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27/03/2012

Nuit dépravée

 

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Retour de pause restaurant après ces instants avec elle. Dans le lit de ma logeuse absente pour cause d'anniversaire et plus si affinités, je ferme les yeux
 
C ... est dans la salle de bain, moi sur cette couche qui a vu tant de galipettes qu'elle ne s'en souvient plus, en mémoire ma queue qui quelques heures plutôt enfin fusionnait avec le si mimi bas ventre de C. Tension enfin noyée dans la cyprine de son envie, fusion charnelle enfin consommée de nos corps appétant. Ses yeux qui tête en bas et sexe en l'air s'humidifiaient de mes vas et viens lents et profonds. Coups d'archets de musique de chambre. Ses cris oh oui, putain que c'est bon couverts par mes râles de plaisirs au déplaisir de la voisine.
 
Mentalement je me destinais à remettre le couvert, envie de sa chatte encore; moi qui avais été frustré lors de notre première rencontre de ne pouvoir visiter que son cul.
 
La sodomie est bonne mais plus grande est la fusion d'une bite dans une chatte et orpheline une unique sodomie.
 
Je ferme les yeux et une main me frôle, j'ouvre les yeux et vois étonné E ...  ma logeuse accroupie à me caresser, encore en tenue de sa soirée.
 
- Mais ton plan cul ?
 
- Oublié je suis rentrée.
 
Les longues jambes de C passent la porte, en soutien gorge et cul à l'air elle vient me rejoindre et découvre  E ...
 
surprise, arrêt, interrogations sur son visage.
 
Ma logeuse est une vorace et profitant de ma nudité m'enlace puis me dévore la bouche.
 
C... s'approche et s'assied sur le lit à nous regarder, acquiesçant implicitement à l'incroyable nuit qui allait se dérouler. Elle pourtant non libertine dont le la seule transgression au rite du couché amoureux fut trois rencontres adopte un mec.

Rapidement je suis en E ... et rapidement elle gémie, ce qui conduit C ... à se caresser à nos cotés.

Me voilà quittant E ... pour C ... qui commence à sucer E ... Puis deux bouches pour ma queue et quelques doigts pour mon cul en guise d'apéri-culs, il faut beaucoup de force pour ne pas exploser en préliminaires.

La nuit fut échange de l'une à l'autre les capotes emplissant la poubelle à chaque changement, me levant pour me laver les mains ou la bite pour respecter l'hygiène de chacune.

Scènes de trio banal si ce n'est l'efficacité et le naturel de C ... dans ses caresses buccales à E ... ou dans son laissé aller à nos caresses ondoyantes.

Mais le banal ne devait pas être le thème de cette nuit et cette coquine d'E ... propose à C ... de la prendre au gode ceinture ce qui ravie notre novice.

La voila sur E ... qui la pénètre de son gode, son cul m'est offert, ville ouverte aux soudards qui vont la piller, ma bite en bélier pour forcer ses défense s'enfonce comme doigt dans motte de beurre, il est vrai que mon chibre est raide de cette nouvelle composition.

Tout au fond je sent le gode d'E ... Commence alors une longue double pénétration ponctuée des cris de plaisirs ou d'encouragement de C ... littéralement ouverte de nos deux bites qui glissent doucement en elle pour l'affolement de ses sens.

E ... toujours dessous est ravie et reçois l'humide hommage de notre C qui coule sur elle.

Mon sexe se sent de plus en plus à l'aise dans son anus qui me laisse libre court, plus de lenteur , plus de mesure, j'entre au plus profond là où la bite de E ... me titille à travers la parois mon frein.

La voisine à du nous maudire de nos jouissances sonores au diapason de nos plaisirs.

Je sens que je vais exploser et sans retenue aucune conduit les coups de reins qui vont provoquer mon orgasme.

Celui ci est d'autant plus puissant qu'il est le premier de la soirée à ce moment là milieu de la nuit.

électrochoc au niveau de la bite dans ce cul devenu suffisamment lâche pour me permettre de coulisser sans difficulté, suffisamment étroit pour me conduire en d'infinis plaisirs.

Je m'écroule sur ses fesses, C ... est sandwich, tranche de coquine entre deux pains au levain pervers.

Je sors, sexe encore dur, C ... se libère de la bite en plastique d’E ... qui se relève.

La coquine est en transe de ce qu'elle a vu et vite me suce pour me remettre en selle, son orgasme sera puissant.

La nuit s'impose, nous nous serrons l'un contre l'autre, tendres visages sous mes bras qui les enserrent.

Parfois un bisous.

D’autre fois pris de bouffées de chaleur nous tentons de nous éloigner les uns des autres dans l'étroit lit, pour plus nous enlacer quand nos corps ont trop froidis.

Le sommeil nous donne quelques forces et au matin E est encore plus en appétit, C ... moins, je nourrie mon affamée de coups de rein bien appuyés ce qui réveille l'envie de C ....

La voilà sur le ventre à plat, moi au dessus d'elle en pompe matinale, me voilà sportif comme jamais je ne l'ai été, mes bras et mes reins épuisant notre C ...

E ... me lance garde des forces pour moi, et profitant d'une demande de souffle de C ... me souffle à elle pour jouir de moi.

Tout cela me donne envie de jouir mais mes excés me rendent l'orgasme plus difficile. J'ôte le préservatif, demande à E de m'enfoncer un anéros, me voilà ouvert de son entrée en mon tréfonds.

Ma bite se raidit plus encore, mes sens sont incroyablement plus aigus . Mon sphincter joue à titiller via l'anéros mon point P, je me trémousse et me sens déffaillir quand les bouches m'avalent.

Ma jouissance sera hurlante et plus grande sera celle de voir deux paires d'yeux brillants, du spéctacle d'une main qui branle une bite ivre de jouir et déversant en gouttes brûlantes la semence de mon engeance.


Tout cela fini à midi dans l'odeur fauve d'une nuit de stupre.

L’eau de la douche pour nous laver de nos pêchés et les mots posés ici pour me confesser de cette nuit de dépravé.

26/03/2012

On a tous ses limites

 

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 (photo contractuelle sauf pour le spatio temporel)

 

Je suis un dépravé trop fatigué ce matin pour vous raconter

 

08:00 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (7)

21/03/2012

Par la gorge te pénétrer

 Je veux être l'ours Cémoi chocolat et guimauve . Je serai déposé dans ta bouche après avoir effleuré tes lèvres et admiré tes jolies dents. je reposerai sur cette langue à cet instant si inaccoutumement sage et commencerai à fondre lentement. Mon corps de guimauve se liquéfiera sensuellement coulant sous tes papilles , envahissant ta salive. Mon goût te montera au cerveau affolant tes neurones, je fondrai pour pénétrer ta gorge à nos émois , j'entendrai un râle de satisfaction, et disparaitrai en toi à tout jamais.

22:20 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (3)

19/03/2012

Nuit des lys


 

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La Gare de Lyon n’est pas trop pleine, 22h, il ne fait même pas froid.

Valisette qui roule, je file hors de la gare, descends les escaliers et tourne vers le boulevard Diderot, les parisiens se pressent aussi, le vendredi jour de coït ?

Dans la rue je la croise, étudiante sage qui me rejoint de retour d’une soirée soumission & explications.

J’ai sommeil, je baille à décrocher la mâchoire. Le bistrot branché de son coin de rue nous refuse un café,  décidément nous sommes des ringues à ne pas vouloir boire d’alcool un vendredi soir.

Des jeunes sortis du bureau sont déjà saouls, jolies filles. L’alcool me les rend moins désirables, dommage.

Un snack nous accueil pour un expresso salvateur, les néons et le sol lavé autour de nous par la grosse black qui interroge sa copine sur les réactions de son ex à son largage rend le lieu triste.

La caféine fait effet, la vessie me presse, il est vrai que les toilettes du TGV sont tellement puantes que nul envie de les utiliser et dire qu’il y a des fantasmes sur celles ci.

Nous grimpons vers son nid d’aigle, 6e étage souffle coupé, il faudra un jour que je me mette au sport. Vessie soulagée.

Le programme ce soir ?

Nulle envie de baise là, je n’y suis pas, il me faut plus de folie pour me mettre en émoi, casser cette semaine, desserrer le nœud de stress qui bloque ma libido.

Elle le sent et ne me demande rien.

Nous nous changeons, moi chemise blanche, elle robe noire, direction le 18e.

En sortant je tombe sur la plaque de la rue Ordener, je n’y étais jamais allé mais ce nom évoque pour moi le fin fond de Paris, une terra inconita, pourtant rendue célèbre dans mon panthéon des rues par la biographie de Paul Eluard qui y a vécu avec ses parents.

Je l’indique à mon accompagnatrice, son corps qui  se presse contre le mien témoigne du pouvoir séducteur de la culture.

Nous grimpons la rue perpendiculaire, une borne pour s’asseoir et ma coquine enfile ses talons hauts, tenue de salope comme une armure revêtue avant le combat.

Le château des Lys mérite son nom du fait d’une tour ronde chapeautée.

Nous sonnons et entrons, pierres apparentes dans le sas et desk pour prendre les vêtements.

Une cliente sort, la cinquantaine vulgaire et grasse, rehaussée d’une robe floue et largement ouverte blanche, sur des chaussures à lacets dorés.

Nous nous regardons et entrons.

Une boite de nuit un peu miteuse, sans grand charme, des banquettes rouges.

Le mari de la cinquantenaire se trémousse, chaîne en or, tee shirt moulant sur ventre rebondit, mon coté esthète prend sur lui.

Nous commandons boire un verre pour se mettre dans l’ambiance.

Le champagne est bon, ouf.

Une jolie fille sur un tabouret du bar qui tourne le dos à la salle, comme pour l’ignorer, son copain , beau garçon au corps tatoué tente de la dérider, elle ne quittera jamais son promontoire.

Une vingtaine de personnes dansent, en faisant attention certains couples sont jolis.

Une femme en dessous blanc se déhanche devant nous, son corps est une énigme, comment peut on être aussi mal foutue et être assez sur de soi pour le montrer ?

Le libertinage à cet avantage qu’il aide à l’acceptation de son corps.

Le champagne, vin de fête, fait son effet notre regard est moins critique, nous allons visiter les lieux.

Une salle de restaurant traversée et des mandarines dégustées, nous grimpons vers les coins câlins.

Les lieux sont plus beaux que la piste de danse, un grand lit à baldaquin, un coin isolé façon boudoir, des marches une pièce petite bondée de corps qui s’emboitent, odeur âcre d’hommes.

La salle de bain bistrot est superbe.

Nous redescendons, pour tombers sur des hublots de navire dans une cloison de métal, une alcôve appétissante, face à un lit dont la tête est un miroir façon années 50, en face une banquette dans le sombre.

Un escalier à descendre et nous voilà à nouveau sur la piste, ambiance moins sexy que le haut.

La cave se visite, en pierre apparente, un sling mais avec coussin, une croix de st André, un rond de pilori rembourré et qui tourne.

Electricité dans le sexe, je déshabille ma coquine, l’attache à la croix de st André et commence à la doigter. Sa mouille me dit son envie.

J’hésite à la baiser ainsi ou la détacher et la placer sur le rond de pilori.

Deuxième option, elle est idéalement placée pour que ma bite qui y rentre comme dans un gant sur mesure tape le haut de son sexe.

Coups lents pour qu’elle me sente totalement.

Un trio descend les escaliers, une jolie métisse s’approche et caresse le corps de ma suppliciée qui rapidement avoue son orgasme, soubresauts dont les cris sont contrariés par une bronchite finissante.

J’enlève ma capote et remonte mon pantalon, le trio nous quitte, pas de commerces envisagés.

Cela m’a donné faim, envie de plus de conforts, d’échanges, de contact de peaux.

Nous remontons dans les étages supérieurs quelques couples baisent, ils ne nous donnent pas envie, le coin à hublot se rappel à nous, nous le cherchons dans ce dédale.

Il est occupé, un couple pas mal baise lentement , aucune frénésie , de la sensualité.En face d'eux un lit à miroir année 50 est libre , à droite sur la banquette à peine perceptible un couple est enlacé.

Vite deshabillés nous commençons à jouer.

Cela attire du monde, pause de couples qui nous contemplent, nous les ignorons pour plus nous concentrer sur notre plaisir.

J’enfile une capote, je bande dur, la fatigue de la semaine est passée, je suis un pervers d'être sensible au décorum comme s'il s'agissait de conjurer les années la pénombre de mon lit conjugal .

Je la pénètre au plus profond et commence un va et vient sensuel, magie des coups reliés au plaisir commun.

Un couple s’approche je me déplace pour qu’il vienne à coté de nous, l’homme tombe le pantalon et se fait sucer.

Dans l’alcôve des râles de plaisirs montent à chaque coup de reins très lents du voisin, elle est couchée sur le ventre, lui au dessus visiblement l’encule avec délice.

Ces cris sont excitants, la femme de l’autre couple se penche sur notre lit, à presque nous toucher, elle offre son fessier à son homme qui s’y enfonce et la fourrage vigoureusement.

Ils finissent.

Pendant ce temps nous continuons à jouir à l’unisson dans la décandance de cette proximité, Changeant de position au gré des variations de plaisir. Tout oublier pour ne vivre que ces vagues qui montent de nos sexes.

Viens l’orgasme, je me lâche, dieu que c’est bon.

Nous restons nus, enlacés à observer.

moment aussi important que les chevauchées.

Les couples passent et la fatigue nous gagne.

En bon macho je me lève et donne le signal, nous sommes vite rhabillés.

En bien éduqué je règle pendant qu'elle est aux toilettes.

Dehors il fait froid désormais, il est trois heure du matin, un taxi passe, je le hèle, chance de cocu et pourtant nous n'avons pas échangé.

Encore l’épreuve des 6 étages et vite dodo, demain je dois visiter trois galeries et garder des forces pour une nouvelle rencontre dans le café d’Amélie Poulin rue Lepic le week-end commence et il se prolongera jusqu’au mardi.

Dans la nuit je serai témoin d'une crise de somnambulisme sexuel que je conterai plus tard.

15/03/2012

L'élysée me lit ...

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Je ne fais pas de politique, quoi que jeune j'ai eu à partager un repas avec un président de la république dont j'ai pu admirer le talent de séducteur auprés de ses supportrices

mais en lisant ce matin mes stats pour voir le passage matinale de ma jolie muette je lis cela !

Presidence De La Republique (84.233.174.XX) [Label IP Address]    0 returning visits
France FlagParis, Ile-de-france, France    

 

 et bien maintenant  je sais que la présidence de la république consulte mon site pour des hotels de l'aprés midi à quand N... S... au rotary , au domaine de V , à l'hotel Cézanne ....

   
15 Mar 09:57:53

12/03/2012

Réflexions partouziques

 

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Son rayon fessier me cache le trou que je dois enfiler, il faut dire qu’il s’agite dur entre les cuisses de ma complice.


Ses formes ne m’excitent pas, point la douce courbe des fesses qu’il me plaît de contempler, ni le soyeux des peaux que j’aime humer.


Mon sexe se lasse de mes vaines tentatives et je sens qu’il va me lâcher,
En extrême-onction Je le lance une ultime fois et ne me rend pas compte que la cible est atteinte.


"Hummps ça fait mal , attend un peu" entends je entre deux râles.


Je ne puis attendre sans débander et me retire donc .


Je les laisse baiser et les regarde œuvrer.


Sexe flasque, penaud et un peu colère de mon manque de dureté ou mon incapacité à aller au bout de mes expériences.


Je crois que le sexe pluriel ne m’amuse plus et me dis qu’il est tant de reprendre mes rencontres duo.


Et puis je sais maintenant que je ne suis pas amateur de cul masculin ...


07/03/2012

domaine de V

 

 

 

 

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(hey hey contractuelle la photo vous croyez qu'on s'ennuie en faisant un guide touristique)

Quoi:

 

Un établissement avec le plein des étoiles en matière hotelière.

Mais  en raison d'un commentaire de l'établissement menaçant de poursuites en cas d'utilisation des photos de l'hôtel il n'y aura pas de photos autre que celle prise le soir même , ni d'indication du nom de l'hotel, précisions de l'adresse en boite mail si souhaité

Où?

Castelnau le Lez près de Montpellier, Suite junior 50 m2, 450 euros la nuit.
 


Pour qui ?


Un soixantenaire riche
Un Montpelliérain qui veut en imposer           
Un libertin blogueur et critique hôtelier qui a besoin d’espace.
 


Avec qui ?


Une vieille peau retendue pour le soixantenaire
Une fille trophée et bling bling pour le poseur

Un photographe avec ses projecteurs et ses modèles pour le 3e cas.
 
Peu habituel :


Se promener dans un spa en portant un maillot, ne pas entendre de son de couples qui baisent dans la moiteur de la vapeur, se sentir plus gêné que dans un sauna libertin de la présence de l’autre à quelques centimètres de soi dans le hammam

 

Pour quoi faire ?


Ben … dites donc avec une telle dépense : baiser bien sur ! Si votre invitée résiste au charme des lieux, c’est que vous êtes soit un répulsif, soit qu’elle est blasée ou indisposée … ( fréquent en ce moment cette hypothése chez votre serviteur )


Sinon, organiser une séance photo érotique à 6 avec cat suit, cravache, bâillon boule, menottes et photographe pro.


Trembler de passer devant la réception avec tout le matériel et l’équipe qui vous accompagne ("monsieur c’est une chambre, pas un dortoir")


Après la séance jouer un peu avec certain participants et regretter que le sommeil l’emporte sur votre libido.


Avoir le fantasme ( qui n'en restera qu'un vu le froid lors de cette soirée)  de se faire prendre en photo pendant que l’on jette du pain dans le bassin, les poissons étant remplacés par trois filles nues …
 

A éviter :


l'oubli dans la chambre des accéssoires de la soirée

Publier des photos de l'hotel le lundi sous peine de menaces de l'établissement

 

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Vouloir aller au sauna le bouddha qui est fermé le samedi après midi

S'habituer au luxe … et pour cela aprés la porte close du boudha tester la baise sauvage dans les toilettes handicapées d’un bar du Mercure Antigone ...

01/03/2012

Reflet dis moi qui je suis

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Noritoshi Hirakawa interroge la relation du corps à la sexualité Pleasure for Blushful représente  un homme installé sur une chaise faisant face à une femme.

Celle ci est assise par terre. Elle est seins nus, on distingue une jupe courte mais l'ombre interdit de voir si elle porte ou pas une culotte.

Il y a une évidente intimité entre l'homme est elle. Elle tient un miroir devant elle, renvoyant à son partenaire l'image de son sexe.  Mais pour nous celui ci est caché par l'ombre.

La pause substitue au visage de l'homme, celui de la femme.

Il y a son visage, le sexe de l'homme offert pour elle  et le sien offert pour lui.

Ce cliché suggère ainsi que l'on ne peut prendre conscience de soi qu'à partir de l'image que l'autre nous donne de nous-mêmes.


Le regard d'autrui apparaît donc comme le médium indispensable pour arriver à la conscience de soi.

Ici, l'homme prend conscience de sa virilité et réalise ce qui le fait proprement mâle, grâce à l'image que lui renvoie la femme au miroir.

Il s'opère ainsi un renversement troublant: l'homme se perçoit tel qu'il est vu par elle.

Cette photo est une allégorie de ce blog.

Il donne à voir en exhibition de mes vices, de mes doutes, mais surtout me renvoi l'image de ma sexualité comme pour me rassurer.