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27/12/2009

Confession

 

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Comme un gentleman cambrioleur à ton corps gémissant, j'ai pénétré ton cul, forteresse que tu croyais bien défendue de mes appétences libertines.

Sans mot et sans promesse nos corps se sont donnés.

Ils ont joui, giclé, crié

Mais nos âmes, elles, se sont-elles trouvées ?

Je ne peux qu'être sex friend.

Tu voulais un boy friend

Je fus un toy boy...

 

 

 

17:13 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (19)

23/12/2009

Cher Mr, WAID

 

 

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Cher Mr Waid,

 

Vos écrits me troublent, à tel point que vous hantez mes songes...

 

Je vous imagine, enveloppé dans un peignoir de velours noir, installé face à votre bureau de chêne massif. Assis dans votre fauteuil de cuir, vous fermez les yeux afin de laisser l’inspiration prendre possession de votre esprit. Vous vous détendez... Vous vous étirez dans votre fauteuil, tel un chat sortant de sa sieste. Cette position fait glisser l’étoffe noire qui vous habille, laissant ainsi échapper une partie de votre anatomie. Ce buste musclé et légèrement velu... Et plus en dessous, cet objet de convoitise qui a su faire frémir plus d’une... Vous ne vous rhabillez pas... Pour quoi faire, vous êtes seul dans la pièce... Oui, mais voilà ! Il s’agit de MON fantasme et MOI je suis là, à vous épier... A vous contempler (devrais-je plutôt dire). Alors, je me régale de ce charmant panorama ! Puis les images émergent de vos pensées, les aventures passées ou à venir se mélangent dans votre tête... Il est temps de les mettre par écrit. C’est alors, que du bout des doigts vous attrapez votre plume avec délicatesse. Tout comme pour un corps de femme, vos doigts se resserrent sur elle pour la maintenir avec une pression ni trop forte, ni trop douce. Imbibée d’encre noire, la plume glisse sur le papier déposant ainsi vos histoires. Sur la feuille vous faites danser les mots. C’est alors que mon esprit s’emballe... J’imagine vos doigts glisser sur ma peau tout comme cette plume caresse la page blanche... J’imagine nos corps enlacés tournoyant sur la piste, tout comme vos phrases valsent sur la copie... Puis, plus rien ! Plus de musique... Plus de lumière... Juste ce spot au-dessus de nous. Vous me fixez et me souriez. Votre regard envoûtant me fait chavirer, je perds mes amarres et me noie dans vos yeux. Vous déposez délicatement votre main sur ma joue dans une caresse tendre, laissant peu à peu glisser vos doigts dans mes cheveux. Puis lentement, très lentement... Sûrement pour que je puisse apprécier chaque seconde de cet instant... Très lentement, donc, vous approchez votre visage du mien et vous appliquez vos lèvres sur les miennes. Elles sont délicieuses, douces et chaudes. Un deuxième baiser. Puis un troisième et nos bouches se font plus gourmandes. Elles s’ouvrent et s’offrent l’une à l’autre. Nos langues se mélangent et s’emportent à leur tour dans une danse passionnée. Vous resserrez votre étreinte. Collée contre vous, je devine votre entrejambe se soulever sous votre peignoir de velours noir. Mes seins aussi se redressent et se mettent à durcir. La chaleur de mon intimité se déverse, ruisselant jusqu’à inonder ma petite culotte de coton. Ma respiration se fait plus forte et plus haletante. Mon souffle devient saccadé. Je suffoque et m’évanouie...

 

C’est alors que je m’éveille, forcée de constater que tout cela n’était qu’un rêve... Un délicieux et merveilleux rêve...

 

20:20 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (15)

20/12/2009

Hôtel le Général

 
Où :
 
Hôtel Le GENERAL Rue Rampon Paris 11e
140 euros la nuit pour une chambre de luxe (lit en 160)
 
AVEC QUI :

Au départ avec une jeune femme qui veut découvrir le monde libertin, pour finir à 8 personnes plus un photographe le matin
 
POURQUOI FAIRE :


Un blind rdv, l'attacher nue et aveuglée, commencer à faire bouillir avec votre langue et un œuf vibrant, puis appeler des amis blogueurs pour un quatuor devant son regard interloqué.
Remettre ça le lendemain avec d'autres blogueurs, ne pas remarquer que l'un part plus tôt pour aller rejoindre la demoiselle de la veille.
Epuisé, se faire apporter des croissants le matin par un photographe érotique, puis se faire shooter avec vos douces complices en pacha sexuel, lui demander de leur donner un plaisir que vous ne pouvez plus apporter, votre bar étant vide.
Affronter le regard de la réceptionniste qui depuis deux nuits recueille les plaintes de vos voisins de chambre.
Ne pas lui demander son numéro de téléphone, eu égard à son physique, même si elle a eu la preuve sonore de vos talents
 
BOIRE AVEC :


Champagne cordon rouge apporté par un blogueur exhibitionniste, bibliophile et gauchiste, en hommage au livre rouge de Mao, la révolution sexuelle en marche
 
AUX ALENTOURS :

Paris à vos pieds sous la neige.
Belleville et ses bistrots encore parisiens.
Les galeries d'art de la rue de Charlot pour terminer de vider vos bourses.

 

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07/12/2009

Nuit de brouillard

 

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Les souvenirs se voilent …

Plus que la chaleur de ta peau.

La timidité de ta langue à la mienne mêlée.

Voile de dévotion, sacre de l'instant.

Trop de choses vécues.

Fébrilité.

Libération de nos corps enlacés.

Rien de plus commun

mais toujours jouissance et orgasme.

Feu et passion,

l'unisson pour récompense.

Nos corps se mêlent et s'épanouissent pour mieux enlacer nos cœurs ,

pansements d'identiques douleurs.

Mes souvenirs se voilent …

J’oublie la pièce jonchée des restes de nos ébats,

Méduses roses, anciens baillons de mon méat.

les draps trop maculés, pour ne pas rougir au matin de rendre les clefs.

les moments de sueurs en perle de nos encores.

Les souvenirs se voilent …

Mais tes bras, voiles, douceur subsistent.

Ton regard qui jouit , Tes bonheurs criés.

Mes souvenirs se voilent …

Pourtant mes lèvres vivent encore ton immense clito, tété.

Le brouillard de l’anecdocte se dissipe pour l’essence du moment.

Moi en toi,

toi mon émoi, comme deux êtres qui s'aimoient.

passé jamais recomposé

temps qui fuit , ne sera plus mais subsiste, s'amplifie

et s'expose sous ces lignes de ce matin sans toi.

03/12/2009

sans queue ni tête

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je ne sais si c'est le travail qui m'assaille 

ou le temps qui me tressaille

 mais je sens que je me lasse

 libido qui se taille

 muse en mélasse

pour note de feignasse