Web Analytics Made Easy -
StatCounter

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29/04/2010

Rose c'est Paris

Rose, c'est Paris (extrait - chapitre 4) from Productions Campagne Première on Vimeo.

 

 

Je vous conseille l'exposition de Bettina Rheims à la Bnf , écrite avec son ex conjoint serge Branly c'est un voyage dans le Paris fantasmé d'amoureux des femmes , des lieux insolites et furieusements sensuels.

j'y ai reconnu les chambres de l'hotel rotary où certaines de mes nuits y furent belles

à voir, à déguster, à réaliser ...

 

default_ce_rheims_paris_art_edn_a_print_1002241457_id_327013-1.jpg

 

11:52 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (33)

05/03/2010

Cul par dessus tête

31800503_p.jpg

 

Nue et offerte à mes rets,

de cette corde noire liée,

les yeux bandés,

attends moi sans ciller.

 

Sens le temps passer,

devine ma présence percer.

Halète d'envie,

mouille de désir.

 

Mes mains vont oeuvrer,

ma langue va te déguster,

tu seras mon jouet,

et tes fesses font claquer

de mes mains ou du fouet.

 

t'envahir de nouveaux frissons

ouvrir d'autres horizons

sois cul par dessus tête

c'est ta tête qui commande ton cul

cul,  qui me tourne la tête

08:13 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (27)

21/01/2010

Ma main griffe ton dos

 

levret1.jpg

 

 

 

Ma main griffe ton dos pendant que ma queue bouscule ton cul

la porte s'ouvre et une voix hurle

 

EN CADENCE

 

Tu éclates de rires

je débande

 

Argh la vie en collectivité !

 

touz3.jpg


 

15:52 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (31)

27/12/2009

Confession

 

7tgPpTciHqq41yoss4MkRzTfo1_400.jpg


Comme un gentleman cambrioleur à ton corps gémissant, j'ai pénétré ton cul, forteresse que tu croyais bien défendue de mes appétences libertines.

Sans mot et sans promesse nos corps se sont donnés.

Ils ont joui, giclé, crié

Mais nos âmes, elles, se sont-elles trouvées ?

Je ne peux qu'être sex friend.

Tu voulais un boy friend

Je fus un toy boy...

 

 

 

17:13 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (19)

23/12/2009

Cher Mr, WAID

 

 

mQrowvPSrqwm2uipvpTQzgtJo1_500.jpg

 

 

 

Cher Mr Waid,

 

Vos écrits me troublent, à tel point que vous hantez mes songes...

 

Je vous imagine, enveloppé dans un peignoir de velours noir, installé face à votre bureau de chêne massif. Assis dans votre fauteuil de cuir, vous fermez les yeux afin de laisser l’inspiration prendre possession de votre esprit. Vous vous détendez... Vous vous étirez dans votre fauteuil, tel un chat sortant de sa sieste. Cette position fait glisser l’étoffe noire qui vous habille, laissant ainsi échapper une partie de votre anatomie. Ce buste musclé et légèrement velu... Et plus en dessous, cet objet de convoitise qui a su faire frémir plus d’une... Vous ne vous rhabillez pas... Pour quoi faire, vous êtes seul dans la pièce... Oui, mais voilà ! Il s’agit de MON fantasme et MOI je suis là, à vous épier... A vous contempler (devrais-je plutôt dire). Alors, je me régale de ce charmant panorama ! Puis les images émergent de vos pensées, les aventures passées ou à venir se mélangent dans votre tête... Il est temps de les mettre par écrit. C’est alors, que du bout des doigts vous attrapez votre plume avec délicatesse. Tout comme pour un corps de femme, vos doigts se resserrent sur elle pour la maintenir avec une pression ni trop forte, ni trop douce. Imbibée d’encre noire, la plume glisse sur le papier déposant ainsi vos histoires. Sur la feuille vous faites danser les mots. C’est alors que mon esprit s’emballe... J’imagine vos doigts glisser sur ma peau tout comme cette plume caresse la page blanche... J’imagine nos corps enlacés tournoyant sur la piste, tout comme vos phrases valsent sur la copie... Puis, plus rien ! Plus de musique... Plus de lumière... Juste ce spot au-dessus de nous. Vous me fixez et me souriez. Votre regard envoûtant me fait chavirer, je perds mes amarres et me noie dans vos yeux. Vous déposez délicatement votre main sur ma joue dans une caresse tendre, laissant peu à peu glisser vos doigts dans mes cheveux. Puis lentement, très lentement... Sûrement pour que je puisse apprécier chaque seconde de cet instant... Très lentement, donc, vous approchez votre visage du mien et vous appliquez vos lèvres sur les miennes. Elles sont délicieuses, douces et chaudes. Un deuxième baiser. Puis un troisième et nos bouches se font plus gourmandes. Elles s’ouvrent et s’offrent l’une à l’autre. Nos langues se mélangent et s’emportent à leur tour dans une danse passionnée. Vous resserrez votre étreinte. Collée contre vous, je devine votre entrejambe se soulever sous votre peignoir de velours noir. Mes seins aussi se redressent et se mettent à durcir. La chaleur de mon intimité se déverse, ruisselant jusqu’à inonder ma petite culotte de coton. Ma respiration se fait plus forte et plus haletante. Mon souffle devient saccadé. Je suffoque et m’évanouie...

 

C’est alors que je m’éveille, forcée de constater que tout cela n’était qu’un rêve... Un délicieux et merveilleux rêve...

 

20:20 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (15)

02/11/2009

En deuil de nos ébats

7RGgy4cxipnd469wJXALXwv4o1_500.jpg

Les mots me manquent pour te dire que tu me manques. 
Le plaisir de tes lignes matinales s'est envolé, mon ciel c'est voilé. 
Ce t'était rien et m'était tout, 
Un peu de vie dans l'eau de mon ennui, le trouble d'une envie. 
Je jette ces mots comme une pelletée de terre sur la tombe de nos échanges, 
sans fleurs ni cérémonie, je fais le deuil de nos furieux ébats. 
Le crêpe et le noir pour condoléances de la rage de nos corps. 
Ni pleureuse, ni sanglot mais ton nouveau bonheur pour glas de nous deux. 
En échos mourants résonnent tes mots d'amour. 
En murmures me reviennent tes reproches sur mes retenues. 
Sourire de cette mémoire. 
Sonne ton appel, bris de ton silence. 
Rires de comprendre qu'il est intéressé. 
Va et soit heureuse.

Cela est le jeu, j'en connais les règles. 
Légères comme une catin, 
douloureuses comme une mater dolorosa, 
mais aussi brûlantes que ton cul désormais à mes oreilles silencieux.

10:04 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (31)

28/07/2009

Lettre de grâce

 

7RGgy4cxillp0cgtP5kDpEUKo1_500.jpg


Madame,

Je vous adresse ce mot comme l'on dépose un recours en grâce.

Je sais que je suis condamné à la peine suprême, je ne referai pas ma vie et ne plaiderai pas l'absence de mes fautes passées.

Oui je fut un coquin, oui mes ébats furent donnés en lectures bloguesques.

Mais est-il digne en ce début de millénaire de perpétuer encore un châtiment digne des temps obscurs?

Le sang  ne lave plus depuis bien longtemps alors pourquoi imposer de faire bouillir le mien ?

Je sais vos considérations. Vous êtes une femme mariée, mais imaginative, alors vous ne pouvez pas accéder à mon placet.

Je suis un libertin, et vous ne voulez pas d'un amant qui expose ses conquêtes dans l'indécence de mots, même choisis.

Mais de grâce, mesurez les dégâts de vos résolutions sur ma personne.

Je ne vis plus, je ne dors plus sans votre fantôme, vous me possédez comme vous possédez les mots des textes que vous domptez.

Je suis un envoûté, un zombie à vos ordres.

Or ceux-ci sont des plus cruels qu'il soit puisqu'ils ne me disent pas « faites-moi jouir ».

J’ose pourtant pressentir que mes mots vous envoûtent, et espère que vous luttez de façon bien plus grande encore contre votre envie.

Alors je vous dis, Madame, le temps passe, il détruit tout ce qu'il touche. Acceptez l'éternité d'un souvenir d'une étreinte désirée.

Acceptez de céder à vos désirs, et rejoignez-moi dans cette couche adultérine qui nous transportera vers l'océan de nos désirs.

Madame, de grâce, acceptez moi en vous.

Je vous prie de me croire votre plus attaché,

 

Waid

 

 

22:51 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (21)

19/07/2009

retour sur terre

 

nuages.jpg

 

 

 

En bas la terre.

En haut le ciel bleu.

A 800 km/H , au dessus des nuages,  je rentre.

Mes yeux pleurent,

ils ne m’obéissent plus ...


20:44 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (21)

09/07/2009

24 H

 

GetAttachment.aspx.jpeg

24 h sans nouvelle de toi 

je manque de toi

je n'ai pas bandé depuis 24 h

je n'entends plus ta voix

4 fois 24 h et je serai avec toi

24 h à bander pour ton émoi


 

 

18:47 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (20)

05/07/2009

désolé Audrey

 

sL0obukXtoil8hgeaFPSIO5Eo1_400.jpg

 

 

 

Désolé Audrey mais je crains ne devoir retenir aussi samedi votre amie.

Il me semble que notre appétit mutuel ne pourra être rassasié en une seule aprés midi.

Bien que ne soyons tous deux point affamés, le menu annoncé s'avère festin , avec les digestifs nécéssaires.

Comment me faire pardonner ?

Une glace rue de Seine , peut être ...

 

 

23:23 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (22)

24/06/2009

Trois heures du matin

 

jacques wisman.jpg

(jacques-wisman)

 Je sors, il est trois heures du matin, il n'y a  rien, ni ciel, ni fenêtres, ni vent, ni chats, absolument rien que le sentiment de plénitude et cette brûlure entre mes jambes.

10:51 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (23)

11/06/2009

La question

pip7.jpg

Un matin ma boîte mail contenait ce message :

M. Waid

Peut-être vous souvenez-vous m'avoir contactée 
(... j'ai coupé ...)  avec une question cruciale :

Une femme peut-elle être séduite par des mots au-delà d'un physique.

A cette occasion nous avions partagé un café virtuel.

Je reviens vers vous avec une réponse plus concrète.

Une amie me confiait récemment son expérience et j'ai pensé à vous.

Il y a quelque mois elle fut séduite par des mots. Des lettres qui arrivaient chaque nuit et dont les mots la faisaient vibrer au point de sortir de son sommeil afin de vérifier ses messages.

L'élégance des mots, la sincérité…

2 mois durant, elle vibra. Aucune photo.


Vint la rencontre et la déception qui s'ensuivit. L'homme se matérialisait et son apparence n'était en rien le reflet de ses mots. L'extérieur n'était en rien le miroir de ses émotions.
Au-delà de la déception le dialogue s'engagea. Passées les premières réticences, le courant fut rétabli  et les personnes se retrouvèrent. S'ensuivit le désir, la passion, le plaisir, le jeu. L'autre tel qu'on le rêve dans un habile mélange de complicité et de jeux sexuels.

Son histoire me fait réfléchir à chaque instant.


L'écrit permettrait-t-il la mise à nu, l'accord des âmes avant celui des corps … Moi qui n'ai toujours cherché que l'accord des corps comme point de départ incontournable et nécessaire.
L'attrait "animal" "hormonal" pour un physique, un corps. L'attrait du mystère.
Serait-ce là ma faiblesse ?

Je me balade parfois sur votre blog et pour faire écho à l'une de vos lectrices, il y a quelque chose de très féminin dans votre mise en scène de la sexualité. A lire les commentaires féminins, serait-ce un secret de séduction ? Vous savez placer l'émotion à sa juste place dans les jeux des corps "sans cynisme ni piquant" ce qui m'évoque agréablement le plaisir quand le cynisme ne m'évoquerait que frustration et désillusion.

Merci d'écrire. Les méandres d'un cerveau masculin me passionneront toujours.

A...

J'ai répondu à celui-ci, et je vous en publierai, la réponse mais il nous a semblé intéressant de connaître aussi votre opinion.

A... et moi l'attendons avec impatience.

Ps : s'il y a des hommes qui viennent lire (si, si, il y en a, je le sais), A ... attend avec impatience votre sentiment, vos expériences, l'anonymat permet d'être sincère , je garantis le secret le plus absolu.

08:13 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (31)

22/05/2009

File le train , monte le désir

 

doisneau_full.jpg

-Doisneau-

 

 

Dans le train de mes envies,

file l'ennui,

monte le désir.

Te savoir à m'attendre

avec ton bagage indécent pour viatique.

Encore une nuit ensemble

pluriel d'une rencontre qui devait être unique.

mais unique elle l'a été et pluriel j'en suis fier.

te compter parmi mes nuits libertines

malgré l'éloignement , et tes sentiments.

Libertins et attachés voilà l'improbable 

Oui jouir de nous , et rire de nos envies

Oui se dire que ce qui parait si naturel ici , serait choquant ailleurs.

être avec toi si naturellement

 

 

14:03 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (26)

07/05/2009

En croisant un parfum

 

 

 

Il me vient des souvenirs de son parfum, en fantômes de nos moments.

Il me vient les goûts de ses baisers , en manque d'elle.

Rien ne se perd , rien ne se crée, tout se transforme

Elle a troqué ses libertés pour la fidélité.

Son amour est pour lui

et les fantômes pour moi.

09:07 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (29)

14/04/2009

14 cm ... tout de même

 

DSC02392.JPG

 

 

 

14 cm te laissaient dubitative ...

Serait-ce que tu étais fatiguée ?

Pourtant tu les as enfilées .... et là ton corps s'est mis à trembler.

Tu n'arrivais plus à les ôter ...

te laissant frustrée de les abandonner.

Je sais, mon jeu SM, était extrême

Je n'aurais pas du te faire essayer ces Louboutins ... 

Te voilà louboutomisée.

 

 

 

08:06 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (25)