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09/05/2013

Prise de tête


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(photo contractuelle)


Dans sa lettre à Georges Izambard, son professeur, Arthur Rimbaud écrit  « Je est un autre »  pour dire que parfois on est spectateur de ce que l’on accomplit sans même se rendre compte que ce qui se fait est le résultat du Je.

Sagement en retraite familiale, depuis quelques jours, je ressens au plus profond de mon être ce « Je est un autre ».

Relisant les pages de ce blog, j’en viens à me dire que c’est un autre qui les a écrites et plus encore vécues.

Alors que parfois je suis décontenancé à l’évocation sur une émission de radio de l’étalage autour du sexe, comment ce Je a t il pu vivre et écrire ce que l’autre indique dans ce blog.

Je serait il moi et Waid l’autre ?

En réalité il n'y a pas de dualité, Je et l’autre sont le tout de moi.

Ce moi est balancé entre une morale qui  a un regard réprobateur sur les actes de l’autre.

Et l’autre s’agace et s’interroge de ce regard conservateur.

Ambivalence de soi, cohabitation des Je qui crée un déséquilibre cause du mouvement.

Alors que l’un court vers la réalité l’autre n’aspire qu’à ne les fantasmer.

Je, vis.

L’autre, se meurt.

Mais je a besoin de l’autre pour exhausser ce sentiment de vie.

 

05/05/2013

Un Club de Bruxelles

 

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23h nous voilà quittant la grand place de Bruxelles et la brasserie de la maison du Cygne (crêpes flambées à la liqueur de mandarine à hurler de plaisir) pour le New Club Cocoon de Bruxelles 42 rue chaussée de Louvain.

Le taxi nous dépose devant le hall d'un club plein de jeunettes en mini jupes et talons haut perchés, minots autour, style le Loft, c’est une boite de nuit à ne pas confondre avec le club qui se trouve très discrètement dans la devanture d’un magasin anodin.

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Une porte de fer et l’attente devant une caméra, un couloir rouge,un petit meuble qui le barre, derrière nous un couple de trentenaires mimi, lui une barbe tressée, bab tendance Larzac bouddhiste , elle employée style d’institution européenne.


L’homme de l’entrée qui se trouve être le patron nous explique les modalités , nous demandant si nous avons l’expérience des clubs. Nous lui indiquons que oui pour ceux Français et demandons quelles sont les spécificités Belges. Les voici :

Le buffet est  gratuit avec vin et plats à volonté, en haut à partir de 23h il faut être en tenue légère, pas nus ( ni en serviette contrairement aux saunas Français mais les hommes enlèvent le haut et les femmes sont en dessous ) pour le reste rien ne change à part les boissons alcoolisées à volonté ( sauf le champagne).

Nous grimpons donc nous changer dans les vestiaires, après une douche pour effacer la sueur de la journée ( ben oui courir les stands d’une foire d’art ça fait suer ) nous voilà en petite tenue à découvrir le lieu.

1er étonnement la prostitution ne s’y cache pas, un vieux avec une jeune roumaine tatouée qui visiblement n’est pas sa maitresse, bingo je suis pas mauvaise langue, car avant d’aller dans le bar elle lui rappelle quelque chose, il sort les billets prestement mis dans le petit sac typique des prostitués ( enfin celles que j’ai vu lors de mon test de bordel à Berlin)

Le lieu est superbe, en bas une magnifique piscine sur fond de brique rouges qui ne dépareillerait pas dans un loft new yorkais.

Au niveau de la piscine donnant sur elle la salle de restaurant, avec un vrai buffet , pas les chicheries parisiennes, du vin de qualité à discrétion et gratuit de chouette desserts individuels , des cafetières du thés, une serveuse au corps de gymnaste et cul de black sert et dessert en petite tenue.les gens qui sont à table et qui sont en grande discussion existentielle sur le comportement de salaud des mecs ne sont pas trés engageants à notre goût, les hommes qui se défendent eux le sont carrément pas à ceux de mon accompagnatrice.

Au fond le fumoir, une autre salle avec un coin câlin qui se ferme , sorte de chambre zen avec bouddha et dessus de matelas en drap rouge.

En haut un bar avec canapés rouges, piste de dance en fond avec glace.

A l’étage coins câlins qui sont tous ouverts, larges lits.

Un lieu absolument magnifique.

Mais ce n’était pas le cas de la clientèle, franchement bof bof à part le couple qui était entré avec nous et qui semble t il, était venu pour la première fois était là que pour mâter, les femmes n’étaient absolument pas appétissantes ( sauf une serveuse ), plutôt plouc plouc comme ambience, visiblement les cadres européens ne fréquentes pas le samedi soir les clubs.

Nous sommes loin de l’ambiance des chandelles, je comprends le succès international de ce lieu (bon OK je suis un peu snob mais que voulez vous on se refait pas et depuis le temps que vous me lisez vous les savez)

Des hommes seuls (franchement moches sauf un littéralement happé par deux femmes, dommage pour ma coquine qui en aurait bien fait son samedi soir)

Nous allons en haut et nous commençons à jouer, un homme s’approche on dirait une grenouille avec ses verres très épais, il commence à toucher ma partenaire mais sa main n’est pas sensuelle, je lui fais signe que non, arrive un couple, elle en éclaireuse. Là de suite je dis non, même dans la pénombre rouge ils avaient un physique désagréable, j’ai du mal à bander, les gens  ne m’excitent pas, devoir surveiller qui arrive pour dire non n’est pas des plus érotique.

On se lève, dans la pièce à coté un couple en amazone un voyeur horriblement laid les scrute.

Nous cherchons à voir si le couple de l’entrée est joueur, ils sont accrochés au bar, visiblement aucune envie de leur part et puis nous ne sommes peut être pas à leur goût aussi ( on est toujours le laid de quelqu'un d'autre)

Nous allons donc, envie de baise oblige, dans le seul endroit qui se ferme de l’intérieur, près de la salle de restaurant. La porte bloquée, ma coquine se met sur le bord du lit et je la prend à cru, la hauteur est idéale, le lit parfait. J’ai bien aimé les vrais draps ( elle moins le plastique dessous). Une bonne baise, faut dire qu'il était presque minuit trente et que depuis 10h du matin c’était ceinture …

Quelques tentatives pour pénétrer qui ne nous ont pas dérangé.

Nos sens apaisés, nous allons siroter un verre au bar, musique moyenne, couples plus chauds mais vraiment pas à notre goût, nous filons , une envie de sodomie tranquille à l’hôtel nous prend …

En conclusion le lieu est absolument superbe, le patron super sympa et la nourriture incroyable, mais clientèle ce soir là pas à notre goût, à tester une autre fois ou à privatiser pour les lectrices de waid lors de la 1000e note


le lien du club 


Ah oui la sodomie de retour, humm parfaite.


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24/04/2013

Traumatisme d'alcove

 

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Alors que je remettais le couvert, la voilà qui était vite prise de possession, son orgasme montait, mes va et vient se faisaient réguliers et appuyés, elle allait succomber.

 
Ouf ma vigueur commençait à s'émousser, mon sexe n'était plus si dur qu'en reprise il faut dire que j'avais joui quelques minutes avant après de longs ébats.
 
Heureux que malgré ce, elle puisse prendre un pied d'autant plus fort que ses gémissements devenaient puissants, je me moquais du déclin de mes forces.
 
Le devoir d'amant allait être accompli.
 
Soudain en plein cris d'orgasmes, elle se redresse me regarde fixement et hurle 
 
"défonces moi, défonces moi ... vas y défonces moi encore plus fort"

Comment c'est pas fini !?!

remettre les gaz mais ma presque demie molle ne pouvait pas executer cet ordre.
 
faut pas exagérer quand même , on est pas des bêtes à os pelvien, disait mon regard interloqué à cette exhortation.
 
Frappée par l'expression de mes yeux plein désarroi, mon ordonnatrice partie en un immense fou rire.
 
Et comment ne voulez vous pas finir impuissant avec tout ça !

14/04/2013

Sentiment

 
J'ai le sentiment que les années trente reviennent ... danse au dessus d'un volcan ...
 
 
 
 

extrait wikipédia

 

La crise politique que traverse la France depuis la fin des Années folles débouche, à cause notamment de la crise économique, sur une instabilité politique.

La France des années 1930 est marquée par plusieurs poids qui l'empêchent de se développer politiquement, socialement et économiquement :

  • Une crise politique : l'instabilité notoire des gouvernements de la Troisième République (en moyenne un gouvernement tous les six mois) entraîne une certaine défiance vis-à-vis de la classe politique en général. Le non-renouvellement de cette classe politique, son implication dans certains scandales politico-financiers particulièrement retentissants (Affaire Stavisky en 1934) discréditent le pouvoir.
  • Une crise sociale : le choc de la Première Guerre mondiale a du mal à se résorber. Le poids des anciens combattants, la brutalisation des hommes pendant la guerre, une certaine déprime collective et un Malthusianisme généralisé figent la société, sans vitalité démographique. La société évolue également vers une société de masse, plus urbaine (la barre des 50 % de population urbaine est franchie en 1931). Le monde paysan a du mal à se moderniser, faute d'aides financières. La protection sociale est très peu développée.

Toutes ces tensions, aggravées par l'arrivée de la crise mondiale en 19311, font se développer une contestation politique importante.

10:36 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (5)

01/04/2013

Un sex toy jamais inventé

Alors que je parcourais les rues de Londres me vint une vision dans la chaleur de la couette.

Il me fallait faire fortune pour que je puisse continuer une vie de voyages , d'oisivetés et de beaux endroits.

Hélas, mon talent n'est pas dans l'argent , et si le temps c'est le l'argent je n'ai plus envie de le gaspiller à le gagner.

Il y a bien la chance et le loto mais cette catin ne s'est jamais donnée à moi et je crains de n'attendre trop longtemps cette hypothétique corne d'abondance pour que ma corne en soit flétrie avec les années passées d'esperer.

Il me fallait une idée et celle-ci me vint comme une vison d'évidence.

Pour mieux la comprendre, Je dirais cette idée me vint alors qu'accroupie devant une croupe offerte et ouverte de la perspective de nos ébats , j'y avais enfoncé un gode.

Celui-ci bien au fond me voilà à lui dire que j'allais lui faire découvrir une simulation de double pénétration.

A ces mots j'entre dans son sexe occupé qui se dilate doucement pour m'accueillir, j'y arrive comme dans la chambre d'une pucelle, étroite et surchauffée.

Commencent alors mes vas et viens et ses hurlements de plaisirs, décuplés par ce sentiment d'être si emplie et dilatée.

Pour ma part, ses chaires tendues et le frotement sur le plastique du gode me donne un plaisir intense.

Et alors que ses mouvements se font de plus en plus croissants pour exploser en un orgasme bruyant, le sexe vidé mon cerveau comme libéré me donne l'idée qui va faire de moi un milionnaire.

Personne n'a inventé un réducteur de chatte, pour la rendre plus fermée, plus étroite, plus réceptive et en même temps pour lui donner l'impression qu'elle est prise par une bite king size XXXL qui la dilate à l'en faire hurler.

un objet qui ravirait hommes et femmes.

Les femmes pourraient s'imaginer prisent par des queues de géants 

Les hommes retrouver la pucelle qu'ils ont connu avant que leur vieille compagne ne perdent leur virginité et leur étroitesse.

Enfin un sex toys qu'apprécient autant monsieur que madame.

une ode à la double pénétration sans l'adultère qui va avec en quelque sorte.

 

Voilà comment j'imagine l'objet: un gode classique en matière douce, coupé en deux dans le sens de la longueur , là le corps , appelons le : "verge " sera incurvé vers le bas comme une chatte,

c'est sur cette partie que le sexe de l'homme frottera et poussera l'objet dans la chatte.

Celle-ci sur la face haute sera au contact de la verge de l'homme. c'est donc avec la verge de l'homme que le point G sera excité.

la chatte est totalement occupée et même opprimée du volume des deux "verges", elle se libère au retrait de l'homme mais reste encore occupée, les va et viens sont des accroissements ou décroissements de pression sans jamais qu'elle cesse totalement.

de l'autre coté l'homme se sent à l'étroit il est comprimé par cette chatte ce qui accroit sa bandaison et son plaisir.

il sent les parois du vagin mais son frein frotte sur la partie incurvée et inervée du gode ce qui augmente ses sensations.

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bon je ne sais pas manier photoshop il faut donc imaginer totalement l'objet.

 

 

18/03/2013

Colloc

 

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Va falloir que je trouve une colloc ... 

colouer un baise en ville cela vous dit ?

pas de jours de roulement ,

une partouze en cas de surbooking

15/03/2013

Habemus Papam



J’ai fais un rêve étrange.

j’étais le majordome du pape, et je le levais le matin.

En tirant sa couverture, j’ai vu qu’il avait la trique …

Que cela signifie t' il ?

 

10/03/2013

le désert des Tartares


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Alors que je suis en train de lire Le Désert des Tartares, roman parabole de l'existence humaine qui n'est qu'une vaine attente vers la bataille ultime, la mort, et que notre vie n'est que le dérivatif pour oublier cette inéluctable rendez vous, je m'aperçois que cette vie dont vous n'avez à lire que la facette coquine, est peut être si pleine pour ne pas comme le capitaine Drogo, m'apercevoir que quand l'heure viendra, demain ou aprés demain, je ne me retourne vers le vide d'une petite vie où le temps se serait écoulé sans ces accelerations qui vous font vibrer qui vous donnent de l'adrénaline qui vous titillent le désir.

Buzzati a raconté les circonstances très quotidiennes qui, en 1939, firent germer en lui l'idée du Désert des tartares, alors qu'il travaillait comme chroniqueur dans le microcosme routinier du Corriere della Sera.

Pendant une certaine période j'y ai travaillé de nuit, à un travail de routine. A côté de moi, il y avait des collègues qui avaient le même âge que moi, mais la plupart étaient plus vieux. Quelques-uns même avaient déjà beaucoup d'ancienneté. Tous, évidemment, dans leur jeunesse, avaient espéré pouvoir faire quelque chose de plus brillant ; ils avaient espéré devenir envoyés spéciaux, par exemple, c'est à dire faire de grands reportages, voyager à travers le monde, etc….. Et puis, peu à peu, ils s'étaient fossilisés là, dans la rédaction, renonçant progressivement à leurs espoirs. Et cette grande occasion, que probablement chacun d'entre eux avait espérée, peut-être sans s'en rendre compte, était devenue de plus en plus lointaine, et s'était complètement évanouie. Cette monotonie du travail m'a fait penser à écrire une histoire où serait résumé le destin de l'homme moyen, de l'homme qui espère en cette grande occasion, qui fait tout pour la faire venir.…Et cette occasion apparaît, il semble qu'elle soit sur le point de se concrétiser, et puis elle disparaît et s'éloigne. Ou bien, quand elle arrive, il est trop tard pour lui. Un de mes amis disait " Tout arrive, dans la vie. Cependant, mal, tard, et en partie ". 

Dans le Désert des tartares il y a la mise à jour d'une anxiété latente face à une existence atrophiée et chacun se demande s'il en sera toujours ainsi, " si les espoirs, les rêves inévitables lorsqu'on est jeune s'atrophieraient petit à petit, si la grande occasion viendrait. "

Heureusement je fais mes gammes de désirs et de rêves pour ne pas que ma machine à espoir s'atrophie.

En attendant comment vais je faire pour bosser demain alors que l'intérimaire du bureau, arrivée jeudi,  superbe black au petit cul rebondi, à la poitrine pointue et au minois coquin hante mes idées coquines  ?

No sex at work parait il ... vais je tomber dans le clicher du boss qui couche avec sa secrétaire ?

 

20:00 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (7)

28/02/2013

Le sage ou le cochon ?

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Il y a deux hommes en moi, l'humaniste sensible , absolument horrifé par le fait qu'une femme séduise un homme , couche avec lui pour en faire un sujet de livre à sensation ( j'aurai préféré une vraie étude , profonde, sensible mais sans concession) 

Et puis le curieux qui brûle d'envie de savoir les cochonneries de DSK.

Qui va l'emporter le sage ou le coquin ?

vais je craquer et acheter le livre ?


25/02/2013

A peine quittée qu'elle me manque déjà ...

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(photo contractuelle)

 

Je ne pensais pas que c’était possible mais me savoir éloigné d’elle pendant 6 mois me rend triste. Comme amputé d’une moitié de moi,  merde !

Je ne vivais avec elle que depuis janvier et encore quelques jours par mois, volés d’une vie éloignée d’elle et déjà je ne puis plus m’en passer.

Pourquoi ai je accepté ?

Un psychiatre interrogé me répond «  acte de repentance » comme si je reniais le passage à l’acte de sa possession, en me privant d’elle pendant 6 mois.

Voilà c’est fait, j’ai confié les clefs de ma garçonnière pour six mois et j’ai perdu la vue du Sacré Cœur pour la même période.

Me revoilà un SDF à Paris ...

 

04/02/2013

After work

 

La photo n'était que temporaire ...

 

 (photo contractuelle)


et voilà je réponds au gage ...

29/01/2013

Réflexion Cul Cul

La photo n'était que temporaire ...

(photo contractuelle)

 

On me dit que dans un " plan cul ", on appelle, on baise, on se tire, on téléphone pas , on écrit surtout  pas

je crois que je n'ai jamais eu de " plan cul " alors

sauf dans un club libertin ou une partouze bien sur

et encore j'ai toujours écrit sur le blog ensuite ...

allez je me remets à l'écriture promis

16/01/2013

panne

 

 

 

Malgré un beau stylo acheté à noël ma plume est sêche ...

 

14/12/2012

métrosexuel



Une crême de nuit pour la nuit, des gouttes de nuit et une pommade de jour pour les cernes noires

 

Depuis que je couche avec une employée de clinique esthétique mes jours et mes nuits sont métrosexuelles

08:09 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (8)

01/12/2012

Mon premier émoi sexuel 1981 excalibur

EROS et TANATHOS

 


21:37 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (6)