Web Analytics Made Easy -
StatCounter

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

21/02/2008

Dialogue , à la suite de la chatte noire

a79486efbc1843fa46d7388fb4358187.jpg
(photo hans breuder)

 

Ma question :

Ce soir, je me ferais bien envahissante, coulante et tiède comme une liqueur, câline et ronronnante comme la petite chatte noire... vois-tu ?

T'envahir...

Tu me diras ce que cela t'évoque.

Et ta réponse :

(...)


Bisous impatients
 

 a écrit :

Voila ce que je fantasme d'entendre de ta bouche avec le mot T'envahir...
 


 »T'envahir de mes mots, de mon attention, de mon envie de toi
 
T'envahir... de mes mains, de mes caresses, du plaisir de sentir la chaleur de ta peau, son grain, sa douceur.
 
T'envahir...de ma bouche gourmande qui te déguste de la pointe de tes pieds jusqu'au lobes des oreilles.

T'envahir...de ma langue qui aspire ta queue, l'enveloppe, glisse le long de la hampe , mouille ton scrotum , explore ton anus.
 
T'envahir...de mes entrailles bouillonnantes comme une prison de délice sur ton vit dressé.
 
T'envahir...du rythme de notre plaisir.
 
T'envahir...du son de mes cris de jouissance, de bonheur, d'abandon total.
 
T'envahir...en te brûlant les neurones par l'orgasme que je t'arracherai.
 
T'envahir...par la douceur et le bonheur de mon regard après cette partie de plaisir.
 
T'envahir...par mes mots de complicité et de félicité.
 
T'envahir...comme une amie que l'on sait si loin mais si proche. »

Elle :

Tu me fait vibrer avec ces mots-là... je n'en attendais pas tant !

Cela fait tellement envie que j'aimerais abolir l'espace, là, maintenant, si j'avais ce pouvoir... et nous laisser nous envahir mutuellement :)

Tu devrais poster ce que tu m'as écrit : un jeu parti sur un mot et qui t'a évoqué tout cela...

 

a écrit :

voilà c'est fait.

 Ps et vous t'envahir... que cela vous évoque t il ?

 

08:05 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (7)

13/02/2008

Bain Baisers Bonheur

c2c36d537e1a0708db0362349acf9ab1.jpg

 

(photo Norbert Guthier)

En ces lieux, point de pudeur, elle déambule devant moi son corps nu orné de ce tatouage. Je ne sais pourquoi ce dessin m'attire , il m'emplit, focalise toute sa féline sensualité. Les regards de mes voisins sur ses mouvements lascifs, m'emplissent de fierté c'est moi qu'elle désir.

Dans la moiteur de ces bains, j'ai rêvé plusieurs fois de me retrouver, de le retrouver. La chaleur humide m'alanguit mais c'est pourtant une sueur froide qui coule le long de mon dos. La tension de l'avant, délicieuse torture, fébrile excitation, tempête intérieure…

Si nos sens sont en ébullition autant les porter au plus haut point de température, c'est le jacuzzi qui fera cocotte , ses ondes bouillantes sont comme une ode à notre désir.

Je me dirige sans hésitation vers l'immense et accueillante vasque, je sais qu'il m'a emboîté le pas, le regard en laisse. Je n'ose pas le croiser, pas encore. Je sens qu'il me détaille et désire au plus haut point m'enfoncer dans les brumes et l'onde, me cacher encore un peu pour susciter un désir plus grand.

 Nos corps flottent entraînés par des milliers de bulles, nos mains se croisent, se caressent, nos bouches se découvrent. Que n'ai-je trop attendu le contact de son bijou intime sur ma langue.

Je caresse doucement ses lèvres de la pointe brillante, elles vibrent, avides, mais se laissent redessiner patiemment.

Ses seins pointent de désirs, son sexe est plus humide que l'eau, tant mieux le mien brûle de soif. L'étreinte est aquatique, en apesanteur, nos corps d'astronautes flottent au rythme de nos reins, nous ne faisons qu'un traversé par la voluptué de nos jouissances.

Seuls nos regards ne s'accrochent plus pour l'instant, je me rive à lui, aimantée par ces spasmes d'envie brûlante qui semblent faire bouillonner mon corps davantage que l'élément liquide qui nous échauffe. Mes jambes opalescentes s'enroulent à son corps et impriment un rythme lascif à cette danse impudique synchronisée.

Ses yeux brillent. Lorsqu'elle sort de l'eau, sa bouche râle. L'instant est irréel.
Mais les jeux aussi d'eau si doux soient ils lassent, cette conversation mérite des antipasti préliminaires que notre désir immédiat a transformé en Pasti.

Le dialogue se passe de mots, il m'indique la pause d'un regard, je passe ma langue sur mes lèvres comme pour prendre mon élan.

Nous allons vers une alcôve ou nous serons seuls.
Là, elle s'allonge et déploie la beauté de son corps  parcouru par le plaisir.
Je m'allonge à ses cotés mes doigts la frôlent, ma bouche la mange.

Je m'abandonne un instant, passive et offerte, histoire de calmer mes sens qui pointent à leur paroxysme… Pas longtemps toutefois, trop envie de lui.

La belle aime le partage, nous nous lançons dans un superbe 69, je perds mon goût pour ne connaître que celui de son sexe, magnifique sensation de ne faire qu'un et de recevoir le plaisir émis. Nous ne sommes plus gémissements, sucions, feulements, caresses, extase.

Après s'être découverts comme le veut le monde, nous voici aux portes de l'extase, les sens renversés, la tête à l'envers avec pour seul horizon les plaisirs jumeaux de nos deux intimités frémissantes. Nul besoin de mots pour savoir quand se laisser aller, culs par dessus tête et coeurs emballés au métronome de la chamade, je me répands en lui, il se répand en moi... Promesse d'un imminent et premier baiser au goût de Nous.

Ps deux bouches , deux cœurs , deux langues et quatre mains ont écrit ce texte à l’encre du ...

 

18:50 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : bain, sauna, rencontre, coquine

09/02/2008

Juste un instant sur la terre

88e7f3d2ef89cb9a1455163533816d9e.jpg
Photo helmut newton

LUI :

Elle s’est assise en face de moi, j’étais troublé, elle l’a sentie  et m’a regardée dans les yeux criant son envie.

Je me suis levé et assis à ses cotés face à ce fauteuil que j’use trop.

Nos regards se sont croisés, nos bouches ont fusionnés.

Je l’ai soulevée et posée sur le bureau.

Ce fut l’unique fois.

Elle:

Eprouver cette sensation sur ton bureau...

Tes mains sur mon corps...

Me laisser emporter ...

Liberer nos envies...

Oublier tout le reste ...

Juste toi Juste moi ...

 

 

04/01/2008

Cogito ergo sum

fa09c356e909b0b07e75c1e7b40f3886.jpg

 

je pense ...
 
je pense à toi ...
 
je pense à ton corps ...
 
je pense à tes fesses ...
 
je pense à tes levres ...
 
je pense  les boursoufler, les gonfler de plaisir, les enflammer ...
 
je pense à ton intimité ...
 
je pense la pénétrer , la posséder , l'inonder ...
 
je pense à jouir , à crier ...
 
je pense au bonheur de penser à toi ...