22/04/2019
Nuit cauchemar
"Non s’il te plaît, je ne pourrais rien faire tout à l’heure."
Ignorant ma supplique ses doigts défont les boutons de ma braguette et dégagent mon sexe.
"On avait dit que nous allions au club ce soir, je n’aurais plus de force."
Ses yeux brillent et elle m’embouche, suçant avec une langueur aphrodisiaque, mon sexe se dresse orgiaquement,la bougresse est efficace. Elle branle, suce, mordille, enfonce, suffoque me laissant au bord de l’extase.
Au bord seulement, soudain devenu raisonnable, elle m’épargne, me lâche, s’alanguit sur le canapé. Ses yeux brillent à nouveau.Non n’est pas raisonnable, je le vois.
"Je n’aurais plus de force pour la soirée, on doit y aller, c’est dans une heure à peine, on doit passer chez toi pour prendre une robe et des talons, s’il te plaît ?!"
Elle se tortille, tombe le pantalon, le string, se touche, et me dit viens
Je suis gourmand, j’obéis et m’enfonce en elle, ouf de soulagement, ses yeux s’apaisent. Commence mon va-et-vient .
Tricheur je n’épargne, baise sur le canapé soft, coulante, profonde, petits coups rapides, puis plus profond et rapides, puis lents je joue de mon sexe et l’emporte rapidement jusqu'à l’extase. Je stoppe là, toujours l’envie de me garder frais pour ce soir.
Sur le canapé nous devisons, elle me dit qu’elle a mal au ventre, je m’étonne, je n'ai pas été fort,j’ai même joué petit bras pour m’épargner.
"Une fois avec Hervé l'un de mes amants" ( blogueur mythique du temps d’une blogosphère qui n’existe plus.)
"j’ai eu mal à l’utérus après une baise mais Hervé était très bien membré et insatiable."
Je rigole, sa récente période amoureuse et exclusive, l'aurait donc rendu plus sensible et plus étroite pour que nos ébats si soft, lui fassent l'effet de Hervé .
"J’ai trop mal, si ça t'ennuie pas on ne sort pas ce soir "
"non bien sûr, tu vois j’avais raison il ne fallait pas être gourmand et se réserver" Demi triomphe de la raison, défaite de la concupiscence.
Plus tard dans le lit, si ma raison a peut être triomphé, ma concupiscence hurle sa frustration.
Ma main commence à jouer, elle me rejoint, c’est à moi d’avoir les yeux qui brillent et réclamer de me faire jouir plus intensément.
Ses doigts rejoignent mon fondement et une décharge électrique parcourt mon dos.
Mes reins se soulèvent et ondulent de plaisir. Elle joue de mon point G comme d’ une sonnette.
Je monte et descends, venant sur ses doigts, gémissant, sa bouche me prend, c’est l’extase, j hurle, elle me libère et m’empoigne, de longues giclées s’échappent de ma bite qui éructe.
C'est violent, intense, abondant.
Sa nuit à mes cotés est agitée, elle a mal.
Dans la nuit je l’entends se lever, plutôt rouler par terre, j’allume et lui demande si cela va. Elle s’est glissée aux toilettes, je me lève et rejoins.
Je la trouve assise sur la cuvette, les jambes tendues, les bras le long du corps eux-mêmes tendus, les yeux fermés, la tête renversée ne parlant plus, corps affaissé, morte ?
Je me place devant elle, nu comme un ver, lui parle, elle ne répond pas, ses yeux sont clos mais elle respire.
Je lui prends le visage, elle est d’une blancheur que je n’ose qualifier de cadavérique. Un râle, sa tête tombe en arrière, elle se tétanise, ses bras se figent et son corps aussi, elle est comme debout mais en travers sur les toilettes.
À l’évidence elle part, un malaise, une crise cardiaque, un AVC, je ne sais pas, une gifle pour ne pas la perdre, peine perdue, elle est figée, ses yeux sont clos, sa tête rejetée en arrière, lourde.
Je ne sais si elle vit encore, et la tiens pour qu'elle tombe pas, je ne peux plus voir si elle respire, elle ne bouge plus, ne réagit plus à mes suppliques, baffes pour tenter de la réveiller.
Blanche !
Une immense chaleur monte en moi, un mot d’évidence apparaît, morte.
Mes jambes ne semble plus me tenir, situation horrible, je suis là nu enjambant une femme à poil, positionné mes WC, morte.
je cherche du regard mon téléphone, appeler pompiers, la police ? mon Dieu elle est morte, cette idée est comme une lance dans mon estomac.
le temps est suspendu, figé, mort lui aussi.
Ses doigts bougent un peu, non elle n’est pas morte, je l’appelle, la tapote, sa tête bouge, elle se redresse, marmonne des mots incompréhensibles, ouvre les yeux, et d’un regard étonné me dit :
"Qu’est-ce que tu as, ton regard est affolé"
"Mais tu as perdu connaissance, j’ai cru que tu avais eu une attaque, que tu y étais passée !"
"Je sais pas, je me suis levé, je suis tombé, c'est tout ce dont je me souviens"
Je la porte sur le lit et lui donne un verre d’eau, nous décidons qu’au matin nous appellerons le SAMU pour une consultation gynécologique d’urgence, elle va mieux, nous rigolons de ce que les pompiers auraient pensés s’ils étaient venus.
Un taxi, l’hôpital Lariboissière, service des urgences gynécologiques
Fiche médicale de Mademoiselle ….
Hôpital Larriboissiere
Patiente ayant fait la nuit précédente un malaise vagal, suite à douleur, présentant une rupture de kyste ovarien mise sur surveillance 24 heures pour vérifier qu’il n’y a pas d’hémorragie interne–vérifications faites pas d’hémorragie–ressortie sans traitement
Agenda de Monsieur Waid
Samedi soir x
nuit cauchemar
21:41 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (5)
19/02/2019
Nuit Boulogne la question
-
Haut de Seine, Boulogne, Avenue marcel Dassault,Au sous sol de la maison d angle
1h du matin,
Au surlendemain de la saint Valentin
Après hermann au corps d athlète noir
Après la brune au doigts du diable
Sur un lit
Elle, moi, lui dont on ne connait pas encore le prénom.
Elle hurle à ses 19 cm de tourments
Amant et amantes déments
Spectateur je soutiens sa tête comme un secouriste assiste le mourant
Elle jouis, gueule, défaille
Son visage est beau des grimaces de jouissances
Son regard part loin, petite mort au champs d orgasmes.
Quand elle rejoint le monde conscient, elle répéte en boucle entre le mantra et la question :
"Suis je une salope ?"
Au dessus de son corps mon regard et celui de son tourmenteur nos mots pour la rassurer
Mais elle n entend rien tous chakras ouverts elle flotte au nirvana de son stupre.
21:22 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (0)
09/02/2019
nuit anale
Je serre mon sexe et le dirige vers l’œil obscur que décrivait Georges Bataille
Elle ne bouge pas, attend, fébrile.
Mon gland écarte son anneau qui résiste peu, le voilà absorbé.
Je marque une pause.
Elle me supplie de continuer.
Sa chair me serre.
A sa stupeur je sors, un regard réprobateur m’interroge dépité.
Je m’enduis de plus de gel.
Mon retour est tout de douceur, ses muscles pressent mon sexe d’un délicieux pincement. Ce cul est une bouche infernale.
Les cm s’enfoncent, mes bourses caressent son sexe, je suis calé au plus profond d’elle. Présence envahissante, cul obéissant, respiration saccadée.
Alors lentement je la quitte, lui arrachant des cris de protestations, de joie, de plaisirs.
Mon sexe respire l’air frais de la pièce, choc de température, elle reste ouverte comme en apnée d’un second souffle
Avec la même assurance, sans précipitation mon gland passe l’anneau apprivoisé , lui provoquant de douces décharges.
Je suis plus tendu de cette pause , je glisse, l’écarte, l’envahit, la comble.
Je dirige mon dard de telle façon qu’il appui certains points de son vagin provoquant des frissons de plaisirs.
Alors je joue entre ses sensations, l’envahissement, le retrait , le libéré, l’extension, les pointes sur son sexe.
Je demeure sourd à ses injonctions, autiste à ses cris, je n’écoute que les staccato de son cul sur ma bite, tel une araignée je me guide aux vibrations pour mieux la capturer.
Je lit sur mon sexe la géographie de son intime, le rugueux de l’entrée, la chaleur de la pénétration, le plaisir de mon frein tendu quand tout au fond je tape encore d’un ultime coup de rein.
La lenteur la rend folle, ce n’est plus un petit plaisir limité, c’est un enveloppement, une vague qui pénètre chaque millimètre de son corps.
La voilà délirant, éructant, son cerveau devient un feu d’artifice observé des étoiles.
Des mots crus sortent de sa bouche comme expulsés par les coups de mes reins qu'elle incite de ses mouvements.
Elle se noie dans un bain de plaisir qu’elle ne peut localiser.
De son anneau, de son ventre, de son clito, de son dos, de ses fesses c’est une chaleur et des vagues dont le centre est partout et le rayon sans fin.
Mes envahissements s’accélèrent, son cul se mue en chatte gluante, trempée, ouverte , béante, avide, incandescente, vice capital.
Mes couilles claquent sur ses lèvres, mon pubis l’écrase et elle sent en son plus profond ma chair incandescente. Je suis l’amant infernal.
Son cul coule, bave comme pour réclamer plus de violence, de bousculement.
Mes poils se remplissent de cet élixir, sa chatte coule et mes couilles sont inondées à chaque choc.
Le métronome est implacable, il s’accélère provoquant des cris de plus en plus inhumains.
Il n’y a plus de mots , il n’y a plus de sens, tout est sans dessus dessous
Parfois le cul cris famine comme amputé de mon sexe qui ressort puis il avale la chair revenue plus dure de cette respiration, la tension la rassure, l’apaise, l’enflamme.
Alors comme un cris de champs de bataille, de nul part et de toute part un brasier surgit, souffle incandescent qui explose dans tous les plis de son être.
Une plainte inhumaine traverse la pièce, son dos tendu se fige encore plus et hurle sans retenue
Le pal est un supplice qui emporte tout sur son passage
son cul crache son plaisir
son sexe s’embrase
son ventre s’enflamme
sa colonne vertébrale s’électrise
sa tête explose
ses membres sont écartelés
et sa bouche éructe dans le coussin comme si on l’amputait sans anesthésie
j’accélère, je suis en bois, ces cris me rendent fou, mes reins ne retiennent plus les coups, je deviens soudard qui viole un soir de victoire. Joueur de tennis à un point du match, je cogne, cogne.
Cela gronde, mes doigts se crispent, elle le sent hurle, j'hurle et lâche mon foutre au fond de ses entrailles, orgasme puissant qui claque mon dos et illumine mon cerveau.
Je me bloque, elle halète, je ne bouge plus ivre, mes neurones sont des lucioles un soir d’été partouzique.
Je m’effondre sur elle qui tremble encore, nos corps en sueur se soudent, je respire son odeur.
Rien dire, pas bouger, me fondre en elle, déguster nos vagues, ne faire qu’un.
Putain … de jouissance
22:13 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (1)
26/12/2018
Nuit de la balancelle
La pièce est étroite toute entière occupée par un étrange objet.
4 chaines au plafond suspendent une peau de cuir en forme de siège.
Balançoire lubrique qui t’allonge, sexe haut.
Des bracelets aux chaines permettent d’être attaché des 4 membres.
Tu es offerte au balancement des chaines et aux mains des spectateurs
Attachée pour mieux ne rien contrôler, un bandeau sied tes yeux et le jeu commence.
Des mains frôlent, touchent, palpent, des doigts glissent écartent toutes les lèvres
Rien, pas un mot que ton souffle qui s’accélère, la chaleur monte au fur et à mesure que la micro pièce se remplie.
Ma bouche souffle sur ton sexe trempé et de ma langue cueille ta cyprine.
Tu gémis heureuse et inquiète
Tes seins sont pincés
Ma bouche a fixé sa cible et ma langue travaille à te rendre folle.
Tu gigotes, le bruit des chaines attire d’autres hommes.
Ils te saisissent pour ne pas que tu t’éloignes hors de ma bouche.
Tu coules mais je ne vais pas jusqu’à ton explosion.
Je me relève, baisse le pantalon et m’enfonce dans ton corps bouillant
Le siège fait merveille, à chaque coup de rein il s’éloigne de moi pour mieux revenir.
Les va et viens sont de plus en plus forts.
Un homme te suce les pieds, un autre te caresse les seins
Une femme masse tes cheveux quand ses doigts se crispent à la pénétration du sexe de son homme, de la pression de ses caresses tu sens son mâle lui donner du plaisir.
Tu tournes la tête et aspire le sexe dont l’odeur chatouille tes narines.
Cette bite comble le vide que ta langue voulait combler
Te voilà comblée.
La femme cris.
Tu aspires et reçois mes chocs
Tu gémis et pleure de plaisir.
Le noir, ces caresses, ma bite, la bite que tu suces, la femme qui gémie c’est un tout qui t’envahit et se confond.
Ton corps est le bien commun de tous et tes soupirs nos inspires.
Combien de temps as tu été notre jouet ?
J’ai jouis et l’homme dans ta bouche a jouis, la femme a jouis et son homme a jouis.
Je demande à tous de nous quitter.
Jamais tu ne les verras
Je te détache
Epuisée tu tombes dans mes bras
Tu as rêvé
Ce lieu n’existe pas, ces fantômes n’étaient pas là
Tes jouissances sont des fantasmes
Es tu seulement réveillée
Entre songe et souvenir tu ne peux décider
22:48 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (1)
01/07/2018
Nuit Nantaise
Je sais que tu m'attends,
cela fait trop longtemps que nos corps n'ont pas fusionnés.
Un an que nous nous sommes rencontrés, un an de sexe, de messages, de partage, de pleurs, de retrouvailles.
J'achève ma tâche, bâcle les salutations et saute dans la voiture.
L'autoroute est en feu, c'est enfin l'été, les camions doublent et je glisse entre leurs silhouettes.
150 km et l'aéroport pointe, le portique s'ouvre à mon billet, je ne sonne pas.
Je m'installe dans le siège, sort mon livre et m'endort.
un songe et une heure plus tard, me voilà en Bretagne
terra incognita pour explorateur sensuel.
un jour je dessinerai ma carte du tendre.
Le taxi file, et la ville défile.
Mon téléphone sonne, encore le travail, mon téléphone vibre et te voilà nue avec ce mot hâte.
l'Hôtel est une ancienne église, tu connais mon gout pour les lieux atypiques.
Je me présente comme ton mari, union matrimoniale pour la clef de chambre.
La porte s'ouvre, te voilà désirée et désirante.
Une douche et quelques bulles pour oublier le voyage et les ennuyeux du travail.
Nous nous enlaçons et nous nous retrouvons.
ton sexe est doux et coule à mes lents va et vient.
union charnelle sous le toit d'une église défroquée.
tes fesses valaient bien un office, nos un an une transgression.
11:20 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (0)
25/11/2017
Nuit de la claque
Par une nuit où nos corps s'étaient fusionnés
Mes reins mouvent et je m'enfonce.
Mon sexe glisse sur son intime .
Il jouit de ses formes.
Un doigt dans son intime le guide pour plus appuyer .
Elle feule et acquiesce .
Je joue de l élasticité de son anus .
L oeil obscur jouit et se répand en elle.
Moi je contemple son dos dont les muscles se crispent et annoncent l explosion
Son creux de rein exulte et les effluves de ce plaisir envahissent mes narines.
L acmée gronde, enfle, pointe.
je gifle sa fesse...
Horreur !? elle déteste cela !!!!
La stupeur et la brûlure nous volent notre petite mort.
Morale de l'histoire la prochaine fois demander avant de frapper
17:08 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (0)
13/11/2017
Nuit Jogging
Nous voilà volant quelques instants à nos obligations, sirotant un verre au bar des bains douches.
Ce lieu était pour moi le symbole de tout ce que je n'étais pas au temps de sa splendeur, parisien, branché, délirant, cela est étrange d'y être même si son temps est révolu, le nom demeure mythique et peut être que j'ai atteint ce qui me semblait inaccessible.
Un verre parce que nous ne sommes pas que des sexes qui vont s'emboiter, se compléter, exhulter, pas si libertins que ça en fait les deux amants qui se retrouvent.
Elle m'avoue tout de même que si hier elle avait décliné mon invitation, c'est qu'elle était dans les bras du beau jeune homme qu'elle avait rencontré.
Le libertinage est une lutte permanente contre la jalousie.
Jeux entre sentiment et distanciation, comme un équilibre à trouver pour ne pas chuter.
l'heure tourne, l'alcool s'insinue dans nos veines et nous voilà un peu flottant, le chronomètre a quitté nos ventres, le désir l'a remplacé.
Nous sortons et nous nous dirigeons vers le sauna de l'avenue Sébastopol.
Le lieu n'est pas trop occupé nous pouvons choisir la cellule de nos ébats.
Une pièce étroite, lumière rouge, plafond de miroir et une structure de cubes qui forment une sorte de grotte avec des socles de différentes hauteurs.
Mon oeil brille, j'imagine la scène à venir ... je vous la dévoile, vous êtes ici pour cela me semble t il ?!
Nue posée sur un socle de mousse de 60 X 60 cm à 80 cm de hauteur, elle s'offre à moi heureuse de l'instant.
Elle lève ses jambes et sa tête, je m'approche, la lumière, mon envie m'électrise et me tendent à me faire hurler, j'ai l'impression que mon sexe est un os et elle va tomber dessus.
Envie de prouesses, suis je piqué de l'autre ?
Debout je l'a prends de face, mes mains empoignent son corps, je joue de ce que le socle qui la soutient oscille, par de longs et profonds coups de queue, je la prends très vigoureusement augmentant graduellement le rythme.
Mon corps est métronome au vent fou d'automne qui donnerait un rythme des hurles le vent à nos ébats.
Le plaisir, l'énergie, la chaleur de cette pièce porte à ébullition nos corps.
Elle est surprise de cette baise sauvage auquel je l'ai peu habituée, la voilà luttant pour tenir sur ce socle incertain abandonnant au vide sa tête secouée de mes attaques.
Parfois elle se relève me regarde interrogative de cette force, et mes yeux lui répondent et mes reins lui confirment.
Nos corps coulent l'eau, je me sens bucheron dans les tropiques, hache sexuelle dure, frénétique, insatiable, épuisant.
Elle glisse je la rattrape, pense qu'elle va pouvoir souffler mais c'est sans compter mon animalité.
Cela dure, dur dur pour son sexe fatigué de son après midi précédente.
Je la sens épuisée, quand enfin mon orgasme pointe et m'emporte.
je m'affale sur elle, électrocuté, soulagé, comme libéré d'un sort, redevenu moi même.
Nous roulons au sol et nous nous enlaçons, respiration lourde de la chaleur, de la fatigue, instant de tendresse comme une humanité retrouvée.
Mais soudain son poignet s'allume, je n'avais pas fait attention qu'elle avait gardé sa I Watch, un graphe apparait, un chiffre rouge qui clignote.
Je suis interloqué qu'est ce donc ? son mari qui la rappelle ...
Non, sa quantité de calories brulées et la dose journalière à tenir !
Verdict nous avons explosé l'objectif.
Le sexe comme alternative au jogging.
23:34 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (4)
14/06/2017
Nuit costumée
Nous sommes chez Eros et Camélia
Les angelots dansent dans un ciel bleu, pastiche contemporain des plafonds de Tiepelo comme des souvenirs made in china de la beauté des plafonds licencieux des palais vénitiens.
Ma redingote rouge, emprunt à Jacomo Casanova, me tient chaud, soirée costumée à thème baroque oblige.
Le loup masque mon visage mais mon accompagnatrice va l'empourprer.
Imaginez, sur le lit d'une pièce hausmannienne un peu gnangnan dans la décoration, nous voilà allongés, mon pantalon glisse, mes dessous qui ne sont pas d'époque sont ôtés et je suis embouché.
Le feu de sa langue se propage et raidi mon sexe, le plaisir monte et elle glisse le long de ma hampe.
Bouche infernale , sensuelle, goulue, enveloppante qui m'arrache des tortillements et des gémissements.
Les voisins ne sont pas choqués. En face de nous une bouche féminine aussi s'active dans des froufrous de jupons troussés, d'une heureuse dégustée dont la paire de jambes tangue bien haut.
Deux bouches qui jouent de nous, langues insidieuses qui par corps interposés gémissent, je peux regarder ma suceuse puis observer l'autre d'en face, les soupirs se mélangent dans le volume de la pièce comme une fumée qui danserait aux volutes des lèvres.
Je vois un dos nue tatoué de fleurs et une tête dodeliner entre les jambes qui se tendent d'orgasme.
Je ferme les yeux jouis, les ouvre voit les jambes s'agiter et le dos tatoué de la jeune femme qui suçait se tortiller et rire.
Je déshabille ma suceuse et la place devant moi, son intime trahi l'excitation du plaisir qu'elle a pris de m'enflammer la chair.C'est un entrejambe trempé qui accueille mon envie de me livrer. Comme une sorte de soulagement je me trouve en elle, si bien que je suis parcouru d'un frisson dans le dos.
Je joue de la contraction de mes fesses pour que mes muscles redressent mon sexe en elle, et je commence sensuellement à jouer de nos accords.
Corps en harmonie de mes glissements, je ne vois plus mes voisins j'ai fermé les yeux pour me concentrer sur nos sensations.
Il n'y a plus d'anges au plafond, plus de déco gnangnan, plus de trio en face, il y a le noir duquel des couleurs apparaissent au gré de mes jouissances.
Son coeur bat, mon sexe le ressent je tente de mettre mon rythme sur le sien.
Danse subtile où nous jouons de si peu pour un si grand plaisir.
Il fait chaud et me voilà nu en costume d'adam.
je me couche sur son dos pour mieux l'envelopper, mes reins et mon périnée jouent à la rendre folle.
Nous continuons un temps que j'ai oublié,
Deux corps et pourtant nous ne formons qu'un ...
22:03 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (2)
02/03/2017
Nuit des surprises
(version relue suite aux nombreuses protestations reçues ...)
La pièce étroite est bondée de nous, six à forniquer, corps qui jouissent peaux qui se frôlent, peu d'espace mais grande complicité dans cette cabine des retrouvailles. Je dois lui faire une surprise et je lui ai donné rendez vous au sauna de son initiation, elle ignore que deux complices invités la lutineront.
Plaisirs multiples et saphiques pour plus de lubricité d'une passée novice, vite convertie. Son sourire énigmatique dont la cause se résout lorsque durant une brassée dans les bains bouillonnants du lieu une main me touche l'épaule.
Celle de ma chère C ... en évasion de son amoureux avec un complice de ses libertés, lui même grand corrupteur de mon invitée laquelle savait cette présence.
Tel est surpris qui croit surprendre, deux vielles connaissances coquines en ces lieux à cet instant !
A quatre, bras dessus dessous aller vers les cabines et s'attarder sur un attroupement de voyeurs en admiration de galipettes exhibitionnistes.
Y reconnaitre que l'objet de l'attention du public est mon couple de complices lutineurs qui las d'attendre s'est en public lutiné.
Cela tombe bien mon couple complice est ami de longue date de celui surprise, réunion de vieilles connaissances. Le hasard crée de bonnes surprises et les surprises jamais n'abolissent le hasard.
Vite s'enfermer pour mieux s'enlacer.
Retrouvailles en effusion.
Amoncèlements de chairs qui tanguent vers l'extase ou en ce qui me concerne pestent de ne point assez vite bander.
Sucions de bites, de cons, de seins, de langues, de pieds et de culs.
Orgasmes qui se vivent ou s'entendent.
6 à baiser dans 6 m2
Pourtant point d'angoisse de la sardine en sa boite enfermée, nous sommes des anguilles dans la mer des sargasses à frayer.
Flashs de ces instants trop riches pour être tous fixés:
Ma bouche dans son sexe pendant que sa tête par la fenêtre hors de la cabine sortie se fait caresser par les passants des couloirs , mains inconnues qui la soutiennent ou la caressent , langues qui l'enlaçent et moi qui la suce.
Son orgasme à mes cotés sur notre complice qu'elle chevauche, celui sonore de ma complice qui bien vite se lassant du saphisme par moi se fait empaler.
Les levrettes et autre foutreries à nos cotés et puis le calme, plus que 4 à rester , corps épanouis et libérés de nos orgasmes , rien faire , rien dire , juste vidés par le plein de nos émois encore surpris de nos surprises.
Se décider à sortir, surprise ; le soleil de l'après midi a disparu, une heure du matin, temps de rentrer.
Mais la nuit est ainsi faite que celle qui m'accompagne à l'hôtel veut encore de moi, cela tombe bien je brûle d'elle , sexe à deux infiniment plus fort que nos multiplicités pour achever nos moments de lubricités.
Expérience nouvelle avec un gode anal de l'orgasme prostatique en une fulgurance qui la laisse sans jambe, tétanisée par la force de mon membre qui jamais n'a autant bandé si dur, bonheur partagé de cette tension qui écrase mes chairs et éclate son con.
Au matin , des encore et des encore d'autant plus puissants que le plaisir doit de loin être retrouvé et pour la première fois l'entendre dire à midi « tu m'a tuée ».
Aveu de satisfaction de trop de pâmoisons, de ses muqueuses ivres de trop de satiété, de ses jambes molles d'avoir tant tétanisées , de sa bouche épuisée de ses si longues sucées , de son corps apaisé et pourtant martyrisé.
Croyant, je sais qu'elle va bien avant le troisième jour ressusciter, pour en croix encore haleter aux plaisirs de ses vices.
13:45 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (21)
16/08/2016
Nuit d'une novice au Moon
22h30 rendez vous métro Blanche, ma novice veut découvrir les lieux lubriques de Paris, après une visite au sexodrome pour lui montrer l'usage de quelques sex toys nous entrons dans l'atmosphère chaude et chlorée du Moon, serviettes et paréos en mains nous nous déshabillons.
Paris est la ville des petits espaces et notre casier ne déroge pas à cette règle, avec force de compression nous voilà débarrassés de nos affaires, nus nous descendons visiter les lieux. Elle rie de cette tenue paréo, vacances en club.
En ce samedi soir le Moon est plein, les couples devisent dans les canapés indiens, d'autres s'enfument dans la cage de verre, nous traversons les lieux, rien n'a changé depuis ces années où je n’y étais plus allé, sauf les parois des douches qui ne sont plus transparentes mais en bois cheap. Le lieu se dégrade.
Ma novice écarte les yeux et sa lippe se fait gourmande aux corps musclés de ces messieurs que nous frôlons ou aux courbes odalisques de ces dames qui nous effleurent.
Le bain et sa promiscuité l’excitent, nous nous y enfonçons, les bulles nous habillent.
Un homme brun se colle à elle, elle écarquille les yeux, son sexe dur vient de lui heurtER la cuisse, il reste impassible, elle fond d'envie.
Nous sortons, il nous suit, je lui montre les coins câlins, un couple nous ouvre et nous invite à les rejoindre, nous nous y enfilons et laissons à la porte close le bandeur, bandant.
Les jeux à quatre cote à cote commencent malgré l'étroitesse de l'espace, de l'autre coté de la grille, des hurlements accompagnent les œuvres de deux jeunes hommes sur une femme en chair, c'est violent, bruyant et déconcentrant on ne s’entend plus jouir.
Je débande et voit dépitée mon initiée, j'ouvre alors la porte. Le bandeur est toujours là, droit comme un I, impavide, il ne parle pas entre enfile un préservatif et embroche ma complice.
La vigueur de ses coups tirent des râles, puis des cris, puis des encouragements, le bandeur est un marteau piqueur, un bucheron qui cogne et cogne méthodiquement. J’observe ces deux couples qui baisent moi collé au fond contre la grille et les cris de la femme en chair.
Le bandeur se relève place ma novice et sans discussion, ni mot, la pénètre par son trou étroit, elle est en pâmoison et jouis goulument. Il reprends à cet endroit le même rythme, je crains pour son anus.
L’initiation est une conversion absolue.
Han han han ...
Le bandeur ne débande pas, ne se fatigue, n'exprime rien c'est une bite qui habite un corps d'homme.
Soudain il s'arrête s'allonge et l'installe sur lui la conduisant à s'embrocher sur son trou désormais béant.
Avec gourmandise, et hâte, elle s'empale et continue ses jouissances m'offrant sa chatte écarlate et trempée.
Invitation à une double pénétration, je m'enfonce mais ne bande pas assez, peut être trop porn pour moi.
Mon voisin de lit qui en avait fini avec sa complice prend ma place et de sa queue bien droite s'enfile jouant de son sexe, le frottant à travers la mince paroi à celui du bandeur.
Les cris et l'atmosphère montent d'un cran, mon initiée assume les deux bites en elle, encourage, gémit et joui.
Le bandeur est encore dur, il saisi la compagne de notre voisin et l'enfile, elle ne supporte pas ses coups mécaniques, et met fin aux ébats.
Le bandeur reprend ma novice et jouit enfin, puis part sans un mot.
Nous quittons nos voisins, pour la douche et se rhabiller.
La novice est épuisée mais heureuse, moi je le suis pour elle, mais la scène était trop sexe pour moi, pas assez d'interaction entre les baiseurs je n’ai pas pris mon pied.
Il est deux heure du matin, on saute dans un taxi, direction mon appartement.
A peine arrivée ma novice veut me faire jouir, elle y réussira très bien même pas fatiguée ...
22:05 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (3)
01/05/2016
Nuit de l'aprés midi dans le Midi
ma reddition de Toni Bentley
Vision de son cul moulé dans le jean tendu vers mon sexe retiré, son anus et son vagin apparaissent bavant d'envie au travers l'échancrure pratiquée dans l'étoffe du pantalon.
Elle m'avait demandé de lui découper son jean pour la pénétrer.
Les ciseaux sont encore là et le triangle d'étoffe bleu indigo témoigne de son sacrifice vestimentaire.
En levrette, elle attend impatiente le retour de ma bite.
Jadis petit et serré son trou est large, béant, insondable je le contemple tendu.
Je suis douloureusement dur par le plaisir pris, l'orgasme bout dans mes couilles, ma prostate vibre, sur le bas de ma hampe le creux est rempli d'une mouille abondante, épaisse, qui n'est plus blanche, elle se répand sur mes poils qui gluent.
Mon sexe est rouge brun de plaisir, l'anneau de caoutchouc le bague, je n'ai qu'une envie, exploser, le froid de la pièce après la chaleur de son corps me saisi, me calme, j'inspire profondément pour emplir mes poumons et m’enivrer d'oxygène pendant que je regarde son trou dilaté de mes œuvres.
L'anus est resté immensément ouvert, il n'y a plus de corole plissée, il est bien plus large que mon sexe, on dirait une bouche, elle serait maculée de mouille après une gorge profonde.
Ses lèvres pendent, des fils s'en étirent jusqu'au lit taché des goutes que le draps ont avalé.
J'ai envie d'y coller ma bouche et de ma langue lui rouler un patin.
Bouche édentée qui baverait de désir mais elle implore que je la reprenne.
J'y replonge en me remémorant qu'elle disait se refuser à toute sodomie ... frissons de l'avoir convertie.
22:03 Publié dans ELLE, NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (4)
31/03/2016
Nuit gainsbourg

Devant la maison de Gainsbourg,
hôtel de Verneuil,
je vais et je viens entre tes reins.
Dieu ne fut pas fumeur de havanes, mais mon havane fut dieu.
Les volutes ne furent pas fumées mais pénétrées.
Infidélités parfaites pour corps à corps secrets.
La décadanse chante à nos oreilles.
L'abandon à l'autre.
Le don de la personne.
Je t'ai attachée pour mieux te sodomiser.
Je t'ai sodomisée pour plus m'attacher.
Qu'il était bon de retrouver ton œillet doux.
Je ne dirais pas que ce fut un havre de paix,
la tempête y a plus que soufflé.
Elle a envolé l'ennui quotidien, sonné l'énergie.
Interstice gargantuesque d'une vie qui nous ennuyait.
Ton dos ondule à mon boutoir.
Tréfonds malmené par le bélier, pour ta plus grande félicité,
visage cramoisi et bouche tordue.
Fesses qui claquent , couilles qui cognent.
Des vagues se forment et te roulent,
jouir de mon sexe.
Enfilé, dans le gant de volupté.
Jouir d'offrir, explosion de te voir rugir.
Ultime vie que celle de la petite mort,
Mes mains rougissent aux fessées données.
mon sexe brûle à ton antre incendiée.
Brûlures de feu, gouttes de sueurs.
Ce n'est pas moi qui t'ai possédée, tu m'as envoûté.
Comme les barbares qui pensaient conquérir Rome,
Alors, qu'ils succombaient à sa civilisation.
C'est ta soumission qui a fait de moi l'esclave de tes pâmoisons.
22:50 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (29)
27/02/2016
Nuit des noeuds
(photo contractuelle)
C ... passe les nœuds un peu stressée du résultat à obtenir, de mon œil qui scrute dans les vapeurs viniques d'un Collioure un peu fort en degré.
Première pour ma complice de cette soirée, se faire attacher,
Première pour C ... attacher et se faire voyeuse d'une baise entravée.
Le résultat est parfait et la séance photo commence.
Mes deux coquines sont heureuses et elles attendent de moi la seconde partie du programme.
Hélas, l'alcool la fatigue de la très petite nuit précédente font que mon corps n'a pas la force de cette seconde partie.
C ... nous quitte un peu déçue, je suis flottant et à moitié endormi, je n'ai qu'un désir vite aller au lit, me blottir contre ma complice maintenant détachée et dormir comme un innocent bébé.
Deviendrai je popote !?
12:30 Publié dans ELLE, NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (9)
21/02/2016
Sang Valentin
La nuit est mutine me voilà bandant dans le noir, le corps chaud contre le mien est un puissant aphrodisiaque, je passe ma main,son sexe est trempé, il faut dire, connaissant la visiteuse de mon lit que toutes ces heures sans sexe doivent avoir été une épreuve pour sa chatte si gourmande. J'avoue ne jamais encore avoir rencontrée femme si gourmande ...
J'enfile une capote et délicatement entre en elle, une main commence à me caresser, ma cuillère de douce s'accélère.
Nous passons en missionnaire et je m'enfonce au plus profond d'elle, pour buter et provoquer des gémissements plus marqués.
Je m'écrase sur corps, et puissamment la pilonne sans précipitation, je viens et le lui indique, elle se laisse aller et nous voyageons de concert.
La nuit nous reprend jusqu'au prochain appétit et nos corps s'emboitent à nouveaux, je joue avec sa chatte de mes doigts, de ma queue.
Le matin arrive et j'ai encore envie d'elle, je rebande et le lui signifie lui glissant que j'aimerai bien qu'elle me chevauche, position que je tiens peu en principe mais son sexe si serré devrait m'aider.
La voilà qui s'empale et je joue de ma hampe, je suis dur et me caresse les tétons, je pousse des gémissements de plaisir, je sens ma queue prise, parfois écrasée sur ses parois qui me disent ahhhhh j'adore te sentir, regarde comme je jouis je vais te faire hurler.
Cela dure, et nous partons ensemble heureux de cette nouvelle position qui complète nos complicités corporelles.
Courte pose, elle me dit qu'elle a envie de jouir à nouveau, mais mon sexe est vide, elle m'avoue avoir envie de jaillir, je la découvre femme fontaine, une idée me traverse la tête la sucer puis la doigter pour la soulager, mais j'avoue que l'idée de dormir dans un lit trempé me refroidit.
Elle se lève et va au toilettes, je l'entends gémir et crier , elle a jailli, j'ai un peu honte de l'avoir laissé faire seule, on se rendort.
Au levé dans le noir je rejoins la salle de bain, il y a des traces de sang sur la cuvette, et le lavabo, mon ventre se serre.
Je vais vers la chambre et éclaire, le lit est plein de taches rouges, de traces de doigts sanguinolents, je regarde mes doigts ils sont rouges sang séchés.
Il y a eu un meurtre dans ce lit et je suis le tueur !?!
Non ma complice respire sont corps n'est pas lardé de coups de couteaux.
A la vue de l'état des lieux elle saute, affolée se précipite dans la salle de bain.
J'avoue flipper de son affolement.
je lui indique que mes draps en on vu d'autre nous nous calmons.
Elle aura cette phrase extraordinaire qui clôt ce souvenir et en constituera le titre, c'est la " Sang Valentin".
12:16 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (5)
10/02/2016
Nuit de la dentelière
photo contractuelle
Dans le bouillonnement de Paris j’attends cette jeune lectrice qui quelque jours avant avait osé déposer dans ma boite mail un message.
Une bouteille à la mer est faite pour être ouverte et découvrir l’emplacement du trésor.
Un échange badin s’en était suivi où la Demoiselle jouait le froid et le chaud, cela m’amusait et me charmait.
Une jeune femme se présente à moi, je mets un visage à un joli postérieur qui m’avait été envoyé, politesse des coquines qui montrent d’abord le lieu de nos envies avant de dévoiler leur visage.
Nous buvons un verre au milieu de couples formés ou en formation, l’alcool pénètre mon sang et le chauffe, il nous semble évident que cette nuit nous allons en couple nous unir.
Nous nous levons et elle me suis vers chez moi, il faut toujours avoir une adresse de rendez vous à 5 minute d’un chez soi.
Le froid nous dégrise et l’ascenseur nous monte au 9e ciel
Je ferme les yeux et l’embrasse, sa langue glisse, nos bouches jouent l’une de l’autre.
Elle m’avait promis des dentelles et me voilà dentelier à l’effeuiller.
Le noir de ses dessous souligne le galbe et la douceur de sa peau.
C’est nue que je la contemple, offerte à ma lippe gourmande
Ma bouche la parcourt et effleure son sexe trempé.
J’hésite et me redresse, cela sera d’abord les doigts !
Ils jouent de son sexe l’ouvre, le masse puis la pénètre.
Son antre est douce tendue, étroite, hérissée d’envies.
Je m’enfonce, la fouille, trouve, appuie, m’attarde, elle se tord étonnée des sensations provoqués par ma paume qui se referme sur son clito.
Ma langue prend la suite lèche, slurpe, tourne, agace, aspire, elle coule, rit, jouit.
J’ai envie d’elle, sa bouche me happe, je me roule sur le dos pour la contempler et me laisser aller.
Elle est avide, joue, m’avale, déglutie, coule sur moi, me branle, recommence, mes doigts se crispent sur les draps pour ne pas éclater, mes reins s’enflamment, mes couilles bouent, je suis une barre de bois luisante de sa salive, je joui mais ne craque pas, trop envie d’entrer en elle, sentir ses chairs écartées de mon sexe chauffé à blanc de son infernale bouche.
Elle joue avec mes tétons, je durcis encore plus et entre en elle …
23:43 Publié dans NUIT AVEC ELLE | Lien permanent | Commentaires (0)