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29/04/2012

(suite) masochisme Wartenberg

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Cette roue qui avait effleuré son corps excitant ses parties sexuelles d’une pointe délicate, pénètre désormais en elle, s’enfonçant dans la peau diaphane et pure.

Au gré de ma pression, de plus en plus intense, se créé un chemin de trais rouges, perlant parfois de ce sang qui afflue dans mon sexe en excitation de ma perversion.

Nuls cris de sa part, sa chair se contracte et ses yeux s’humidifient au fur et à mesure de la démesure de ma pression, mais la douleur subie, son regard fier reprend comme une invite à plus.

Le sentier de douleur va du bas de la gorge à l’intérieur de ses cuisses, une ligne de sang sur un corps en sueur.

Elle m’observe, crânement, triomphatrice de l’épreuve, ce regard veut plus.

Je sors ma fiole, imbibe le coton d’alcool à 90°, le porte sur les plaies, en sens inverse du parcours de la roue.

Elle sursaute et lâche un cri qui éclaire mon œil d’une satisfaction sadique, tandis que son regard me fixe pour regretter sa perte de contrôle.

Imperturbable, je continue de jouer de mon coton et de la fiole, m’attardant plus longuement à proximité de son sexe humide intouché jusqu’alors.

La douleur des épingles devient ligne de feu, corps coupé en deux d’une brulure profilaxique.

Elle se tord sur le sol, beauté d’un corps violé d’une ligne de douleur.

D’un ordre j’exige qu’elle se mette à quatre pattes, lui glisse une corde sous le cou, et tourne les deux brins pour l’enserrer.

Elle commence à étouffer et je relâche très légèrement la pression.

Alors d’une main, tenant la corde comme les rênes d’un attelage, je m’enfonce dans son trou le plus étroit, sans préparation aucune. Sa carotide se gonfle du cri qu’elle ne peut pousser.

étouffée, je relâche un peu la corde et pousse plus encore dans ses entrailles.

Sa main tape le sol et d’une puissante claque sur la fesse j’applique une douleur de divertissement.

Les sphincters désormais matés, je peux coulisser au gré de mon plaisir, mon sexe est trop étroit dans ma propre chair tellement je suis excité, je deviens animal, butor l’oubliant, m’oubliant pour me concentrer de la seule sensation de ma bite qui jaillira avant que mon cerveau n’éclate en déflagration rouge et bleue, nuage champignon de mon orgasme.

Nous nous jetons sur le coté, le froid des tomettes me saisi, les yeux au plafond, je jouis des restes de mon inouïe explosion, elle se tourne vers moi et m'enlace.

 

 

 

25/04/2012

Masochisme

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« Homme sadique cherche maso « 

 

A cette annonce elle avait envoyé les photos de ses fesses martyrisées, chef d’œuvre de scarification avec ce mot : « Il m’a quitté , la douleur s’en est allée, elle me manque en seriez vous capable ? »

 

Café, place Palais Royal, j’attends. Elle arrive, visage diaphane de blonde sage, une tenue passe partout et une lassitude dans son regard délavé. L  est clerc de notaire. Elle s’ennuie à rédiger des compromis de vente et s’ennuie encore plus à voir les jeunes hommes de son âge qui tentent de la séduire. Elle n’aime ni le sexe alcoolisé en déshynibateur, ni les jeux vidéos, ni les coups de reins en pornos mal digérés.

 

Définitivement classée comme asexuée par ses connaissances masculines, elle cache un amour pour la douleur né des punitions de son père.

Me ferez vous réellement mal ? Je n’aime pas les amateurs me dit elle, j’aime la souffrance lente qui monte et qui me tourne les sens.

 

Je suis averti, rendez vous pris deux semaines plus tard.

 

Même air doux et résigné. Ses habits tombent à ses pieds. Ses marques ont presque disparues, page blanche pour les maux que je vais y apposer.

 

La pièce est vide à l’exception d'un fauteuil de cuir au dossier carré.

 

Au plafond deux crochets et des liens qui y pendent.

 

Elle marche pied nu sur la tomette, et se dresse devant moi, son regard s’éclaire, il est presque crâneur, mes doigts se crispent sur la trousse noire que je tiens ...


( à suivre ...)


23/04/2012

Curiosité New Yorkaise

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( à monsieur pseudo ce n'est pas ma photo

à mes lectrices je n'ai pas l'adresse mail du modèle)


Si paris est une ville de plaisirs, londres une ville d’excentricité New York est la patrie du paraître.

Nul par ailleurs hormis à Tokyo les looks sont aussi recherchés et pointus.

Le New Yorkais branché la trentaine porte

 

Une coupe avec mèche

Une barbe

Des lunettes présentes noires

Une chemise

Un gilet ou une veste

Un jean ou un chinos avec bas retroussés et pantalon très relevé

Une paire de chaussures pas géniale en principe

Certain une bite en plastique molle pour donner l’illusion d’une présence d’importance dans le pantalon

En effet, vu dans un sex shop de New York des sexes d’hommes au repos en plastique mou, curieux j’ai interrogé la vendeuse sur leur usage, elle m’a montré les slips qui permettent de les porter sous un jean; ça donne de la présence m’a t elle dit.

Je suis pas assez bon angliciste pour lui avoir demandé si quand le slip tombe l’éclat de rire  est assuré.


Le plus incroyable est que j'ai vu aussi ce type d'appendice en petite taille, à ne rien y comprendre.

18/04/2012

domaine de V séance photo 4

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photo contractuelle G à l'appareil

08:52 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (13)

16/04/2012

domaine de V fin

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21:33 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (6)

15/04/2012

de retour

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De retour, les poches vides de texte mais les valises pleines d'images...

 

23:39 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (6)

13/04/2012

domaine de V séance photo 2

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12/04/2012

domaine de V séance photo 3

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11/04/2012

domaine de V séance photo

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10/04/2012

A NEW YORK pour la semaine

 

 TAXI DRIVER ( note de septembre 2009 curieusement cette paire de fesses sera à NY la semaine prochaine aussi)

 

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(c) chut ... envoi anonyme

 

Bar du Marriott, eleven PM o’clock, Manhattan, New York.
Avec pour compagnon un cognac mon aîné de vingt ans, j’écoute les couples qui discutent autour de moi, seul dans la ville monde qui ne dort jamais.

Sont-ils amoureux ou en affaire, joignent-ils l’utile à la bagatelle, dans cet univers où le seul dieu est dollar et ses voies business.
Enfoncée dans les fauteuils moelleux, une femme lit Cosmopolitan, version française.
Il est vrai que la grosse pomme ressemble à un verger normand tellement elle est parcourue par nos congénères, ivres du taux de change.
Elle croise et décroise ses jambes, absorbée par la lecture, la couverture du magazine vante les amours imprévus de l’été.
Vêtue d’une robe verte, elle a l’élégance et la classe naturelle des françaises que les américaines n’atteignent qu’après des années de lectures de Vogue et des milliers de dollars offerts aux prêtresses de Bloomindale.
J’aime les bars des grands hôtels , on y trouve toujours d’excellents cognacs, des représentantes de commerce russe et des imprévus.
J’avais goûté au cognac, j’aspirais à l’imprévu, serait-il lecteur de Cosmopolitan ?
Un mot griffonné à son attention et confié au barman pour le savoir.
« J’aime moi aussi lire Cosmopolitan quand il raconte une rencontre imprévue au bar du Marriott à NY avec une belle française, posez le magazine si de lectrice vous souhaitez devenir actrice de l’article »
Elle lit, l’attente , je doute …
Victoire, elle pose le magazine après un regard discret en ma direction.
Je griffonne un deuxième billet, poulet encore une fois confié aux bons soins du barman.
« Si l’inconnu vous fait frissonner comme moi, alors allons au Morgan où je loge, la nuit est longue, la vue vertigineuse, le lit immense comme mon envie de vous entendre jouir »
La belle sourit, son œil s’illumine, elle se lève, règle, et prend l'ascenseur.
Je la suis. Trop tard. Les portes se referment, je saute dans celui d’à coté .
Le lobby est vide, je passe l’entrée et la vois sur le trottoir hélant un taxi.
J’hésite. Dois-je la rejoindre, ne suis-je pas allé trop loin ?
Avant de s’engouffrer dans le cab, ses mains se portent sur sa jupe, elle la soulève et me montre ses fesses, comme une réponse à mes questions.
Il serait goujat d’ignorer une telle invite. Je saute dans le taxi qui suit, donne un billet de 1OO dollars au chauffeur en exigeant qu’il ne perde pas de vue le taxi devant.
Après une longue course, comme pour me faire languir, nous nous arrêtons devant le Morgan.
La suite … et bien lisez cosmopolitan l’année prochaine nous l’avons envoyé au journal pour les remercier.
 

PS ce texte m’a été inspiré par un chiche brillamment emporté par une belle et surtout par un de ses mails de l'été
 

 

 

 

14:52 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (5)