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24/06/2012

confession

 

 

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« Avec l'amour maternel, la vie vous fait à l'aube une promesse qu'elle ne tient jamais. On est obligé ensuite de manger froid jusqu'à la fin de ses jours. Après cela, chaque fois qu'une femme vous prend dans ses bras et vous serre sur son cœur, ce ne sont que des condoléances. On revient toujours gueuler sur la tombe de sa mère comme un chien abandonné. Jamais plus, jamais plus, jamais plus. Des bras adorables se referment autour de votre cou et des lèvres très douces vous parlent d'amour, mais vous êtes au courant. Vous êtes passé à la source très tôt et vous avez tout bu. Lorsque la soif vous reprend, vous avez beau vous jeter de tous côtés, il n'y a plus de puits, il n'y a que des mirages. Vous avez fait, dès la première lueur de l'aube, une étude très serrée de l'amour et vous avez sur vous de la documentation. Je ne dis pas qu'il faille empêcher les mères d'aimer leurs petits. Je dis simplement qu'il vaut mieux que les mères aient encore quelqu'un d'autre à aimer. Si ma mère avait eu un amant, je n'aurais pas passé ma vie à mourir de soif auprès de chaque fontaine. Malheureusement pour moi, je me connais en vrais diamants »

(Romain Gary, La Promesse de l'aube).


Je fus un enfant aimé, trés aimé et pourtant pas un fils unique cet amour vous nourrit, vous rend fort, vous arme pour la vie, mais il crée aussi une dépendance, une fragilité ...

22/06/2012

Hallucinations

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Au noir de mes nuits, par cons et par queues, 

je vogue vers les horizons polissons, où les matelots baisent les sirénes des chants d'orgasmes.

Au noir de mes nuits dansent mes visions de cons et de queues.

Orgie des sargasses, partouzes subaquatiques, où nagent les femelles dans la semence du ban.

le brouillard de vie féconde les flancs poisseux, ivrent de vie.

De Pales en râles de hue à dia

ma queue se fraie un chemin dans les corps accueillants.

Les fluides fluxent, la chair turgète, les corps s'emmèlent.

Un doigt, un gland, une langue, un sexe, un cul, une bouche.

Claques, caresses, excés d'ivresse

masse mouvante, reins qui s'agitent au son des halètements.

Au noir de mes nuits mes rêves me hantent et me tentent , 

en ces heures trop calmes pour ma tempête hormonale

j'ai envie de partouzes ...

19/06/2012

Nuit du container


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La douleur du passage est passée, laissant le plaisir monter de ma bite, les ondes de jouissance parcourent ma hampe , tournent autour , envahissent mon anus au sphincter dompté, sentiment de dilatation, comme si ma chair était déchirée.
 
A l'interieur de moi la longue et large bite de silicone m'habite, prend place, repoussant mes boyaux, les ouvrant à son inéxorable pénétration. Au plus profond je la sens au bout de mon sexe qui n'est qu'un gant qu'une main lubrique habiterait.
 
ce chibre artificiel habite le mien, le durcit, l'affole.
 
Je demande que les mouvements soient lents pour mieux les vivre, c'est au retrait que les frissons de plaisir electrisent mon échine, mes coups de reins se font profonds, entrainant E dans l'electrification de nos corps.
 
l'enculeuse dicte le plaisir de la baisée, mon corps est le tampon de leurs jeux.
 
elles se regardent et vibrent, l'une attendant que l'autre me pousse en elle, comme un piston décalé d'un plaisir lesbien où je serai sex toys
 
Le plaisir du recto verso est intense par l'echo qu'il provoque.
 
mes tétons bruissent de plaisirs et m'affolent quand je les frôles.
 
Je me noie dans cette jouissance: intense, lourde, orgiaque qui anilhe le temps et l'espace.
 
J'ouvre les yeux pour reprendre conscience, possession de mes sens , contrôler, respirer.
 
dans la glace qui couvre le mur de la cabine je vois 5 personnes enlacées, hard porn.
 
Je suis dans E en missionnaire, mon corps calé entre ses jambes repliées pour plus fermer à mon plaisir son sexe trempé. Elle suce R qui la caresse et observe la scène.
 
Derrière moi à genoux se trouve la jeune M qui ceint d'un gode ceinture m'envoie les longs et profonds coups de reins qui m'arrachent les cris de jouissance, brâme qui l'excite au point que coule le long de ses cuisses une cyprine chaude.
 
A moins que ce soit N qui la doigtant avec art la conduise aux vocalises qui nous excitent tous.
 
derrière nous; une vitre et des couples nous contemplant, la poignée de la porte tourne frénétiquement mais nous protège de leurs envies.

Décidement le container n'est pas la chaloupe, il est chaud chaud ce soir là. Songez être dans une boite à demi homo, enculé non par les beaux ephébes qui barbotaient à coté de moi dans la piscine, mais par une jeune donzelle à 70 % gouine, spécialiste de la fessée, et portant couette.
 
La situation est pour le moins inédite, rajoutez que c'était la première fois qu'elle jouait à l'homme avec un homme et qu'elle acceptera sans difficulté que je la baise de la façon la plus hétéro qui soit alors que jamais le premier soir notre lesbos ne se livre au mâle désir, vous comprendrez l'incroyable connivence qui nous a habité tous les 5.
 
Une évidence, moment rare qu'il convient de souligner.
 
Le lien du Container à visiter si vous êtes sur bordeaux
 

14/06/2012

tout disparait

 

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Il y a des modes qui vont et qui viennent, dans les années 70 on été poils , plus maintenant.

le percing au nombril disparait ne trouvez vous pas ?

10/06/2012

Nuit cosmopolitan

 

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Couilles vides mais ventre creux, jambes cotonneuses mais dalle au ventre nous allons manger après avoir décalé deux fois notre réservation pour cause de blasphème sexuel.(voir nuit blasphème)
 
Si le bar est joli, le bistrot est à l'entresol, plafond bas, déco triste dans une salle qui tourne le dos à la place de la bourse de bordeaux.
 
Dommage, même si le repas est bon ni le ramage ni le plumage ne vaut vraiment le prix, soit, on l'aura compris un restau un peu décevant.
 
En payant à la caisse du parking quelques slaves en mendicité tentent de séduire un couple de jeunes lesbiennes, l'une blonde est toute douce, l'autre plus masculine, nous intervenons et la conversation s'engage, la masculine dit qu'elle n'aime pas les hommes malgré ce nous badinons gentiment, envie de lui proposer une partie à quatre, un jour il me faudra prendre le temps de la séduction au hasard des rencontres, mais pour l'heure nous avons rendez avec cosmopolitan

Je discute avec elle depuis quelques semaines et des photos de plage ou plutôt de son corps sur la plage m'avaient mis en émoi.

Libertine, elle fréquente avec son mari les clubs de la ville et c'est naturellement que suite au hasard de mes déplacements nous avons convenu de nous rencontrer dans son antre. Le cocktail m’avait l’air explosif, et c’est avec soif que j’avais envie d’y goûter en réel.

J'aurais pour ma part préféré un verre avec son mari dans un joli bar à vin de la ville, mais celui ci visiblement n'était pas intéressé par cette perspective.

Elle m’avait glissé tout de même que ce soir là elle serait comme à son habitude à la Chaloupe.

Direction de l'autre coté de la rive, la Chaloupe.

Après avoir dépassé la zone commerciale, nous nous engageons dans une rue bordée de petits SAM suffit , composition hétéroclite d’architecture petite bourgeoise, pétrie de jardins au cordeau, d'extensions plus où moins harmonieuses

On imagine plus la maison de mamie qu’un club.

La chaloupe a amarré dans un pavillon, années trente, le petit portail en fer et les quatre lampions colorés sur le perron confèrent un style Cap Ferret échoué en banlieue.

Ma vierge s’habille ou plutôt se déshabille, robe guess bleue à décolleté de face et de dos, talons hauts pour jambes soulignées par le moulé du cul et le si court du vêtement.

Une voiture freine pour admirer le spectacle délicieusement indécent de sa démarche à mes cotés, son regard s’amuse de cet hommage masculin trop appuyé quand la voiture repasse dans l’autre sens.

Nous entrons, une jeune brunette nous ouvre, cagole bordelaise aux cheveux de jais et à la coupe bol , joli cul moulé dans une robe noire à paillettes, sa petite taille se rehausse de ses talons très hauts.

Le salon de la villa a vu ses murs repoussés, un bar avec une cinquantenaire quintal et fausse blonde, affublée de la sempiternelle robe noire à strass des clubbers sert.

Ginette à son bar en robe de réveillon.

Une piste en carreaux blanc perce le sol noir, quelques canapés bleus, boite année 1980, les murs quand ils ne sont pas bleus gaz de France sont lambrissés de pins vernis, sommes nous dans un bistrot de village des années 70 ?

Sur les murs une alternance de tableaux de couples enlacés et de cousins rouges en forme de cœurs. Un faux bouquet et une reproduction chinoise de la vénus de Milo, le tout est rehaussé de quelques ballons multicolores conférant à la déco un coté kitsch.

« Le kitsch, ou kitch mot d'origine allemande devenu international, qualifie l'accumulation et l'usage hétéroclite, dans un produit culturel, de traits considérés comme triviaux, démodés ou populaires. Son emploi implique donc nécessairement un jugement de valeur et la norme qui le conditionne »

Je pense l’article de Clément  Greenberg qui associait le kistch au fascisme car cela flatte le goût des masses, faire de l’histoire de l’art, même en terres acculturées et  m'agacer de ma condescendance.

Mes fantasmes érotiques se teintent d'une aspiration à un raffinement, à une esthétique qui chassent le glauque  des corps qui s’emboitent, des chairs qui se frottent, des flux qui se mélangent, le rêve, l’érotisme sont nécessaires à mes aspirations libertines.

Pour sur, nous sommes loin des ambiances des tableaux de Paul Delvaux avec ces femmes nues et hiératiques qui avaient inspirées Stanley Kubrick dans eyes wide shut et qui parcourent mes fantasmes.

Les coins câlins sont à l'encan, tapisseries jaune essuyée de la Halle aux tapisseries, frise bleue, nous nous croyons dans une chambre de jeune fille d'il y a trente an, la Chaloupe serait elle un conservatoire du passé ?

Des lits rouges, les mêmes tableaux parfois une tapisserie bleue et de la mousseline pour l'intimité si votre libido n'est pas partie en courant.

Peu de personnes en ce vendredi soir, les femmes dansent seules, les hommes font tapisseries, l'attentisme est dans l'air.

Si les corps sont jolis chez les femmes, les tenues sont à l'unisson du lieu, les âges variés mais marqués sur les visages forts maquillés et obligatoirement tatouées.

Laissant les 4 filles danser nous nous accoudons au bar , un homme erre , la trentaine, jean et teeshirt, chaine en argent, un autre hypertrophié des muscles discute avec une femme qui s’ennuie ferme.

Bravant ma timidité, si si , je déteste aborder,  je me tourne vers elle :

"Seriez vous Cosmopolitan ? "

"heu non ils en servent pas ..."

Ce n’est pas une veste, c’est une incompréhension. Pourtant heureuse de quitter l'hypertrophié, elle se tourne vers moi qui n’ai rien à lui dire, ma compagne rit intérieurement de la situation, pour une fois sa jalousie ne sera pas testée.

Je quitte ma chaise et tente quelques « Cosmopolitan », à des femmes qui sont loin du bout de corps que j'avais vu de la Cosmopolitan censée être là, Echec elles me disent toutes qu’elles n’ont pas soif, certaines on pourtant l’œil alléché par la nouveauté, sentiment d’être de la viande fraiche.

Nulle trace d’une quelconque personne pouvant être la Cosmopolitan.

Un homme danse, le groupe des quatre femmes se concentre autour, laquelle va t il choisir ? Danse nuptiale d'oiseaux à crête.

Dans les coins câlins une femme qui ne sera non plus celle que je cherche mais qui visiblement accroche sur ma vierge, la déguste des yeux et l’attrape par le bras, là voilà happée, je ne pensais pas que les femmes pouvaient être aussi lourdes.

C’en est trop, tant pis pour Cosmopolitan nous avons envie de baiser mais pour rien au monde ici, nous filons à l’Hôtel deux est toujours mieux que mal accompagné.

La ville qui se reflète dans le fleuve nous redonne le goût du beau, Bordeaux est sublime, bonheur de ces lumières qui exaltent le classicisme des façades.

Ah l’hôtel éclats de rires de notre aventure en ce lieu décalé, sa tenue m’excite d’autant que nous l’avions acheté l’après midi et qu’elle était encore vierge de tous ébats. Je lui retrousse le peu de tissu qui masque encore son cul, chatte humide pour doigts avides.

Nous commençons à jouer, jeux de langues, de doigts pour apéritif coquin.

Soudain une idée, me pointe, je file vers son sac au vice, y prend Thom, son gode réaliste, la place en levrette et la pénètre avec la faisant doucement et langoureusement jouir.

Profitant de la montée de son plaisir j’accélère le mouvement, son corps se crispe et dans l’étouffement des draps j’entends un vas y défonces moi.

L’ordre est executé, thom bien au fond de sa chatte, je darde mon sexe tendu à l’extrême et m’enfonce dans son antre trempée, occupée.

La double pénétration la dilate, l’électrise, la tétanise, lui fait perdre tout contrôle, à grand coups de reins j’obéis à ses injonctions de plus.

Ma bite glisse sur thom et son sexe est étroit de l’encombrement engendrés par nos deux membres.

Elle hurle qu’elle est pleine, déchirée, que c’est bon, mes coups se font de plus en plus profonds tout en contrôlant le rythme pour que la frénésie et la vitesse n’altèrent pas son ressenti.

Mes mains calées sur ses fesses pour mieux les coulisser le temps n’est plus, mon ventre et mes fesses se contractent au plaisir, elle jouit et ses torsions d’explosion de plaisir accélèrent le mien. A chaque coup, la double sensation de la peau et des veines artificielles de thom avec l’intérieur de son vagin trempé, créé un contraste affolant et horriblement excitant.

Elle hurle et expulse ainsi les vagues de son orgasme qui ont pris possession de son corps.

Je vais partir, libérer cette énergie qui s’accumule à force de coups donnés, explosion d’un plaisir comprimé en mille étoiles scintillantes qui percent mon regard.

Le jet est puissant, libérateur, affolant, l’électricité embrase mon dos et mon anus, l’orgasme est magnifique.

Je reste en elle un temps, son corps est affalé sur le lit, dans le relâchement épuisé mais heureux des tensions vécues. Nos chairs respirent, mon corps est en sueur, je me retire et retire l’impassible thom qui de nous trois fut le seul frigide.

Nous avons ratés Cosmopolitan et nous n’avons pas joué à plusieurs dans le club mais la double pénétration qu’elle souhaitait ce soir lui a finalement été offerte.

 

 

05/06/2012

dandynerie

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(contractuelle north face goretex & chaussettes double peau)

 

 

Avant j'ignorais, ne savais point, j'avais des préjugés

j'ai enfilé

et j'ai marché vers la montagne

le but n'était pas important

seul le chemin comptait

et mes pas scandaient mes pensées

qui se sont révélées

maintenant je sais

maitenant je n'ai plus de péjugés

QU'EST CE QU'ON EST BIEN DANS DES CHAUSSURES DE MARCHE !

juste un probléme

mais de taille

on y est si bien que je veux les porter en cocktails

vais je lancer la mode de north face avec un costume ?