27/02/2011
bloc note du week end
Tout noter pour pas oublier
Vendredi, arrivée à 14 h orly
la maison des trois thés pour ravitaillement en thé discussion avec le directeur de Maitre Tseng.
ses thés sont pire que de la drogue quand on y touche on peut plus decrocher.
sandwich 15 h je file voir l'expo extraordinaire à la galerie In Situ de Martin Dammann un allemand qui collectionne les photos de la deuxième guerre mondiale et compose des aquarelles géante.
j'aime ce coté morbide ..... vais je craquer sur une ?
je saute dans un taxi et me voilà au Marais , visite de la galerie G.B.AGENCY ( à coté du celebre café la perle où john galliano insulte ses voisins, puis de celle de Chantal Crousel , à l'honneur un artiste videaste Egyptien.
On m'amène en voiture espace République dans un ancien entrepôt de la chambre de commerce transformé en galerie ... superbe j'en ferai bien mon lieu de vie.
17h20 haie ..... à 17h50 je dois être au café les grandes marches à Bastille ... vite le métro.
17h40 ouf j'y suis , je m'installe , mon inconnue doit arriver dans 10 mn , 10 mn exactement aprés une jolie jeune femme semble attendre " attendez vous quelqu'un à 17h50 mademoiselle ... " " oui"
une heure trop courte passée .... elle file à ses fourneaux ayant invité des amis à manger ... snifff
10 mn plus tard ma logeuse sort du boulot et me rejoint, nous buvons.
Hop métro puis grimper l'escalier 5e étage ( faut que je me remette au sport) , nous devons sortir mais la demoiselle visiblement est contrariée de ma tempérance , je me retrouve dans son lit ....
Finalement non pas besoin de sport
une heure plus tard douche et on file bras dessous bras dessus café Marly pour prendre un verre en attendant minuit.
minuit , Club les Chandelles , une première superbe .... vraiment superbe une note peut être à venir, souvenir d'une paire de seins anonyme , qui bandaient sous ma langue.
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nous étions là deuxiéme coussin ( entre autre)
3H30 nous sortons , taxi et couette
sauf que ... bref couché à 4h30
réveillés 9h petite envie du matin
recouchés
11h45 petite envie encore ...
Douche et nous filons vers la brulerie verlet pour ses superbes cafés.
queue pour acheter , quelques mots échangés avec le patron et hop un petit café dans le godet
et derrière, la place vendome chez mon chausseur fétiche .... essayage .... craquage ( je suis un homme qui ne sais pas résister à mes envies)
hummmmm dans 2 mois elles seront prêtes.
Metro vers saint germain des prés 15 h 30 les restau ne servent plus .... zut fait faim
hop la patisserie hugo et victor , l'un des deux nous reconnait ( on était déjà à son ouverture ), on papaute et repartons avec un mille feuilles vanille et un éclair aux clémentines.
un café à coté du Bon Marché nous dégustons ..... hummm orgasme buccal
Véro ( oui la véropaillon nous appelle) on se retrouve et nous filons au café de la rue St Dominique , il pleut. ( nostalgie c'était l'endroit où jétais avec nuit rive gauche il y a trois ans, je lui envois un texto , elle me répond qu'elle se souvient trés bien ... )
17h30 on file , arrêt de la vitrine de Louboutin ( celle de cette note)
18h le Marais .... visite des galeries , des têtes connues , nous parlons artistes , expo à venir et foires ... un artiste, remarqué , à suivre.
j'apprends qu'une jeune artiste norvégienne ida Ekblad,
( on ne médit pas .... je ne l'avais jamais vue avant mon achat ... nan ce n'est pas sa plastique qui m'a fait craquer ....)
achat d'il y a un an est prise dans une trés grande galerie de New York et va faire une expo à la biennal de Venise.
21h30 on file à l'épis d'or , sur le comptoir deux aumonières, crêpes et pommes caramelisées on les reserve ... ( trés bon bourgogne givry) , fin du repas, il fait froid coups de fatigue, nan il sera pas dit qu'on va se reposer.
23H je file avec ma logeuse au Beverley le dernier cinéma porno vintage, 8 personnes dans la salle dont une en fauteuil roulant, dessins animés d'époque, film porno des années 70 , les mecs ont encore des poils et les chattes sont natures, même plus... en forêt vierge ( y a que la forêt qui le restera) , nous nous levons et baisons un peu en levrette ... personne ne proteste ... mais la position est inconfortable
1h on rentre et dormons (oui ... direct ça arrive des fois peu c'est vrai avec mon hôtesse)
9h réveil hummm partie de jambes en l'air
elle me demande de la violence , la voilà giflée , étranglée et copieusement baisée... elle adore ( pardon à mon lectorat qui me croit tendre ... )
re réveil 11 H
ben bis répétita mais en douceur ... on est pas des bêtes quand même. ( mon lectorat est il réconcilié avec ce retour de la tendresse ?)
12H 30 douche , thé et traiteur libanais servis par une trés jolie somptueuse serveuse libanaise
arrrrgghhhhh heureusement que ma logeuse n'est pas officiellement jalouse , vive les Libertines.
14H un taxi je la laisse fondation Cartier , nous avons du vague à l'âme on évoque la prochaine rencontre peut être dans quinze jours
Orly m'attend .... et l'inorganisation d'Air France un jour de départ en vacances.
23:18 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (33)
23/02/2011
Nuit du claque
Pas de souvenirs
Que des images
les mots sont muets de trop de rêves
1929 shangai / paris 2009
claque d'un film au claque de Pigalle
histoire d'ô, à moins que ce ne soit l'amant ?
brulure, claque de cravache
douceur de tes lèvres
douleur de mon anus
rouge la lumière ... brillante les étoiles
plafonds de verre, reflets de nous
odeur de stupre, bruit de luxure
dans la chambre de cet ancien bordel nous avons vécu le rêve d'un temps à rebours
foin de libertinage, mais mon dépulecage à la mode chinoise
pal écartelant mon intime
douleurs et plaisirs, feu interne pour mots crus
l'orgasme en vague qui se retire, odeur de sperme
corps chaud qui se lovent en abandon.
repos du guerrier Mars pénétré par Vénus
Mars qui dort et Vénus qui regarde
Tes bas et ta robe de soie au bas de ce lit froissé
Tes bras et ton odeur au creux de mes bras
tout cela est dans ma mémoire, mélé, intimement lié à mes libertés aux limbes de mes rêves, de mes fantasmes et bribes de souvenirs.
08:29 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (8)
22/02/2011
Réflexion sur l'actualité suite
Une vidéo de notre "Ambassadeur" défendant le 25 novembre la réputation de Kadhafi.
sur le fond et la forme no comment
Boillon défend Kadhafi (C+)
envoyé par LePostfr. - L'info internationale vidéo.
21:00 | Lien permanent | Commentaires (5)
20/02/2011
Réflexion sur l'actualité
photo contractuelle de notre nouvel ambassadeur en tunisie
Pendant que l'histoire est en marche sous nos yeux, une réflexion me hante, je ne savais pas que copain d'avant c'était comme netechangisme.
Ps depuis notre diplomate s'est rhabillé et a perdu un ami
20:58 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (13)
18/02/2011
Par une nuit à glacer les moineaux
Par une sombre nuit, à glacer les moineaux, je t'ai retrouvée.
Tes cheveux de blé défaits et ta jupe retroussée.
De ton cul j'ai fait un brasero aux coups de mes fessées.
Le rouge côtoyait le blanc de ta peau striée par mes doigts effilés.
Le froid tétanisait la ville et tes membres tremblaient
Ce n'était pas la bise qui te secouait mais mes coups de fouet.
Ton cul offert, rouge sang à crier me faisait bander.
Alors de deux doigts j'ai écarté, puis j'ai leché et quand tu fus bien mouillée, j'ai visé ton oeillet.
Comme un sauvage, bougrement, foutrement, copieusement, sans ménagement je t'ai enculée.
La besogne terminée sur tes draps je me suis essuyé ...
13:11 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (23)
14/02/2011
Nuit au Cap d'Agde 2
La bombe était comment dire ... dorée à souhait , corps parfaitement halé, sans trace blanche, plastique parfaite, 172m de longues jambes , des fesses à défroquer un moine, seins droits comme des obus en ruts, cheveux courts , peroxidés, beautée garçonne.
Elle suçait un couple à deux corps du notre, mais nos jeux reprenaient et j'en étais à passablement faire gémir ma trés peu discrète accompagnatrice, à grand coups de reins, le dos en sueur de mes jouissances.
Ce qui est amusant avec les cris d'orgasmes en club c'est que cela vous vaut des regard envieux des dames et d'autres énervés de leurs mâles moins gatés en sonorités.
Ce brame éveilla la curiosité de la bombe qui emjambant les couples commença à me caresser , cela tombait bien , mon amie tetanisée de sa jouissance finissante voulait une pause.
la bombe était russe mais vivait en suisse, elle me pris rapidement le sexe pour me sucer , j'étais aux anges , mes ébats m'avaient donné envie d'exploser dans une bouche tout en me reposant, l'homme ce lion, n'est il pas comme tous les gros matou un paresseux ?
Celle ci se présentait magnifiquement et m'avala , je fermais les yeux prêt à m'abandonner à sa voracité, mais, rien ... je ne sentais rien.
Malgré mes yeux ouverts, malgré ses mouvements sur ma bouche , je n'avais aucune sensation , ni ce doux plaisir de vos chairs trempées et enrobées , si ces jouissances de votre bite lechée, ce ce bord de l'explosion que les plus expertes vous font frôler sans jamais y succomber.
la Bombe ne savait pas sucer , je suggérais moins de délicatesse et de plus serrer mais rien de plus , une bouche avec une langue morte, une bouche inefficace, muette de voluptée.
Et moi qui croyais la langue de Tolstoï aussi volcanique que les disputes slaves ...
A ce rythme ma belle et fougueuse érection s'était fait la malle , deuil de mon mâle pal, j'étais mou de dépis, qu' à cela ne tienne si sa bouche était incapable son con avait l'air réjouissant.
Las ... la bombe ne baisait pas.
je la plaçais pour la sucer et ainsi éveiller en elle plus de sensualité, espérant en l'enflammant quelques effets collatéraux lubriques.
La douceur de ses cuisses faisait frémir mes joues, elle avait un goût noix de coco et son corps était gorgé de soleil, mes mains s'enivraient de cette peau tendue.
Mais la source de Vénus était sêche, superbement sêche ....
Parfois les Oueds se transforment en impétueux torrents , ce sauna était un lieu propice à l'orage, vite je parcourais ses lêvres intimes, l'inondais de ma salive et commençais l'exploration de la zone de son clito.
Comme une ville abandonnée, elle était morte, sans réaction, je suçais l'indiférence, sa tête tournait à droite et à gauche, je ne lui faisais aucun effet.
Pour la première fois mes lèvres, ma langue n'avaient aucun succés.
A peine un frémissement quand ma paume de main s'était mis à presser le haut de son montet mes lèvres son clito.
Frémissement vite oublié malgré la patience de mes efforts.
Récompense de la patience, j'en étais enfin libéré car d'un bond félin elle me quittait trouver un autre couple, il en sera ainsi toute la soirée semble t il.
la bombe Russe n'était qu'un pétard mouillé, je comprends l'effondrement de l'union soviétique, le matériel ne suivait plus, la plus jolie femme que je n'avais jamais eu n'était qu'une planche ...
Mon accompagnatrice, modéle roumain naturalisée et fancisée par deux générations, elle même reposée, me réclamait à nouveau, ah les françaises tout de même il n'y a pas à dire ...
De sa bouche experte elle faisait vite oublier mon repos de dépis et ravivait ma bite.
Heureuse de son effet la coquine me présentait son cul avec son désormais célébrissime cris sexuel ... waid je mouille !
Pour mouiller elle mouillait, humm cela était bon de retrouver le doux fourreau de son con comme quoi l'inconnu est certes excitant mais le connu est plus jouissant.
Mes reins étaient à l'unisson de son corps, mon foutre commençait à bouillir, en missionnaire je voulais le lacher pour que de ses yeux ellevoit mon orgasme.
hummmm délicieuse position que des jambes croisées pour mieux serrer , que mon chibre qui vibrait dans une chatte chaude, accueillante qui à chaque retrait me conduisait au bord de l'extase.
N'en pouvant plus je lâchais ma jouissance, collant ma bite au plus profond de son vagin moulant mon organe et vibrant de mes spasmes......
arrhhgg décidement oui jouir était bon.
Alongés à écouter la musique tantrique et sentir le corps de l'autre.
Repos du guerrier interompu par ma coquine que me glissait dans l'oreille avoir encore envie .... oui la célébrissime phrase était encore prononcée .... waid tu sais quoi je mouille
L'homme n'étant qu'homme, la belle m'ayant vidé déja à trois reprise je lui proposais de lui mettre un bandeau, d'aller à la salle des hommes seuls et de lui choisir un étalon , beaux ou laid à ma convenance et à sa surprise.
A son oeil lubrique la proposition fut adoptée, nous franchissions d'un pas la porte des hommes seuls ....
( la suite plus tard)
12:34 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (31)
10/02/2011
Hotel d'un aprés midi
Fini l'affreux dilemme de l'endroit où la copulation la plus bestiale va pouvoir s'accomplir, plus besoin de demander les clefs de l'appartement d'un copain et de trembler pour ses draps,de squatter les cabines des sex shop, les toilettes pour handicapés ( merci la norme elles sont plus grandes) ou d'aller au moon t autre 10 bis juste pour un coups de l'aprés midi ( un coups !?! le couvert peut être remis )
Fini aussi de ramener à l'hotel celle qui va faire trembler les murs et affronter le regard de la receptioniste que vous avez un peu chambrée et qui maintenant fulmine de voir que le charmin client qui a été agréable n'est qu'un porc qui est à sa troisième pouffe ramenée.
Non un jeune homme de 29 ans , qui tiens l'hôtel boboissime Amour a eu une idée , un site de réservation pour un hôtel d'une aprés midi ....
30 % moins cher que la nuitée et 30 euros dans la poche de notre inventeur Amoureux , voilà une chambre à vous, le temps de ce temps que vous espérez suspendu mais limité à 18 h .....
A la consultation les prix sont pas donnés et les hôteliers s'en foutent plein les fouilles ( sachant que c'est souvent en espèces ) alors une astuce sachant que les nuités ne peuvent pas être coupées, en louant à moindre prix une chambre vous pouvez rester toute la nuit car ils ne peuvent exiger que vous partiez plus tôt.
en effet un hôtel est par définition un lieux qui assure l'hébergement à la journée et non à l'heure
10:04 Publié dans HOTEL D'UNE NUIT | Lien permanent | Commentaires (19)
02/02/2011
Nuit au Cap d'Agde
L’odeur d’eucalyptus emplit l’espace d’une zen attitude, les oscillations de la musique tantrique donnent la mesure aux corps enlacés.
Parfois un râle, d’autre fois un oui, souvent un floc ou un bruit de succion.
Rouge la lumière qui habille les peaux bronzées ornées d’un tatouage intime.
Au milieu de ces enlacements, un espace, notre futur lit d’amour, sur cette couche d’accouplement collectif.
Je m’allonge et bande de l’envie de mes sens affolés par le parfum licencieux.
Mon sexe est avalé, noyé sous sa langue experte et ses mains adroites.
Je ferme les yeux et cesse de contempler le spectacle de ma jouissance, m’abandonne aux rêves obscurs de mon esprit lubrique.
Soudain il devient évident que trop de mains pour ma complice jouent de mon corps.
Une femme l’a rejointe et prend possession de mon jardin, deux langues et quatre mains pour cultiver ce lopin galopin.
La dame, amoureuse, demande vite à ma complice de faire jouir son homme, plus que deux mains et une bouche, fortes expertes il est vrai, pour me cultiver.
Je bande de plus en plus dur et ne peux me tenir de cet apéritif, une faim m’assaille.
Mes doigts explorent son sexe glabre, étroit et dégoulinant, biotope idéal pour apaiser un cyclope trop turgescent.
Viens maintenant souffle t’elle, avant de suspendre sa parole absorbée par l’effet de ses chairs lentement envahies de l’exécution de son invite.
Petit sexe, bien serré qui bat à l’unisson de mon bâton à jouir. Bien au fond je m’arrête et commence de petites saccades circulaires.
Sa cyprine coule sur ma hampe et inonde mes couilles, abreuvées de son plaisir mesuré aux morsures sur mon coups.
Ma langue explore son cou et son corps se plaque au mien, respiration entre deux pénétrations.
Je joue de sa chatte à son entrée et ce jeu la ravi, elle me demande de pénétrer et me bloque d’un coups de périnée, la garce est une joueuse douée.
Les tensions de ses parois intimes qui s’ouvrent et se ferment au gré de son jeu me rendent plus dur encore, jouissances qu’elle ressent et la mettent en transe.
Il est temps de jouir sans badiner, je l’installe sur le dos, croise ses jambes et pénètre ce sexe rendu encore plus étroit. Le cri que je lui arrache témoigne de sa capacité à jouir plus, alors au rythme de la musique j’entame mes plongeons au tréfonds de son con.
Le matrice atteinte elle anone, la bite ressorti, elle râle, je joue d’elle comme d’un instrument, mon chibre est insatiable, dur comme du roc, archet de nos plaisirs.
Trop d’amour tu l’amour, son mari et mon amie ne jouent plus, elle vient de s’en apercevoir et me quitte bandant et luisant de mon œuvre inachevée, je retrouve les lèvres intime de ma complice qui me glisse le temps de mon retour en elle que son partenaire était nul, heureuse de reprendre nos ébats interrompus.
La nuit ne fait que commencer quand passe devant moi une bombe anatomique comme on en rêve dans nos rêves les plus cochons.
la suite plus tard ...
21:15 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (7)