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10/06/2012

Nuit cosmopolitan

 

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Couilles vides mais ventre creux, jambes cotonneuses mais dalle au ventre nous allons manger après avoir décalé deux fois notre réservation pour cause de blasphème sexuel.(voir nuit blasphème)
 
Si le bar est joli, le bistrot est à l'entresol, plafond bas, déco triste dans une salle qui tourne le dos à la place de la bourse de bordeaux.
 
Dommage, même si le repas est bon ni le ramage ni le plumage ne vaut vraiment le prix, soit, on l'aura compris un restau un peu décevant.
 
En payant à la caisse du parking quelques slaves en mendicité tentent de séduire un couple de jeunes lesbiennes, l'une blonde est toute douce, l'autre plus masculine, nous intervenons et la conversation s'engage, la masculine dit qu'elle n'aime pas les hommes malgré ce nous badinons gentiment, envie de lui proposer une partie à quatre, un jour il me faudra prendre le temps de la séduction au hasard des rencontres, mais pour l'heure nous avons rendez avec cosmopolitan

Je discute avec elle depuis quelques semaines et des photos de plage ou plutôt de son corps sur la plage m'avaient mis en émoi.

Libertine, elle fréquente avec son mari les clubs de la ville et c'est naturellement que suite au hasard de mes déplacements nous avons convenu de nous rencontrer dans son antre. Le cocktail m’avait l’air explosif, et c’est avec soif que j’avais envie d’y goûter en réel.

J'aurais pour ma part préféré un verre avec son mari dans un joli bar à vin de la ville, mais celui ci visiblement n'était pas intéressé par cette perspective.

Elle m’avait glissé tout de même que ce soir là elle serait comme à son habitude à la Chaloupe.

Direction de l'autre coté de la rive, la Chaloupe.

Après avoir dépassé la zone commerciale, nous nous engageons dans une rue bordée de petits SAM suffit , composition hétéroclite d’architecture petite bourgeoise, pétrie de jardins au cordeau, d'extensions plus où moins harmonieuses

On imagine plus la maison de mamie qu’un club.

La chaloupe a amarré dans un pavillon, années trente, le petit portail en fer et les quatre lampions colorés sur le perron confèrent un style Cap Ferret échoué en banlieue.

Ma vierge s’habille ou plutôt se déshabille, robe guess bleue à décolleté de face et de dos, talons hauts pour jambes soulignées par le moulé du cul et le si court du vêtement.

Une voiture freine pour admirer le spectacle délicieusement indécent de sa démarche à mes cotés, son regard s’amuse de cet hommage masculin trop appuyé quand la voiture repasse dans l’autre sens.

Nous entrons, une jeune brunette nous ouvre, cagole bordelaise aux cheveux de jais et à la coupe bol , joli cul moulé dans une robe noire à paillettes, sa petite taille se rehausse de ses talons très hauts.

Le salon de la villa a vu ses murs repoussés, un bar avec une cinquantenaire quintal et fausse blonde, affublée de la sempiternelle robe noire à strass des clubbers sert.

Ginette à son bar en robe de réveillon.

Une piste en carreaux blanc perce le sol noir, quelques canapés bleus, boite année 1980, les murs quand ils ne sont pas bleus gaz de France sont lambrissés de pins vernis, sommes nous dans un bistrot de village des années 70 ?

Sur les murs une alternance de tableaux de couples enlacés et de cousins rouges en forme de cœurs. Un faux bouquet et une reproduction chinoise de la vénus de Milo, le tout est rehaussé de quelques ballons multicolores conférant à la déco un coté kitsch.

« Le kitsch, ou kitch mot d'origine allemande devenu international, qualifie l'accumulation et l'usage hétéroclite, dans un produit culturel, de traits considérés comme triviaux, démodés ou populaires. Son emploi implique donc nécessairement un jugement de valeur et la norme qui le conditionne »

Je pense l’article de Clément  Greenberg qui associait le kistch au fascisme car cela flatte le goût des masses, faire de l’histoire de l’art, même en terres acculturées et  m'agacer de ma condescendance.

Mes fantasmes érotiques se teintent d'une aspiration à un raffinement, à une esthétique qui chassent le glauque  des corps qui s’emboitent, des chairs qui se frottent, des flux qui se mélangent, le rêve, l’érotisme sont nécessaires à mes aspirations libertines.

Pour sur, nous sommes loin des ambiances des tableaux de Paul Delvaux avec ces femmes nues et hiératiques qui avaient inspirées Stanley Kubrick dans eyes wide shut et qui parcourent mes fantasmes.

Les coins câlins sont à l'encan, tapisseries jaune essuyée de la Halle aux tapisseries, frise bleue, nous nous croyons dans une chambre de jeune fille d'il y a trente an, la Chaloupe serait elle un conservatoire du passé ?

Des lits rouges, les mêmes tableaux parfois une tapisserie bleue et de la mousseline pour l'intimité si votre libido n'est pas partie en courant.

Peu de personnes en ce vendredi soir, les femmes dansent seules, les hommes font tapisseries, l'attentisme est dans l'air.

Si les corps sont jolis chez les femmes, les tenues sont à l'unisson du lieu, les âges variés mais marqués sur les visages forts maquillés et obligatoirement tatouées.

Laissant les 4 filles danser nous nous accoudons au bar , un homme erre , la trentaine, jean et teeshirt, chaine en argent, un autre hypertrophié des muscles discute avec une femme qui s’ennuie ferme.

Bravant ma timidité, si si , je déteste aborder,  je me tourne vers elle :

"Seriez vous Cosmopolitan ? "

"heu non ils en servent pas ..."

Ce n’est pas une veste, c’est une incompréhension. Pourtant heureuse de quitter l'hypertrophié, elle se tourne vers moi qui n’ai rien à lui dire, ma compagne rit intérieurement de la situation, pour une fois sa jalousie ne sera pas testée.

Je quitte ma chaise et tente quelques « Cosmopolitan », à des femmes qui sont loin du bout de corps que j'avais vu de la Cosmopolitan censée être là, Echec elles me disent toutes qu’elles n’ont pas soif, certaines on pourtant l’œil alléché par la nouveauté, sentiment d’être de la viande fraiche.

Nulle trace d’une quelconque personne pouvant être la Cosmopolitan.

Un homme danse, le groupe des quatre femmes se concentre autour, laquelle va t il choisir ? Danse nuptiale d'oiseaux à crête.

Dans les coins câlins une femme qui ne sera non plus celle que je cherche mais qui visiblement accroche sur ma vierge, la déguste des yeux et l’attrape par le bras, là voilà happée, je ne pensais pas que les femmes pouvaient être aussi lourdes.

C’en est trop, tant pis pour Cosmopolitan nous avons envie de baiser mais pour rien au monde ici, nous filons à l’Hôtel deux est toujours mieux que mal accompagné.

La ville qui se reflète dans le fleuve nous redonne le goût du beau, Bordeaux est sublime, bonheur de ces lumières qui exaltent le classicisme des façades.

Ah l’hôtel éclats de rires de notre aventure en ce lieu décalé, sa tenue m’excite d’autant que nous l’avions acheté l’après midi et qu’elle était encore vierge de tous ébats. Je lui retrousse le peu de tissu qui masque encore son cul, chatte humide pour doigts avides.

Nous commençons à jouer, jeux de langues, de doigts pour apéritif coquin.

Soudain une idée, me pointe, je file vers son sac au vice, y prend Thom, son gode réaliste, la place en levrette et la pénètre avec la faisant doucement et langoureusement jouir.

Profitant de la montée de son plaisir j’accélère le mouvement, son corps se crispe et dans l’étouffement des draps j’entends un vas y défonces moi.

L’ordre est executé, thom bien au fond de sa chatte, je darde mon sexe tendu à l’extrême et m’enfonce dans son antre trempée, occupée.

La double pénétration la dilate, l’électrise, la tétanise, lui fait perdre tout contrôle, à grand coups de reins j’obéis à ses injonctions de plus.

Ma bite glisse sur thom et son sexe est étroit de l’encombrement engendrés par nos deux membres.

Elle hurle qu’elle est pleine, déchirée, que c’est bon, mes coups se font de plus en plus profonds tout en contrôlant le rythme pour que la frénésie et la vitesse n’altèrent pas son ressenti.

Mes mains calées sur ses fesses pour mieux les coulisser le temps n’est plus, mon ventre et mes fesses se contractent au plaisir, elle jouit et ses torsions d’explosion de plaisir accélèrent le mien. A chaque coup, la double sensation de la peau et des veines artificielles de thom avec l’intérieur de son vagin trempé, créé un contraste affolant et horriblement excitant.

Elle hurle et expulse ainsi les vagues de son orgasme qui ont pris possession de son corps.

Je vais partir, libérer cette énergie qui s’accumule à force de coups donnés, explosion d’un plaisir comprimé en mille étoiles scintillantes qui percent mon regard.

Le jet est puissant, libérateur, affolant, l’électricité embrase mon dos et mon anus, l’orgasme est magnifique.

Je reste en elle un temps, son corps est affalé sur le lit, dans le relâchement épuisé mais heureux des tensions vécues. Nos chairs respirent, mon corps est en sueur, je me retire et retire l’impassible thom qui de nous trois fut le seul frigide.

Nous avons ratés Cosmopolitan et nous n’avons pas joué à plusieurs dans le club mais la double pénétration qu’elle souhaitait ce soir lui a finalement été offerte.

 

 

28/05/2012

Nuit blasphème

A V E R T I S S E M E N T


Amie lectrice,

Si tu as fait le pèlerinage de Chartres ou l’accompagnement des invalides à Lourdes pour rencontrer ton mari que tu trompes virtuellement en lisant ce blog érotico arty,

Si ta robe de mariée était blanche comme l’immaculée conception,

Si le prêtre a béni ton union,

Si tu as tenté de noyer tes enfants en les aspergeant d’une eau glaciale et pourtant bénite,

Il vaut mieux que tu sautes cette note ou alors comme chez Dante, toi qui entres ici abandonne toute espérance.

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photo contractuelle


Au milieu de la foule j’attends, mes voisins sont pleins d’une ferveur qui me fascine et m’effraie. Plus que quelques minutes avant le Graal, les Ave Maria scandent le temps, murmures de prières en toutes langues. Suis-je le seul mécréant dans cette marée humaine ? Les éclopés et malades sur les civières ne le sont-ils pas, tout autant, par l’intérêt thérapeutique de leur ferveur ?

Qui a raison qui a tort ? Le jouisseur ou le fervent ? Le damné dans ce monde, enfermé dans les souffrances d’un corps ennemi, ou l’athée privilégié d’une santé épargnée, entouré de corps qui le font jouir ?

La grotte est devant moi, un sms de la vierge, elle est dans le TGV. À 17h, l’heure chantée par LLorca, elle sera là, elle me veut et m’écrit ses désirs au creux des reins, je dois cacher l’écran pour ne pas qu’on lise par dessus mon épaule, et lui réponds que je suis là pour elle, au milieu de son sanctuaire, ma quête va s’achever et une offrande lui sera apportée, mais que je n’ai qu’une hâte, quitter mon abstinence pour la foutre religieusement.

Le téléphone vibre encore, ce n’est plus la vierge, mais L…, encore que je suis vierge de mon corps en elle et qu’elle aussi est astrologiquement vierge. Décidément aujourd’hui je vois des vierges partout, un harem de vierges.

Je lui indique que je suis à Lourdes attendant de passer devant la grotte, non pas en pèlerinage mais pour recueillir un peu d’eau bénite pour une autre vierge qui à 300 km/h file vers mes bras lubriques.

Pour toute réponse un rire, puis un message « mon mari s’appelle Joseph »

La vie est trop drôle, j’apprends que je m’apprête à un double sacrilège, consacrer le con d’une vierge nympho avant de tenter dans quelques semaines de planter des cornes à Joseph.

Va falloir que ma verge soit à la hauteur de toutes ces vierges. 

En attendant, vite, penser à relire l’enfer de Dante, et se dire que mes pêchés seront si lourds que mon cercle sera très profond.

Le kiosque est atteint, « offrande conseillée 1 euro », tiens pour 33 centimes j’ai la même quantité d’eau bénite dans une boutique en face de l’entrée ! Mais ce n’est pas le moment de commettre le pêché d’avarice, au contraire celui de payer pour acheter une grâce, l’indulgence en quelque sorte.

Le petit flacon comporte une vierge dorée en ronde bosse, et un bouchon en couronne mariale, sur le cul made in PCC, certainement un royaume de dieu à faible coût de mains pieuses.

Devant moi des bidons se remplissent, jerricans bénits pour ferveur collective ou ablution quotidienne. On se croirait sur un point d’eau de camps de réfugiés tellement les contenants sont hétéroclites, tout le monde n’a pas sacrifié à l’offrande, je vois des bidons de marchands du temple en concurrence avec ceux de la sainte congrégation, Bruxelles et ses règles du libre échange a tout envahi.

Je presse le robinet, le jet d’eau emplit en quelques secondes ma fiole. Je renonce à boire malgré ma soif, je respecte l’eau bénite et ne veux pas la voir deux plus tard transformée en pisse.

Je sors en zigzaguant entre les processions, une femme tirée dans une carriole par une religieuse lance « Et cet après midi c’est journée libre avant la messe de ce soir ? » Décidément, suis-je le seul mécréant ?

Un signe du ciel pourtant, en payant ma note du café dans la rue Bernadette Soubirou, la serveuse s’appelle Espérance, les voies du seigneurs sont pleines d’humour.

En voiture je discute avec la femme de Joseph et lui confie mon intention à l’égard de la vierge, elle hurle de rire, je jubile de ma perversité, décidément il fera bon de dépuceler nos relations.

Je commence à aimer le culte marial que constitue l’adultère.

Après l’esprit saint, l’esprit des Lois, Bordeaux devant moi, façades grand siècle admirablement restaurées, une chaleur de plomb mais une trique d’airain comme un bourdon qui sonne dans mon corps.

Vite l’autel pour notre cérémonie.

La vierge est justement à l’hôtel toute excitée, nue en quelques secondes elle m’enlace et prend possession de ma bouche. Sexe dur et tendu, comme seuls préliminaires, je m’enfonce en elle, empalée de mon envie, soulagée de ses désirs.

Nos jeux de corps commencent quand je l’avise de ce que j’ai recueilli : de l’eau bénite pour en user comme du gel.

À cette idée elle se libère de mon étreinte, sexe tendu et luisant de sa cyprine, je libère le bouchon couronne de ma fiole, et mouille copieusement son sexe déjà humide de nos premiers ébats.

Il est trempé de l’idée de sacrilège, miraculeuse eau qui sans caresse rend humide un con, sacré de son excitation blasphématoire.

Je me noie dans la joie du coït ressuscité et je bats des reins pour des siècles et des siècles à nos corps fervents.

En réalité notre sentiment d’éternité fut mesuré de quelques minutes par l’horloge mécréante. Hiatus de perception, comme métaphore pour dire la science ennemie de la religion

Ses cris et spasmes comme des prières à ma copulatrice offense qui nous frappera de la foudre de l’orgasme.

Nos ébats telluriques nous laissent sans jambes mais heureux de nos retrouvailles, inaugurer un sex week-end par une partie de jambes en l’air bénite vaut bien quelques jambes cotonneuses et puis les vins de Bordeaux n’étaient ils pas encore il y a peu prescrits comme fortifiants ?

Vite sortir, une table nous attend, s’emplir après s’être vidés, voilà une vérité qui n’a pas besoin d’être révélée, la soirée ne fait que commencer, et je suis sur que ce soir il y aura du vin et des femmes.


 

03/04/2012

Nuit rêvée

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Dans la pénombre du lit partagé, le ventre tendu d'agapes bien arrosées, ma libido est loin, dans les limbes d'un estomac trop plein.
 
A côté de moi, ma logeuse me tourne le dos, enveloppée dans les bras de Morphée.
 
Je sens ses fesses s'agiter, ses jambes prendre vie, sa main sur son sexe, la dame se donne le plaisir nocturne que ma bite rassasiée qu'une poularde de Bresse à la broche lui a refusé avant l'extinction des feux.
 
Je suis intrigué, des râles commencent à poindre, la coquine n'y va pas de main morte.
 
Elle se redresse allume la lumière et ouvre le tiroir au stupre de la table de nuit, fouille, enlève menottes, vibro et autre boules pour un sexe rose à forme anatomique, de taille humaine ou plutôt d'une taille presque identique à la mienne.
 
Ce gode s'appelle Tom, nom de baptême donné alors qu'un Tom trop mou nous quittait d'une soirée trio et qu'il était avantageusement remplacé par la raideur de ce substitut d'homme qui fut appelé ainsi en souvenir des services rendus.

La voilà Tom en main qui se l'enfonce dans la chatte et commence à gémir.

Pas un mot à mon attention, ni un geste je suis absent.

Puis une main attrape mon bras gauche et pose ma main sur ses seins, son corps se love contre le mien, la main plaque la mienne pour que je lui presse la poitrine et le manège hédoniste continue jusqu'à son point d'acmé.

Tom est enlevé, ma main repoussée, le calme revient dans la chambre sans qu'une parole ne soit échangés.

Le lendemain à midi une confidence, " tu m'as divinement baisée cette nuit, c'était bon ... j'ai adoré"

suivie d'une confession, " je n'ai rien fait du tout cette nuit, tu dormais et tu t'es à ma stupéfaction branlée devant moi "

et d'une conclusion

pour la première fois nous avions vécu chacun différemment une crise de somnambulisme sexuel.

27/03/2012

Nuit dépravée

 

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Retour de pause restaurant après ces instants avec elle. Dans le lit de ma logeuse absente pour cause d'anniversaire et plus si affinités, je ferme les yeux
 
C ... est dans la salle de bain, moi sur cette couche qui a vu tant de galipettes qu'elle ne s'en souvient plus, en mémoire ma queue qui quelques heures plutôt enfin fusionnait avec le si mimi bas ventre de C. Tension enfin noyée dans la cyprine de son envie, fusion charnelle enfin consommée de nos corps appétant. Ses yeux qui tête en bas et sexe en l'air s'humidifiaient de mes vas et viens lents et profonds. Coups d'archets de musique de chambre. Ses cris oh oui, putain que c'est bon couverts par mes râles de plaisirs au déplaisir de la voisine.
 
Mentalement je me destinais à remettre le couvert, envie de sa chatte encore; moi qui avais été frustré lors de notre première rencontre de ne pouvoir visiter que son cul.
 
La sodomie est bonne mais plus grande est la fusion d'une bite dans une chatte et orpheline une unique sodomie.
 
Je ferme les yeux et une main me frôle, j'ouvre les yeux et vois étonné E ...  ma logeuse accroupie à me caresser, encore en tenue de sa soirée.
 
- Mais ton plan cul ?
 
- Oublié je suis rentrée.
 
Les longues jambes de C passent la porte, en soutien gorge et cul à l'air elle vient me rejoindre et découvre  E ...
 
surprise, arrêt, interrogations sur son visage.
 
Ma logeuse est une vorace et profitant de ma nudité m'enlace puis me dévore la bouche.
 
C... s'approche et s'assied sur le lit à nous regarder, acquiesçant implicitement à l'incroyable nuit qui allait se dérouler. Elle pourtant non libertine dont le la seule transgression au rite du couché amoureux fut trois rencontres adopte un mec.

Rapidement je suis en E ... et rapidement elle gémie, ce qui conduit C ... à se caresser à nos cotés.

Me voilà quittant E ... pour C ... qui commence à sucer E ... Puis deux bouches pour ma queue et quelques doigts pour mon cul en guise d'apéri-culs, il faut beaucoup de force pour ne pas exploser en préliminaires.

La nuit fut échange de l'une à l'autre les capotes emplissant la poubelle à chaque changement, me levant pour me laver les mains ou la bite pour respecter l'hygiène de chacune.

Scènes de trio banal si ce n'est l'efficacité et le naturel de C ... dans ses caresses buccales à E ... ou dans son laissé aller à nos caresses ondoyantes.

Mais le banal ne devait pas être le thème de cette nuit et cette coquine d'E ... propose à C ... de la prendre au gode ceinture ce qui ravie notre novice.

La voila sur E ... qui la pénètre de son gode, son cul m'est offert, ville ouverte aux soudards qui vont la piller, ma bite en bélier pour forcer ses défense s'enfonce comme doigt dans motte de beurre, il est vrai que mon chibre est raide de cette nouvelle composition.

Tout au fond je sent le gode d'E ... Commence alors une longue double pénétration ponctuée des cris de plaisirs ou d'encouragement de C ... littéralement ouverte de nos deux bites qui glissent doucement en elle pour l'affolement de ses sens.

E ... toujours dessous est ravie et reçois l'humide hommage de notre C qui coule sur elle.

Mon sexe se sent de plus en plus à l'aise dans son anus qui me laisse libre court, plus de lenteur , plus de mesure, j'entre au plus profond là où la bite de E ... me titille à travers la parois mon frein.

La voisine à du nous maudire de nos jouissances sonores au diapason de nos plaisirs.

Je sens que je vais exploser et sans retenue aucune conduit les coups de reins qui vont provoquer mon orgasme.

Celui ci est d'autant plus puissant qu'il est le premier de la soirée à ce moment là milieu de la nuit.

électrochoc au niveau de la bite dans ce cul devenu suffisamment lâche pour me permettre de coulisser sans difficulté, suffisamment étroit pour me conduire en d'infinis plaisirs.

Je m'écroule sur ses fesses, C ... est sandwich, tranche de coquine entre deux pains au levain pervers.

Je sors, sexe encore dur, C ... se libère de la bite en plastique d’E ... qui se relève.

La coquine est en transe de ce qu'elle a vu et vite me suce pour me remettre en selle, son orgasme sera puissant.

La nuit s'impose, nous nous serrons l'un contre l'autre, tendres visages sous mes bras qui les enserrent.

Parfois un bisous.

D’autre fois pris de bouffées de chaleur nous tentons de nous éloigner les uns des autres dans l'étroit lit, pour plus nous enlacer quand nos corps ont trop froidis.

Le sommeil nous donne quelques forces et au matin E est encore plus en appétit, C ... moins, je nourrie mon affamée de coups de rein bien appuyés ce qui réveille l'envie de C ....

La voilà sur le ventre à plat, moi au dessus d'elle en pompe matinale, me voilà sportif comme jamais je ne l'ai été, mes bras et mes reins épuisant notre C ...

E ... me lance garde des forces pour moi, et profitant d'une demande de souffle de C ... me souffle à elle pour jouir de moi.

Tout cela me donne envie de jouir mais mes excés me rendent l'orgasme plus difficile. J'ôte le préservatif, demande à E de m'enfoncer un anéros, me voilà ouvert de son entrée en mon tréfonds.

Ma bite se raidit plus encore, mes sens sont incroyablement plus aigus . Mon sphincter joue à titiller via l'anéros mon point P, je me trémousse et me sens déffaillir quand les bouches m'avalent.

Ma jouissance sera hurlante et plus grande sera celle de voir deux paires d'yeux brillants, du spéctacle d'une main qui branle une bite ivre de jouir et déversant en gouttes brûlantes la semence de mon engeance.


Tout cela fini à midi dans l'odeur fauve d'une nuit de stupre.

L’eau de la douche pour nous laver de nos pêchés et les mots posés ici pour me confesser de cette nuit de dépravé.

19/03/2012

Nuit des lys


 

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La Gare de Lyon n’est pas trop pleine, 22h, il ne fait même pas froid.

Valisette qui roule, je file hors de la gare, descends les escaliers et tourne vers le boulevard Diderot, les parisiens se pressent aussi, le vendredi jour de coït ?

Dans la rue je la croise, étudiante sage qui me rejoint de retour d’une soirée soumission & explications.

J’ai sommeil, je baille à décrocher la mâchoire. Le bistrot branché de son coin de rue nous refuse un café,  décidément nous sommes des ringues à ne pas vouloir boire d’alcool un vendredi soir.

Des jeunes sortis du bureau sont déjà saouls, jolies filles. L’alcool me les rend moins désirables, dommage.

Un snack nous accueil pour un expresso salvateur, les néons et le sol lavé autour de nous par la grosse black qui interroge sa copine sur les réactions de son ex à son largage rend le lieu triste.

La caféine fait effet, la vessie me presse, il est vrai que les toilettes du TGV sont tellement puantes que nul envie de les utiliser et dire qu’il y a des fantasmes sur celles ci.

Nous grimpons vers son nid d’aigle, 6e étage souffle coupé, il faudra un jour que je me mette au sport. Vessie soulagée.

Le programme ce soir ?

Nulle envie de baise là, je n’y suis pas, il me faut plus de folie pour me mettre en émoi, casser cette semaine, desserrer le nœud de stress qui bloque ma libido.

Elle le sent et ne me demande rien.

Nous nous changeons, moi chemise blanche, elle robe noire, direction le 18e.

En sortant je tombe sur la plaque de la rue Ordener, je n’y étais jamais allé mais ce nom évoque pour moi le fin fond de Paris, une terra inconita, pourtant rendue célèbre dans mon panthéon des rues par la biographie de Paul Eluard qui y a vécu avec ses parents.

Je l’indique à mon accompagnatrice, son corps qui  se presse contre le mien témoigne du pouvoir séducteur de la culture.

Nous grimpons la rue perpendiculaire, une borne pour s’asseoir et ma coquine enfile ses talons hauts, tenue de salope comme une armure revêtue avant le combat.

Le château des Lys mérite son nom du fait d’une tour ronde chapeautée.

Nous sonnons et entrons, pierres apparentes dans le sas et desk pour prendre les vêtements.

Une cliente sort, la cinquantaine vulgaire et grasse, rehaussée d’une robe floue et largement ouverte blanche, sur des chaussures à lacets dorés.

Nous nous regardons et entrons.

Une boite de nuit un peu miteuse, sans grand charme, des banquettes rouges.

Le mari de la cinquantenaire se trémousse, chaîne en or, tee shirt moulant sur ventre rebondit, mon coté esthète prend sur lui.

Nous commandons boire un verre pour se mettre dans l’ambiance.

Le champagne est bon, ouf.

Une jolie fille sur un tabouret du bar qui tourne le dos à la salle, comme pour l’ignorer, son copain , beau garçon au corps tatoué tente de la dérider, elle ne quittera jamais son promontoire.

Une vingtaine de personnes dansent, en faisant attention certains couples sont jolis.

Une femme en dessous blanc se déhanche devant nous, son corps est une énigme, comment peut on être aussi mal foutue et être assez sur de soi pour le montrer ?

Le libertinage à cet avantage qu’il aide à l’acceptation de son corps.

Le champagne, vin de fête, fait son effet notre regard est moins critique, nous allons visiter les lieux.

Une salle de restaurant traversée et des mandarines dégustées, nous grimpons vers les coins câlins.

Les lieux sont plus beaux que la piste de danse, un grand lit à baldaquin, un coin isolé façon boudoir, des marches une pièce petite bondée de corps qui s’emboitent, odeur âcre d’hommes.

La salle de bain bistrot est superbe.

Nous redescendons, pour tombers sur des hublots de navire dans une cloison de métal, une alcôve appétissante, face à un lit dont la tête est un miroir façon années 50, en face une banquette dans le sombre.

Un escalier à descendre et nous voilà à nouveau sur la piste, ambiance moins sexy que le haut.

La cave se visite, en pierre apparente, un sling mais avec coussin, une croix de st André, un rond de pilori rembourré et qui tourne.

Electricité dans le sexe, je déshabille ma coquine, l’attache à la croix de st André et commence à la doigter. Sa mouille me dit son envie.

J’hésite à la baiser ainsi ou la détacher et la placer sur le rond de pilori.

Deuxième option, elle est idéalement placée pour que ma bite qui y rentre comme dans un gant sur mesure tape le haut de son sexe.

Coups lents pour qu’elle me sente totalement.

Un trio descend les escaliers, une jolie métisse s’approche et caresse le corps de ma suppliciée qui rapidement avoue son orgasme, soubresauts dont les cris sont contrariés par une bronchite finissante.

J’enlève ma capote et remonte mon pantalon, le trio nous quitte, pas de commerces envisagés.

Cela m’a donné faim, envie de plus de conforts, d’échanges, de contact de peaux.

Nous remontons dans les étages supérieurs quelques couples baisent, ils ne nous donnent pas envie, le coin à hublot se rappel à nous, nous le cherchons dans ce dédale.

Il est occupé, un couple pas mal baise lentement , aucune frénésie , de la sensualité.En face d'eux un lit à miroir année 50 est libre , à droite sur la banquette à peine perceptible un couple est enlacé.

Vite deshabillés nous commençons à jouer.

Cela attire du monde, pause de couples qui nous contemplent, nous les ignorons pour plus nous concentrer sur notre plaisir.

J’enfile une capote, je bande dur, la fatigue de la semaine est passée, je suis un pervers d'être sensible au décorum comme s'il s'agissait de conjurer les années la pénombre de mon lit conjugal .

Je la pénètre au plus profond et commence un va et vient sensuel, magie des coups reliés au plaisir commun.

Un couple s’approche je me déplace pour qu’il vienne à coté de nous, l’homme tombe le pantalon et se fait sucer.

Dans l’alcôve des râles de plaisirs montent à chaque coup de reins très lents du voisin, elle est couchée sur le ventre, lui au dessus visiblement l’encule avec délice.

Ces cris sont excitants, la femme de l’autre couple se penche sur notre lit, à presque nous toucher, elle offre son fessier à son homme qui s’y enfonce et la fourrage vigoureusement.

Ils finissent.

Pendant ce temps nous continuons à jouir à l’unisson dans la décandance de cette proximité, Changeant de position au gré des variations de plaisir. Tout oublier pour ne vivre que ces vagues qui montent de nos sexes.

Viens l’orgasme, je me lâche, dieu que c’est bon.

Nous restons nus, enlacés à observer.

moment aussi important que les chevauchées.

Les couples passent et la fatigue nous gagne.

En bon macho je me lève et donne le signal, nous sommes vite rhabillés.

En bien éduqué je règle pendant qu'elle est aux toilettes.

Dehors il fait froid désormais, il est trois heure du matin, un taxi passe, je le hèle, chance de cocu et pourtant nous n'avons pas échangé.

Encore l’épreuve des 6 étages et vite dodo, demain je dois visiter trois galeries et garder des forces pour une nouvelle rencontre dans le café d’Amélie Poulin rue Lepic le week-end commence et il se prolongera jusqu’au mardi.

Dans la nuit je serai témoin d'une crise de somnambulisme sexuel que je conterai plus tard.

12/03/2012

Réflexions partouziques

 

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Son rayon fessier me cache le trou que je dois enfiler, il faut dire qu’il s’agite dur entre les cuisses de ma complice.


Ses formes ne m’excitent pas, point la douce courbe des fesses qu’il me plaît de contempler, ni le soyeux des peaux que j’aime humer.


Mon sexe se lasse de mes vaines tentatives et je sens qu’il va me lâcher,
En extrême-onction Je le lance une ultime fois et ne me rend pas compte que la cible est atteinte.


"Hummps ça fait mal , attend un peu" entends je entre deux râles.


Je ne puis attendre sans débander et me retire donc .


Je les laisse baiser et les regarde œuvrer.


Sexe flasque, penaud et un peu colère de mon manque de dureté ou mon incapacité à aller au bout de mes expériences.


Je crois que le sexe pluriel ne m’amuse plus et me dis qu’il est tant de reprendre mes rencontres duo.


Et puis je sais maintenant que je ne suis pas amateur de cul masculin ...


20/02/2012

Nuit du Hammam

 

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Le vent des Alpes avait figorifié notre balade en vélo dans les rues pentues du vieux Lyon , nos corps glacés hurlaient à vouloir du chaud en dégèle d'une libido hibernée. Ce n'était ni le cappuccino, ni le chocolat chaud de cette boutique junk food qui avait pu annoncer le dégèle de nos sens. Affrontant plus encore le froid de la nuit tombante nous nous sommes enfoncés vers la Croix Rousse jusqu'à une discrète porte de fer à l'enseigne Sun City.

Celle ci franchie, le prix de la nudité payé et accomplie grâce aux casiers désormais célébres du lieu, nous voilà dans une immense salle.

Partout des statues tantriques, une hauteur de plafond énorme soulignée par d'immenses lustres rouges, le bar en face, des canapés contre un rocher et au dessus de celui ci une vaste piscine où l'on peut nager entre les statues sous le regard de la cosmogonie indienne.

Le lieu est somptueux, énorme, incroyable et totalement vide. Nous tombons les paréos, mon accompagnatrice novice et pudique se sent génée. Je le suis aussi ne m'aimant point nu, vite l'eau et une nage sans frein d'un maillot, dans le bouillonnement de l'eau.Un couple se décote, nous le frôlons et nous nous réchauffons aux bulles chaudes. Nos yeux nous piques, le chlore nous gêne, il faut sortir. L'eau coule sur nos corps et le froid de l'air saisi nos chairs.

Paréos remis, nous allons vers l'entrée des étages, un salon de cuir nous attend. plus haut des cabines , un couple s'y affaire, nous le regardons . Corps qui s'accouplent en intimité partagée. Mon accompagnatrice est génée. je la conduis vers la porte vitrée du hammam.

Tout est noir, enveloppé par une brume mentolée. Au plafond on distingue des lueurs comme une voûte étoilée un soir de brouillard. Du sol au plafond des petits carreaux noirs, une banquette carrelée de ces même carreaux courre contre les murs. aucun angle tout est en douceur comme une construction de Gaudi.

Nous sommes seuls , la chaleur nous prend, nous nous asseyons et commençons à suer, son corps blanc sur le noir des carreaux m'excite, j'introduis deux doigts dans sa petite chatte, le lieu est aussi humide que notre hammam.Le regard qu'elle me jette est une invite à une première pour elle.

nous sommes trop chauds pour des préliminaires , assise sur la banquette elle écarte les jambes, je m'introduis accroupi devant, elle. Mon sexe tape sur son point G, mes jambes n'ont pas le temps de fatiguer elle part immédiatement.

nous voilà en levrette, elle les mains sur la banquette moi en arrière je vais et viens, de temps en temps une goutte brûlante tombe et nous fouette les sens de sa morsure. Piqûre d'épingle en piment de notre plaisir, nous l'attendons, elle ne vient jamais au même endroit, jamais au même rythme, à chaque fois un cris et un coups de rein plus puissant.

A ce rythme, elle cesse vite, se rassoie et me confesse qu'avec cette chaleur elle ne peut tenir très longtemps, c'est essoufflés et les jambes brisés que nous sortons.

Le canapé anglo indien du bar et un cocktail pour nous remettre toujours seuls.

il fait faim et nous avons reservé à heure fixe pour la suite de la soirée. Douche et vestiaires, un peu cotonneux, on en profite pour visiter le bas, dark room avec cage, slig, hummm dommage que nous soyons sans force, un coups d'oeil intérogateur de ma part, non, rires, vraiment dommage.

Nous sortons, la petite rue est vide, un couple , fin vingtaine, trés BCBG marche, joli, je sens qu'ils vont d'où nous venons, ils me dépassent, et tournent dans le passage du Sun city, je les envie pourquoi n'ai je pas eu la chance à leurs âges et d'apparence aussi sage qu'eux de ne pas avoir connu cela?

Nous pressons le pas à cause du froid, notre table dans un bar à vin nous attend, après les plaisirs charnels, ceux buccaux, Lyon n'est il pas connu pour sa bonne chair aussi.


29/01/2012

Nuit des chandelles

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Les chandelles sont pleines ce soir et c’est avec difficulté que nous nous faufilons dans la salle du fond, celle avec les trois lits.

Les couples sont nombreux debout à regarder le lit central où six personnes mêlent leurs corps en une partouze exhibitionniste.

Les spectateurs sont habillés, parfois ils osent une main sous la jupe de leurs compagnes, certains se font sucer, quelques femmes sont nues.

L’alcôve du fond est vide, tout le monde lui tourne le dos faute de spectacle.

Nous profitons pour nous installer, vite nus nous nous enlaçons. E … me suce si fort que j’en bande immédiatement, il faut dire qu’elle est avide de ce que nous allons vivre, nous nous sommes retenus pour ce soir.

Profitant de la réception simultanée de résultats négatifs, nous savons que nous sommes safe tous les deux, l’envie d’une baise sans capote nous titille.

Mon corps est dressé, sa chatte est trempée, il est aisé d’y pénétrer, surprenante sensation que de s’enfoncer pour la première fois dans un sexe sans capote.

Je connais pourtant tant sa géographie mais là, je sens l’humidité et la douceur de ses chairs intimes, j’y glisse sans frein, et cela donne une sensation plus forte.

Je sors ma bite, le froid de l’air et la mouille sur ma queue donnent un sentiment de frais sur ma hampe. E… est trempée et brûlante, je me mets à jouer avec ces chauds et froids qui accroissent mon plaisir.

Nous changeons de position, la voilà en levrette, les gens nous regardent, des hommes caressent sa croupe, une femme s’agenouille et l’embrasse.

Je mets du gel directement sur ma bite, un spectateur le remarque et prédit que je vais l’enculer, des couples se rapprochent pour nous regarder de plus prêt.

Je m’enfonce dans son trou qui ce soir, n’a de serré que le nom, cela glisse tout seul, et me sens comme mordu par le sphincter qui se relâche doucement.

J’imagine mon gland s’enfoncer dans ses matières fécales, ça m’excite et je durcis plus fort, ce qu’elle ressent immédiatement.

La chaleur est plus forte qu’avec capote et la texture de ses boyaux est plus perceptible.

Surtout je vais et viens plus facilement, elle se tord de plaisir et nous commençons une longue sodomie.

Mes à coups sont lents et je sors complètement pour mieux l’écarter en rentrant, ce qui la met en transe.

Des mains la caressent,  je lui empoigne les cheveux et les tord pour que les racines de ceux ci, tirées en arrière provoquent sur son crâne cette douce douleur qui se marie si bien avec la dilatation de l’anus.

Cette sodomie naturelle dure tant et tant que je la vois se caresser le clito de plus en plus frénétiquement, elle va jouir je le sens, son cul se rétracte, alors je plaque plus fort mes mains et accélère le rythme.

C’a y est elle jouit. Vite, plus vite encore, arriver pour moi à l’explosion qui vient rapidement. Elle n’est pas totalement redescendue, nos orgasmes se suivent, mon sperme coule dans ses entrailles pour la première fois. Je suis, de plus, abondant car je m’étais préservé pour la perspective.

J’ai totalement oublié les personnes autour de moi, j’imagine juste mon foutre gicler au plus profond de son corps et chauffer celui ci.

Je n’ai pas à me retirer, pas de capote à perdre, juste à me sentir débander.

Elle est couchée sur le dos, nous sommes en cuillère et mon sexe flasque sort d’elle, ma main qui se pose sur son anus, le sent ouvert et gluant de ma semence, elle me dit la sentir refroidir.

Nous sommes bien et je regarde autour de moi, apaisé, les culs des femmes dont certaines sont à  portée de main, je ne me retiens pas d’en frôler un si doux.

Un coups de mouchoir et je me lève, nu vers la douche en retraversant le couloir, regards amusés de voir là un homme à poil, la douche chaude me délasse et je lave ma bite qui n'est finalement pas souillée.

Je rejoins E … qui m’a attendu sagement, quelques mains sont venues mais elle a refusé toutes invites de baise.

Je lui tends sa culotte, excité à l’idée qu’elle va, au cours de la soirée, se remplir de mon foutre qui sortira d’elle.

Nous allons au bar voir les femmes danser et sur un canapé siroter un alcool.

La soirée commence ainsi et elle finira tard.

 

 

03/01/2012

Nuit Proctologique

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Nus et repus nous discutons, dialogue intime d'amants infernaux en souffle de la fougue d'une rencontre qui n'aurait pas du avoir lieu.

La belle est mariée depuis des années, ce n'est pas une libertine et son mari médecin peu à même d'apprécier les cornes que mes coups de reins lui ont plantées.

Nous avions goûté quelques minutes plus tôt les joies d'une levrette pratiquée avec un plug qui avait eu pour effet de serrer le sexe de ma belle, d’appuyer sur le mien et lui donner l'impression d'un envahissement général.

Expérience nouvelle pour elle mais fort appréciée, moins de nos voisins de chambre.

Bref nous discutons, apaisés et détendus, trop ...

D'un bond, elle sursaute et hurle" mon plug, mon plug, mon cul l'a avalé !

Ma main sur son anus confirme la disparition que les draps plus vierges des traces de nos ébats  mais de lui désespérément, confirment l'affreuse hypothèse.

Affolement ...

Ses mains sur son cul à tenter de trouver l'objet de notre perversité, le rouge de son visage et la fièvre de ses yeux disent qu'elle se voit aux urgences pour une intervention afin de retirer l'intrus, s'imagine les sourires graveleux des carabins transformés en déboucheur de cul, s'imagine expliquer à son mari comment elle a pu connaître cette situation, ni montrer la radio qui allait être prise et qu'en tant que membre du corps médical, il n'aurait pas manqué de demander à voir.

"on est dans la merde" qu'elle lance est une conclusion orale de ce cauchemar anal qui serait comique si nous n'étions pas dans l'exacte définition de l'expression.

Cela me cause un effroi et un sourire, à moins que cela ne soit un sourire d'effroi.

Mais l'homme se découvre face à son destin, curieusement je ne m'affole pas, je la calme et lui demande de s'allonger et surtout de ne plus contracter son sphincter.

J'avais connu les prémices d’une telle situation dans mes expériences libertines où un plug qu'une jeune vicieuse m'avait enfilé dans l’oeillet avait commencé à plier les ailettes en caoutchouc de sa base pour pénétrer dangereusement dans mon intimité. La coquine avait tenté de l'arrêter avec ses doigts, mais pleins de gel, ils glissaient, elle avait pu avec la bouche mordre dedans, le temps que mes mains soient essuyées pour enlever l'intrus, j'avais évité les urgences de l'hôpital de Barcelone de peu.

Nous avions discuté de cela avec un urgentiste masochiste de nos connaissances qui avait ri en disant que la grande distraction des soirées stressantes de garde était l'extraction anale d'objets divers, au passage il nous avait dit que souvent des massages évitaient la pince ou l'opération.

Il y avait peut-être une chance : je tâte son ventre mais malgré la platitude excitante de celui-ci, aucune sensation de l'intrus, définitivement disparu.

Ce ventre si fin l'avait avalé.

En urgence avant qu'il ne soit trop tard, je plonge alors un doigt dans son vagin, me rappelant le plaisir que l'on a parfois à rentrer un doigt dans le sexe pour jouer avec la bite qui se trouve dans le cul.

Eurêka, je sens le plug, mais une paroi de chair m'en interdit l'accès.

De l'extrême bout du doigt, je sens toutefois la pointe de l'engin qui creuse son chemin au plus profond des intestins, mue par les contractions instinctives de ceux-ci.

En appuyant fort, je devine un soupçon de blocage de la progression tout en calmant ma belle enragée présentement douchée d'anxiété, de la réussite, toute affirmative de mon entreprise.

Pourtant, petit à petit, ces paroles destinées à limiter les effets néfastes de contractions d'angoisse, deviennent de moins en moins mensongères et je sens une progression inverse, rendue difficile par mon seul doigt.

Je plonge l'autre et comme une pince et en douceur, je les place de chaque côté de la pointe que je sens, enfin cette position me permet de diriger l'engin.

Mes gestes sont précis, curieusement vu la situation fort sereins et mes paroles calmes , elle ne bouge plus et semble me faire confiance.

Lentement, avec d'infinies précautions pour ne pas la blesser, je progresse, reste le muscle du sphincter intérieur à dépasser alors que la forme de l'anneau du plug constitue un blocage.

Mes deux doigts bien calés pour ne pas perdre le contrôle de l'envahisseur, de la main gauche je plante un doigt dans l'anus qui s'ouvre, au fond je touche la base , curieuse posture d'un doigt pour le toucher , deux doigts pour le bloquer à travers la paroi du vagin, mais l'heure n'est pas aux jeux sexuels.

Je pousse depuis son vagin  et plante un deuxième doigt dans l'anus, mes yeux quittent son entrejambe, "j'y suis, je le tiens"

soulagement de son regard d'enfant affolé

" Tu as mal ? "

"Non"

J'écarte alors mes doigts de la main gauche et ouvre son cul, la main droite plie les doigts , le plug apparaît, je l'agrippe avec ma main gauche en pince à deux doigts et le sort triomphant.

Elle pleure de soulagement, me traite de sauveur et me couvre de baisers ...

Je suis plus surpris qu'elle du sang-froid et de la maîtrise technique dont j'ai pu témoigner et surtout de la réussite de mon opération, me voilà à l'égal d'un chirurgien.

L'expérience sexuelle, ça en jette quand même ... On  fête  cela , quelques minutes plus tard en missionnaire.   

15/12/2011

Nuit bohème

 

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photos Jo Varin

 

Corps à corps, accords libertins

chambre obscure et clichés

en proue ou poupe naviguer

dans la mer des sargasses copuler

  l'inconnue bientôt eue

tirer à hue et à dia

sucer lècher peloter

cons culs bouches

comme champs de liberté

toute une nuit pénétrer

et demain recommencer

sagesse des libertins

que l'on tente d'écouter

et tant pis si nos nuits sont écourtées

notre vieillesse sera suffisamment longue

pour nous reposer

et se remémorer

nos nuits bohèmes

 

 

 

 

12/11/2011

nuit trio (suite et fin)

 

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Caresses, embrassades, nos quatre mains sur son corps, la chauffent, la brûlent, l'embrasent. S...  la déshabille. Je profite pour couvrir sa peau de ces baisers qui ne sont que des avants goût de brasiers. Les dessous sont ôtées, nudité offerte à l'avidité de nos mains de nos bouches, de nos corps entiers que nous dénudons aussi pour mieux sentir l’animal désir qui nous parcourt.

On  se touche, on s'enlace, mes mains prennent possession de ses seins. Petites poires dardant leurs tétons dressés. Je suce, pince, tire, mordille, avale, inonde, à son plus grand plaisir.

La main de mon complice prend possession de son sexe. La belle se cabre, se tortille. J'imagine les dards sensuels qui percent son corps de nos mains de conjurés.

S... me laisse le champ humide qu'il a labouré. Le sexe est petit, lèvres  bien découpées, glabre et doux, ma main en fait le tour sans appuyer comme pour survoler ce qu'elle va pénétrer. Je lance un doigt en apnée de sa cyprine qui inonde sa grotte intime. Vite j'en explore les parois à la recherche des marques du plaisir. Je la découvre légèrement rugueuse et qui enfle au fur et à mesure que je masse. Le corps entier se tort, un œil au dessus et je les vois enlacés dans un baiser vorace.

Deux doigts maintenant jouent dans ce lieu dont je comprends mieux la géographie. La bosse rugueuse est parcourue de mes deux pulpes, en alternance, parfois ma main se crispe et se referme appuyant fortement sur ce que j'avais flatté. Effet immédiatement comme un claquement de fouet accompagné de l'écho d'un râle. C... aime et je vais en abuser à la rendre essoufflée.

La main fatiguée, je plaque ma bouche sur sa chatte trempe, le goût est doux, délicat. Ma langue plonge en elle puis remonte, parcourt les lèvres, les tournent, les aspirent, en cercle s'approche du clito, qu'elle ne quittera plus.

Doigts, langue, lèvres, menton et mes mains qui la caressent me font perdre le sens de moi même je ne vis que pour le souffle de ses râles.

Animal qui se cabre, se raidi, implore, geint, encourage jusqu'à me repousser n'en pouvant plus. Instant de court répit, son homme lui donne enfin l'estocade de sa bite roide.

Je les observe, affalé, le goût d'elle sur mes lèvres, l'odeur de leurs luxure au fur et à mesure qu’elle s’accélère dans mes narines.

Je ne suis ni excité, ni frustré, je me sens bien comme un entracte où l'on jouerait une scène pour patienter.

Les jambes de notre coquine se lèvent bien haut, sa tête se lance en arrière et le dos de son mari s'anime de plus en plus jusqu'au paroxysme libératoire qui le jette de coté m'appelant du regard.

Je m'approche, elle me suce, me durcit et vite réclame des yeux mon corps en elle. Je la pénètre, contrition de son sexe serré, lubrifié des flux matrimoniaux. La chaleur de sa chatte traverse le latex et pénètre ma queue. Au premier coup de rein elle l'accompagne. Merveilleuse voracité de son con qu'elle me lance pour amplifier mes mouvements.

Je lui glisse de me pincer les seins, effet turgescent immédiat nous en sourions et jouons de plus belle.

A quatre pattes, elle m'offre sa vulve ouverte et son anus, une idée lubrique me traverse mais je n'ose, alors je l'empale classiquement jusqu'à la garde. Me sentir bien au fond d’elle. A grand coups, répond ensuite à ses impatientes invites, elle semble très apprécier. Une claque tombe sèche, impromptue, sur ses si belles fesses, à ses cris de joie, ma main s'en donne à cœur joie.

J’avoue oublier tous les détails de nos ébats et de ceux de S ... une vision me revient, elle nous quitte brusquement et se jette au bout du lit n'en pouvant plus de trop d'émotions.

Sur le lit elle répètera trois fois que cela en est trop.

Je me vois aussi me blottir contre elle ou lui sucer ses orteils avec la sensualité d’un enfant comblé.

La chaleur de la pièce devient étouffante, nous nous levons et rejoignons nus et en sueur le salon. Fraîcheur bienheureuse, réparatrice, nos gosiers sont asséchés. Le canapé nous accueil dans cette liberté nue qui sied si bien aux amants heureux.

Nous buvons encore, il est tard mais l'envie de recommencer nous reprend, nous retournons à la chambre et nous enlaçons cette fois plus en mêlée.

Mes mains touchent le corps de son mari alors qu’il est en elle et me caresse le sexe. A son orgasme, je le remplace et lèche sa bite à hauteur de ma bouche.

Odeur de sexe fatigué libéré d'avoir joui,  de chatte avide et son goût de foutre dans ma bouche pour carburant de mes reins de notre coquine décidément très coquine.

Nous restons là épuisés, la nuit est si avancée qu'il faut rentrer, je les quitte heureux espérant qu'ils l'ont été.

10/11/2011

Nuit trio (1)

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C'est en courant que j'arrive rue C ..., Téléphone à l'oreille tentant de convaincre mon ado de fille de rentrer de sa balade nocturne avec son boyfriend d'un mois. Négociation non aboutie au moment où la porte s'ouvre. L'appartement est grand, vide, chaud de son parquet patiné, Clair de ses murs blancs, intello des livres posés à même le sol en bibliothèque d'amoncellement.

Le canapé gris souri est  occupé par mon hôtesse C ... blonde Botticelli, teint rehaussé par le rouge qui illumine ses petites mais pulpeuses lèvres, des bas noirs soulignent ses jambes rehaussant la sagesse d'une robe portée pour être ôtée.

S..., Son mari débouche le vin que je lui tend, le libertinage est plaisir que ceux de bouches présagent.

Les augures sont favorables par le goût du vin, le charme intellectuel de notre conversation. Culture, art, réflexions libertines, nos mots glissent pour une discussion qui s'installe quand enfin mon ado cède à mes injonctions SMesques. Soulagement du père, libération du libertin.

Difficile de changer de braquet , du badinage au libertinage. Une pointe de timidité parfois. Je quitte mon fauteuil et m' installe sur le canapé tout près de ma jolie hôtesse. premier contact de nos doigts, peaux qui s'échangent les flux du désir.

Les mots continuent, ma main s'autonomise effleure le nylon, le mari me regarde, sa femme le regarde, je regarde mes mains.

Nous passons à la chambre. lit blanc, rideaux tirés, bougies allumées ,  une immense affiche de détail d'un tableau ancien, à droite un miroir au sol dont le tain fatigué ouvre une perspective d'infini au lit.

Nos bouches se découvrent, merveilleuse langue et non moins merveilleuses lèvres que je suce, je m'écarte pour que S ... L'embrasse aussi. Nos passes de trois vont commencer, n'étais-je pas invité pour cela.

 

 

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Caresses, embrassades, nos quatre mains sur son corps, la chauffent, la brûlent, l'embrasent. S...  la déshabille. Je profite pour couvrir sa peau de ces baisers qui ne sont que des avants goût de brasiers. Les dessous sont ôtées, nudité offerte à l'avidité de nos mains de nos bouches, de nos corps entiers que nous dénudons aussi pour mieux sentir l’animal désir qui nous parcourt.

On  se touche, on s'enlace, mes mains prennent possession de ses seins. Petites poires dardant leurs tétons dressés. Je suce, pince, tire, mordille, avale, inonde, à son plus grand plaisir.

La main de mon complice prend possession de son sexe. La belle se cabre, se tortille. J'imagine les dards sensuels qui percent son corps de nos mains de conjurés.

S... me laisse le champ humide qu'il a labouré. Le sexe est petit, lèvres  bien découpées, glabre et doux, ma main en fait le tour sans appuyer comme pour survoler ce qu'elle va pénétrer. Je lance un doigt en apnée de sa cyprine qui inonde sa grotte intime. Vite j'en explore les parois à la recherche des marques du plaisir. Je la découvre légèrement rugueuse et qui enfle au fur et à mesure que je masse. Le corps entier se tort, un œil au dessus et je les vois enlacés dans un baiser vorace.

Deux doigts maintenant jouent dans ce lieu dont je comprends mieux la géographie. La bosse rugueuse est parcourue de mes deux pulpes, en alternance, parfois ma main se crispe et se referme appuyant fortement sur ce que j'avais flatté. Effet immédiatement comme un claquement de fouet accompagné de l'écho d'un râle. C... aime et je vais en abuser à la rendre essoufflée.

La main fatiguée, je plaque ma bouche sur sa chatte trempe, le goût est doux, délicat. Ma langue plonge en elle puis remonte, parcourt les lèvres, les tournent, les aspirent, en cercle s'approche du clito, qu'elle ne quittera plus.

Doigts, langue, lèvres, menton et mes mains qui la caressent me font perdre le sens de moi même je ne vis que pour le souffle de ses râles.

Animal qui se cabre, se raidi, implore, geint, encourage jusqu'à me repousser n'en pouvant plus. Instant de court répit, son homme lui donne enfin l'estocade de sa bite roide.

Je les observe, affalé, le goût d'elle sur mes lèvres, l'odeur de leurs luxure au fur et à mesure qu’elle s’accélère dans mes narines.

Je ne suis ni excité, ni frustré, je me sens bien comme un entracte où l'on jouerait une scène pour patienter.

Les jambes de notre coquine se lèvent bien haut, sa tête se lance en arrière et le dos de son mari s'anime de plus en plus jusqu'au paroxysme libératoire qui le jette de coté m'appelant du regard.

Je m'approche, elle me suce, me durcit et vite réclame des yeux mon corps en elle. Je la pénètre, contrition de son sexe serré, lubrifié des flux matrimoniaux. La chaleur de sa chatte traverse le latex et pénètre ma queue. Au premier coup de rein elle l'accompagne. Merveilleuse voracité de son con qu'elle me lance pour amplifier mes mouvements.

Je lui glisse de me pincer les seins, effet turgescent immédiat nous en sourions et jouons de plus belle.

A quatre pattes, elle m'offre sa vulve ouverte et son anus, une idée lubrique me traverse mais je n'ose, alors je l'empale classiquement jusqu'à la garde. Me sentir bien au fond d’elle. A grand coups, répond ensuite à ses impatientes invites, elle semble très apprécier. Une claque tombe sèche, impromptue, sur ses si belles fesses, à ses cris de joie, ma main s'en donne à cœur joie.

J’avoue oublier tous les détails de nos ébats et de ceux de S ... une vision me revient, elle nous quitte brusquement et se jette au bout du lit n'en pouvant plus de trop d'émotions.

Sur le lit elle répètera trois fois que cela en est trop.

Je me vois aussi me blottir contre elle ou lui sucer ses orteils avec la sensualité d’un enfant comblé.

La chaleur de la pièce devient étouffante, nous nous levons et rejoignons nus et en sueur le salon. Fraîcheur bienheureuse, réparatrice, nos gosiers sont asséchés. Le canapé nous accueil dans cette liberté nue qui sied si bien aux amants heureux.

Nous buvons encore, il est tard mais l'envie de recommencer nous reprend, nous retournons à la chambre et nous enlaçons cette fois plus en mêlée.

Mes mains touchent le corps de son mari alors qu’il est en elle et me caresse le sexe. A son orgasme, je le remplace et lèche sa bite à hauteur de ma bouche.

Odeur de sexe fatigué libéré d'avoir joui,  de chatte avide et son goût de foutre dans ma bouche pour carburant de mes reins de notre coquine décidément très coquine.

Nous restons là épuisés, la nuit est si avancée qu'il faut rentrer, je les quitte heureux espérant qu'ils l'ont été.

24/10/2011

Un samedi sur terre

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Un SMS reçu en guise de mots tus qui vous tuent.

500 km d'asphalte pour cure d'un mal-être.

Le ventre qui se tord, la route avalée vers des bras ouverts pour oublier ceux toujours fermés.

Ce voyage est une folie, fuite vers mon désir au moment où expirent 20 ans de vie commune.

La garrigue fait place au Rhône, Lyon est dépassé bientôt la Bourgogne et ses riches contrées, pays de cocagne pour apaiser mon mal et m'oublier.

Une allée dans la ville et je croise son regard, corps juvénile pour plaies anciennes.

Le soir nos mots comptent nos maux partagés , elle ceux de sa rupture, moi de celle qui vient.

Et puis le canapé et nos bouches fusionnées, nos corps enlacés.

Retrouver le sien après tant d'années, souvenirs de l'ivresse de notre dernière rencontre.

Mais l'ivresse est incompatible avec la peine qui agit comme l'alcool.

L'aiguillette nouée, seuls mes bras enserrant son corps se lovent pour pansements de ma plaie.

Corps chaud pour coeur froid , chaleur qui m'apaise, me rassure.

kilomètres avalés pour me rassasier

 

13/10/2011

Nuit cocaïne

 

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ENQUETE PRELIMINAIRE

PROCES VERBAL D’AUDITION

POLICE NATIONALE

Commissariat du 12e PARIS

 

 

PV 1754

Année 2011

Feuillet 1/1

 

Le SAMEDI 29 septembre 2011 à  7H 00 minutes

Nous soussignés Officier PATRICE JOURDAN, agent de police Judiciaire en résidence au commissariat du 12e arrondissement de Paris.

Vu les articles 20, 21-1 et 75 à 78 du code de procédure pénale.

Nous trouvons à notre bureau du commissariat du 12e arrondissement de paris, rapportons les opérations suivantes.

Mr Waid Andsee, né le XX XX XX à XX demeurant XXXXXX , profession XXX Interpelé en flagrant délit d’atteinte à la pudeur, tapage nocturne, exhibition sexuelle.---------------------------------------------------------------------------------------

L’Agent  : A le 29 septembre 2011 à 1h00 minutes  les riverains du XXXXX, 12e  nous ont signalé qu’un couple nu sur le balcon, haranguait les passants, et pratiquait un coït à la vue de tous. Une voiture de nos services s’est rendue sur place à 1H 05 minutes  et à pu constater qu’au 5e étage de l’immeuble sis XXX se trouvait bien un couple d’une trentaine d’années, totalement nu à l’exception de bas pour la femme, ils criaient à l’attention des passants ou des voisins sur le balcon et semblaient en outre en plein accouplement sexuel. A l’étage notre équipe s’est fait ouvrir par l’interpellé qui était hâtivement vêtu d’un boxer blanc. Une femme plus jeune se trouvait derrière lui, totalement nue, le couple vu sur le balcon s’y trouvait encore. Après avoir décliné notre identité et nos qualités nous avons pénétrés dans les lieux en suite d’un flagrant délit. L’appartement était composé de deux pièces, dans la première se trouvait un canapé lit ouvert et une table avec les restes d’un repas libanais, 4 bouteilles de vins étaient ouvertes et vides. Se trouvaient des mégots de cigarettes, une odeur de cannabis flottait dans l’air, sur la table une paille et une carte de crédit démontrait un usage de cocaïne. La deuxième pièce était la chambre comportant un matelas avec des draps rouges défais, au mur se trouvait des images de coïts de deux des personnes présentes sous forme de photos format A2, au ton brun. Une table de nuit fut ouverte et contenait ( une boite d’une centaine de préservatif, 6 tubes de gel marque Durex, une paire de menotte , des olibos de toutes tailles , une boule bâillon , un gode ceinture, des objets vibrants).Nous avons interpellé le couple sur le balcon , lui demandant de cesser immédiatement toute exhibition, sur interpellation pour connaître leur identité, ils ont ri, et tenu des propos incompréhensibles sur le droit de fumer sur le balcon, leur haleine sentait l’alcool, la pupille de leurs yeux était dilatée et leurs propos témoignaient d’une grande confusion .Le deuxième couple était plus calme tenant un discours clair et tentant de minimiser la situation, devant le trouble à l’ordre public causé, les 4 individus furent sommés de se rhabiller et placés en état de garde à vue à 1H 30 minutes  puis déférés devant monsieur l’OPJ de service de nuit qui a requis le médecin de garde. Le docteur XXX a examiné les 4 gardés à vus les a déclaré aptes à subir une détention, ils ont été informés de leur droit d’assistance d’un avocat commis ou choisis par eux et ont décliné l’offre par deux fois réitérée, dépouillés de tout objets de nature à porter atteinte à leur intégrités ils ont aussi remis leurs téléphones portables, leurs cartes de crédit, les bijoux et montres ainsi que les valeurs dans leurs portefeuille. Placés en cellule de dégrisement  à 2H00 minutes .------------------------------------------------------------------------------------------------------

L’Agent: Monsieur Waid andsee souhaitez vous être assisté d’un avocat ou voulez  vous vous expliquer immédiatement sur les circonstances qui ont amené nos services à vous interpeller ?------------------------------------------------------------------------

WAID : Je ne souhaite pas être assisté par un avocat et je vais vous donner les faits. Je suis auteur d’un blog érotique où je livre mes expériences de rencontres, celles ci ont pour titre Nuit accompagnées de la description des faits ou de mes sentiments, ce blog connaît un certain succès d’audience et me conduit à faire quelques rencontres pour nourrir les textes. Etant sur Paris ce weekend nous avons décidé avec A… de faire une soirée rencontre chez elle. Pour cela j’ai discuté via un site de rencontre échangiste avec une personne qui se trouvait être une de mes lectrices et compagne de jeux d’un garçon avec qui nous avions déjà fait une rencontre. Nous avions prévus la soirée à 21H et avions préparés une collation. Il sont venu à 21h30 et avaient visiblement consommés du cannabis, la discussion a été très conviviale et immédiatement détendue, c’était la première fois que je découvrais l’amie lectrice de notre connaissance, c ‘est une belle femme élancée d’une trentaine d’années, elle portait des escarpins noirs sur des bas noirs le tout surmonté d’une robe rouge. Nous avons débouchés quelques bouteilles. E … nous  a demandé si cela ne nous embêtait pas qu’ils fument, ne fumant pas pour notre part avec notre hôtesse. Nous avons indiqué que non. Ils ont alors au cours de notre conversation enchainé les cigarettes. Puis ils ont demandé s’ils pouvaient se faire un joint. Ils ont roulé une cigarette et ont fumé un ou deux joints. Le temps passant et notre connivence étant suffisante, nous avons décidé de passer dans la chambre qui était dans la pénombre éclairée que de bougies. Vite les filles se sont retrouvées couchées, j’ai enlacé mon hôtesse, tout en caressant F…, son ami E… lui ôtait ses dessous blanc en jouant avec elle. Je me suis retrouvé avec mes deux mains dans leurs sexes, à jouer des différences d’humidité, de forme et de texture. F…  essayait de sucer A … mais celle ci était semble t il rétive à sa bouche, les choses ne s’enchainaient pas de façon harmonieuse, je sentais A … agacée, E … ne bandait pas alors qu’elle le suçait et F … n’était pas  à son plaisir.

Celle ci et E … sont allés se faire un autre snif, nous avons continué à jouer avec A … mais elle ne supportait pas que je lui touche les seins et se rétractait quand je tentais de la sucer, finalement c’est elle qui a pris ma bite en bouche et commençait à me faire rendurcir quand nous avons entendu des cris. C’était F … qui hurlait du balcon des coucou, waoooouuu et autres onomatopées. J’ai dis à E … hey qu’est ce que vous faîtes, pas d’exhibitionnisme sur le balcon, Ils se sont mis à rires, il étaient complètement partis lorsqu’on s’est levé pour fermer les fenêtres, F … rigolait et n’avait pas conscience de ce qu’elle faisait, E … était plus lucide. Vos services sont arrivés quelques minutes plus tard.

Nous avons tenté de discuter avec eux, ils ont perquisitionnés et sont tombés sur les restes des sniff et sur le tiroir de notre hôtesse, visiblement ça les amusait de nous voir tenter de minimiser la situation ils riaient en disant que cette affaire allait faire rire leurs collègues.

Pour notre part A … et moi nous ne sommes pas allés sur le balcon, bien que certains voisins affirment que deux couples se sont  exhibés. Je prends note que le résultat des analyses pratiquées concernant la consommation de stupéfiant est pour A … et moi même négatif, je n’ai rien d’autre à dire.

L’Agent : Après avoir pris attache avec le substitut de permanence nous notifions au dénommé Waid Andsee sa convocation avec les 3 autres personnes pour le XXXXXX devant le tribunal correctionnel de Paris pour : attentat à la pudeur et exhibitionnisme actif.Lui indiquons que le présent procès verbal vaut convocation à partie.

27/09/2011

Nuit du Minotaure

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Le sorteo libertin m'avait élu ton minotaure, mails échangés, envies étranglées.


A la 5 e heure chantée par Lorca , dans une chambre en arène transformée, je t’ai découvert.

De l'obscur toril à la lumière de ta beauté, ventre noué, pour spectacle prisé.

Sur tes escarpins acérés je me suis jeté, fumant et éructant comme une bête sauvage, lutte de la grâce contre la force.

Il m’a fallu d'abord  en maestro te conduire, les piques ne  m’ont pas affaibli, au contraire elle ont montré ma bravoure à t'affronter de mano à mano, combat difficile tant ton charme opérait et tes habitudes exigeaient.

mais je n'étais pas homme d'habitudes.

Tercio après tercio nos noces d'amour ont mimé le combat de la vie.

Nous découvrir et nous piquer, nous unir puis nous abandonner.

Alors nos mouvements sont devenus grâce , danse de nuit et de vie, bonheur de l’unicité.

Musica pour nos cœurs en tempo lascifs.

Lidia fébrile de nos envies récompensées.

Enfin unis, en belle et en bête accouplés,  union improbable d’une lectrice et d’un dandy.

M’aurais tu regardé si tu ne m’avais lu  ?

Magie des mots qui transforme le banal en fantasme.

Les secondes on été siècles et notre félicité m ‘a paru éternité, ne plus se désunir pour ne pas rompre la faena de nos désirs.

Ma bouche s'est confondue avec tes lèvres, façon trop complice de te baiser , mais je n’y pouvais rien ne sachant pas aimer autrement que complètement.

Mon sexe planté en tes lèvres inférieures, mes yeux ne lisant que tes désirs au hurlement de celles supérieures, tes levres m'obsédaient comme un rêve érotique,  une vision psychédélique un soir d'été.

ta peau bronzée en habit de lumière flamboyait pour mieux me captiver, ma sexualité te séduisait pour trop t'y conformer.

A mes coups de reins ont répondu tes soupirs, à mes râles tes cambrures.

Ta chevelure empoignée pour plus te baiser, ton cul fourragé avant de te tétaniser.

Et tu disais ne savoir te laisser aller ...

Enlacés, corps emmêlés, sueurs de jouir, le temps n'était plus.

En des passes graciles comme une vérité première nous sommes allés, parfois par des fessées je t'ai marquée au fer de ma propriété.

Le triomphe de ton plaisir t’a arraché un hoquet d'orgasme , soubresauts incontrolés de ton animalité.

Nos noces se sont achevées. Elles étaient théatre de la vie, pièce où  le temps existe que trop pour filer aussitôt.

C'est une estocade qui m’attendait, droit et fort tu me l'a planté, petite mort pour ma jouissance enfin libérée de tant de retenue.

Sur le drap je m'effondrais, mourant d'aimer.