15/07/2011
Nuit Anglaise
Nostalgie, dans le Swinging London je danse entre ses cuisses, torsions de nous en appétits matinaux de notre festin vespéral.
Sexe en elle, va-et-vient retenus pour plus de jouir. Durer le temps pour qu'il n'existe plus, coups qui se donnent à ne plus s'appartenir. Ma bite vibre aux plis de ses chaires trempées mordant mes rets. Combien de fois au lit d'Albion nos corps emmêlés à ne plus se dénouer ? Nœuds de nos envies à corps démêlés.
A potron-minet chevaucher, au réveil recommencer, l'après-midi en un lieu discret se mettre en selle et le soir cavaler à perdre haleine.
Equipées de nos lubricités, corps transmutés d'appétences jamais rassasiées, jouir au delà du raisonnable, miracle que de ne pas s'être consumés d’une libido épique.
Epopée sauvage à la sensualité laissant mort d'émoi.
Jamais deux fois d'identiques plaisirs.
Je fouette, elle suce, je sodomise, elle pénètre, je souille, elle m'avale, ping-pong indécent, corps succulents,nos imaginations composent des tableaux obscènes.
stupre oral, anal, aux annales de nos râles.
La ville pour respiration entre nos ébats. Excentrique et sexy en diable qui nous émoustille puis offre à nos pas la respiration de nos ébats.
Shopping fétichiste en cent chaussures essayées, frisson de lieux SM gay visités.Au coin de rue un joli déhanché sur des chaussures à talons vertigineux.
Temps des vacances et des apétances.
Une nouvelle fois recommencée, après cette année passée.
Back to london
14:46 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (12)
04/07/2011
Nuit de St germain en Laye
Nous attendons sur une bite de parking, la nuit tombe sur cette place de St Germain en Laye, nous sommes en retard, Paris est plus loin que pensé.
Aucun taxi en vue et d’autres patientent, j’appelle et quelques minutes plus tard un visage souriant vient nous rechercher en voiture pour nous mener dans le sage pavillon d’une famille comme il y en a tant. Sauf qu’en descendant l’escalier qui mène au salon, les meubles sont poussés et si les 4 couples sont assis sur les canapés, les hommes sont déjà déchaussés, des matelas sont en fond posés et du gel est en évidence sur la cheminée. Soirée libertine à ne pas douter.
Des mots banals échangés, une coupe de champagne avalée. La glace est brisée par un des hommes qui commence à déshabiller ma complice. Les couples se défont pour d’autres formés.
Education oblige… j’enlace l’hôtesse, superbe noire au corps parfait, couleur d'ébène brillant.
Après les Antilles me voilà en Afrique, quel voyage.
Mes doigts glissent sur sa peau tendue et douce, ma main ouvre son sexe fin, mon sexe s'y engouffre, fourreau serré et glissant.
Les vas et viens commencent et le plaisir apparait en apaisement de la tension des avants, cette croupe qui s’agite quand on la pénètre décuple la jouissance ânonnant, au gré des coups de reins, de part et d'autres.
L'Afrique est sauvage, sensuelle et diablement à l’unisson, bien que je ne sois pas assez percutant pour le potentiel de mon hôtesse, début de soirée certainement, elle jouit, je me réserve pour tenir, il y a quand même 4 autres femmes à butiner.
Mon accompagnatrice est elle-même enlacée avec son cavalier qui la quitte, sa femme le remplace et je me colle à elles, vite ma bite est sucée par une bouche connue et diablement efficace, moi-même suce celle qui suce le sexe de la bouche qui me suce.
Je sais il faut suivre. Tout cela est somme toute confus mais drôlement excitant.
Mes doigts pénètrent et font mouiller, parfois ma bite change de bouche, nos trois corps ne font qu’un bête polyandrique pour gémissements polyphoniques.
Une pause et du champagne ou quelques canapés, des femmes dansent, des hommes se recomposent, bite vidée et air exténué, des mots et des plaisanteries, tout cela est très naturel sans artifice ou pose.
Une jolie blonde se fait sauvagement pénétrer, elle jouit bruyamment.
Me voilà à chevaucher à grandes enjambées le sexe blanc de celle que j’avais tant fait mouiller, terrain idéal pour le galop, cravaché de ses cris d’encouragement.
Parfois en levant la tête j’aperçois sur le canapé la même scène.
Voir un film et y être, qui ne l’a pas rêvé.
Au retour de la cuisine, une autre convive noire suce notre hôte à quatre pattes sur le matelas, elle me montre sa croupe brillante et ses deux points plissés, le plus long est légèrement ouvert et m'appelle irrésistiblement.
Mes mains plaquent ses hanches, la voilà prise, et moi qui retrouve le goût de se sensuel continent, décidemment oui j'aime ce voyage.
Les coups et les slurpes s'enchainent, quand craque notre sucée, ma belle croupe se retourne heureuse découvre son fouteur et m'embrasse puis court rejoindre son homme.
Ma coquine esseulée semble triste, je la rejoins et reprends mon foutage, ce retour d'une bite amie et connue lui arrache vite un orgasme si bruyant qu'il détourne sur nous les regards et suspend les reins le temps de ceux-ci.
Décidemment le sexe n'est pas que science des mécaniques, il est jeux des cœurs, en témoigne ses larmes quand à l'oreille lui avoue qu'un de mes foutages fut divin. Le libertinage est lutte contre la possession et la jalousie, détachement apparent pour plus grand attachement.
Consolée et cajolée, je ne me reprendrai plus en partouze, à des confidences sur l'oreiller.
La blonde que je trouvais avoir du chien suce son blond ami qui lui avait tant apporté de plaisir, en croupe offerte aux groupes je prends place et aussi sauvagement que ne l'avait fait son sucé je jouis en elle en levrette, mon amie tente désespérément de faire vivre la queue énorme du compagnon antillais d'une de mes honorées. Elle me caresse le torse entre deux bouchées.
Las le monstre ne veux se redresser la voilà abandonnant la partie.
Ma blonde jouit sous mes coups, en témoigne les sucions de plus en plus frénétiques sur le pal de notre blond dont le visage cramoisi trahi de sa haute lutte pour ne pas exploser.
Mon dos coule, ma bite brûle, les baisers dans le cou et les caresses tendres de mon amie m'enflamment.
L'assistance est en pose nous sommes le spectacle, les commentaires joyeux vont bon train.
Arggggh un énorme orgasme se libère en moi me laissant vide et suant, la blonde lâche son blond qui respire enfin, elle est radieuse et épuisée.
Une coupe de champagne et le frais de l'air de ces pas, mes jambes flageolent.
Je regarde des couples enlacés, les hommes semblent épuisés, sauf notre blond coureur de grand fond qui entreprend mon amie avec la même fougue qu'au début, elle jouit bruyamment de ses assauts implacables.
Nous voilà enchevêtrés les uns dans les autres, je suce un sein, masturbe un vagin, caresse un clito d'une autre main, c'est le repos du guerrier.
Les corps ont exultés, le mien est reposé de ces 5 femmes en une soirée goutées.
4h du matin il faut rentrer, un taxi nous amène à paris, nous sommes épuisés, sur notre lit canot de sauvetage pour naufragés libertins exténués, ma bite pourtant reprend vie, réflexe pavlovien, en raison du nombre impressionnant de fois où elle a baisée sur cette couche qui a le don de la ressusciter.
J’enlace mon amie qui m'ouvre avec joie ses bras, s'en suis une superbe baise où nous jouissons fort, décidément la partouze a l'art de rendre nos retours orgasmiques.
Enfin Morphée nous tend ses bras, ce n'est qu'un entracte, aux rayons de soleil, notre libido nous titillera encore.
10:31 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (10)
23/06/2011
Comme une baleine échouée
Je pars m'échouer sur une plage, comme une baleine épuisée de ses cabrioles dans l'océan de sa turpitude.
08:54 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (14)
20/06/2011
Nuit Italienne
Elle avait des yeux d’un noir de feu , des seins arrogants et un air canaille ,
Vivait à Bologne et s’appelait Francesca.
Son père était colonel des carabiniers division fiscale,
Son frère sous officier,
Ils faisaient trembler les politiques corrompus .
La lutte contre la corruption c’est la spécialité de la famille,
Elle avait si bien nourri Francesca qu’elle mit un militaire point d’honneur à me corrompre dans ses bras.
Libéré de ses jambes au petit matin je fus acquis à sa corruption
09:17 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : nuit, italienne
12/06/2011
une image confondante
Je crois que cette image de philippe Ramette me correspond parfaitement ...
10:53 | Lien permanent | Commentaires (16)
07/06/2011
Au régime
photo contractuelle
Au régime, à midi, je me suis contenté que de sucer ....
que ne faut il pas endurer pour pouvoir se montrer sur la plage ?
Le pire c'est qu'elle m'a dit en se quittant que le régime était inutile si on ne faisait pas de pompes en plus !
20:52 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (21)
06/06/2011
J'ai envie
florence louise petetin
Si vous me trouvez inassouvi et insatiable, alors vous ne me connaissez pas sous mon jour collectionneur.
je suis un chasseur perpétuel incapable de résister à une proie accessible , En ce moment j'ai envie d'une oeuvre d'art , elle me trotte , m'obsède , suis je normal ?... c'est la crise et combien sont déja dans mes filets ?
Tout me porte à ne pas craquer , la raison est là et je hais la raison , elle m'ennuie la raison , tout est futile et cette oeuvre en est la quintessence , mais brûler sa vie à des futilités , n'est ce pas l'ultime désinvolture que nous laisse la société du formatage ... je suis fou et ne me soigne pas , seuls les fous sont sages car ils ignorent qu'ils sont fous et trouvent les gens de raison fous , alors ... combien de temps vais je résister ? c'est une question de jours ... et encore , le mail est prêt , il ne me manque plus que la déraison ... d'appuyer.
08:29 Publié dans ART CONTEMPORAIN | Lien permanent | Commentaires (16)
03/06/2011
Annonce sérieuse
Cherche petit modèle pour sexe acrobatique.
Rdv devant le cirque d'hiver
16:19 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (10)
30/05/2011
Histoire d'O
Surprise je la croyais en chair, elle était toute fine et antillaise de surcroit.
Un sourire à damner l'ange qui subsisterait encore en moi si je n'étais si coquin, des yeux pétillants comme champagne un soir de fête.
Notre discussion est immédiatement fluide , magie de la rencontre lorsqu'elle comble au-delà de l'attendu.
Une femme intelligente et sensible, coquine de surcroit, que demande le peuple si ce n'est de la révolutionner. Nous nous y trompons pas la belle est venue s'encrapuler avec une gamahucheuse que je lui avais promis.
Trio femme, femme, homme, première pour elle, premier exotisme pour moi aussi, désormais converti.
Vite les 5 étages de notre lubrique nid gravis, nos bouches se collent, langues qui se découvrent dans cette danse toujours un peu pataude des premiers tours. Mes mains entre en scène et caressent son corps, s'immiscent sous la culotte, s'enivrent de sa cyprine abondante et pénètrent pour prendre ce sexe dégoulinant d'envie.
argh ..... ma main se referme dans son vagin qui de suite réagit en s'hérissant. Le jeu devient sexuel et diablement bon, les langues dansent enfin au diapason , les choses sérieuses commencent, un bandeau sur ses yeux pour les lui faire vivre plus intensément.
Je la conduis dans la chambre voisine où ma complice s'impatiente, la couche, la déshabille, l’enlace, la caresse.
Observation caudalique de leurs saphiques jeux, notre coquine semble aux anges, son sourire en témoigne.
Vite je me joins à elles pour une nuit qui ne sera que fougue , délices , hurlements , pluralité , douceurs, tendresse.
Une nuit où j'étais redevenu enfant jouant avec mes deux jouets, tour à tour au milieu de leurs caresses et baisers lesbiens.
Une nuit avec une pose des plus amusante, nous habillerons notre coquine de cuir et de vinyl pour une soirée fetish. Aprés lesbos et trio , la perversité des tenues , des coups de fouets , des laisses, un monde qu'O n'imaginait pas.
La belle n'en sera pas mari, pire ses yeux et son sourire éclatent quand ma complice lui confie une laisse avec au bout un soumis, nu et harnaché.
Joie pour elle de le tenir à sa merci, de lui écraser les testicules pour qu'il se torde à ses pieds.... oui nous avons fait cela , nous avons révélé à notre invitée ce qu'elle ignorait, son immense plaisir à dominer.
Autour de nous des hommes soumis, des femmes fouettées , des tenues des plus excitantes . Des cris mais point de râles , nous donnerons le spectacle et serons avec mon insatiable complice le seul couple à faire l'amour au milieu d'une assistance amusée et respectueuse de nos ébats.
Le soumis croit son heure arrivée et darde une immense bite vers O qui en bonne dominatrice, décidément après moults caresses lascives, le frustre de son refus.
Bras dessus, bras dessous en homme heureux, je suis au milieu de mes coquines, dans le taxi qui nous ramène vers notre antre tantrique.
L'Aurore, le lit est là et mon envie aussi, en témoigne une érection maintenant matinale offerte à la libido de mes anges.
Las, le trio ne sera que duo, notre coquine est aux abonnés absents, épuisée de ses heures précédentes, seule ma complice à encore la force de mes envies.
Enfin le repos dans ce lit étroit de nous, nos corps les uns comme les autres, petites sardines en boite de fer blanc, bien rangées pour mieux tenir dans l'attente du matin.
Il arrivera cinq heure plus tard, Garcia Llorca chantait celle ci, l'heure du toréro et de sa mort.
Dans le compte égalitaire de nos galipettes je dois m'occuper d'O, hummm ce fut un festival, qui terminera en un orgasme si fort que je m'en fracasse la mâchoire ....
Llorca a raison la petite mort pointait.
Les longues jambes fines d'O se lèvent, enfilent sa culotte et filent retrouver une vie plus conventionnelle, mes galipettes dominicales, elles, allaient vite reprendre.
Paris est une fête qu'il ne faut pas manquer de fêter, à trois ou à deux il y a toujours des cotillons.
08:53 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (6)
23/05/2011
Je n'aime plus les blondes !
j'ai longtemps fantasmé sur les blondes, de préference hitchcokiennes, un peu froides, bourgeoises, j'en ai épousé une.
Puis libido venant sur les blondes russes au corps parfait.
Ma dernière expérience me fait dire que c'est fini, la russe blonde ne me fait plus bander.
Résumons les temps forts de cette découverte.
Acte 1, été 2010 Cap d'agde, Une blonde superbe , au corps doré à souhait, cheveux courts, seins obus, cul à damner. Je baise à queue tendue dans un sauna libertin, les cris de ma partenaire l'attirent ( non je n'utilise pas une coquine expressive pour me servir d'appeau échangiste) , celle ci lui laisse la tenue du manche et la blonde bouche m'avale. Bien que Russe elle parle français, horreur, décèption , une bouche aussi parfaite qui ne fait strictement aucun effet, l'image sans la sensation,débandaison piteuse, acte 1 d'une découverte qui allait révolutionner mon monde érotique.
Acte 2 , Paris dans un appartement du 15e Agneska, superbe russe, blonde, aux seins délicieux me lance tellement d'oeuillades coquines que c'est spontanément avec elle que nous commençons nos échanges. Ma main dans sa chatte , elle mouille tant et plus, mes doigts se ferment en elle , elle gémit goulument, prend du plaisir, adore, en redemande, son casque blond parfois caresse mon visage. Bref tout va bien dans le meilleur des mondes libertin, nous sommes à des affaires qui devraient être florissantes.
Las, rien, je suis aussi flasque qu'un DSK aprés ses futures 30 ans de pénitentier. Ce n'est pas une banqueroute, les cours ne se dressent même pas, aucune montée des prix, malgré la demande, je n'ai aucune offre.
A mon départ les clins d'oeil encore trés coquins d'agneska pour me dire, hummmm je me serai bien fait mettre par toi ( agneska aime le sexe qui fait boom boom, il faut dire que son homme éleveur de chevaux la prend à cru).
Ce clin d'oeil est désormais dans ma mémoire comme l'oeil qui regardait Caen de la tombe d'Abel.
"Souviens toi de ta russe" semble t il me dire comme remord de ne pas l'avoir, à la hussarde, percée d'une lance implacable.
Il apparaît donc clairement que la blonde russe, superbe de surcroit ne me provoque aucune excitation sexuelle !
Terrible constat qui m'interdit tout voyage dans ce pays où je serai excité intellectuellement mais défaillant physiquement.
Mais alors pourquoi ?
Est ce un mauvais sort jeté par une fée brune jalouse ?
Une peur de me confronter physiquement à un fantasme?
Je convoque ici tous les psy freudiens , lacaniens et autres niennien pour me le dire.
Pourquoi la blonde russe ne me fait pas d'effet ? Qu'elle est la raison de cette guerre froide qui perdure ?
Aprés deux nuits de réflexion je crois que j'ai trouvé !
La blonde russe attend et prend le plaisir mais ne se préoccupe pas de son partenaire, il n'y a pas d'échange dans les jeux du corps.
En un mot je la sens trop perso , son jeu n'est pas le mien (on se rassure comme on peu rires)
Totalement différent de la black que j'ai pu tester par deux fois dans le même week end, alors là c'est ............... grandiose, un festin de roi.
Etrange, tout de même et amusante découverte de soi, qui a dit que le cul ne menait pas à la connaissance?
je sais que je suis désormais plus black que white.
09:33 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (27)
16/05/2011
Proposition à H
Chère H,
Nos brefs échanges ont semé une graine lubrique qui a germé cette nuit. Ce texte en est le fruit, défendu ou délicieux à vous de voir, je vous livre son gôut,amer de ma folie, sucré de mes désirs.
Vous ouvrirez une bouteille de champagne et vous boirez une flutte, vous devrez avoir votre tenue de tous les jours.
Ma complice sonnera à votre domicile, mais vous ne pourrez lui parler, vous lui offriez un verre , là, debout, elle vous déshabillera et vous caressera, amours saphiques en prémisses de votre nuit.
Aprés que vous ayez joui de ses doigts et de sa langue experte, elle vous lavera.
Vous serez sechée , et mettrez vos plus hauts talons, devant elle , nue et cambrée de vos chaussures elle vous agrafera le collier de cou que vous porterez toute la soirée en guise de soumission à nos lubriques dessins.
Un taxi vous attendra, c'est nue sous votre imperméable avec ce collier au cou que vous déscendrez en bas de votre immeuble, vous sentirez de vos fesses chaudes , le froid du cuir de la banquette.
Vous rougirez de ce que le taxiteur ne s'aperçoive de votre tenue ou de votre collier.
Paris défilera sous vos yeux et vos questions vous brûleront, nul réponse que celles que vous leurs donnerez au matin, réponses comme un rêve, un fantasme qui aura peut être existé mais que vous n'oserez vous avoué réalisé.
Vous ne pourrez pas parler , vous ne pourrez croiser les jambes ni gémir alors que votre corruptrice, une main passée sous le vêtement, vous caressera le sexe pour en entretenir une humide félicité.
Amenée au lieu de notre nuit, votre impermable sera enlevée , nue sur vos trés hauts talons, avec comme vêtement d'impudeur que votre collier, une laisse sera accrochée , à partir de ce moment vous vous oublierez , vous serez notre soumise, et vous aurez dominé votre timidité.
Commencera un voyage en eaux érotiques.
Nous serons les capitaines , seuls maitre à bord aprés dieu et votre respect.
Nous voguerons pour vos délices , pour nos appétances, jeux érotiques et sensuels.
Vos râles seront notre compas, vos étourdissements notre cap, nos jouissances notre solde.
Une nuit que vous ne pourrez raconter à A ... , qu'en mouillant encore d'envie.
Il suffit de dire oui et vous naviguerez, ne réfléchissez pas trop , les sauts se font toujours à l'instinct, un petit oui avant tant d'autres que vous gémirez et hurlerez pour une nuit érotique que vous aurez osée.
Rendez vous vendredi.
Votre Lubrique corrupteur.
Waid
09:38 Publié dans ENVIES | Lien permanent | Commentaires (17)
08/05/2011
Cul par dessus tête
Le mâle Homo Erectus , devenu , mais oui, Sapiens Sapiens , se classe en deux catégories en matière de réactions aux stimuli érotiques visuels de sa congénère.
Le premier groupe dit mammaire, est sensible à la poitrine, avec un effet d'autant plus excitant qu'elle est imposante, reste de désir enfantin quand mordre à pleine dent était gage de festin lactique.
Le deuxième groupe dit postérieur, est lui sensible au cul de son opposée sexuel, il se dit que ces hommes sont programmé pour féconder, un beau cul serait gage de beaux enfants , bref la nature les rend cul addict et moins seins sensibles.
Je me place dans cette deuxième catégorie, celle de ceux dont les yeux tombent en premier lieu sur la zone fessière, imaginant de longues et étourdissantes pénétrations.
Alors en regardant le mariage de kate et william , mes yeux se sont arrêtés sur le cul de la demoiselle d'honneur , en l'occurrence Philippa Middleton dite PIPA ... (ok pas d'allusions salaces) car c'est pas des pipes dont on a envie avec Pipa mais d'une bonne sodomie tellement son cul l'y appelle.
Faut dire que cette robe le lui met sacrément en valeur, au point de troubler harry.
Une question me taraude et m'excite depuis que j'ai vu cette photo , Pipa portait elle une culotte sous sa robe macqueen ?
pour ma part vu l'absence de marque je pense que non ,mais alors elle a du aussi être totalement épilée , bref l'idée qu'elle s'est baladée nue sous cette divine robe pour être vue par des milliards de téléspectateurs au mariage de sa soeur me rend sans voix , sur sa perversité ... hummmm une sacrée coquine à mon avis.
Bravo Pipa .... c'est comme ça qu'on lutte contre les convenances même à un mariage royal.
Ps
si une lectrice me fait la traduction je veux bien publier cet article en anglais , sait on jamais Pipa aime peut être les blogs culs.
20:34 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (14)
02/05/2011
Nirvana
je crois qu'allongé dans leurs bras, corps au repos emmelés de notre mélée passée, leurs lêvres encore brulantes de leurs orgasmes déposant parfois un baiser de félicité, le visage caressé par leurs chevelures, le sexe mou des cavalcades antérieures, le corps salé de mes sueurs , une main sur chaque corps à goûter leurs grains de peaux...
j'ai atteint avec ces deux coquines le nirvana waidien....
10:04 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (32)
27/04/2011
Réflexions de vieux
Au saut du tgv ma bite happée, mes vêtements défaits, ma langue exigée ...
Pfeuuuu de mon temps il y avait des préliminaires.
et le bonjour quand même!
09:47 | Lien permanent | Commentaires (22)
24/04/2011
Scène indienne
Alors que je suis en sex trip à Paris, je pense qu'il est bon que ce blog redevienne un peu sérieux et moins centré sur ma bite.
A force de textes à son sujet, son égo s'hypertrophier pour passer dans la catégorie des TTBM.
Un peu d'art donc.
Le musée de Lyon organise une très belle exposition sur la scène Indienne.
http://www.lyon-info.fr/?L-Inde-s-invite-au-Musee-d-art
L’Inde s’éveille mais s’était elle un jour endormie au niveau de l’art ?
Il est intéressant de comparer le réveil des deux géants, la Chine et l’Inde.
Si la production artistique contemporaine de la Chine peut se résumer en Kitsch, pastiche occidental et fric, celle de l’inde est empreinte d’une banalité et d’une interrogation sur les mutations d’une société traditionnelle, en une société globalisée.
En cela je vous invite à aller à Lyon.
Mais éviter les Andouillettes, achetée sur le marché du dimanche matin à coté de la buvette Bonaparte sur les quais de Saone , 4 jours d'antibiotiques pour lutter contre les effets dyssentriques d'une intoxication alimentaire.
Contrairement à la Chine qui ignore pour l’instant son passé millénaire dans l’art, les artistes indiens utilisent souvent un élément de la société traditionnelle pour l’intégrer et en faire un matériau artistique.
Bharti KHER, née en 1969 utilise le Bindi petit point hindou rouge ou de couleur sur le visage pour les placer utiliser en éléments décoratifs, ici sur un cœur, là sur des tableaux
Parfois comme à Lyon ses sculptures sont plus traditionnelles
Je vous avais parlé de subodh GUTPA, il est présent avec une pièce trop démesurée pour être juste, devenu une star de l’art, il en faut pour les milliardaires et il dope ses productions, dommage.
Son autre pièce est plus juste, il s’agit du mobilier des cabinets d’avocats de rue indien, pas ceux pour les riches ceux pour la masse grouillante, le matériel est vétuste, crade, et les chaises sont cadenacées pour ne pas être volées.
Je pense que cela préfigure notre future justice Française que l’on veut créer à deux vitesses, efficace pour ceux qui ont des moyens, grouillante et débordée pour les sans grades.
En tournant l’on trouve une très belle pièce de Bose KRISHNAMACHARI , conscient de ce que cette société va changer il semble agir comme un conservateur , enfermant dans les boites traditionnelle de la saquette indienne des scènes grouillante de la vie des quartiers, l’effet est très réussi on s’y retrouve il ne manque que les odeurs.
Bien sur le Kitsch Bollywoodien existe dans cette production , celui ci est matérialisé par des œuvres ou savoir faire et main d’œuvre exploitée permettent un travail bluffant d’artisanat mais qui à mon avis s’arrête là.
Ainsi Valay SHENDE fait reproduire des éléments de l’inde traditionnelle en maquettes grandeurs natures en pastilles métalliques soudées.
Succès populaire garanti, mais l'art d'avant garde peut il être populaire ? oeuvre pompier, lêchée ou seul le travail est mis en scéne.
Le sexe n’est pas absent des préoccupations des artistes du sous continent, même si l’expérience sexuelle indienne d’une de mes lectrices fut hyper décevante, les indiens ont des préoccupations sexuelles
Ainsi la chambre à coucher du duo jitren Thukral & Sumir Tagra .
En regardant de prés la tapisserie on y voit enlacés Spiderman et une pin up, mais le sexe moderne sans la contrainte du mariage arrangé entraine le risque du sida et le slip accroché l’évoque comme les claquettes qui comportent un dessin de mode d’emploi du condom.
Dernier artistes parmi ceux que je citerai , peut être celle qui m’est le plus proche car poétique et très juste Hemali BUTHA elle travail sur l’espace et le temps qui détruit l’éphémère des œuvres ainsi il empli une pièces de bâtons d’encens accrochés à des fils en suspension … on pense au pénétrable de Soto des années 70 , au plein d’Arman , aux oeuvres aux épices odorantes d’Ernesto Neto , il y a l’inde , il y a la poésie , il y a, l’éphémère et donc la vacuité du geste artistique qui n’est pas là pour défier le temps mais exprimer un sentiment , une émotion. Il y a là, du bel art d’une tradition réincarnée dans une globalisation digérée.
le compte rendu de lunettes rouges que je n'ai pas encore lu
12:59 Publié dans ART CONTEMPORAIN | Lien permanent | Commentaires (10)