Web Analytics Made Easy -
StatCounter

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30/11/2014

Un café, un livre, réflexions matinales

cafe-con-arte-1.jpg

 

Un café, un livre, je voyage immobile en repos de mes transits.

Envie de silence pour soigner les maux de mes excès, les blessures de mes ruptures.

Les images de mes stupres m’accompagnent dans les blanches nuits de déluges.

Ce corps pénétré, cette bouche mangée, ce cul défoncé.

Maelstrom que je convoque lors de mes jouissances solitaires au matin de mon « hardeur »

Envie de ralenti et d’accélération, vivre en attente et écrire pour déguster.

Un message d’une coquine qui me fait partager les avancées de ses séductions, les fessées de ses déceptions

Ce blog est un observatoire des mœurs intimes, entre envie de folie et soif de complétudes.

Une autre qui m’annonce la naissance de son enfant, oui un trio peut mener à l’amour.

La troisième sa vie avec une fille.

Finalement je me sens de moins en moins coquin toute cette vie deviennent si naturelles, si évidentes.

Il paraît que mon regard change d'enfant gourmand à l’évocation de mes désirs, à dur et concentré quand un coups de fil me ramène à ma vie non parallèle.

Et si un jour je n’avais plus que ce regard de gourmand, vivre non dans l’attente mais dans le présent.

Visiter des pays inconnus et jouir de le faire à deux.

Jouir d’être sur un canapé à ne rien faire d’autre que d’entendre respirer l’autre.

Ataraxie des corps comme fantasme d’un adulte hyperactif.

 

 

 

 

 

03/06/2014

Rayons X

  • une anonyme
     
    ok, halte à l'intrusif.
     
    parce que tu dévoiles le vécu avec une abstraction évidente de qui tu es...mais bon, ce n'est qu'un sentiment de pseudo novice
     
     
  • et je suis qui, abstraction faite de l'abstraction ?
     
    je serai curieux que tu me dises ce que tu as perçu
     
    une anonyme
     
    un homme très intelligent stratège qui a assimilé tous les codes et qui s'adapte facilement à toutes les situations. Un homme qui aime la conquête mais seulement si elle est difficile. Un homme idéaliste vis à vis de la gente féminine...et qui se lasse très rapidement. Un homme sensible qui se livre difficilement par pudeur et par peur du jugement. Un homme fier qui ne s'assume pas forcement, mais qui met un point d'honneur à assumer les siens. Un homme exigeant envers lui et surtout envers les autres (sexe féminin principalement). Un homme qui aime plaire et qui aime être admiré. Un homme qui ne veut pas décevoir ses parents. Bref, un homme qui a des idéaux inassouvis ...parce qu'il accorde peut être trop d'importance au regard des autres

23:45 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (8)

14/04/2014

Le coup de pouce

 

 

 

 

tumblr_n40qchKCQr1topdcfo1_1280.jpg

 

 

Alors que je pénètre en elle, elle me trouve doux.

A … est une femme d’expérience dirons nous, des années de BDSM, un sein reconstitué pour cause de jeu trop violent, je goûte le compliment.

Je n’ai, en effet, jamais été repoussé pour cause de douleur anale, peut être grâce à ma botte secrète.

Vous partagez tant mon intimité que je vais vous la dévoiler.

La botte de Nevers à un pendant sodomite je l’appellerai le « coups de pouce »

En premier lieu ne jamais évoquer la première fois vos envies d’enculade, l’anus est une place qui se conquiert et ne se négocie pas.

Faites donc vos affaires préliminaires mais faites le bien, le petit trou ne s’abandonne avec délice qu’après orgasme.

Donc orgasmez là !

Puis reprenant vos prodigalités, placez là à quatre pattes, le souvenir du plaisir conventionnel pris précédemment fera que la position sera reprise avec enthousiasme.

Pénétrez là, jouez abondamment avec son con.

La botte va commencer.

Alors qu’elle exprime une douce satisfaction au mouvement de votre archet , mouiller votre pouce de sa cyprine, puis avec la pulpe du doigt poser le sur l’anus.

Surtout pas de pénétration malheureux !  Un anus inconnu ne se pénètre pas, il faut attendre qu’il vous happe.

Pour cela il faut lui ouvrir l’appétit, la position a commencé à réveiller des envies de multi pénétration, il faut donner corps à cette envie.

La pulpe du pouce va se poser sur l’anus, comme une simple présence, accélérez en attendant vos coups de reins, déjà les connections de plaisir entre votre bite et son cul commencent à la faire réagir.

Massez alors l’anus par cercles concentriques pour qu’il s’ouvre à vous, les mouvements de votre partenaires montrent clairement qu’elle aime cela, deux trois mots anodins et crus pour lui occuper l’esprit surtout ne pas lui dire que vous allez la prendre à cru … cela se fera mais plus tard quand elle n’aura plus à craindre vos lubricités.

L’anus doit s’ouvrir doucement, vous sentez sa béance sous votre doigt.

Mouillez le, sortez votre bite prétextez un peu de gel dessus, sexe ouvert cul ouvert elle vous attend avec impatience, entrez alors le sexe , votre pouce appui en même temps sur l’anus, s’il s’ouvre c’est que son corps vous attend, enfoncé le doigt assez profondément dans son cul.

Continuez les vas et viens de votre bite, soyez assez lent, ce n’est pas le mouvement général qu’elle doit sentir mais centimètres par centimètre la progression de votre sexe.

Quand vous sentez que son sphincter relâche la pression sur votre pouce, sortez le délicatement, un « oh oui » ( si elle est française , jésus Christ si elle est américaine) va certainement jaillir de sa bouche même si elle est timide.

Entrez alors  votre bite doucement dans son sexe trempé. Puis avec votre pouce, à travers les fines parois retrouvez votre bite, appuyez dessus, elle va s’écraser pour son plus grand bonheur sur la face antérieure de son vagin.

Continuez doucement comme cela, un certain temps, son cul est maintenant dompté, sortez votre pine, enlevé le doigt, mettre une pointe de gel frais sur son trou, et présenter votre sexe, serrez la base pour le durcir et pénétrer … vous y êtes … c’est chaud et cela vous serre … plus tard cela se desserra

Parlez lui sans bouger et commencez vos va et viens,

Je vous laisse là, maintenant, la suite à chacun de l’inventer

25/03/2014

Je sais c'est machiste comme envie ...

tumblr_mxsp3h0ZDA1rayazno1_1280.jpg

 

mais waoooouuuu j'en ai des frissons, cherche coussins vintages désespérément  

02/02/2014

Me voilà dans de beaux draps

lavandiere.jpg

 

Il y avait une donnée à laquelle je n’avais pas pensé en devenant propriétaire d’une garçonnière, c’est celle de la gestion des draps.

Jadis occupant d’hôtel, je ne me souciais pas des draps où alors uniquement lorsque les ébats les avaient marqué au delà du raisonnable, je me souviens d’une sodomie nocturne et de la nécessité le matin d’aller voler dans la buanderie une paire de drap propre puis faire disparaître ceux morts au champs d’horreur.

Il est vrai que nous étions en suisse pays du blanchiment.

Là, il en est différemment, je n’ai pas le temps à Paris de squatter les laveries et ma quasi chambre de bonne est trop petite pour un lave linge ( j’ai casé un lave vaisselle quand même non mého ).

Impossible de ramener à la maison les draps, qui se transformeraient immédiatement en constat d’adultère de 4 m2. J’avais trouvé comme solution la concierge à qui je laissais un sac de mes draps et qui me les remontait propres et repassés.

Mais comment dire, je me suis rapidement aperçu que ma consommation de draps propres et les marques univoques dessus allaient faire jaser. Surtout une concierge !

Il faut dire que je n’ai pas été raisonnable et que changer de draps trois fois en un weekend cela pouvait me faire passer au mieux pour un maniaque au pire pour un libertin.

Bref, il me fallait une autre solution, que j’avais trouvé en la personne du kurde à l’angle de la rue, il ne me connaît pas et parle le kurde, cela limite l’effet concierge, il est ouvert même le dimanche et assure en 24h le lavage et le repassage, 6 euros le draps ma foi ce prix valait bien celui de ma réputation dans l’immeuble.

C’est donc serein que le dernier weekend end de mon passage j’amenais le linceul de mes ébats, un peu de sang, beaucoup de gèle et un cul qui s’était allé, constituaient les stigmates de la passion de nos corps.

J’informe le kurde qu’il sont assez sales et qu’un 60° sera nécessaire, pas de problème me répond t il en franco kurde (la traduction est libre mais le sens certain)

Je l’informe que mes parents viendront les chercher, je les paie d’avance.

Serein je quitte mon appartement l’esprit tranquille et le corps vide, je n’ose dire les couilles aussi …

Las, le surlendemain texto de mes parents,

«  W … on est allé cherché tes draps, c’est une horreur appelle nous « 

Gloups, penaud j’appelle…

On final nul trace de ma luxures mais des draps devenus bleus par grosses tâches  … contact avec de la couleur (comme les sous vêtements je suis draps blancs)

Un ange passe … de soulagement.

Mais je perds l’usage et la confiance en mon Kurde, me voilà dans de beaux draps …

13/01/2014

Ce que l'on peut dire quand on est amoureux ...



#5 Parlez-nous de François : Julie Gayet par francoishollande

23:10 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (6)

05/01/2014

Bonne année

IMG_3281.jpg

(photo contractuelle)

 

Que vous souhaiter ?

23/11/2013

Le morne regret des chimères absentes

 

1472884_751645414863789_702627846_n.jpg

Le morne regret des chimères absentes, m’empli à nouveau,

Au matin de mes levers, ce n’est pas le sexe qui me manque mais la douce chaleur d’un corps qui se love en moi.

Envie de ces instants où tout passe par un souffle régulier au diapason du sien.

Eblouis par les réverbères de Paris, dans la fatigue aurorale.

D'un regard qui vous fait roi, de petits riens plus vastes que des empires.

Dans les ténèbres futures espérer désormais sa lumière et s'avouer que tout le stupre exposé ici ne cache qu'une envie d'Amour.

 

Un merci à Baudelaire et ses bohémiens 

 

11/11/2013

20 d'écart

sur le bord de la piscine la jeune mère de famille me regarde d'un oeil sombre, elle porte ce qu'il faut aux femmes de bonnes moeurs, la bague de fiançailles, la jolie alliance et des rondeurs qui trahissent le laisser aller des femmes casées.

Décidément les 20 ans d'écart avec celle qui se blottie contre moi ne passent pas , je suis fusillé du regard.

si elle savait que dans quelques années elle sera inscrite sur sur gleeden elle serait plus tolérante ...

16/09/2013

Envie de ...

tumblr_mcp87imIrS1rvav5uo1_400.jpg

foutre ...



 

11/09/2013

Ma vie est un enfer

 

mercredi232.jpg

( contractuelle dans ... mois années)



Mon minois ne suffit plus, j'ai du me mettre à la muscu ...


 

tumblr_msywbkjgpz1ql3ntoo7_1280.jpg

sur suggestion de Fifi bulle


07/07/2013

Mise à Nu

 

 

8w5S5sxaceg3d4xnAZeSrJWWo1_400.jpg

 

 

 

je suis nu de choses à dire.

alors je me met à nu de choses à lire.

Posez moi toutes vos questions.

Un seul joker comme cache sexe.

 

 

25/06/2013

Autobiographie

 

autobiographie.jpg

 

Je n’avais jamais osé dépasser mes fantasmes et mes expériences sexuelles étaient bien maigres, la lecture en couple d’Union, journal relatant les expériences de ses lecteurs n’avait pas convaincu mon épouse de briser la monotonie bimensuelle de nos relations intimes.

40 ans, marié, deux enfants, une belle réussite professionnelle comme on dit. Après toutes ces années studieuses et nuptiales trop sages, j’avais envie de tout déclasser, de me désordonner pour ne pas regretter une vie sans débordement.

La découverte d’internet me fit entrer dans un autre monde, celui-ci ne fut pas à mon goût ; glauque et écœurant, quelques rencontres féminines via un site d’échangisme me décevraient.

La première voulait un soumis à martyriser sous cocaïne, elle a fuit avant que je ne m’évanouisse des sévices qu’elle me proposait. Cherchant à se marier, mon alliance m’avait sauvée.

La seconde Thanatopracteur aspirait à l’homme de sa vie pour fonder une famille, las de ses insuccès sur les sites dits sérieux elle prospectait sur les sites culs un homme sérieux et pas effrayé d’être caressé par des mains qui avaient touché la mort, quête impossible qui commençait à l’aigrir.

La mort me traumatisant, la monogamie m’étant impossible, le repas fut laborieux et le café final avant l’au revoir attendu des deux cotés.

Sur ce même site un couple de la cote d’azur exposait ses photos, des échanges sans aucune volonté de rencontre, il me donnèrent le lien de leur blog.

Je ne savais même pas que ce genre de journaux intimes existait.

C’était un beau couple trentenaire. Photographe amateur il mettait en scène sa femme, l’exposant à la concupiscence des lecteurs. Là où je découvrirai que les blogs similaires étaient vulgaires, et sans saveur, il se dégageait de leur lieu, le doux son d’une ode amoureuse d’un mari envers sa femme.

Les  échanges de commentaires me firent être apprécié d’eux, au point qu’un week-end je fus invité à une séance photo.

Profitant d’un séjour de ma famille à la campagne, je franchissais le Rubicon.

Au lendemain, déniaisé j’avais trouvé ma voie, désormais ma crise de la quarantaine serait libertine.

Je devins vite un habitué du blog, celui-ci était fréquenté par une femme qui écrivait sur ses déboires conjugaux. Victime de la froideur d’un mari asexué, elle avait trouvé la chaleur du corps auprès d’une relation professionnelle.

Frustration et embrasements scandaient ses mots sur la toile fortement influencés par Paul Eluard. Ses nombreux commentateurs semblaient une barrière infranchissable pour un nouvel arrivant, mais curieusement je fus admis dans le top 5 des ses commentateurs préférés. Au hasard d’un échange, elle me donna son mail . Sans jamais connaître nos voix, il était rapidement devenu évident que le virtuel devait être dépassé.

Elle devait venir sur Paris pour formation, invitée par deux ou trois de ses amants. Dans son lourd agenda, une nuit pour moi, nous convenons du Lutétia pour la passer.

J’ignorais comment elle était, je n’avais pas osé lui demander une photographie. Un matin un texto, elle était en réunion de travail, son voisin plus âgé la complimentait.S’apercevant qu’elle dialoguait avec moi il lui disait que son interlocuteur avait beaucoup de chance. Excitée elle me l’écrivait, je lui répondais  de demander à son complimenteur de me faire sa description. La voilà lui expliquer que celui qui a bien de la chance de bientôt passer une nuit avec elle, ne la connaissant pas souhaiterait qu’il lui en fasse la description pour qu’il puisse vérifier qu’il avait vraiment de la chance.

Mon téléphone vibre d’un numéro inconnu, l’homme me décrit ma coquine, il est réellement pris au jeu et me décrit une jeune femme blonde, un peu ébouriffée aux yeux bleus coquins.

J’apprendrais plus tard que directeur d’une importante société il lui avait offert un emploi au cas où il aurait la même chance que l’inconnu du téléphone. Pôle Emploi devrait revoir ses techniques de placement.

Quelques jours plus tard au bar du Lutétia, mon ventre se tordait, « suis-je fou ? ».

Apparaissait une furie blonde bouclée et ébouriffée qui trainait une lourde valise à roulette, le sort était jeté,  la roulette allait être incroyablement généreuse, elle transforma ma vie.

Alors que nous étions le lendemain matin à nous balader dans la rue Monge, elle me fit rentrer dans un Cyber Café et me montrait comme elle complétait son blog.

 

«Tu devrais t’y mettre, tu écris bien »

« Je n’ai rien à dire ma vie sexuelle est inexistante »

« Lances toi  et tu verras bien»

 

Je me lançais et créais un lieu qui me correspondait, Art et érotisme serait le fil conducteur de mes publications.

Celles devaient être une sorte de verbatim de mes pensées, coups de cœur, de gueule ou de rencontres.

Le titre : un Dandy plus sage qu’il n’y paraît.

Cinq années de ma vie allaient commencer.

Le sexe en serait le thème, la recherche de moi même le secret dessein.

Mes notes des instagrams.

 

09/06/2013

Realis magnitudine sexus meus

95916650.jpg




Tout a commencé sur un commentaire, j’avais eu l’outrecuidance de citer un chiffre, aussitôt contesté par quelques coquines dont les reins ou la bouche servaient selon elles d’étalon à leur mémoire pour jauger mes propos d’étalon et les dénoncer en propos de vantard ?

 

tumblr_mk0h2pKqf71s8puzvo1_500.jpg



Une question s’est donc posée, ma mémoire était elle bonne ?

N’avait elle pas transformé mes quelques centimètres de chair en un pieu héroïque, aux dimensions taillées à la hauteur de mon arrogante écriture.

Le chiffre n’étant plus une mesure objective mais une dimension mythique comme l’âge de mathusalem ou les concubines du roi Salomon.

Etais je dans le mythe d’une gloire autoproclamée sur le net ou dans l’objectivité de la moiteur d’une salle de bain ?

Ou encore le réel d’une pénétration vaginale dans le sexe aguerri et non complaisant de mes contradictrices sur messagerie privée ?

Cela faisait plus de trente ans que j’avais mesuré, en une période où la taille de l’engin vous pose en homme accompli ou en un ado boutonneux et complexé.

Il fallait donc vérifier, objectiver ma mémoire ou la leurs.

Bien que je possède un télémètre laser il m’est paru dangereux d’exposer mon intime aux brûlures d’un rayon.

 

dm$C2$B2Grand.jpg


La technique du contour de mon anatomie en érection sur papier millimétré pour une lecture à bite retombée fut aussi écartée, je ne possède pas un tel papier et acheter une pochète entière pour un usage aussi unique me semblait ridicule.

J’ai longtemps cherché mon double décimètre de bois jaune avec mesure en inch et en centimètres , mais je ne l’ai pas trouvé, tant pis ce blog ne sera pas international, d’ailleurs mon anglais est pitoyable ce qui constitue pour moi une blessure narcissique aussi profonde qu’une anatomie insuffisante.


metre_pliant_a_tirette.png


Il a fallu me rabattre sur mon vieux mètre à ruban qui me sert tant pour mes œuvres d’art, de là à mesurer un chef d’œuvre ?


deguisement-metre-adulte_202366.jpg


Je me suis donc déshabillé et nu sur mon lit mes doigts ont commencé à caresser mes tétons ( je suis très, trop tétons ) ma mémoire s’est concentrée sur les flash de mes rencontres les plus hot. Garces aux bouches de feu qui m’ont consumées de  plaisir.

Mon sexe a grossi , j’ai commencé à le sentir en forme, turgescent, sa hampe c’est légèrement cambrée pour imprimer une douce courbure sur l’arrière, idéale pour titiller la parois du point G.

La corolle de mon gland c’est déployée pour se tendre dans l’air de la chambre donnant à mon chapeau cette forme caractéristique du casque de Dark Vador.


4343892986_8257480413.jpg



Voilà devant moi ce que je pourrai qualifier de sorte d’asperge, celles dures que l’on croque en été.

Je trouve ma bite assez jolie quand même. De couleur plus sombre que ma carnation naturelle, la circoncision donnant une pureté de forme , un less  is more d’une grande efficacité esthétique.

J’ai alors déployé le ruban du mètre, du pubis au méat, soit la distance de chair qui pénètre entièrement dans les orifices sexuels offerts par mes coquines à mon dieu priape.

Victimes sacrificielles de nos plaisirs partagés en une liturgie concupiscente d’un décadent  érotisme.

Première mesure,

Deuxième mesure,

je cligne d’un œil pour mieux repérer la marque du ruban atteinte.

Je pose le mètre je tire sur ma peau, ma bite se tend plus encore, de sa couleur  brune des jours de baise forte, je remesure, je recligne de l’œil.

Je tourne le mètre et le plaque perpendiculairement sur ma bite en son point le plus large, mais en réalité mon anatomie n’est pas conique mais plus rectangulaire, je n’ai pas de base large qui diminue mais une largeur constante jusqu’au gland.

Voilà les dernières mesures sont faites, je me reconcentre sur mon plaisir, ma main va et vient se rappelle ces fellations et branlettes qui me font tant tordre de plaisir.

 

tumblr_mmp4vjUFtr1r86wxuo1_400.gif


Mon autre main titille voir pince mon téton, arghhhhh que n’ai je une bouche au dessus qui coule pour lubrifier tout cela.

J’explose en soubresauts orgasmiques, ma semence se répandant d’autant plus abondamment sur mon ventre que je ne m’étais pas occupé de ma vidange depuis quelques temps.

Une chose molle et petite est affalée entre mes jambes, fini l’arrogante turgescence, place à une ridicule excroissance ridée bavant un filet.

Ah nous sommes peu de chose nous les hommes, être mené par un Janus , tantôt triomphant et superbe et tantôt ridicule.

 

PS

la taille ah oui ?


17cm

 

Une taille moyenne, mais pour un homme ce n’est pas la taille qui compte mais le plaisir que ces centimètres confèrent , ben oui faut être un peu égoïste , non mais …


PS 2


le vainqueur est CUI qui sans sucer l'avait mesuré pourtant je jure que je n'ai jamais baisé CUI , comme quoi les mecs matent en partouze ... 


 

tumblr_mmnzbc4cSe1rpgejjo1_500.gif



PS 3


remarquez je suis un ancien modèle , il parait que les plus récents diminuent en taille ...


http://www.topsante.com/couple-et-sexualite/sexualite/tro...

06/06/2013

Bientôt la vérité sur mon sexe ...

Teasing ....