la lumière ... brillante les étoiles

plafonds de verre, reflets de nous

odeur de stupre, bruit de luxure

dans la chambre  de cet ancien bordel nous avons vécu le rêve d'un temps à rebours 

foin de libertinage, mais mon dépulecage à la mode chinoise

pal écartelant mon intime

douleurs et plaisirs, feu interne pour mots crus

l'orgasme en vague qui se retire, odeur de sperme

corps chaud qui se lovent en abandon.

repos du guerrier Mars pénétré par Vénus

Mars qui dort et Vénus qui regarde

Tes bas et ta robe de soie au bas de ce lit froissé

Tes bras et ton odeur au creux de mes bras

tout cela est dans ma mémoire, mélé, intimement lié à mes libertés aux limbes de mes rêves, de mes fantasmes et bribes de souvenirs.

 

22/02/2011

Réflexion sur l'actualité suite

Une vidéo de notre "Ambassadeur" défendant le 25 novembre la réputation de Kadhafi.

sur le fond et la forme no comment

 


Boillon défend Kadhafi (C+)
envoyé par LePostfr. - L'info internationale vidéo.

20/02/2011

Réflexion sur l'actualité

 

 

 

photo contractuelle de notre nouvel ambassadeur en tunisie

 

Pendant que l'histoire est en marche sous nos yeux, une réflexion me hante, je ne savais pas que copain d'avant c'était comme netechangisme.

 

Ps depuis notre diplomate s'est rhabillé et a perdu un ami

 

son lien

 

 

 

18/02/2011

Par une nuit à glacer les moineaux

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Par une sombre nuit, à glacer les moineaux,  je t'ai retrouvée.

Tes cheveux de blé défaits et ta jupe retroussée.

De ton cul j'ai fait un brasero aux coups de mes fessées.

Le rouge côtoyait le blanc de ta peau striée par mes doigts effilés.

Le froid tétanisait la ville et tes membres tremblaient

Ce n'était pas la bise qui te secouait mais mes coups de fouet.

Ton cul offert, rouge sang à crier me faisait bander.

Alors de deux doigts j'ai écarté, puis j'ai leché et quand tu fus bien mouillée, j'ai visé ton oeillet.

Comme un sauvage, bougrement, foutrement, copieusement, sans ménagement  je t'ai enculée.

La besogne terminée sur tes draps je me suis essuyé ...

14/02/2011

Nuit au Cap d'Agde 2

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La bombe était comment dire ... dorée à souhait , corps parfaitement halé, sans trace blanche, plastique parfaite, 172m  de longues jambes , des fesses à défroquer un moine, seins droits comme des obus en ruts, cheveux  courts , peroxidés, beautée garçonne.

 

Elle suçait un couple à deux corps du notre, mais nos jeux reprenaient et j'en étais à passablement faire gémir ma trés peu discrète accompagnatrice, à grand coups de reins, le dos en sueur de mes jouissances.


Ce qui est amusant avec  les cris d'orgasmes en club c'est que cela vous vaut des regard envieux des dames et d'autres énervés de leurs mâles moins gatés en sonorités.

Ce brame éveilla la curiosité de la bombe qui emjambant les couples commença à me caresser , cela tombait bien , mon amie tetanisée de sa jouissance finissante voulait une pause.

 

la bombe était russe mais vivait en suisse, elle me pris rapidement le sexe pour me sucer , j'étais aux anges , mes ébats m'avaient donné envie d'exploser dans une bouche tout en me reposant, l'homme ce lion, n'est il pas comme tous les gros matou un paresseux ?

 

Celle ci se présentait magnifiquement et m'avala , je fermais les yeux prêt à m'abandonner à sa voracité, mais, rien ... je ne sentais rien.

Malgré mes yeux ouverts, malgré ses mouvements sur ma bouche , je n'avais aucune sensation , ni ce doux plaisir de vos chairs trempées et enrobées , si ces jouissances de votre bite lechée, ce ce bord de l'explosion que les plus expertes vous font frôler sans jamais y succomber.

 

la Bombe ne savait pas sucer , je suggérais moins de délicatesse et de plus serrer mais rien de plus , une bouche avec une langue morte, une bouche inefficace, muette de voluptée.

Et moi qui croyais la langue de Tolstoï aussi volcanique que les disputes slaves ...

A ce rythme ma belle et fougueuse érection s'était fait la malle , deuil de mon mâle pal, j'étais mou de dépis,  qu' à cela ne tienne si sa bouche était incapable son con avait l'air réjouissant.

 

Las ... la bombe ne baisait pas.

 

je la plaçais pour la sucer et ainsi éveiller en elle plus de sensualité, espérant en l'enflammant quelques effets collatéraux lubriques.

 

La douceur de ses cuisses faisait frémir mes joues, elle avait un goût noix de coco et son corps était gorgé de soleil, mes mains s'enivraient de cette peau tendue.

 

Mais la source de Vénus était sêche, superbement sêche ....

Parfois les Oueds se transforment en impétueux torrents , ce sauna était un lieu propice à l'orage,  vite je parcourais ses lêvres intimes, l'inondais de ma salive et commençais l'exploration de la zone de son clito.

 

Comme une ville abandonnée, elle était morte, sans réaction, je suçais l'indiférence, sa tête tournait à droite et à gauche, je ne lui faisais aucun effet.



Pour la première fois mes lèvres, ma langue n'avaient aucun succés.

 

A peine un frémissement quand ma paume de main s'était mis à presser le haut de son montet mes lèvres son clito.

 

Frémissement vite oublié malgré la patience de mes efforts.

 

Récompense de la patience, j'en étais enfin libéré car d'un bond félin elle me quittait trouver un autre couple, il en sera ainsi toute la soirée semble t il.

 

la bombe Russe n'était qu'un pétard mouillé, je comprends l'effondrement de l'union soviétique, le matériel ne suivait plus, la plus jolie femme que je n'avais jamais eu n'était qu'une planche ...

 

Mon accompagnatrice, modéle roumain naturalisée et fancisée par deux générations, elle même reposée, me réclamait à nouveau, ah les françaises tout de même il n'y a pas à dire ...

 

De sa bouche experte elle faisait vite oublier mon repos de dépis et ravivait ma bite.

 

Heureuse de son effet la coquine me présentait son cul avec son désormais célébrissime cris sexuel ... waid je mouille !

 

Pour mouiller elle mouillait, humm cela était bon de retrouver le doux fourreau de son con comme quoi l'inconnu est certes excitant mais le connu est plus jouissant.

 

Mes reins étaient à l'unisson de son corps, mon foutre commençait à bouillir, en missionnaire je voulais le lacher pour  que de ses yeux ellevoit mon orgasme.

 

hummmm délicieuse position que des jambes croisées pour mieux serrer , que mon chibre qui vibrait dans une chatte chaude, accueillante qui à chaque retrait me conduisait au bord de l'extase.

 

N'en pouvant plus je lâchais ma jouissance, collant ma bite au plus profond de son vagin moulant mon organe et vibrant de mes spasmes......

 

arrhhgg décidement oui jouir était bon.

 

Alongés à écouter la musique tantrique et sentir le corps de l'autre.

Repos du guerrier interompu par ma coquine que me glissait dans l'oreille avoir encore envie .... oui la célébrissime phrase était encore prononcée .... waid tu sais quoi je mouille

 

L'homme n'étant qu'homme, la belle m'ayant vidé déja à trois reprise je lui proposais de lui mettre un bandeau, d'aller à la salle des hommes seuls et de lui choisir un étalon , beaux ou laid à ma convenance et à sa surprise.

A son oeil lubrique la proposition fut adoptée, nous franchissions d'un pas la porte des hommes seuls ....



( la suite plus tard)

 

 

 

 

10/02/2011

Hotel d'un aprés midi

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Fini l'affreux dilemme de l'endroit où la copulation la plus bestiale va pouvoir s'accomplir, plus besoin de demander les clefs de l'appartement d'un copain et de trembler pour ses draps,de squatter les cabines des sex shop, les toilettes pour handicapés ( merci la norme elles sont plus grandes) ou d'aller au moon t autre 10 bis juste pour un coups de l'aprés midi ( un coups !?! le couvert peut être remis )

 Fini aussi de ramener à l'hotel celle qui va faire trembler les murs et affronter le regard de la receptioniste que vous avez un peu chambrée et qui maintenant fulmine de voir que le charmin client qui a été agréable n'est qu'un porc qui est à sa troisième pouffe ramenée.

Non un jeune homme de 29 ans , qui tiens l'hôtel boboissime Amour a eu une idée , un site de réservation pour un hôtel d'une aprés midi ....

30 % moins cher que la nuitée et 30 euros dans la poche de notre inventeur Amoureux , voilà une chambre à vous, le temps de ce temps que vous espérez suspendu mais limité à 18 h .....

A la consultation les prix sont pas donnés et les hôteliers s'en foutent plein les fouilles ( sachant que c'est souvent en espèces ) alors une astuce sachant que les nuités ne peuvent pas être coupées, en louant à moindre prix une chambre vous pouvez rester toute la nuit car ils ne peuvent exiger que vous partiez plus tôt.

en effet un hôtel est par définition un lieux qui assure l'hébergement à la journée et non à l'heure

Article D311-4
L'hôtel de tourisme est un établissement commercial d'hébergement classé, qui offre des chambres ou des appartements meublés en location à une clientèle de passage qui y effectue un séjour caractérisé par une location à la journée, à la semaine ou au mois, mais qui, sauf exception, n'y élit pas domicile.