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29/01/2012

Nuit des chandelles

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Les chandelles sont pleines ce soir et c’est avec difficulté que nous nous faufilons dans la salle du fond, celle avec les trois lits.

Les couples sont nombreux debout à regarder le lit central où six personnes mêlent leurs corps en une partouze exhibitionniste.

Les spectateurs sont habillés, parfois ils osent une main sous la jupe de leurs compagnes, certains se font sucer, quelques femmes sont nues.

L’alcôve du fond est vide, tout le monde lui tourne le dos faute de spectacle.

Nous profitons pour nous installer, vite nus nous nous enlaçons. E … me suce si fort que j’en bande immédiatement, il faut dire qu’elle est avide de ce que nous allons vivre, nous nous sommes retenus pour ce soir.

Profitant de la réception simultanée de résultats négatifs, nous savons que nous sommes safe tous les deux, l’envie d’une baise sans capote nous titille.

Mon corps est dressé, sa chatte est trempée, il est aisé d’y pénétrer, surprenante sensation que de s’enfoncer pour la première fois dans un sexe sans capote.

Je connais pourtant tant sa géographie mais là, je sens l’humidité et la douceur de ses chairs intimes, j’y glisse sans frein, et cela donne une sensation plus forte.

Je sors ma bite, le froid de l’air et la mouille sur ma queue donnent un sentiment de frais sur ma hampe. E… est trempée et brûlante, je me mets à jouer avec ces chauds et froids qui accroissent mon plaisir.

Nous changeons de position, la voilà en levrette, les gens nous regardent, des hommes caressent sa croupe, une femme s’agenouille et l’embrasse.

Je mets du gel directement sur ma bite, un spectateur le remarque et prédit que je vais l’enculer, des couples se rapprochent pour nous regarder de plus prêt.

Je m’enfonce dans son trou qui ce soir, n’a de serré que le nom, cela glisse tout seul, et me sens comme mordu par le sphincter qui se relâche doucement.

J’imagine mon gland s’enfoncer dans ses matières fécales, ça m’excite et je durcis plus fort, ce qu’elle ressent immédiatement.

La chaleur est plus forte qu’avec capote et la texture de ses boyaux est plus perceptible.

Surtout je vais et viens plus facilement, elle se tord de plaisir et nous commençons une longue sodomie.

Mes à coups sont lents et je sors complètement pour mieux l’écarter en rentrant, ce qui la met en transe.

Des mains la caressent,  je lui empoigne les cheveux et les tord pour que les racines de ceux ci, tirées en arrière provoquent sur son crâne cette douce douleur qui se marie si bien avec la dilatation de l’anus.

Cette sodomie naturelle dure tant et tant que je la vois se caresser le clito de plus en plus frénétiquement, elle va jouir je le sens, son cul se rétracte, alors je plaque plus fort mes mains et accélère le rythme.

C’a y est elle jouit. Vite, plus vite encore, arriver pour moi à l’explosion qui vient rapidement. Elle n’est pas totalement redescendue, nos orgasmes se suivent, mon sperme coule dans ses entrailles pour la première fois. Je suis, de plus, abondant car je m’étais préservé pour la perspective.

J’ai totalement oublié les personnes autour de moi, j’imagine juste mon foutre gicler au plus profond de son corps et chauffer celui ci.

Je n’ai pas à me retirer, pas de capote à perdre, juste à me sentir débander.

Elle est couchée sur le dos, nous sommes en cuillère et mon sexe flasque sort d’elle, ma main qui se pose sur son anus, le sent ouvert et gluant de ma semence, elle me dit la sentir refroidir.

Nous sommes bien et je regarde autour de moi, apaisé, les culs des femmes dont certaines sont à  portée de main, je ne me retiens pas d’en frôler un si doux.

Un coups de mouchoir et je me lève, nu vers la douche en retraversant le couloir, regards amusés de voir là un homme à poil, la douche chaude me délasse et je lave ma bite qui n'est finalement pas souillée.

Je rejoins E … qui m’a attendu sagement, quelques mains sont venues mais elle a refusé toutes invites de baise.

Je lui tends sa culotte, excité à l’idée qu’elle va, au cours de la soirée, se remplir de mon foutre qui sortira d’elle.

Nous allons au bar voir les femmes danser et sur un canapé siroter un alcool.

La soirée commence ainsi et elle finira tard.

 

 

28/01/2012

Citation

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(contractuelle - berlin)



" ces carnets débordent ils sont pleins - quand j'en relis j'ai l'impression d'une vie effrenée, tandis qu'en vivant j'ai toujours celle d'un calme lent, à part des moments d'activité fiévreuse"

 

Carnet de Pierre Henri Roché, décembre 1920, samedi 4

 

un samedi aprés midi chez moi, 90 ans plus tard je ne saurai mieux dire ...

24/01/2012

Pierre-Henri ROCHE

Un amateur d’art, un peu dandy, libertin, poly amoureux , fréquentant les galeries et les artistes, écrivain la nuit mais n’ayant publié qu’à 74 ans son premier roman, peu lu et pourtant si connu par son roman autobiographique Jules et Jim, porté à l’écran par Truffaut, il fallait bien un jour que ce blog parle de Pierre-Henri ROCHE.

J’avais eu à plusieurs reprises à croiser son nom  au détour de quelques biographies d’entre deux guerres, je n’avais rien lu de lui et les vacances de noël m’ont donné l’occasion d’une belle découverte littéraire.

Jules et Jim c’est l’histoire d’un couple d’amitié entre deux hommes Jim le français, Roché, Jules l’allemand Hessel , amitié intellectuelle et échange de femmes , relations triangulaires , nos libertinages n’ont rien inventé.

Au delà d’un récit aux phrases brèves et au style concis, plus fort que Cocteau dira truffaut à son propos,  faisant de cet homme de 74 ans un écrivain si jeune dans sa plume que Truffaut convaincra sa veuve de faire dactylographier les 8000 pages de son journal intime, il y a l’homme dont la biographie est à elle seule un roman.

La dactylo au bout de quelques années de vie intime dans la mémoire de cet homme rennoncera à son travail, écoeurée  finalement par son attitude ambigue avec les femmes , à la fois amoureux et manipulateur.

Né en 1879, bourgeois rentier, il sera initié par deux sœurs anglaises qui lui donneront le goût des échanges, fréquentant le monde de la bohème et cosmopolite il parle couramment anglais et allemand il séduit beaucoup.

Parfois plus Don Juan que Casanova il n’hésite pas à user de petites annonces matrimoniales, à faire des comptes rendus épistolaires de ses liaisons, à échanger avec ses amis, manipulateur mental agissant comme un voyeur sans jamais s’engager totalement.

En 1902 il fera une « polygamie expérimentale », c'est-à-dire de conduire une analyse psychologique in vivo, de scénarios érotiques sur le désir et les sentiments masculins et féminins. Sous le masque du donjuanisme et le prétexte de l'utilité sociale de son documentaire. Pour servir de « laboratoire » aux candidates sélectionnées par petites annonces, il loue début octobre avec une à neuf cents mètres du domicile maternel et Consigne rigoureusement pendant une année, les comptes rendus qui composeront une « métaphysique sexuelle »intitulée Moments

Découvreur de nombreux talents, Picasso, braque, Juan Gris, Brancusi, Picabia Duchamps, Man ray, Dubuffet, fréquentant Satie ou des écrivains comme Cocteau il découvrira et jouira de la jeune Marie Laurencin avant qu’elle le quitte pour Apolinaire excusait du peu.

Il rencontrera après la 1er guerre un jeune fils de banquier Allemand , Franz Hessel et ensemble ils joueront à la permutation de leurs maitresses, avant que Franz n’épouse l’une d’elle Helen Grund qu’elle quittera pour Pierre-Henri Roche qui lassé la quittera dans des circonstances sordides, Helene Hessel est la mère de notre indignez vous national.

Pour vivre il fera l’intermédiaire entre de riches amateurs d’art souvent américains et les artistes, premier agent d’art il fréquentera et conseillera, le Marchand Rosenberg ( grand père d’Anne Sinclair ), mais aussi les Stein ( c'est lui  qui leur présentera un jeune artiste espagnol du nom de Picasso), ou le maharajah d'Indore, dont le palais moderniste meublé de la plus belle production art déco est dans toutes les revues d’art.

Il sera aussi mécène avec Man Ray ou Duchamp et financera la seule galerie d’art contemporaine durant la 2e Guerre Mondiale DROUIN avec pour associé un jeune homme d’avenir dans l’art Leo Castelli qui inventera l’art américain ( Jakson Pollock et tous les grands )

Par hasard le jeune Truffaut tombe sur le livre Jules et Jim vendu en solde chez stock , il le lit , est subjugué le contact et découvre l'incroyable homme, son livre n'avait pas eu de succés.

L’homme qui aimait les femmes est inspiré de sa vie, de lettres et d’art qui ne me laisse pas indifférent et que je voulais mieux vous faire connaître, il y a peu de photos de lui en voici quelques unes.

Pour finir une citation de Truffaut parlant du héros de L'Homme qui aimait les femmes.

 « De toutes ces femmes qui ont traversé sa vie, il restera quelque chose d'inestimable, un objet rectangulaire de trois cents pages. On appelle cela un livre... »

Il meurt en 1959 avant de voir son œuvre portée à l’écran, Helen Hessel dira que le film retrace bien l’esprit de cette époque.

 

 

Ouvrages que l’on peut trouver

 

Voir l'article des inrock sur la relation truffaut-roché

Jules et Jim, Gallimard, Paris, 1953   à lire absolument

Les Deux Anglaises et le continent, Gallimard, Paris, 1956

Victor, vol. IV in coll. Marcel Duchamp, plan pour écrire une vie de Marcel Duchamp, Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou - Musée National d'Art Moderne, Paris, 1er semestre 1977 (roman inachevé)

Carnets 1, 1920-1921, Les années « Jules et Jim », André Dimanche, Marseille, 1990, 491 p.

Écrits sur l'art, André Dimanche, Marseille, 1998

 

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par Marcel Duchamp

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23/01/2012

Interlude

 

 

 

Interlude entre deux notes que je dois écrire ... oui j'accumule le retard ... pas le temps de me poser ... et de me plonger dans le reflet intérieur de mes souvenirs, les poser en mots qui sonneront le tintamarre de mes débordements. Pourtant ces souvenirs m'assaillent comme des couches archéologiques. Au fil du temps ils se couvrent l'un l'autre aux mêmes lieux et finissent par ne plus avoir de temps au muséee de mon érotisme.

Nostalgie de ces instants qui ont été et ne seront plus ou ne seront jamais.

La vie va et laisse ses couleurs sur la toile, chaque souvenir est une touche et j'ignore encore qu'elle sera la composition de ce tableau. Parfois les tons enjoués des avants et des pendants , d'autre fois des fonds profonds des sentiments ou ceux plus sombres des désillusions. Je peins à l'huile pour que la couleur soit plus subtile mais le temps de séchage est plus long. 

je viens de terminer Vénus à la fourrure de Sacher Masoch, j'ai envie d'écrire des textes qui font frissonner quasi surréalistes , peut on encore choquer ? envie de le tenter , décidement oui il faut que je m'y mette à cette table d'écriture mais comme un artiste me disait samedi soir , l'art est un travail et je pense être plus dilettante que travailleur.

interlude donc que cette note tapée dans le lit d'une coquine qui m'a laissé pour le travail alors que je me prélasse ce matin ... 11 H temps de le quitter tout courbaturé ...

11:39 Publié dans ENVIES | Lien permanent | Commentaires (7)

17/01/2012

Dans le tourbillon de la vie

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Dans le tourbillon de la vie, nous nous sommes revus, replus et nous avons fini repus.

Puis à nouveau, nous nous sommes revus et donnés en spéctacle mais cela ne m'a plus plu.

Ce qui t'as plu, ce fut notre orgie dans la salle de bain où tu as giclée de plaisir sans retenue.

Ce qui m'a plu, c'est la douce chaleur de ton cul.

Ce qui m'a déplu, c'est de se quitter si vite.

Ce qui t'as plu, c'est d'être admirée par les passants de ton aura émus.

Ce qui m'a plus, c'est de plus belle t'avoir rendue.

Ce qui m'a déplu, c'est qu'hier tu ne sois pas revenue.

Ce qui m'a déplu, c'est le silence qui me laisse loquedu

09:00 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (13)

14/01/2012

Une bavarde ...

Une curieuse, bavarde pendant que j'embrasse une coquine

 

fais voir ta bite ...

 

alors c'est elle la bite de waid ?

 

elle est molle ta bite là ?!?

 

elle mesure combien quand elle bande ta bite ?

 

elle est grosse ta bite quand tu baises ?

 

t'es circoncis dis moi ?

 

pourquoi tu bandes pas dis ... ?

 

parce que je ne suis pas qu'une bite pardi !

 

maitenant suces car je suis aussi une bite non mais !

14:12 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (15)

11/01/2012

Toi l'inconnue

 

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Par monts et par les vaux , je cours vers elle,

elle que je ne connais point, mais qui demain sera mon Elle

Inconnue non encore eu comme chantait le poète, tu m'intrigues et m'attires

Te trouver et me retrouver

T'aimer et me poser

J'ai connu les stupres des libertins

J'ai pleuré aux adieux de quai

Mais toujours j'ai espéré te rencontrer

Je cours vers toi dans la nuit de mes envies

Mais toi que fais tu ?

Tu ignores que j'existe et jamais tu liras ces mots ...

 

 

 

Pour réponse au comm de Dita ...

ben oui ... moins glam

 

 

 

10/01/2012

ROOM 33


Room 33 - Director's cut par lustfilms

08/01/2012

Ma plus belle nuit

Au matin une évidence :

 

j'ai bien fait de céder à ses sirènes, c'est une de mes plus belles nuits !

 

merci IKEA

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03/01/2012

Nuit Proctologique

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Nus et repus nous discutons, dialogue intime d'amants infernaux en souffle de la fougue d'une rencontre qui n'aurait pas du avoir lieu.

La belle est mariée depuis des années, ce n'est pas une libertine et son mari médecin peu à même d'apprécier les cornes que mes coups de reins lui ont plantées.

Nous avions goûté quelques minutes plus tôt les joies d'une levrette pratiquée avec un plug qui avait eu pour effet de serrer le sexe de ma belle, d’appuyer sur le mien et lui donner l'impression d'un envahissement général.

Expérience nouvelle pour elle mais fort appréciée, moins de nos voisins de chambre.

Bref nous discutons, apaisés et détendus, trop ...

D'un bond, elle sursaute et hurle" mon plug, mon plug, mon cul l'a avalé !

Ma main sur son anus confirme la disparition que les draps plus vierges des traces de nos ébats  mais de lui désespérément, confirment l'affreuse hypothèse.

Affolement ...

Ses mains sur son cul à tenter de trouver l'objet de notre perversité, le rouge de son visage et la fièvre de ses yeux disent qu'elle se voit aux urgences pour une intervention afin de retirer l'intrus, s'imagine les sourires graveleux des carabins transformés en déboucheur de cul, s'imagine expliquer à son mari comment elle a pu connaître cette situation, ni montrer la radio qui allait être prise et qu'en tant que membre du corps médical, il n'aurait pas manqué de demander à voir.

"on est dans la merde" qu'elle lance est une conclusion orale de ce cauchemar anal qui serait comique si nous n'étions pas dans l'exacte définition de l'expression.

Cela me cause un effroi et un sourire, à moins que cela ne soit un sourire d'effroi.

Mais l'homme se découvre face à son destin, curieusement je ne m'affole pas, je la calme et lui demande de s'allonger et surtout de ne plus contracter son sphincter.

J'avais connu les prémices d’une telle situation dans mes expériences libertines où un plug qu'une jeune vicieuse m'avait enfilé dans l’oeillet avait commencé à plier les ailettes en caoutchouc de sa base pour pénétrer dangereusement dans mon intimité. La coquine avait tenté de l'arrêter avec ses doigts, mais pleins de gel, ils glissaient, elle avait pu avec la bouche mordre dedans, le temps que mes mains soient essuyées pour enlever l'intrus, j'avais évité les urgences de l'hôpital de Barcelone de peu.

Nous avions discuté de cela avec un urgentiste masochiste de nos connaissances qui avait ri en disant que la grande distraction des soirées stressantes de garde était l'extraction anale d'objets divers, au passage il nous avait dit que souvent des massages évitaient la pince ou l'opération.

Il y avait peut-être une chance : je tâte son ventre mais malgré la platitude excitante de celui-ci, aucune sensation de l'intrus, définitivement disparu.

Ce ventre si fin l'avait avalé.

En urgence avant qu'il ne soit trop tard, je plonge alors un doigt dans son vagin, me rappelant le plaisir que l'on a parfois à rentrer un doigt dans le sexe pour jouer avec la bite qui se trouve dans le cul.

Eurêka, je sens le plug, mais une paroi de chair m'en interdit l'accès.

De l'extrême bout du doigt, je sens toutefois la pointe de l'engin qui creuse son chemin au plus profond des intestins, mue par les contractions instinctives de ceux-ci.

En appuyant fort, je devine un soupçon de blocage de la progression tout en calmant ma belle enragée présentement douchée d'anxiété, de la réussite, toute affirmative de mon entreprise.

Pourtant, petit à petit, ces paroles destinées à limiter les effets néfastes de contractions d'angoisse, deviennent de moins en moins mensongères et je sens une progression inverse, rendue difficile par mon seul doigt.

Je plonge l'autre et comme une pince et en douceur, je les place de chaque côté de la pointe que je sens, enfin cette position me permet de diriger l'engin.

Mes gestes sont précis, curieusement vu la situation fort sereins et mes paroles calmes , elle ne bouge plus et semble me faire confiance.

Lentement, avec d'infinies précautions pour ne pas la blesser, je progresse, reste le muscle du sphincter intérieur à dépasser alors que la forme de l'anneau du plug constitue un blocage.

Mes deux doigts bien calés pour ne pas perdre le contrôle de l'envahisseur, de la main gauche je plante un doigt dans l'anus qui s'ouvre, au fond je touche la base , curieuse posture d'un doigt pour le toucher , deux doigts pour le bloquer à travers la paroi du vagin, mais l'heure n'est pas aux jeux sexuels.

Je pousse depuis son vagin  et plante un deuxième doigt dans l'anus, mes yeux quittent son entrejambe, "j'y suis, je le tiens"

soulagement de son regard d'enfant affolé

" Tu as mal ? "

"Non"

J'écarte alors mes doigts de la main gauche et ouvre son cul, la main droite plie les doigts , le plug apparaît, je l'agrippe avec ma main gauche en pince à deux doigts et le sort triomphant.

Elle pleure de soulagement, me traite de sauveur et me couvre de baisers ...

Je suis plus surpris qu'elle du sang-froid et de la maîtrise technique dont j'ai pu témoigner et surtout de la réussite de mon opération, me voilà à l'égal d'un chirurgien.

L'expérience sexuelle, ça en jette quand même ... On  fête  cela , quelques minutes plus tard en missionnaire.