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30/10/2014

Nuit de la baise pépère

 

Jusqu'à présent , on ne m'avait jamais dit que je baisais pépère, une demande alors que nos derniers ébats nous avez laissé en eau sonna pourtant comme tel :

Je voudrais aller plus loin dans nos baises que tu me prennes alors que je suis contrainte ...

Il n'y a que les sots qui ne changent pas , je décidais donc de remballer mon sexe à la papa , le truc bite chatte, bouche, doigts par quelque chose de plus trash.

D'abord une visite chez les riches, il n'y a rien de plus trash que de vivre un cocktail de riches, des vieilles peaux à diams plus gros que le Ritz, des rejetons scoliotiques du 8e arrondissement, des piques assiettes, des jeunes femmes aux jambes démesurées, des traders, des vieux beaux et nous deux impatients de nos heures futures.

un hôtel particulier du 17e, un traiteur éthique et bio, et une vente aux enchères pour écrin de ce préliminaire.

Le champagne était bon et le saumon éthique, bio mais certainement  pas équitable.

Repus des yeux et du ventre, nous voilà à filer vers mon antre qui n'est ni bio, ni équitable et surtout pas éthique, nous attendait un autre buffet.

 

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(photo contractuelle)

 

Une barre d'écartement, une chaine à un collier et des bracelets pour lui imposer une position adéquate.

 

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La voilà offerte à mes lubricités qu'elle avait lubrifiées de sa demande.

Je la fesse pour lui faire monter le sang , puis avec ma ceinture lui donne des décharges d'adrénaline pour plus l'étourdir.

La voilà haletante esbaudie par ces premiers jeux.

Je lui glisse ma ceinture sur le ventre, puis la serre fort pour la contraindre à ce niveau.

Quelques coups de bite pour mon plus grand plaisir dans son sexe trempe, le contact de ses fesses bouillante m'excite au plus haut point.

J'ouvre son anus par quelques doux massages puis y enfile un Anéros, sa chatte coule encore plus et je la comble d'un gode vibrant.

Gynécologue fou je joue de mes deux instruments et provoque des mouvements violents de son corps quand le gode vibrant touche à travers la fine parois de ses entrailles l'Anéros.

Je remplace le gode vibrant par ma bite et sauvagement cette fois-ci la prend enfonçant avec mon pubis l'Anéros en même temps que mon sexe.

Elle gémit de cette double pénétration réalisée par un seul, qui a dit que les hommes ne savent pas faire deux tâches à même temps !?!

Son corps se met à suer, le plaisir la chauffe.

Tout ceci n'était que pour mieux l'ouvrir j'enlève l'anéros de son cul mais laisse le gode dans son sexe, puis je m'introduit dans ses entrailles.

Mouvements lents jusqu'à ce qu'elle me supplie de taper au plus profond, alors je lance la cavalcade et m'exécute avec frénésie.

Je ne suis pourtant pas hyper dur.

Le gode tombe et vibre au sol.

Elle tire sur sa barre à chaque coup de boutoir puis relève la tête entre deux aller retour, ses cheveux me narguent et vite je les prends pour rajouter à ses jouissances le sel de la douleur d'être aussi prise par les cheveux. 

Cet enfer la met aux anges.

J'use comme de rênes de la ceinture que je lui ai accrochée autour du ventre pour mieux , telle une poupée jouer d'elle en faisant bouger tout son ventre, mon sexe restant immobile.

Elle ne contrôle plus rien, n'est qu'une chose, un trou qui me subit et son plaisir fait couler sur mon sexe un jus marron odorant.

Sade ne foutait que les femmes chargées, elle se chargeait de me transformer en Sade.

Son corps alors que j'entre en elle au plus profond s'agite, ses jambes tremblent et un gémissement sort de son amas de cheveux.

Un orgasme anal pour récompense de sa soumission.

Quatre heures plus tard dans le train de retour je reçois ce message :

 

Je me pose la question depuis tout a l'heure : pourquoi j'ai mal aux poignets ?
Est ce la preuve d'une dure nuit de labeur, une souris à la main ? (Non j'ai l'habitude)
Est ce mon engouement quand jeudi, j'ai décidé de me masturber, avec le souvenir d'une scène "hard"ante avec un ex-amant ? (Non car j'ai joui trop vite et donc ma main n'a pas peiné)
...
J'ai trop tiré sur mes chaînes et poignets de force, quand (euh comme dirait le plus obscène des hommes, dans un passé récent) "j'ai joui du cul"
Point de sexe bandant à l'explosion, qui lime et dilate à l'excès l'anus rarement honoré, mais juste un dard qui va et vient dans ce trou, et ma contrainte de plus en plus signifiante.
J'ai aimé être "cette chose", avec l'horizon au loin, comme ultime attache !

 

Et pourtant quoi de plus pépère qu'une baise le dimanche après midi ...

17/10/2014

un hôtel pour bondage

Où :

 

Hotel Saint Merry ***

78 rue de la verrerie Paris 4e

Prix des chambres 160 e - 350 e

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chambre au contrefort étonnant !

 

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la suite gothique

Avec qui

 

Idéalement une gothique au teint diaphane et seins en forme de pomme

une amoureuse de Victor Hugo et de notre dame de paris

une Esmeralda brune au corps ambre aux reins rendus agiles par l'usage de danse de tambourins

ne pas oublier une tenue adéquate pour vous, éviter le peignoir et choisissez la bure 

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Pourquoi faire 

 

en duo ou trio ? A l'évidence dans la chambre aux contreforts de l'église, du bondage ... 

 

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Dans la suite ... 

 

pourquoi pas une séance sorcière de Salem ou inquisition en groupe ?

 

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pour faire hurler les femmes ... tous les sex toys de notre NXPL et surtout sa dernière trouvaille la bombe à orgasme.

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il va y avoir une inondation d'aveux ...

12/10/2014

Séance n°17

 

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Pour mieux oublier nos vies et nos soucis, juste l’envie d’être en toi,

Sexe à l’affut de la moindre de tes contractions, corps en éveil de tes caresses.

Ta main qui excitera mon téton et mon dos s’électrisera.

Je te parcourrai comme on joue de l’archet,

ton sexe sera un violon et tes entrailles son âme.

Les sanglots longs nous échapperont en cette après-midi d’automne.

Tomberont nos habits et grimperont nos émois.

Les heures ne seront plus,

Nos souffles scanderont l'instant.

Simplement et sans artifice l’extase nous prendra.

Alors nous serons le désir sublimement assouvi. 

07/10/2014

Nuit du tatouage

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Droits sur nos jambes encore tremblantes de nos extases, nous contemplons l’orgie, femmes dessus, hommes en levrettes , suceuses, lécheurs, il n’y a plus de voyeurs que des acteurs.

Je suis baigné dans un sentiment de satiété sexuelle, une fatigue et la magie d’un lieu où l’atmosphère est saturée d’érotisme.

C’est la dernière fois que nous geindrons ensemble dans ce ventre de Paris, dernier accouplement avant son départ pour le tour du monde et je l’espère pour elle, une autre vie où l’amour substituera le stupre.

Du stupre nous en eûmes, de la complicité aussi, mais à son grand dam je n’avais voulu que le stupre et repoussé l’amour.

Fin de partie avec elle et fin de partie de cette soirée, il est temps de rentrer mais encore l’envie de parcourir à cette heure où les corps sont enlacés, les salles obscures et où l’on se guide aux  halètements.

Nous traversons de grand couloir bordé de la banquette, ma main effleure des peaux qui ointes du plaisir moite des nuits fauves, la salle du fond est presque silencieuse, six couples jouent sans que l’on sache si c’est ensemble ou cote à cote, tout le monde est nu les dos des hommes se tendent à chaque coup de rein, des cris étouffés ébranlent le silence ponctué du choc des peaux. Tout n’est que stupre calme et volupté comme aurait pu dire le poète.

Je me tourne et vois un sexe de femme ouvert offert, cela serait presque l’origine du monde si ce n’est qu’elle est glabre et que sur ses cuisses ouvertes de jolies fleurs tatouées grimpent comme une bignone.

Son homme la caresse, elle est abandonnée à son plaisir solitaire, un autre joue avec son clito.

Ma coquine s’assoie à sa droite et tourne le dos à son homme qui la laisse prendre en main ce sexe offert aux caresses de l’inconnu, les petites mains féminines électrisent son ventre qui se tord de plaisir.

Je la contemple, étalée en étoile de mer,  le visage dans le noir, les seins dressés et durs qu’elle se caresse, la jupe retroussée sur son ventre, et les cuisses fleuries ouvertes.

Son sexe coule, petites lèvres bien nettes, rose de plaisir.

Je m’assoie entre ses cuisses, elles sont fraiches,  tattoo de fleurs rouges devant les yeux,  peau blanche qui respire aux plaisirs prodigués, entre les doigts de ma coquine se glisse ma langue, qui parcourt la fente.

Son sexe est sans gout comme si toute sa mouille l’avait lessivé, je joue avec son clito qui bande à mes sucions, elle se tort, gémis, mes doigts la pénètre, le plaisir qui monte.

Je suce, lèche, aspire, mort, son bouton.

Branle, titille tous les points de son intime.

Les cuisses se ferment sur mon visage, me coupent le son, s’ouvrent, j’entends à nouveau, ma bouche lutte pour rester collée à elle.

Je suis en apnée, puis respire à nouveau, sentiment d’un corps à corps vital.

Elle coule et je bois son plaisir, son corps sue, on nous regarde, la coquine est tenace et gourmande.

Son gout devient métallique, tout son être se tend comme pour une ultime fois, puis se relâche, je l’ai perdue.

Je me relève, elle n’a pas la force de bouger la tête, un filet de voix me dit merci, son mari sourit, ma coquine le plaisir est violent contagieux, il se transmet par la vue et l’ouïe.

Nous les quittons, elle toujours ouverte à l’inconnu mais épuisée, lui prévenant qui lui caresse ses cuisses.

Je regarde les guirlandes colorées qui parcourent ses deux jambes, heureux d’un plaisir altruiste dispensé à une femme dont jamais je ne connaitrai le prénom.

Magie des chandelles que de la bruler par les deux bouts avec l’inconnu pour mèche.