15/10/2012
Genre sexuel
suis je une LESBIENNE enfermée dans un Corps d'homme ?
13:24 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (11)
09/10/2012
Question / Réponse
Dis moi, Waid, qu'est ce que tu me feras si je viens chez toi ?
hummmm ...
je t'enlèverai la culotte
je te dégagerai la chatte
je t'exciterai
avec mes doigts
ma bouche
dans tous les replis
puis je te fesserai
quand les fesses seront brulantes je jouerai avec ton cul
puis quand il sera à point je m'enfoncerai
et alors
je te
prendrai
toute la nuit
en jouant de toutes les façons
jusqu'à ce que n'en pouvant plus
j'hurle et me vide
et dans 15 jours tu me rappeleras
pour qu'on se revoit en urgence ...
car nous serons parent ...
OK j'annule waid ...
22:55 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (29)
30/09/2012
Pénis-centrisme
j'ai été très satisfait de ma bite ce week end
tendue à en éclater, énorme et dure comme du bois du début jusqu'à la fin de chaque ébats.
elle m'a donné un immense plaisir partagé
un peu d'auto satisfaction pour l'en remercier
ben quoi !?! aimer sa bite c'est trés masculin non ?
22:48 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (19)
17/09/2012
Verbatim d'un Week end
Vendredi
12H45 je saute du TGV, rendez vous avec un contact FB à la butte aux cailles
13H15 on me saisi par le bras , c'est elle, petit papotage autour d'un café
14H embrassades et je file à coté pour voir des stores pour ma future garconnière. Ben oui il y a des moments où il me faudra de l'intimité même si mes voisins sont un délicieux couple Gay aux profils de camionneurs qui cultivent des cactus sur le balcon.
15h rue du renard c'est un tapis que je commande
16H30 belleville mes deux copines la veille lors du vernissage m'avaient retenu une oeuvre alors que tout le monde s'arrachait l'artiste. étant un peu ivres je craignais leurs jugements, erreur c'est la plus belle pièce , rapide négo, me voilà l'heureux propriétaire d'un jeune artiste qui promet .... je suis aux anges, on jouit de tout que voulez vous.
18h30 le galeriste me prend en taxi il veut discuter et me demander des conseils, je me retrouve à St Germain des prés.
Le téléphone sonne m'a logeuse, on se retrouve à luxembourg. Embrassades et verres de vins au Rostan, deux verres de St Emilion dans le gosier. Il fait faim, on s'achète des gâteaux chez Daloyau et un cornet de frites belges prés du panthéon, il fallait essayer cette nouvelle adresse. Place de la sorbonne sur le rebord de la Fontaine on s'enfile les frites.
20H30 direction le 12e , 5 étages à pied vite déshabillé, on se fait les gâteaux puis me voilà jambes relevées à subir une feuille de vigne préparatrice, elle veut me faire le cul et sort son gode ceinture, " je vais t'y chier dessus si tu me fais mal" ok je suis pas poétique mais on rigole.
waooouuuu on a fait plus que rigoler , nos jambes sont du coton.
22H30 cul ouvert, bite soulagée, jambes qui flageolent et douche réparatrice on file dans le marais pour boire un verre chez Candelaria , c'est plein, on va au Murano, c'est fermé, on prend un taxi et direction de crillon.
23H le cocktail est délicieux, crillon rose: vodka, sirop de roses et airelles pour moi hummmm , strawberry fizz pour elle, divin, la salle est amusante que des américains, un couple de jeunes français , elle est sur un nuage, monsieur va baiser une furie ce soir. le serveur ébouillante une cliente ...
24H30 on rentre métro cinq étages, à poil au lit
00H une envie, on reprend, mais cette fois ci plus classique, enfin ... je termine en lui baisant la bouche comme si j'étais en missionnaire , elle avale la moitié le reste gicle partout, trop drôle on dort dans l'odeur du sperme.
samedi
1h30 on dort ...
8h15 je bande ... elle le sent m'enfile une capote , m'enfourche et nous jouons, délicieux son massage des pieds pendant qu'elle monte et descend sur moi, au bout d'un certain temps je change de position la place sur le dos jambes trés relevées et joue avec sa chatte, je jouis et m'endort, elle aussi
10H30 réveil et trique nouvelle nous en profitons, partie de jambes en l'air, levrette, bref une belle baise
11H30 faut se lever ... elle passe ses coups de fils, je fais des ciseaux, douche, rasage hop frais et dispo on file dans le marais manger des empanadas argentins rue Saintonge.
12H30 une bière et 4 empanadas
13H mon téléphone sonne l'entrepreneur sera là vers 14H30
13H45 on quitte le restau et on fait quelque boutiques, j'adore découvrir celle d'ACME, puis nous nous quittons je vais à l'appt rue amelot.
14H30 dans ma future garçonnière vue sur les toîts des Paris, RDV travaux , ça avance bien, je suis ravi mais ruiné ...
16H30 je retrouve ma logeuse dans un bar, direction un magasin de sanitaire à bastille, pour récuperer un robinet de douche.
17H il y a du monde , revenez dans une demie heure
17H30 on boit un café à maison rouge, partage d'un cake aux pistaches et framboises
18H retour au magasin ils trouvent pas le robinet, on retourne à la garçonnière à pied pour qu'elle voit les travaux
19H il faut que je file rue Quincampoix pour un vernissage, on s'arrête rue charlot pour essayer un manteau, on boit un verre dans un bistrot un artiste vidéaste me regarde , j'aime pas son travail je ne lui dit rien.
20H rdv galerie , la directrice m'offre un verre, une connaissance, curatrice apparaît, on papote, une autre amie arrive, bref je suis en pays de connaissances, on discute , parle avec l'artiste américain
21H direction la rue de la Fidélité pour le restau la Fidélité, lieu branchouille pour le repas de vernissage, au menu que du léger, foie gras , sourie d'agneau, pain perdu, vin du languedoc. Franchement moyen.
21H30 on est une trentaine A ... m'a placé à coté d'elle en face le big boss de New York, on parle en anglais haie .... suis pas à l'aise quelques verres de vin et ça coule tout seul, une somptueuse indo-black est à coté du big boss on discute, elle vendeuse d'art codirectrice d'une galerie de NY qui vend un pollock ... elle m'invite pour demain à la biennale des antiquaires en me disant qu'elle a des pass , je lui indique que je ne pourrais pas , dommage elle est arrrgggghhhh , mais elle a quelque chose de belle américaine qui ne pense qu'au business. ( confirmation dimanche soir à 22h , je lui envoi un mail pour lui donner mon adresse elle y répond à 23h ... putain les amlerlock sont pros)
A... nous rejoint on papote art, appartement, elle me glisse quelle a fait ses cartons et tourne 16 ans de vie commune, ses yeux rougissent
Je discute avec une autre galeriste de NY elle m'invite , sa galerie est jeune et dans un des coins les plus branchés de NY , je lui dis que j'envisage de venir à Pâques pour la foire de NY
la curatrice vient discuter avec moi , me dit que je devrai m'impliquer pour aider le musée de ma ville dans le choix de leurs achats , je lui indique que je ne souhaite pas jouer les celui qui sait ... en fait j'ai pas envie de dire à des gens que je connais que je trouve leur choix pas pertinents ou trop franco français , qu'ils faut qu'ils sortent de leur bulle , bref de jouer les celui qui donne des leçons.
discussion avec le big boss de NY sur le fameux James Ensor, toujours pas vendu, il me dit qu'il fait des facilités , je rigole et lui dit qu'à moins de crédit pendant 30 ans je peux pas, il en rigole et me dit qu'il sera heureux de me voir à NY en me tendant sa carte, la belle Indo-black se lève et me tend aussi sa carte ... j'ai son nom, elle est vraiment superbe dans sa robe diane de fustenberg ... mais c'est pour du poisson milliardaire ...
tout le monde se lève , A ... a enfilé son imper, et me dit qu'elle rentre car trop fatiguée, ce n'est pas son habitude , nous marchons un peu ensemble dans paris, on discute de choses anodines, je ne la sens pas prête pour que je la touche et que les chôses soient plus intime entre nous, on se sépare , elle m'embrasse d'une telle façon que je pense avoir bien fait de ne rien avoir tenté, trop tôt, amusant quand même , elle m'envoie plein de signaux mais semble aprés distante, elle n'a pas fait son deuil de son couple ... on verra bien ... waid and see, en fait je m'interroge pourquoi s'embarquer dans cette histoire ?
Dimanche
1H30 cinq étages , je me déshabille et me couche, ma logeuse se colle contre moi, " alors ? " " rien", pas envie de faire l'amour, sexe et sourie d'agneau sont incompatibles, je sais pas comment font ceux qui invite leurs conquêtes à de gros repas.
10H30 réveille et hop on reprends les galipettes, elle hurle encore une fois, heureusement que la voisine est en argentine, tiens fait elle les empanadas la voisine ?
12H On quitte l'appartement
12H30 repas léger, à deux au soleil, lotte et riz pas de dessert, plus d'alcool
14H mon TGV
je m'ennuie dans le train lecture de la vie à Montparnasse et l'argent de Bourgeade, libertin qui croit dévoiler de choses extraordinaires car il parle de partouzes et de shibari ... Retour à Paris dans 15 jours ... une transgression en vue ... les week-end parisiens calmes comme celui là cela va un temps ...
10:07 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (24)
31/08/2012
La rentrée ...
J'ouvre mon placard, et trouve en fond de câle, sous les chaussures , mon vieux cartable d'étudiant, cuir craquelé mais nostalgie garantie.
Il y a encore l'étuis à cigares qui contenait mon plume.
J'y ajoute un carnet à petit carreaux comme du temps de mes universités.
Me voilà prêt pour ma rentrée, lundi.
Au programme :
une expo d'un fétichiste
les mémoires d'un dépucelage d'un couple novice
des questionnements erotico existentiels
du sexe de groupe
des timidités
et bien d'autres chôses qui me passeront de la tête au clavier
10:59 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (19)
11/08/2012
summer vintage : et l'amour ...
( photo L Singuliére)
- Et l'amour pour vous qu'est-ce donc ?
- L'amour est un trop vaste continent pour le décrire et lui en donner imagination.
Ce continent, dans sa forme passionnelle, m'a jusqu'à présent été inconnu. Certes je l'ai frôlé, mais jamais foulé.
Un jour peut être je croiserai celle pour qui mon existence tendait et qui n'a été que parenthèse en l'attendant.
Alors l'évidence se fera, je ne penserai plus qu’à elle, mes pensées seront elle.
Son âme enveloppera mon corps de cette beauté divine qui est en nous.
Telle la cible de cupidon, je serai transpercé.
Sera t elle, blonde, brune ou rousse ?
Sera-t-elle jeune, ou jolie ?
Peu importe. Elle sera tout et me suffira, elle sera souffle et m'emportera.
Alors mon corps s'enflammera, mon cœur se consumera.
Mon manque sera comblé.
Le plaisir de séduire et d'être séduit cessera dans l'ataraxie de cette passion.
Mais "Amour" est un mot sacré que l'on ne peut souiller avec des amourettes.
Les mots sont trop précieux pour les galvauder.
Je ne charme jamais dans le registre de l'amour pour mieux préserver sa force.
Aussi s'il vient un jour à moi, il sera vierge de son prononcé.
Il sera don et non prière.
00:32 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (68)
10/07/2012
le plus dur c'est la rentrée ...
Ce qu'il y a de terrible avec les vacances c'est les rentrées.
Quelques jours pris, heures de voyages, d'art et d'un peu de coquineries, pour des heures à rattraper le retard du bureau, les angoisses des gens.
Le soir venu les factures et autres papiers domestiques pour amusement.
Mais quand aurai je le temps et la disponibilité pour coucher sur le papier mes coucheries et découvertes ?
J'envisage de vous faire part de mes découvertes en art avec un curieux fétichiste exposé à Berlin, vous racontez ma visite dans un bordel de la ville et le sacrifice de ma personne pour vous en donner un reportage complet, puis les caves parisiennes où les femmes sont suspendues à des crochets par un italien dominateur.
Enfin faire part des toujours exceptionnelles nuits que procure la descente dans les caves des chandelles.
à moins que cela ne soit le lapin posé par un libertin pour un apéritif.
Bon maintenant que j'ai annoncé , va falloir écrire ... quand je vous disais que le plus dur dans les vacances c'était la rentrée.
08:58 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (32)
24/06/2012
confession
« Avec l'amour maternel, la vie vous fait à l'aube une promesse qu'elle ne tient jamais. On est obligé ensuite de manger froid jusqu'à la fin de ses jours. Après cela, chaque fois qu'une femme vous prend dans ses bras et vous serre sur son cœur, ce ne sont que des condoléances. On revient toujours gueuler sur la tombe de sa mère comme un chien abandonné. Jamais plus, jamais plus, jamais plus. Des bras adorables se referment autour de votre cou et des lèvres très douces vous parlent d'amour, mais vous êtes au courant. Vous êtes passé à la source très tôt et vous avez tout bu. Lorsque la soif vous reprend, vous avez beau vous jeter de tous côtés, il n'y a plus de puits, il n'y a que des mirages. Vous avez fait, dès la première lueur de l'aube, une étude très serrée de l'amour et vous avez sur vous de la documentation. Je ne dis pas qu'il faille empêcher les mères d'aimer leurs petits. Je dis simplement qu'il vaut mieux que les mères aient encore quelqu'un d'autre à aimer. Si ma mère avait eu un amant, je n'aurais pas passé ma vie à mourir de soif auprès de chaque fontaine. Malheureusement pour moi, je me connais en vrais diamants »
(Romain Gary, La Promesse de l'aube).
Je fus un enfant aimé, trés aimé et pourtant pas un fils unique cet amour vous nourrit, vous rend fort, vous arme pour la vie, mais il crée aussi une dépendance, une fragilité ...
10:34 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (33)
22/06/2012
Hallucinations
Au noir de mes nuits, par cons et par queues,
je vogue vers les horizons polissons, où les matelots baisent les sirénes des chants d'orgasmes.
Au noir de mes nuits dansent mes visions de cons et de queues.
Orgie des sargasses, partouzes subaquatiques, où nagent les femelles dans la semence du ban.
le brouillard de vie féconde les flancs poisseux, ivrent de vie.
De Pales en râles de hue à dia
ma queue se fraie un chemin dans les corps accueillants.
Les fluides fluxent, la chair turgète, les corps s'emmèlent.
Un doigt, un gland, une langue, un sexe, un cul, une bouche.
Claques, caresses, excés d'ivresse
masse mouvante, reins qui s'agitent au son des halètements.
Au noir de mes nuits mes rêves me hantent et me tentent ,
en ces heures trop calmes pour ma tempête hormonale
j'ai envie de partouzes ...
08:39 Publié dans DIVAGATION, ENVIES | Lien permanent | Commentaires (12)
14/06/2012
tout disparait
Il y a des modes qui vont et qui viennent, dans les années 70 on été poils , plus maintenant.
le percing au nombril disparait ne trouvez vous pas ?
13:59 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (13)
05/06/2012
dandynerie
(contractuelle north face goretex & chaussettes double peau)
Avant j'ignorais, ne savais point, j'avais des préjugés
j'ai enfilé
et j'ai marché vers la montagne
le but n'était pas important
seul le chemin comptait
et mes pas scandaient mes pensées
qui se sont révélées
maintenant je sais
maitenant je n'ai plus de péjugés
QU'EST CE QU'ON EST BIEN DANS DES CHAUSSURES DE MARCHE !
juste un probléme
mais de taille
on y est si bien que je veux les porter en cocktails
vais je lancer la mode de north face avec un costume ?
08:27 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (30)
13/05/2012
Révélateur d'émotion
Il m’a toujours semblé que lorsque je vivais les choses elles étaient moins puissantes que quand je lisais ce que j’en avais écrit, un sentiment étrange se dégageait de ce hiatus. Comme un parfum de falsification, si mes mots rendaient à mon esprit ces instants plus forts, ces mots étaient ils sincères ou vrais ? Et ces instants avaient ils eu vraiment cette force ?
Pourtant je n’ai jamais eu l’impression de mentir ou d’enjoliver alors pourquoi ce sentiment ?
Henry Miller dont je lis un entretien m’en donne l’explication. Il dit qu’il puise une joie sensuelle à revivre une expérience, peut être même une joie accrue et d’expliquer, me donnant ainsi la clef de mon malaise.
« On goûte plus vivement, on ressent plus vivement les choses, il se peut qu’on mente un peu … l’important est moins de rendre exactement ce qu’il est que de faire respirer l’ambiance, l’aura de l’évènement.
La première fois qu’on fait quelque chose, on-en est pas conscient, on ne se regarde pas dans le miroir. Ensuite écrire c’est exactement comme de se mettre devant la glace et de se regarder recommencer la chose. On se penche sur son moi quand on écrit. C’est la différence entre un acte conscient et un acte inconscient. »
En écrivant on revis et on est autre, on est dans l’instant et on s’en élève, on peut donc à la fois être factuel mais aussi sensible, d’où cette différence.
Ce que l’on écrit on la réellement vécu mais sur l’instant ce vécu était noyé dans l’action, dans l’inconscience de celle ci plus exactement.
En posant des mots, on dégage de la gangue de l’action le fil des ressentis, en cela la lecture en est plus sensuelle.
A la relecture on revit et ressent, la mémoire et la conscience.
Voilà pourquoi Henri Roché écrivait " ces carnets débordent ils sont pleins - quand j'en relis j'ai l'impression d'une vie effrénée, tandis qu'en vivant j'ai toujours celle d'un calme lent, à part des moments d'activité fiévreuse"
Ce blog est comme le sel d’argent sur le papier photographique, il révèle l’image de ma mémoire et par l’art du tirage y apporte l'art de ces instants.
11:19 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (13)
06/05/2012
Confession
Comme un alcoolique honteux qui cache son état,
je suis un désabusé qui cherche à chasser la clairvoyance de son regard dans l’ivresse du désir
Je cours pour me prouver que je me trompe
Marathon où je lutte pour ne pas abandonner malgré les chutes de mes audaces de confiance
Me relever et recommencer pour ne pas sombrer
11:33 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (11)
25/04/2012
Masochisme
« Homme sadique cherche maso «
A cette annonce elle avait envoyé les photos de ses fesses martyrisées, chef d’œuvre de scarification avec ce mot : « Il m’a quitté , la douleur s’en est allée, elle me manque en seriez vous capable ? »
Café, place Palais Royal, j’attends. Elle arrive, visage diaphane de blonde sage, une tenue passe partout et une lassitude dans son regard délavé. L est clerc de notaire. Elle s’ennuie à rédiger des compromis de vente et s’ennuie encore plus à voir les jeunes hommes de son âge qui tentent de la séduire. Elle n’aime ni le sexe alcoolisé en déshynibateur, ni les jeux vidéos, ni les coups de reins en pornos mal digérés.
Définitivement classée comme asexuée par ses connaissances masculines, elle cache un amour pour la douleur né des punitions de son père.
Me ferez vous réellement mal ? Je n’aime pas les amateurs me dit elle, j’aime la souffrance lente qui monte et qui me tourne les sens.
Je suis averti, rendez vous pris deux semaines plus tard.
Même air doux et résigné. Ses habits tombent à ses pieds. Ses marques ont presque disparues, page blanche pour les maux que je vais y apposer.
La pièce est vide à l’exception d'un fauteuil de cuir au dossier carré.
Au plafond deux crochets et des liens qui y pendent.
Elle marche pied nu sur la tomette, et se dresse devant moi, son regard s’éclaire, il est presque crâneur, mes doigts se crispent sur la trousse noire que je tiens ...
( à suivre ...)
21:55 Publié dans DIVAGATION, ENVIES | Lien permanent | Commentaires (25)
23/04/2012
Curiosité New Yorkaise
( à monsieur pseudo ce n'est pas ma photo
à mes lectrices je n'ai pas l'adresse mail du modèle)
Si paris est une ville de plaisirs, londres une ville d’excentricité New York est la patrie du paraître.
Nul par ailleurs hormis à Tokyo les looks sont aussi recherchés et pointus.
Le New Yorkais branché la trentaine porte
Une coupe avec mèche
Une barbe
Des lunettes présentes noires
Une chemise
Un gilet ou une veste
Un jean ou un chinos avec bas retroussés et pantalon très relevé
Une paire de chaussures pas géniale en principe
Certain une bite en plastique molle pour donner l’illusion d’une présence d’importance dans le pantalon
En effet, vu dans un sex shop de New York des sexes d’hommes au repos en plastique mou, curieux j’ai interrogé la vendeuse sur leur usage, elle m’a montré les slips qui permettent de les porter sous un jean; ça donne de la présence m’a t elle dit.
Je suis pas assez bon angliciste pour lui avoir demandé si quand le slip tombe l’éclat de rire est assuré.
Le plus incroyable est que j'ai vu aussi ce type d'appendice en petite taille, à ne rien y comprendre.
21:20 Publié dans DIVAGATION | Lien permanent | Commentaires (16)