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08/12/2011

Dilemne ...

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36 h avant partouze et je ne sais toujours pas comment m'habiller ...

07/12/2011

En me rasant ce matin ...

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En me rasant ce matin je ne pensais pas à devenir président de la république , mais au sens de la vie.

Existe t il comme pour la marché la main invisible qui guide les transactions vers un équilibre propice au dévelopement de l'économie et à l'accroissement du bien-être des acteurs ?

Alors que je viens de publier mes envies de contemplation saphiques dans la note de L'oeil , inspirée par les amours d'une ancienne nuit avec sa complice de l'époque, me vient l'information que deux coquines s'adonnant ensemble aux plaisirs saphiques ,me croqueraient bien ensemble pour connaitre la réalité d'un potentiel sexuel que leur imagination m'accorde par suite d'une lecture trop forace de mon blog.

Serait ce un caprice de la  main invisible ?

une épreuve physique que les dieux imposeraient à un blogueur fanfaron ?

où tout simplement comme pour les notations des agences , une prophétie autoréalisatrice ?

Vite un café pour me réveiller totalement et y lire mon avenir dans son marc ...

13:00 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (5)

06/12/2011

Cocktail explosif

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Qu'est ce qui peut bien dans le bloody mary provoquer chez deux superbes femmes l'envie irresistible que je les baise ?

 

Les épices ou le célerie ?

04/12/2011

L'oeil

 

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Je rêve d'être photographe, voyeur de vos regards, témoin de vos caresses. œil cyclopéen qui suspend le temps de vos désirs, fige vos voluptés. Me glisser entre vos râles, humer le vent de vos souffles.

 

Spectateur, voir fondre vos corps dans le plaisir de recevoir. Acteur,  prêter une main pour une caresse, plaisir de donner.

 

Faire danser ma langue dans vos intimités. Couvrir de baisers vos lèvres aux sourires verticaux. M’allier à l'une et exalter un tango en duo sur clito. Jouer des doigts et des lettres pour conjuguer le verbe jouir à la troisième personne. A quatre mains faire fondre l'une d'entre vous. Prêter mon mâle pal à vos doux saphismes. N’être plus et réaliser que trois font un. Fixer sur la pellicule le fruit de ce fantasme et écrire ces mots en dégustation de son suc.

 

11:27 Publié dans ENVIES | Lien permanent | Commentaires (15)

01/12/2011

Désolé

 

 

 

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( non contractuelle -

il pourrait compenser avec ses doigts et la bouche le goujat quand même ...)

 

 

trop de boulot tue la libido

 

pas de nouvelle note cette semaine


désolé pour les milliers centaines dizaines de lectrices de vous frustrer (et le petit reste de lecteurs )


 


 

27/11/2011

foutre sans conscience n'est que ruine de l'âme

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Comme monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir je viens d'apprendre que cette nuit je l'ai sodomisée sans le savoir ...

 

21:13 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (31)

17/11/2011

Plaidoyer à un mari libertin

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Monsieur le mari,

j'ai l'honneur par la présente de plaider ma cause, afin de vous convaincre d'autoriser votre coquine et si splendide femme à libertiner aussi avec moi.

Je sais certes vos régles libertines d'amusements autorisés à la seule condition qu'ils restent à vu des deux , mais les régles ne sont elles pas faites pour être transgressées quand on est comme vous un libertin?

D'ailleurs libertinage et règles n'est il pas antinomique ?

Votre femme est un joyaux dont l'éclat ne peut que vous irradier au polissage des caresses du plaisir.

Songez à la force de ses sentiments de vous rejoindre et de vous préférer pour les jeux plus sérieux de l'amour alors qu'elle s'adonne à ceux excitants mais temporaires de la gaudriole.

Qu'avez vous à craindre de me la prêter vous qui aimez en d'autres bras vous amuser et qui adorez la livrer en orgies?

De la perdre bien sur et je vous comprends car perdre un tel joyaux serait vous faire perdre l'éclat de votre bonheur.

Mais cette peur est injustifiée et elle peut même vous conduire à de bien grands risques.

C'est ceux ci qui me conduisent à ce plaidoyer qui n'est pas comme vous pourriez le croire en faveur de ma seule cause mais doit vous éclairer sur votre la continuation de votre bonheur.

Certes je ne suis pas de ces amants godes que le libertinage affectionne pour être anonymes et finalement sans risque.

Bites toujours raides mais taisantes que l'on use comme un olisbos pour désir fatigué

homme chosifié pour un plaisir physique réifié.

Je ne sais foutre sans ce plus qui fait que le sexe s'humanise, libertin affectif je suis, mais n'ayant nul intention d'affecter vos liens.

Vous craignez peut être un danger de ma singularité et de celle de nos désirs avec votre femme alors que loin de moi une intention de mise en danger.

Vous êtes un superbe couple et mon amour pour l'esthétique me répugnerait à tenter de briser l'harmonie plastique à vous voir ensemble.

La beauté se respecte et je ne suis pas de ces destructeurs de beau pour assouvir une laideur que je masquerai.

Non le vilain canard  que je me considère en comparaison de vous ne peut et ne veux porter ombrage au cygne que vous êtes.

Et si votre femme oublie en moi ce fait objectif par la magie de mes mots , qu'ils ne soient nuls maux pour vous. Je sais ce que vous lui apportez et ne pourrai lui assurer ce pourquoi elle vous est de coeur fidèle, elle en est trés consciente  et nulle ambiguité sur ce point là ne nourri nos aspirations conjointes.

Ce qu'elle cherche dans mes bras n'est que le plaisir libertin que vous cherchez tous les deux ailleurs.

Seulement ce plaisir n'est pas qu'animal il est aussi ce libertinage de connivence, de respect qui n'est certes pas la marque d'un Laclos mais plus d'un Casanovas.

Pourtant on ne s'attache à un Casanovas , on en jouit , on s'embellit du plaisir de la séduction mais l'on sait que cela n'est qu'un jeu et que l'on ne vit pas dans le jeux sauf à tomber dans le vice.

Je ne suis là que pour la faire briller le temps de quelques temps mais pas celui de la durée des vrais sentiments.

L'envie, l'enthousiasme, la gourmandise et la luxure que je lui prodiguerai sont des pêchés capitaux mais si véniels quand on les compare aux qualités qui font qu'une femme préferera toujours à cela une relation sérieuse.

Or cette relation c'est à vous qu'elle vous la confie et que vous seul peut lui donner , elle n'existe que parce qu'un projet commun existe entre vous deux.

Mon projet est l'éphémère du plaisir, du désir et non la force de l'amour qui lui est éternel.

Mais et voilà mon plaidoyer comme le cristal, l'amour est à la fois un matériaux trés dur et fragile. Il peut se briser s'il est manipulé avec force.

On voit des amours trop oppressants briser l'élan de la plus amoureuse  ?

Lui refuser la liberté de quelques instants sans conséquence que son plaisir, n'est ce pas un grand danger pour votre couple? 

Ce n'est pas sa frustration qu'il faut craindre , je ne me crois pas assez attirant pour qu'elle soit frustrée du manque de moi, non le risque que vous engendrez est plus pernicieux et plus nuisant.

L'obéissance à une injonction crée souvent le ferment d'une révolte, alors que ce qui est non imposé est toujours librement partagé.

Votre véto la ravale à un rang inférieur à une époque où l'égalité homme femme n'est plus un slogan mais une réalité exigée par nos compagnes.

Vos craintes pour le motiver ne rèvelent que faiblesse alors que les femmes admirent la force qui pourra les protéger.

Votre refus vous affaiblit et la blesse alors que la marque de confiance en elle et en votre couple que vous lui témoigneriez en me l'accordant serait le plus solide des ciments sur lequel l'édifice de votre couple se fonderait.

ce n'est pas de règles que se batit un couple c'est du liant des matériaux de votre dualité.

Ses aspirations en association avec les vôtres, ses envies disposées avec les vôtres le tout s'harmonisant de l'ensemble crée.

Cela crée un édifice plus durable qu'une fusion des deux au risque de l'abandon toujours temporaire de la personnalité de l'autre.

Ce n'est donc pas pour moi que je plaide mais pour votre amour, laissez sa force resplendir, que votre tolérance ,illustration de votre respect et de la confiance que vous lui témoignez vous la lie à tout jamais.

Un homme si fort qu'il la laisse vivre des instants libres, sera toujours plus fort que celui à qui il a concédé ces  instants.

le vainqueur n'a pas à craindre la grâce qu'il offre au vaincu.

un amour fondé sur l'égalité de liberté et la confiance sera le plus fort des liens et triomphera des faiblesses de la chair.

Force à vous donc, au lieu des craintes que vous nourrissez sans fondement , ignorant vos qualités et doutant sans raison de celle qui en connaît et en apprécie les immenses valeurs.

Mon plaidoyer se termine, je ne suis finalement rien d'autre que celui qui plaide pour recevoir un peu alors que vous deux en me laissant croire à mon bonheur éphèmere allez vivre celui éternel des vrais sentiments.

Je vous demande du libertinage et vous donne les clefs des liens de l'amour , le marché me semble bien moral au point où sans ciller je me permet de vous le soumettre.

Acceptez le comme venant d'un ami de votre couple et en respect de vous monsieur, plutôt que comme un ennemi de l'ombre ce que jamais je ne serai.

bien sur vous êtes seul juge et je ne vous demande pas de trancher de suite.

J'en appel à la raison de votre jugement alors qu'en ces matières l'on est souvent guidé par l'émotion des sentiments.

Je vous laisse délibérer et considèrerai sans appel et comme d'airain la sentence que vous jugerez, je la respecterai donc scrupuleusement n'ayez crainte.

Mes amusements ont pour limite la souffrance d'autrui et je respecterai un rejet de ce placet comme expression de celle ci.

 

 

19:47 Publié dans ELLE, ENVIES | Lien permanent | Commentaires (22)

12/11/2011

nuit trio (suite et fin)

 

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Caresses, embrassades, nos quatre mains sur son corps, la chauffent, la brûlent, l'embrasent. S...  la déshabille. Je profite pour couvrir sa peau de ces baisers qui ne sont que des avants goût de brasiers. Les dessous sont ôtées, nudité offerte à l'avidité de nos mains de nos bouches, de nos corps entiers que nous dénudons aussi pour mieux sentir l’animal désir qui nous parcourt.

On  se touche, on s'enlace, mes mains prennent possession de ses seins. Petites poires dardant leurs tétons dressés. Je suce, pince, tire, mordille, avale, inonde, à son plus grand plaisir.

La main de mon complice prend possession de son sexe. La belle se cabre, se tortille. J'imagine les dards sensuels qui percent son corps de nos mains de conjurés.

S... me laisse le champ humide qu'il a labouré. Le sexe est petit, lèvres  bien découpées, glabre et doux, ma main en fait le tour sans appuyer comme pour survoler ce qu'elle va pénétrer. Je lance un doigt en apnée de sa cyprine qui inonde sa grotte intime. Vite j'en explore les parois à la recherche des marques du plaisir. Je la découvre légèrement rugueuse et qui enfle au fur et à mesure que je masse. Le corps entier se tort, un œil au dessus et je les vois enlacés dans un baiser vorace.

Deux doigts maintenant jouent dans ce lieu dont je comprends mieux la géographie. La bosse rugueuse est parcourue de mes deux pulpes, en alternance, parfois ma main se crispe et se referme appuyant fortement sur ce que j'avais flatté. Effet immédiatement comme un claquement de fouet accompagné de l'écho d'un râle. C... aime et je vais en abuser à la rendre essoufflée.

La main fatiguée, je plaque ma bouche sur sa chatte trempe, le goût est doux, délicat. Ma langue plonge en elle puis remonte, parcourt les lèvres, les tournent, les aspirent, en cercle s'approche du clito, qu'elle ne quittera plus.

Doigts, langue, lèvres, menton et mes mains qui la caressent me font perdre le sens de moi même je ne vis que pour le souffle de ses râles.

Animal qui se cabre, se raidi, implore, geint, encourage jusqu'à me repousser n'en pouvant plus. Instant de court répit, son homme lui donne enfin l'estocade de sa bite roide.

Je les observe, affalé, le goût d'elle sur mes lèvres, l'odeur de leurs luxure au fur et à mesure qu’elle s’accélère dans mes narines.

Je ne suis ni excité, ni frustré, je me sens bien comme un entracte où l'on jouerait une scène pour patienter.

Les jambes de notre coquine se lèvent bien haut, sa tête se lance en arrière et le dos de son mari s'anime de plus en plus jusqu'au paroxysme libératoire qui le jette de coté m'appelant du regard.

Je m'approche, elle me suce, me durcit et vite réclame des yeux mon corps en elle. Je la pénètre, contrition de son sexe serré, lubrifié des flux matrimoniaux. La chaleur de sa chatte traverse le latex et pénètre ma queue. Au premier coup de rein elle l'accompagne. Merveilleuse voracité de son con qu'elle me lance pour amplifier mes mouvements.

Je lui glisse de me pincer les seins, effet turgescent immédiat nous en sourions et jouons de plus belle.

A quatre pattes, elle m'offre sa vulve ouverte et son anus, une idée lubrique me traverse mais je n'ose, alors je l'empale classiquement jusqu'à la garde. Me sentir bien au fond d’elle. A grand coups, répond ensuite à ses impatientes invites, elle semble très apprécier. Une claque tombe sèche, impromptue, sur ses si belles fesses, à ses cris de joie, ma main s'en donne à cœur joie.

J’avoue oublier tous les détails de nos ébats et de ceux de S ... une vision me revient, elle nous quitte brusquement et se jette au bout du lit n'en pouvant plus de trop d'émotions.

Sur le lit elle répètera trois fois que cela en est trop.

Je me vois aussi me blottir contre elle ou lui sucer ses orteils avec la sensualité d’un enfant comblé.

La chaleur de la pièce devient étouffante, nous nous levons et rejoignons nus et en sueur le salon. Fraîcheur bienheureuse, réparatrice, nos gosiers sont asséchés. Le canapé nous accueil dans cette liberté nue qui sied si bien aux amants heureux.

Nous buvons encore, il est tard mais l'envie de recommencer nous reprend, nous retournons à la chambre et nous enlaçons cette fois plus en mêlée.

Mes mains touchent le corps de son mari alors qu’il est en elle et me caresse le sexe. A son orgasme, je le remplace et lèche sa bite à hauteur de ma bouche.

Odeur de sexe fatigué libéré d'avoir joui,  de chatte avide et son goût de foutre dans ma bouche pour carburant de mes reins de notre coquine décidément très coquine.

Nous restons là épuisés, la nuit est si avancée qu'il faut rentrer, je les quitte heureux espérant qu'ils l'ont été.

10/11/2011

Nuit trio (1)

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C'est en courant que j'arrive rue C ..., Téléphone à l'oreille tentant de convaincre mon ado de fille de rentrer de sa balade nocturne avec son boyfriend d'un mois. Négociation non aboutie au moment où la porte s'ouvre. L'appartement est grand, vide, chaud de son parquet patiné, Clair de ses murs blancs, intello des livres posés à même le sol en bibliothèque d'amoncellement.

Le canapé gris souri est  occupé par mon hôtesse C ... blonde Botticelli, teint rehaussé par le rouge qui illumine ses petites mais pulpeuses lèvres, des bas noirs soulignent ses jambes rehaussant la sagesse d'une robe portée pour être ôtée.

S..., Son mari débouche le vin que je lui tend, le libertinage est plaisir que ceux de bouches présagent.

Les augures sont favorables par le goût du vin, le charme intellectuel de notre conversation. Culture, art, réflexions libertines, nos mots glissent pour une discussion qui s'installe quand enfin mon ado cède à mes injonctions SMesques. Soulagement du père, libération du libertin.

Difficile de changer de braquet , du badinage au libertinage. Une pointe de timidité parfois. Je quitte mon fauteuil et m' installe sur le canapé tout près de ma jolie hôtesse. premier contact de nos doigts, peaux qui s'échangent les flux du désir.

Les mots continuent, ma main s'autonomise effleure le nylon, le mari me regarde, sa femme le regarde, je regarde mes mains.

Nous passons à la chambre. lit blanc, rideaux tirés, bougies allumées ,  une immense affiche de détail d'un tableau ancien, à droite un miroir au sol dont le tain fatigué ouvre une perspective d'infini au lit.

Nos bouches se découvrent, merveilleuse langue et non moins merveilleuses lèvres que je suce, je m'écarte pour que S ... L'embrasse aussi. Nos passes de trois vont commencer, n'étais-je pas invité pour cela.

 

 

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Caresses, embrassades, nos quatre mains sur son corps, la chauffent, la brûlent, l'embrasent. S...  la déshabille. Je profite pour couvrir sa peau de ces baisers qui ne sont que des avants goût de brasiers. Les dessous sont ôtées, nudité offerte à l'avidité de nos mains de nos bouches, de nos corps entiers que nous dénudons aussi pour mieux sentir l’animal désir qui nous parcourt.

On  se touche, on s'enlace, mes mains prennent possession de ses seins. Petites poires dardant leurs tétons dressés. Je suce, pince, tire, mordille, avale, inonde, à son plus grand plaisir.

La main de mon complice prend possession de son sexe. La belle se cabre, se tortille. J'imagine les dards sensuels qui percent son corps de nos mains de conjurés.

S... me laisse le champ humide qu'il a labouré. Le sexe est petit, lèvres  bien découpées, glabre et doux, ma main en fait le tour sans appuyer comme pour survoler ce qu'elle va pénétrer. Je lance un doigt en apnée de sa cyprine qui inonde sa grotte intime. Vite j'en explore les parois à la recherche des marques du plaisir. Je la découvre légèrement rugueuse et qui enfle au fur et à mesure que je masse. Le corps entier se tort, un œil au dessus et je les vois enlacés dans un baiser vorace.

Deux doigts maintenant jouent dans ce lieu dont je comprends mieux la géographie. La bosse rugueuse est parcourue de mes deux pulpes, en alternance, parfois ma main se crispe et se referme appuyant fortement sur ce que j'avais flatté. Effet immédiatement comme un claquement de fouet accompagné de l'écho d'un râle. C... aime et je vais en abuser à la rendre essoufflée.

La main fatiguée, je plaque ma bouche sur sa chatte trempe, le goût est doux, délicat. Ma langue plonge en elle puis remonte, parcourt les lèvres, les tournent, les aspirent, en cercle s'approche du clito, qu'elle ne quittera plus.

Doigts, langue, lèvres, menton et mes mains qui la caressent me font perdre le sens de moi même je ne vis que pour le souffle de ses râles.

Animal qui se cabre, se raidi, implore, geint, encourage jusqu'à me repousser n'en pouvant plus. Instant de court répit, son homme lui donne enfin l'estocade de sa bite roide.

Je les observe, affalé, le goût d'elle sur mes lèvres, l'odeur de leurs luxure au fur et à mesure qu’elle s’accélère dans mes narines.

Je ne suis ni excité, ni frustré, je me sens bien comme un entracte où l'on jouerait une scène pour patienter.

Les jambes de notre coquine se lèvent bien haut, sa tête se lance en arrière et le dos de son mari s'anime de plus en plus jusqu'au paroxysme libératoire qui le jette de coté m'appelant du regard.

Je m'approche, elle me suce, me durcit et vite réclame des yeux mon corps en elle. Je la pénètre, contrition de son sexe serré, lubrifié des flux matrimoniaux. La chaleur de sa chatte traverse le latex et pénètre ma queue. Au premier coup de rein elle l'accompagne. Merveilleuse voracité de son con qu'elle me lance pour amplifier mes mouvements.

Je lui glisse de me pincer les seins, effet turgescent immédiat nous en sourions et jouons de plus belle.

A quatre pattes, elle m'offre sa vulve ouverte et son anus, une idée lubrique me traverse mais je n'ose, alors je l'empale classiquement jusqu'à la garde. Me sentir bien au fond d’elle. A grand coups, répond ensuite à ses impatientes invites, elle semble très apprécier. Une claque tombe sèche, impromptue, sur ses si belles fesses, à ses cris de joie, ma main s'en donne à cœur joie.

J’avoue oublier tous les détails de nos ébats et de ceux de S ... une vision me revient, elle nous quitte brusquement et se jette au bout du lit n'en pouvant plus de trop d'émotions.

Sur le lit elle répètera trois fois que cela en est trop.

Je me vois aussi me blottir contre elle ou lui sucer ses orteils avec la sensualité d’un enfant comblé.

La chaleur de la pièce devient étouffante, nous nous levons et rejoignons nus et en sueur le salon. Fraîcheur bienheureuse, réparatrice, nos gosiers sont asséchés. Le canapé nous accueil dans cette liberté nue qui sied si bien aux amants heureux.

Nous buvons encore, il est tard mais l'envie de recommencer nous reprend, nous retournons à la chambre et nous enlaçons cette fois plus en mêlée.

Mes mains touchent le corps de son mari alors qu’il est en elle et me caresse le sexe. A son orgasme, je le remplace et lèche sa bite à hauteur de ma bouche.

Odeur de sexe fatigué libéré d'avoir joui,  de chatte avide et son goût de foutre dans ma bouche pour carburant de mes reins de notre coquine décidément très coquine.

Nous restons là épuisés, la nuit est si avancée qu'il faut rentrer, je les quitte heureux espérant qu'ils l'ont été.

29/10/2011

waid by véro bis

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en week end à l'étranger une petite photo pour note de feignant

 


 

26/10/2011

waid vu par véropapillon

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photo prise par véropapillon dans la chambre à la statue hotel Rotary

24/10/2011

Un samedi sur terre

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Un SMS reçu en guise de mots tus qui vous tuent.

500 km d'asphalte pour cure d'un mal-être.

Le ventre qui se tord, la route avalée vers des bras ouverts pour oublier ceux toujours fermés.

Ce voyage est une folie, fuite vers mon désir au moment où expirent 20 ans de vie commune.

La garrigue fait place au Rhône, Lyon est dépassé bientôt la Bourgogne et ses riches contrées, pays de cocagne pour apaiser mon mal et m'oublier.

Une allée dans la ville et je croise son regard, corps juvénile pour plaies anciennes.

Le soir nos mots comptent nos maux partagés , elle ceux de sa rupture, moi de celle qui vient.

Et puis le canapé et nos bouches fusionnées, nos corps enlacés.

Retrouver le sien après tant d'années, souvenirs de l'ivresse de notre dernière rencontre.

Mais l'ivresse est incompatible avec la peine qui agit comme l'alcool.

L'aiguillette nouée, seuls mes bras enserrant son corps se lovent pour pansements de ma plaie.

Corps chaud pour coeur froid , chaleur qui m'apaise, me rassure.

kilomètres avalés pour me rassasier

 

17/10/2011

Plaisir brut de la sodomie

 A la question pourquoi aimes tu la sodomie , je réponds :

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ressentir le sphincter se dilater

 

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sentir sa bite dans le boyau chaud s'immiscer

 

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attendre les palpitations au plus profond de son corps

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aller et venir en jouant de la chaleur de la chair et de la contrition de l'anneau

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avoir appris que le plaisir ne se donne pas par coups trop rapides

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jouir du mouvement de ses levres animés pas la voie étroite

 

voilà le plaisir brut de la sodomie

13/10/2011

Nuit cocaïne

 

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ENQUETE PRELIMINAIRE

PROCES VERBAL D’AUDITION

POLICE NATIONALE

Commissariat du 12e PARIS

 

 

PV 1754

Année 2011

Feuillet 1/1

 

Le SAMEDI 29 septembre 2011 à  7H 00 minutes

Nous soussignés Officier PATRICE JOURDAN, agent de police Judiciaire en résidence au commissariat du 12e arrondissement de Paris.

Vu les articles 20, 21-1 et 75 à 78 du code de procédure pénale.

Nous trouvons à notre bureau du commissariat du 12e arrondissement de paris, rapportons les opérations suivantes.

Mr Waid Andsee, né le XX XX XX à XX demeurant XXXXXX , profession XXX Interpelé en flagrant délit d’atteinte à la pudeur, tapage nocturne, exhibition sexuelle.---------------------------------------------------------------------------------------

L’Agent  : A le 29 septembre 2011 à 1h00 minutes  les riverains du XXXXX, 12e  nous ont signalé qu’un couple nu sur le balcon, haranguait les passants, et pratiquait un coït à la vue de tous. Une voiture de nos services s’est rendue sur place à 1H 05 minutes  et à pu constater qu’au 5e étage de l’immeuble sis XXX se trouvait bien un couple d’une trentaine d’années, totalement nu à l’exception de bas pour la femme, ils criaient à l’attention des passants ou des voisins sur le balcon et semblaient en outre en plein accouplement sexuel. A l’étage notre équipe s’est fait ouvrir par l’interpellé qui était hâtivement vêtu d’un boxer blanc. Une femme plus jeune se trouvait derrière lui, totalement nue, le couple vu sur le balcon s’y trouvait encore. Après avoir décliné notre identité et nos qualités nous avons pénétrés dans les lieux en suite d’un flagrant délit. L’appartement était composé de deux pièces, dans la première se trouvait un canapé lit ouvert et une table avec les restes d’un repas libanais, 4 bouteilles de vins étaient ouvertes et vides. Se trouvaient des mégots de cigarettes, une odeur de cannabis flottait dans l’air, sur la table une paille et une carte de crédit démontrait un usage de cocaïne. La deuxième pièce était la chambre comportant un matelas avec des draps rouges défais, au mur se trouvait des images de coïts de deux des personnes présentes sous forme de photos format A2, au ton brun. Une table de nuit fut ouverte et contenait ( une boite d’une centaine de préservatif, 6 tubes de gel marque Durex, une paire de menotte , des olibos de toutes tailles , une boule bâillon , un gode ceinture, des objets vibrants).Nous avons interpellé le couple sur le balcon , lui demandant de cesser immédiatement toute exhibition, sur interpellation pour connaître leur identité, ils ont ri, et tenu des propos incompréhensibles sur le droit de fumer sur le balcon, leur haleine sentait l’alcool, la pupille de leurs yeux était dilatée et leurs propos témoignaient d’une grande confusion .Le deuxième couple était plus calme tenant un discours clair et tentant de minimiser la situation, devant le trouble à l’ordre public causé, les 4 individus furent sommés de se rhabiller et placés en état de garde à vue à 1H 30 minutes  puis déférés devant monsieur l’OPJ de service de nuit qui a requis le médecin de garde. Le docteur XXX a examiné les 4 gardés à vus les a déclaré aptes à subir une détention, ils ont été informés de leur droit d’assistance d’un avocat commis ou choisis par eux et ont décliné l’offre par deux fois réitérée, dépouillés de tout objets de nature à porter atteinte à leur intégrités ils ont aussi remis leurs téléphones portables, leurs cartes de crédit, les bijoux et montres ainsi que les valeurs dans leurs portefeuille. Placés en cellule de dégrisement  à 2H00 minutes .------------------------------------------------------------------------------------------------------

L’Agent: Monsieur Waid andsee souhaitez vous être assisté d’un avocat ou voulez  vous vous expliquer immédiatement sur les circonstances qui ont amené nos services à vous interpeller ?------------------------------------------------------------------------

WAID : Je ne souhaite pas être assisté par un avocat et je vais vous donner les faits. Je suis auteur d’un blog érotique où je livre mes expériences de rencontres, celles ci ont pour titre Nuit accompagnées de la description des faits ou de mes sentiments, ce blog connaît un certain succès d’audience et me conduit à faire quelques rencontres pour nourrir les textes. Etant sur Paris ce weekend nous avons décidé avec A… de faire une soirée rencontre chez elle. Pour cela j’ai discuté via un site de rencontre échangiste avec une personne qui se trouvait être une de mes lectrices et compagne de jeux d’un garçon avec qui nous avions déjà fait une rencontre. Nous avions prévus la soirée à 21H et avions préparés une collation. Il sont venu à 21h30 et avaient visiblement consommés du cannabis, la discussion a été très conviviale et immédiatement détendue, c’était la première fois que je découvrais l’amie lectrice de notre connaissance, c ‘est une belle femme élancée d’une trentaine d’années, elle portait des escarpins noirs sur des bas noirs le tout surmonté d’une robe rouge. Nous avons débouchés quelques bouteilles. E … nous  a demandé si cela ne nous embêtait pas qu’ils fument, ne fumant pas pour notre part avec notre hôtesse. Nous avons indiqué que non. Ils ont alors au cours de notre conversation enchainé les cigarettes. Puis ils ont demandé s’ils pouvaient se faire un joint. Ils ont roulé une cigarette et ont fumé un ou deux joints. Le temps passant et notre connivence étant suffisante, nous avons décidé de passer dans la chambre qui était dans la pénombre éclairée que de bougies. Vite les filles se sont retrouvées couchées, j’ai enlacé mon hôtesse, tout en caressant F…, son ami E… lui ôtait ses dessous blanc en jouant avec elle. Je me suis retrouvé avec mes deux mains dans leurs sexes, à jouer des différences d’humidité, de forme et de texture. F…  essayait de sucer A … mais celle ci était semble t il rétive à sa bouche, les choses ne s’enchainaient pas de façon harmonieuse, je sentais A … agacée, E … ne bandait pas alors qu’elle le suçait et F … n’était pas  à son plaisir.

Celle ci et E … sont allés se faire un autre snif, nous avons continué à jouer avec A … mais elle ne supportait pas que je lui touche les seins et se rétractait quand je tentais de la sucer, finalement c’est elle qui a pris ma bite en bouche et commençait à me faire rendurcir quand nous avons entendu des cris. C’était F … qui hurlait du balcon des coucou, waoooouuu et autres onomatopées. J’ai dis à E … hey qu’est ce que vous faîtes, pas d’exhibitionnisme sur le balcon, Ils se sont mis à rires, il étaient complètement partis lorsqu’on s’est levé pour fermer les fenêtres, F … rigolait et n’avait pas conscience de ce qu’elle faisait, E … était plus lucide. Vos services sont arrivés quelques minutes plus tard.

Nous avons tenté de discuter avec eux, ils ont perquisitionnés et sont tombés sur les restes des sniff et sur le tiroir de notre hôtesse, visiblement ça les amusait de nous voir tenter de minimiser la situation ils riaient en disant que cette affaire allait faire rire leurs collègues.

Pour notre part A … et moi nous ne sommes pas allés sur le balcon, bien que certains voisins affirment que deux couples se sont  exhibés. Je prends note que le résultat des analyses pratiquées concernant la consommation de stupéfiant est pour A … et moi même négatif, je n’ai rien d’autre à dire.

L’Agent : Après avoir pris attache avec le substitut de permanence nous notifions au dénommé Waid Andsee sa convocation avec les 3 autres personnes pour le XXXXXX devant le tribunal correctionnel de Paris pour : attentat à la pudeur et exhibitionnisme actif.Lui indiquons que le présent procès verbal vaut convocation à partie.

10/10/2011

Axiome cognitif ...

 

 

 

Aprés de longues études comportementales il apparaît que le Bloggeur affectivo libertin ne serait en fait qu'un gros primate dont le cerveau fonctionnerait en trois temps

 

1er temps : VISION 

 

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2e Temps : PULSION

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3e TEMPS : COPULATION

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Le reste n'est que littérature ...

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