16/03/2014
Séance n°5
Pour la séance n° 5 tu n’aurais pas du me confesser tes rêves humides, me voilà à chercher le gode idéal qui t’emplira le sexe pendant que le mien envahira ton intime.
Te sentir écartelée dans tes chaires frémissantes pendant que tes oreilles entendront mes gémissements de plaisirs prodigués par ton cul rendu plus étroit de ton sexe pris.
Naviguer dans l’interstice de ton plaisir et ta douleur.
Sentir les vagues venir de mon cul titillé par un anéros.
Te faire jouir à n’en plus respirer puis …
quand tes esprits seront repris te demander de me pénétrer pendant que tu me suceras
Finir haletant à tes cotés en repos de nos culs épuisés le sexe vidé d’un sperme qui aura giclé sur mon corps et ton visage.
11:08 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (33)
16/11/2013
Garde robe
En train d’essayer ce manteau, gris clair ou noir, j’hésite, je pèse, soupèse, 14H30 , zut je demande au vendeur de les garder 24h le temps que je revienne, et je file à mon rendez-vous anonyme et obscur
Il y a comme une sorte d’habitude chez moi à associer une rencontre avec un élément de garde robe.
Je ne suis vêtu que de souvenirs érotiques.
Costume de banquier avec F …
Ceinture avec E …
Chemise Charvet avec S …
Caleçons avec E …
Manteau avec I …
tout cela pour finir à poil entre leurs cuisses ...
11:30 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (19)
13/10/2013
Nancy CUNARD
Si en art je suis passionné par l’art contemporain, je n’oublie pas mes émois premiers à propos des années d’entre deux guerres :
Dada, le surréalisme, l’art déco, le modernisme, le Bauhaus mais aussi la littérature, Eluard, Desnos, Radiguet, Cocteau, Bataille, Paul Morand cet exécrable précurseur de la mondialisation, on disait alors le cosmopolitisme.
Les américains, Gertrude Stein, Hemingway, Pound, mais surtout Miller et Anais Nin.
Parmi ceux qui ont donné vie à cette si riche période, il y a Nancy Cunard, Nancy la scandaleuse, à elle seule elle incarne la quintessence de cette période, transgressive , foisonnante.
Si l’on a en tête la femme garçonne de cette période on ne peut que penser à Nancy Cunard, qui alliait un incroyable flair artistique, la libération de la femme, transgression, lutte contre le racisme.
Elle naquit en 1896 d’une famille qui roulait ou plutôt flottait sur l’or, les Cunard étaient les propriétaires de la compagnie de transatlantiques du même nom, célèbre pour un naufrage celui du Titanic.
On a souvent dit toutefois que son père était l’écrivain Georges Moore, ce qui expliquerait l'attirance sexuelle de sa « fille » pour les grands talents de ce siècle.
Une éducation dans la haute société Edwardienne aurait pu faire de Nancy le chantre de cette aristocratie anglaise, hautaine de ses richesses, de son droit d’ainesse.
Mais Nancy était toute autre, certes le fait qu’elle fut une nantie lui a permis de s’imposer dans une société cosmopolite et culturellement avancée ( possibilité déniée au démuni ou à celui qui doit travailler pour vivre, hors les artistes)
Elle incarna à Paris où elle s’était installée La Femme des années 20 dans le physique, la mode, ou la libération sexuelle et intellectuelle.
Longiligne, un port et une grâce évidente, elle avait l'habitude de couvrir ses bras de bracelets d'ivoires, une coupe à la garçonne, sa vie sexuelle ne fut pas le moindre de ses talents.
Aidée par sa fulgurante beauté archétype de cette époque, un célibat , surtout une ablation de l’utérus ( dont on ne sait si cela fut du à la conséquence d’une maladie vénérienne) sa position sociale, Nancy fit tourner bien des têtes et collectionna les amants.
On ne conservera le nom que des plus célèbres mais attention Nancy aimait les gens talentueux : Aldous Huxley lors d’amours fulgurantes et ombrageuses, il faillit y perdre tout ses biens, Tristan Tzara co inventeur de Dada, Norman Douglas,Pablo Neruda.
Aragon qui avant les yeux d’Elsa n’avait d’yeux que pour elle, d’ailleurs le Con d’Irène est largement inspiré de Nancy, la littérature mondiale faillit d’ailleurs le perdre à cause d’elle puisqu’à Venise ( Thomas Mann n’a t il pas écrit mort à Venise ?) il fit une tentative de suicide quand Nancy le trompa pour un pianiste Noir de l’hôtel Luna , originaire d’Atlanta, Georgie, Pablo Neruda, Henry Crowder.
Ce fut d’ailleurs son immense amour, elle l’emmenait partout dans les plus grandes soirées au point que sa mère la scandaleuse et leste Lady Cunard en était folle de rage. ( Nancy le lui rendit en écrivant sur elle un pamphlet et en l'envoyant en guise de voeux de noël aux amis de sa mère en 1932)
Nancy avec Henry découvrit la condition des « nègres » comme on disait à l’époque et lutta pour l’égalité des droits, s'installa à Harlem ce qui fit scandale, publiant même la première anthologie des écrivains « nègres » intitulée NEGRO, cela souleva une telle indignation dans cette période colonialiste qu’il fut interdit.
Nancy ouvrit aussi une petite maison d’édition et publia Noman Douglas, robert Grave Ezra pound, et même en 1930 Samuel Beckett c’est dire son flair. Y venaient la voir, James Joyce, Dali, Bunuel, Max Ernst, Paul Eluard, Man Ray
Elle fut aussi le fantasme de grands écrivains, on a vu pour le Con d’Iréne, mais aussi Hemingway où elle l’influença pour le personnage féminin du Soleil se lève aussi.
Bien sur elle milita pour les Républicains durant la guerre d’Espagne et fut même la première à inventer les pétitions d’intellectuels d’un usage désormais si galvaudé.
Nancy Cunard n'était pas femme "à transiger avec son désir". Toute sa vie, elle n'a transigé sur rien. Frêle, c'était une force de la nature. L'alcool, la nouba, les nuits blanches, les excès en tout genre semblaient n'avoir pas de prise sur elle. Elle portait toujours beau et chic. Vieillissante, elle continuait d'impressionner et de séduire, même des jeunes gens en âge d'être ses fils.
Cette femme qui incarna les années 20 mourut en 1965 dans une salle de l’hôpital Cochin, elle avait été ramassée dans la rue famélique , ne pesant que 26 kg, dévorée par l’alcool, les dépressions, assaillie de visions et de regrets, demandant des nouvelles de ses amis T.S. Elliot , Beckett, et Crowder son grand amour qui étaient disparus …
Il ne reste d’elle que les superbes photos de Man Ray, de Cecil Beaton, bien sur le Con d’Irène et sa légende que je ne fais que colporter ici, cette femme étant pour moi un fantasme.
henry crowder
19:10 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (15)
07/10/2013
correspondances des mille et une nuits
(fantasme absolument contractuel)
je suis un peu en retard ce matin mais avec le décalage horaire je pense que ç'a ira.
A l' heure où je vous écris je suis encore nue, assise le corps vibrant encore des secousses qui l' ont parcourus.
Vous étiez juste là en moi à chaque moment, comme une fusion imaginaire qui m' a apporté beaucoup de sensations.
Je vous raconte depuis le début....
Hier soir aprés notre conversation et votre envie de me voir faire l' amour en pensant à vous,je suis allée dans ma chambre, tirant les rideaux pourpres et épais.
J' ai déposé un peu de parfum à la racine de mes cheveux, sur mes poignets, pas trop car j' aime que l' on sente l' odeur de ma peau...
Puis je suis allée le trouver ,il était assis, énervé, presque au bord de l' explosion.
je me suis mise devant lui en le regardant avec des yeux malicieux, je les avais souligné par khol pour mieux les habiller...
je me suis avancée, j' ai pris son sexe dans ma main en le fixant de regard, j' ai adoré le voir si troublé, perdu, ne sachant plus ou il en était devant cet élan soudain de ma part...
.... Je l'ai invité à se rafraichir un peu dans la pièce d'eau en me tenant à la porte le regardant laver son sexe et son corps.
Il m'a pris par la taille pour aller sur le lit, commença à m' embrasser les seins m'a déshabillé et mordillé mon corps un peu partout, mes cuisses mon ventre mon sexe...
Voyant comme je me trémoussais sous l'effet de ses lèvres et parfois ses dents, il a glissé son doigt dans mes fesses qu'innocemment je cambrais à sa vue (innocemment bien sur) et il a commencé une exploration des plus intéressante,
qui fini par une bonne sodomie, les fesses écartées, impatientes, et apparemment très chaudes à l'intérieure,
J' ai eu le droit à ce qu' il glisse sa main sur ma bouche pour ne pas ameuter toute la maison avec mes cris de jouissances , j' adore la sodomie, encore plus quand on me tient les cheveux ou que l' on me bâillonne d' une main sentant le sexe....
mmmmmh ... to be continued
bises waid
21:14 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (11)
06/09/2013
Analmour
Elle me parlait de son amour fou
Je n’étais que son amour chou
Sur le son d’anamour
Nous passames une nuit analmour
16:47 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (11)
02/09/2013
Mauvais oeil
Mon sexe sort de l’anus, la capote est légèrement souillée
De ma main droite j’introduis à nouveau ma verge et je fourrage
Ses gémissements m’invitent à des coups plus profonds plus rapides
Elle est au paroxysme et s’écroule en boule, ses jambes tremblent
Bite à l’air la sueur de mes échauffements me coule dans les yeux
De ma main j’ôte cette goute de l’œil droit, j’oublie que ma main est souillée
Le lendemain ma paupière est gonflée et me fait mal
Verdict de la faculté, blépharite, infection de la paupière par bactéries, 7 jours d'antibio est une paupière gonflée pendant 3 semaines ...
La sodomie donnerait elle le mauvais œil ?
10:58 Publié dans COUPS DE GUEULE, ELLE | Lien permanent | Commentaires (22)
19/08/2013
summer pictures (6)
contractuelle
00:29 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (18)
14/08/2013
summer pictures (5)
(contractuelle)
16:10 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (11)
10/08/2013
summer pictures (4)
(contractuelle xaddict photographe)
22:52 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (7)
04/08/2013
Summer Pictures (3)
(contractuelle)
22:31 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (9)
28/07/2013
Summer Pictures (2)
(contractuelle)
17:05 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (15)
22/07/2013
summer pictures
(contractuelle)
23:33 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (20)
18/07/2013
Sur le vif
(photo contractuelle)
Il fait chaud
13:39 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (16)
23/06/2013
elle a osé
Ce blog devient un lieu de toutes les audaces, pas les miennes, celles de certaines lectrices, l'une de celle-ci rêve de sms érotiques, ludiques, excitants voilà sa règle du jeu
le numéro de tel
XX XX XX XX XX ( jeu terminé )
Règle du jeu :
Être créatif, courtois, coquins, fun, respectueux et subtile (si, si même avec le sexe c'est jouable ;)
Seuls les mots et leurs plaisirs sont admis
Exclusion totale des photos, vidéos, insultes et toutes choses désagréables
Le jeu c'est tout ce qu'on fait sans être obligé
Conditions de publication sur le blog Waid and See :
Sms les plus coquins , les plus drôles, les plus insolites...
Tri totalement subjectif de moi et/ou du blogueur nommé Waid
Caractéristique téléphonique :
Téléphone vintage ne recevant pas de MMS et autres modernités
En mode silencieux nuit et jour
Numéro de téléphone temporaire, jetable et qui disparaitra du site dans un mois maximum
Conditions générales du non-contrat. Aucune exception n'y sera faite.
L'envoi d'un sms implique une acceptation sans réserve par l'envoyeur d'aucune obligation de ma part : aucun bien/service/produits/offre/réparation/réponse/échange/ n'est proposé.
En cas de panne contacter votre SAW : Waid and See
Allez vous y jouer attention je me reserve le droit de publier certains échanges ... chiche ?
à vos claviers ...
23:29 Publié dans ELLE, ENVIES | Lien permanent | Commentaires (34)
17/04/2013
Waid & le clochard
Alors que l'actualité enterre Margaret Thatcher, mes pensées me portent vers la cathédrale Saint Paul.
23:54 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (15)