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26/05/2014

trois orgasmes sinon rien

 

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 ( message personnel )

 

Voir dans mon lit une femme prendre un homme avec un double gode.

Les observer dans l’énergie du plaisir qui monte.

Voir cet homme se tendre, se tordre, trembler de tous ses membres pendant que sa mâle partenaire continue de longs et sensuels va et viens.

Je n’avais jamais vu un homme sous orgasme anal.

Ils m’en montrèrent trois d’affilés.

Pour leurs plaisirs et ma plus grande excitation.

 

 

17/05/2014

séance n°8

 

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contractuelle

 

Je l’avais quittée sur un 5 à 7 .

Il est douze heures, nous mangeons des sushis et nous papotons, je sais qu’elle attend, qu’elle brule de savoir ce que sera la séance n°8.

Je n’ai rien dit, un peu de frustration épice l’érotisme, et en cette fin de repas j’ai envie d’épicer.

Je lui propose pour la faire plus languir, d’aller dans ce nouveau restaurant de desserts à l’assiette.

Gourmande ou docile elle acquiesce.

Les desserts sont extraordinaires de créativité et nos sens  explosent, premier orgasme buccal de la journée, pré linaires sucrés aux plaisirs à venir que j’espère salés de nos sueurs.

Le café n’est que filtré et je suis expresso, je lui propose de prendre un café dans une brulerie, elle me suit de plus en plus  interrogative, sur the road trip gustatif.

Je m’amuse de ses questionnements, sirote le café.

A 14h30, il est temps,  j’hèle un taxi et lui dit que les choses coquines vont commencer, soulagement de son regard.

Elle comprend que la surprise ne sera pas dans ma garçonnière, pour une fois nous ferons sexe buissonnier.

Mais où ?

Je lui glisse la destination, 26 rue Le sueur,  un sauna libertin vers l’avenue Foch.

Regard interloqué … silence … je lui prends la main … je la sens inquiète.

Encore épouse presque fidèle et en 8 séances libertine dans un sauna, ne suis je aussi ne suis je pas allé trop vite ?

Le taxi est bloqué dans la circulation, elle me tourne le dos , regarde par la fenêtre,  va t elle ouvrir, s’enfuir, m’abandonner à mes audaces, pour la rassurer je lui assure que le lien à la réputation de pas  être beaucoup fréquenté.

Nous stoppons devant la devanture noire et nous pénétrons. On nous donne des serviettes, personne à l’horizon hors la femme de l’accueil, je suis soulagé.

Je la prends par la main et la guide dans les lieux, nous visitons ces jolies installations, la voilà rassurée du vide des lieux et excitée de l’endroit, le souffre sans le feu en quelque sorte.

Tout au fonds un coin câlin donne sur le fond de la piscine, nous nous installons, nos envies prennent le dessus sur la curiosité, nous voilà deux corps en appétence l’un de l’autre.

Pas de préliminaires, mon sexe en elle s’enfonce d’autant plus rapidement qu’il était langui.

Nous jouissons de ces simples va et viens, sexe pur, direct, juste le plaisir de nos chairs emboitées qui coulissent l’une dans l’autre.

Nos corps se connaissent et savent ce qui nous fait grimper, moi des mouvements de hanche qui comme un archet jouent dans son vagin, elle la pulpe de ses doigts qui titillent mes tétons et m’électrise.

3 heures durant nous jouerons presque continuellement, ivre de nos orgasmes, épuisés de nos ébats.

Pour la huitième séance elle aura jouis 8 fois … de plus en plus rapidement, de plus en plus fort.

Je m’en veut de ne pas avoir la force d’aller au delà, je suis un insatiable gourmand mais si mon esprit cris son désir, mon corps cris stop.

Alors en titubant jambes tétanisés nous remontons, un cadre bancaire est au vestiaire, il se déshabille, le pauvre il sera déçu être seul, nous nous avons été ravis de l’être, nous verrons à être plus nombreux la prochaine fois.

Comme deux amants clandestins nous nous quittons dans le métro, les corps meurtris de nos plaisirs, preuves du bien fondé de nos infidélités.

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22/12/2013

Nuit des chocolats

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Nos deux corps penchés, le regard avide, en apnée, la tension érotique s’accroit.

Jamais auparavant rencontrée et pourtant en quelques minutes, cote à cote avec dans l’esprit des jeux de corps et la bouche qui salive à l’idée saugrenue et furieusement sensuelle d’un association improbable de sodomies et de chocolats

La vendeuse de chez Genin perçoit elle que nos regards sur ses doigts vont au delà du carré noir à la brillance annonciatrice, que nos esprits voguent vers le lit qui nous attend et les promesses d’une attente qui titille notre libido?

Voulez-vous en gouter un ?

Surtout pas encore !

Son œil sourit,  elle a compris, ma spontanéité m’a trahie.

De là à lui avouer que ces chocolats seront le plaisir buccal qui coulera en complément de mon sexe qui pénétrera sa cliente par la plus intime des voies ?

Je suis pudique, je n’ose, ma complice me regarde et ses yeux brillent, promesse évidente d’un désir qui n’en peu plus.

Nous quittons vite la boutique et allons à nos envies nous adonner.

Le reste ni ne s’écrit, ni ne se murmure, encore moins ne se hurle, il se remémore tout simplement mais jamais plus elle ne mangera des chocolats fins sans une pensée pour cette après midi de décembre.

 

03/11/2013

Nuit rue Malher

 

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Sa bouche enferme mon sexe et mon œil se ravit à la vision crépusculaire de son corps gracile au dessus de moi.

Quelques semaines auparavant je m’étais inscrit sur gleeden, conseillé par quelques coquines qui en avait fait leur magasin de Candy.

Me voilà sucre d’orge offert à des lèvres clandestines.

Nous avions accroché, ses réparties sibyllines avaient retenu mon attention.

Nous en étions venu à nous donner rendez vous dans la pénombre d’une chambre d’hôtel avec comme consigne que notre rencontre se ferait sans parole.

Comme à son habitude ses écrits étaient brefs, émoustillants avec cette retenue qui pouvait en faire douter.

Aucun des décomptes habituels pleins d’enthousiasmes, un certain silence avant la date fatidique.

Je doutais donc quand la porte s’est ouverte.

Nos corps se sont immédiatement accordés, dans la promiscuité de l’obscurité.

Sa bouche me travaille et je jouis de tous les sens qui s’embrouillent dans mon cerveau.

Ma main guide ses joues pour un jeu de poupée.

Ma main tire ses cheveux à sa plus grande volupté.

La voilà qui se redresse me plaque au sol, je darde mon sexe qui lui sert de pal.

Supplice consenti avec empressement.

Son sexe liquide s’écrase, va et vient, des décharges électriques partent de mon anus pour mourir sur mon gland.

Ses chairs le serrent, électrisent mon dos, mes tétons sont des sonnettes que je me plait à tirer comme pour quérir un orgasme que j’espère et retarde.

Me voilà derrière elle et une claque fuse, notre pacte est rompu … elle brise le silence par un "oh oui vas y … "

une deuxième sanctionne cette incartade ou récompense sa perte de contrôle ?

Je n’en sais rien mais son plaisir est certain.

Viennent ces accélérations qui sonnent l'acmé des ébats, les corps sont frénétiques, ma main tire ses cheveux, et son dos se tord de plaisir, de ses bras j’use pour plus l’attirer à moi à n’en plus pouvoir, mon doigt presse son œil sombre.

Le temps certainement bref, est suspendu en accords de nous.

L’apesanteur finalement rompu, nous-nous roulons sur le lit en sueur, trop de retenue de ma part, j’ai joui sans exploser et je me sens perdre des forces.

A nouveau en elle pour droit dans les yeux jouir de son regard.

J’ai envie de l’envelopper de mon corps, de la couvrir, mais je n’ose pas, les premières fois sont toujours une phase de découverte.

Nous restons là flottant hors du temps, avant qu’il ne reprenne son empire sur elle.

« A ton le droit de parler maintenant ?

   je ne peux tarder me dit elle « 

La vie reprend son cours et nous nos courses, avec ce je ne sais quoi de fort, d’inachevé, d’espérance d’encore qui font le sel de ces rencontres.

Je file vers le grand palais, j’ignore où elle va et si nous nous retrouverons ...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

09/09/2013

Nuit de la cave

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Au programme soirée quatuor, mais le maestro est capricieux un sms nous donne rdv prêt de chez ma logeuse.

L’immeuble comporte une cour, une porte de fer en fond, nous tapons, DSK nous ouvre, enfin son sosie, un escalier de pierre qui descend dans les tréfonds, une corde pour s’accrocher, la descente commence au sens propre et au figuré.

Une cave du 13e siècle d’un château rasé à la révolution, les pierres nues, un mobilier en fer, des tissus oranges 80’s à ma droite des bocaux de verre à l’intérieur des dessous, un prénom et une date, notre DSK est un maitre BDSM mais à ce palier je ne vois qu'un maitre du kitsch.

Champagne de rigueur, mauvais, je suis snob, mais l’hédonisme est peu compatible avec les ersatz.

Nous l’écoutons pérorer sur ses aventures, sa cave est célèbre, le tout Paris y accourt, des noms nous sont livrés, notre sosie de DSK nous indique qu’il a partagé une maitresse avec l’original, il porte cette anecdote comme un ruban rouge à sa boutonnière. Sans la femme de chambre de New York il aurait pu la recevoir des mains du président libertin.

Un homme est à ses cotés, sportif, il nous indique être un gode sur pied, homme aux 3000 culs défoncés, notre DSK nous indique qu’il aime à voir ses suppliciées livrées à des hommes priapiques, pour le bonheur de leurs maris.

Un vague gout amer dans ma gorge, pas le champagne mais la vision d’hommes pas assez virils substituant le BDSM à une bite qui ne suffit pas à la libido de leurs compagnes.

Nous descendons plus bas, le purgatoire.

Une salle des questions, celle de l’inquisition, tout y est.

Au centre une table chirurgicale surmontée d’un palan électrique, plus loin un fauteuil gynécologique, une croix de saint André, un pilier avec des fers, une cage , dans la pièce plus au fond un grand lit et un cercueil.

De belles commodes sont remplies de godes, de chaines, de cordes d’anneaux à sertir, des pinces, des aiguilles, des vibro-masseurs.

L’amie du couple qui nous accompagne est déshabillée, on lui masque le visage, la place sur le lit chirurgical, qui s’écarte pour la placer en croix, le lit monte et des chaines lui sont mises de telle sorte qu’elle peut une fois le palan mis en marche monter en croix, et attendre suspendue son sort.

Coups de martinets et de cravache sont donnés par le maitre de la cave, son public derrière il aime à attendre les gémissements de sa victime..

Elle se trémousse, les chaines tintes, pour faire silence on la bâillonne.

Cela m’ennuie un peu, le fauteuil à coté de nous est tentant je demande à ma coquine de s’installer et je me place entre ses cuisses, tout est prévu même un coussin pour ma génuflexion.

La tête plongée  en elle, un voisin lui caresse les seins, elle se trémousse et gémie de ma langue titilleuse ... trop on nous dit de faire silence, nous génons à la séance, le recueillement est de mise.

J’entends la tête enserrée dans les cuisses un bruit de cliquetis, puis des gémissements très forts et des chaines qui se choquent, je lève la tête pensant que ce bruit ressemble à une tondeuse, notre maitre taillerait il le buisson de la suspendue ?

je n'ai jamais vu cela et cela m'amuserai.

Non c’est son petit gode qu’il use sur la chatte en feu de la suppliciée qui gémit et coule de jouissance.

Elle est redescendue, remise sur le lit chirurgical épuisée, son homme s’approche, elle sanglote et il l’enlace …

Au tour de ma coquine, la voilà suspendue nue, le Maitre prend une perche avec un gode au bout et l’empale, elle ose dire qu’elle n’aime pas les godes, le Maitre est interloqué on ose dire quelque chose, il recule, tourne sur lui même.

"On est pas chez charlot ici, les soumises se taisent, je te descends la séance est terminée …"

Sa colère monte, éclate, il en est homériquement ridicule,  son autorité contestée est contestée dans son royaume, j'ai envie de rire, je me pince les lèvres décidement cette nuit est bien SM.

Ma coquine se rhabille, les autres sont muets.

Nous remontons dans la partie kitsch, nouvelle bouteille de champagne et anecdotes de l'hôte, il nous raconte comment un homme était devenu le cheval d’une domina, le matin il était attelé et tirait une carriole en recevant des coups de cravache.

Nous apprenons qu’un acteur célèbre pour ses amours princières était venu se faire sucer par une soumise aveuglée devant sucer tout ce qui se présentait à sa bouche.

Plus tard dans un autre lieu, un hotel de province pour être plus précis, le hasard de la vie me fera gouter aux talents de sucions de cette femme, d’une douceur incroyablement efficace d'ailleurs.

L’heure tourne, 3 heure au cadran ma coquine se trémousse, il lui manque une bonne partie de jambes en l’air,Je m'ennuie ferme aussi, je prétexte une fatigue, et nous remontons enfin l’escalier, la porte de fer se referme sur nous.

Paris est vide avec le couple qui nous accompagne nous allons vers l’appartement tout proche de mon accompagnatrice, les 5 étages gravis nous voilà nus à 4 dans son lit.

Baise "cotacotique ", nos voisins étant trop amoureux pour partager et puis ma logeuse veut me croquer le cuni l’avait affamé, je la nourrie de ma bite qui avait fort faim elle aussi, la douleur d'autrui met en appétit sans nourrir son homme.

Cinq heure, l’heure du sommeil des braves, nos voisins nous quittent, nous remettrons le couvert 3h plus tard en rigolant de la colère de ce Maitre.

Je lirai quelques mois plus tard son livre, tout à fait de lui … pédant et narcissique.

Je ne suis plus retourné dans un donjon, je suis plus sexuel que cérébral pour tout dire, ce texte vous l'avoue même pas sous la torture ...

 

 

 

 

 

 

25/08/2013

Nuit Oops


 

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Le petit couple de hipster s’emboite, elle sur lui, mouvements lents, lascifs, leurs corps se tendent et se détendent réduisant leur présence sur le matelas noir.

Derrière eux une grande baie, les lumières de Barcelone éclairent la scène.

Couples éparpillés dans la pièce qui se pénètrent. La cadence du plaisir de chacun pour  concert de leurs mouvements.

Ma novice est aux anges, je n’aurai pas pu espérer endroit plus propice pour l’initier aux frissons des amours collectifs.

Nous étions arrivés tard dans cette grande maison des hauteurs de Barcelone, quelques couples en tenue se dirigeaient vers un portail anonyme, derrière une grande maison patricienne début du siècle avec ses parement de pierre et de stuc.

A l’intérieur, en total contraste, de vastes espaces ouverts donnent sur des pièces aux tonalités grises, décor ultra contemporain qui redonne un coups de jeune à cette architecture centenaire.

La clientèle est parsemée, plouc sexy, nulle envie de partager.

Une heure plus tard, dans la solitude des coins câlins, nus sur la couche de nos envies de stupre nous jouons de nos corps, préliminaires précurseurs des autres convives.

Les couples s’installent, les peu appétissants sont partis, les plus mimis sont restés.

Les sens s’éveillent, vision d’une fesse féminine, d’un sexe avalé.

Amazone, missionnaire, levrette les jeux commencent et les premiers râles excitent nos envies.

Une belle grecque nous regarde, son homme allongé la suit, je lui prends la main et lui l'appelle en désignant ma compagne.

Elle se tourne vers son homme, il opine, voilà ma coquine initiée aux baisers saphiques.

Plus tard alors qu’elle suce son complice , elle se lèvera, viendra chercher ma libertine et l’installera sur le sexe dressé de son compagnon. Empallement libertin pour ce hongrois, une première offerte par sa compagne.

Elle m’amènera loin pour ne pas les perturber et tentera de me redresser des mes jouissances passées.

A peine sa bouche commence à faire de l'effet que je vois ma belle empalée qui revient, suivie de son chevaucheur, sexe flasque,une capote pleine de foutre qui pend. Vision drolatique dans cette antre onirique.

C'en est fini pour moi mon inconnue grecque me quitte.

Partout des couples enlacés, partageurs ou pas, performeurs ou lascifs, partouze chic.

A la cave une croix et des fouets, un couple fornique, c’était nos voisins de tout à l’heure, elle hoquète de jouissance, ce son érogène me remet en scène.

Sur le divan bas, ma belle totalement dans l’ambiance a oublié toute ses timidités, elle dresse sa croupe humide, je l’emplie et nous revoilà dans nos chairs coulissantes.

Dernier feu de cette nuit magique.

Il est Cinq heure, les sens apaisés, envie de retrouver notre hôtel.

Nous quittons cet endroit, titubants de sommeil et de fatigue.

A l'arrière du taxi silencieux dans le noir illuminé de la ville, heureuse et étonnée elle même de ses audaces, ma coquine se blottie contre moi, un oeil lubrique et amusé nous observe dans le rétroviseur. 

L'adresse et la tenue de ma jeune compagne ne font pas de doute pour le chauffeur quant à la raison de notre fatigue ...


 

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OOPS BARCELONE

16/06/2013

Avant / Après

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07/04/2013

Nuit de l'exfiltrée

 

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Il fait froid sur ce parking de boite à partouze, immense baisodrôme où le vulgaire le dispute avec le glauque. Je n’aime pas les boites de nuits et les corps enlacés ne m’émeuvent que dans une certaine intimité.

La foule en rut m’excite autant que la vue d’un ban de poissons frayant.

Il n’est pas possible pour ma compagne du moment de rentrer avec ses amis, ils sont justement dans la mer des sargasses à frayer jusqu’à plus soif.

La voiture est trop froide pour continuer nos ébats et le brouillard de la nuit trop glacial pour s’ébattre en extérieur.

Ma maison est vide, désertée par la famille, nous y allons.

Mes audaces passées ont balayé mes pudeurs.

Son regard curieux en parcourant les pièces de mon antre, ou celui parfois interloqué sur certaines œuvres, fruit de mes passions contemporaines.

l'écart entre le sulfureux et le confort bourgeois d'un intérieur moins sage qu'il n'y parait.

Le lit conjugal nous accueille et curieusement je n’ai aucune pudeur, retenue ou mauvaise conscience, ma rupture conjugale est trop consommée, le deuil de mon couple définitivement  accompli.

Après une partie de la nuit en club nous voilà à reprendre nos affaires avec plus de délectation, ce lit n'a jamais connu ébats plus fougueux.

Nous ne le quittons que pour que je la sodomise, debout, penchée sur les accoudoirs du fauteuil qu’elle tient de ses deux mains.

Le calme revient dans la chambre où le matin les rayons du soleil nous réveillent , il est temps de partir.

Mes voisins  sont devant la porte impossible qu’ils ne remarquent que je suis accompagné.Si je suis infidèle, je ne tiens pas à le faire ouvertement, salaud mais pas goujat.

Me voilà à lui ouvrir le coffre de ma voiture qui se trouve dans le garage souterrain. La situation l’amuse, il est vrai que jouer les exfiltrée n’est pas commun mais rien n’est commun avec elle.

Les portes s’ouvrent et la voiture quitte la maison, Je salue mes connaissances, je ris de cette situation.

L'anodin masquant l'adultérin.

Nous roulons quelques kilomètres vers un coin tranquille où je vais la libérer.

Elle sort, un peu groggy, excitée par la clandestinité et réclame, syndrôme de Stockholm, le salaire de sa détention:

une prise à cru hic et nunc

 

 

 

 

 

 

10/02/2013

Nuit Fouriériste

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La feuj est coquine mais pas collectiviste, issue d’une famille de commerçants, elle n’est pas gauchiste non plus.

Alors lorsque je lui propose un verre et plus si affinité avec un couple illégitime et de gauche elle me dit

Ah tu m’emmènes au pays des soviets ?

De la part de mon ami cela serait plutôt dans un phalanstère Fouriériste

En attendant nous nous retrouvons dans un bar BOBO, cocktails et mots échangés le plus si affinité devient évident, nos fouriéristes se caressent et se chauffent.

Nous sommes en pleine « attraction passionnée» qui selon Charles Fourier conduit à des « fantaisies lubriques »

Lisons le :

« En résumé, les civilisés ne se prêtent à la philanthropie amoureuse que dans  des vues abjectes, mais enfin ils s'y prêtent et leur condescendance honteuse dénote qu'ils s'y prêteraient bien mieux si l'on mettait en jeu des ressorts d'enthousiasme, comme l'esprit religieux et amical, …qui ne sont point en harmonie une récompense de débauche mais le prix d'une générosité reconnue indispensable aux soutiens de l'harmonie et de l'unité générale...

Charles Fourier  les nouveaux mondes amoureux« 

 

Vite, je propose d’aller chez moi pour soutenir cette « unité générale » qui se dessine.

La porte franchie, les couples se forment.

Nous suivons en tous points les préceptes Fouriéristes :

 

« Distribution des amours en session combinée et session incohérente

Je dois ici un court chapitre à un principe qu'il ne faudra jamais perdre de

vue dans le traité des amours transcendants ; c'est, je l'ai déjà dit, qu'ils

s'exercent en alternative  avec l'amour exclusif. Personne en Harmonie n'est

polygame habituel, omnigame habituel, personne ne se voue sans relâche à des

céladonies composées, comme celle décrite en 11 »

 

nous avons ainsi commencé avec nos chacune, parfois avec des  pauses pour regarder l’autre.

Puis bien vite les «  céladonies composées » se sont imposées dans notre assemblée « d’amours en session »

En clair la Feuj se retrouve levrette , me suçant pendant que X … la céladone

Jouissant et expirant des «  ahhhh qu’elle est grosse « 

Ou je céladone E … pendant que la feuj se plaque derrière moi pour me caresser les seins et se caresser elle même.

Les corps jouissent , les cris se mêlent et les capotes jonchent mon parquet de palissandre ( j’espere que le foutre n’attaque pas le vernis, je viens de le faire poser et la notice ne disait rien à ce sujet, c'est délicat de questionner le vendeur sur ce point...)

Fourier est ce soir là célébré et ses amours incohérents pratiqués en orgies quater car notre homme est plus ambitieux il les imagines en amours plus nombreux 32 !!

Ce soir là, la Feuj fait son premier quatuor et baise avec un non circoncis, il paraît que c’est long un prépuce …

Mon appartement connait sa première coquinerie collectiviste et devient ce que Fourier qualifie de civilisé.

« D'autre part, les civilisés se livrent à l’orgie toutes et quantes fois ils le peuvent, témoin la coutume des seigneurs de Moscou qui se font servir dans des appartements souterrains par des géorgiennes toutes nues ;

les honnêtes femmes de nos capitales aiment assez ce genre de divertissement, usité même chez les innocentes des campagnes. Toutes les coteries de parties, sextines et octavines, inclinent fortement à l'orgie et j'ai été plus d'une fois étonné en apprenant les [...] que font dans ces rassemblements secrets les femmes les plus pudibondes en apparence. Quelquefois aussi j'y ai assisté et j'ai toujours été surpris de la facilité que montrent les femmes à oublier subitement tous ces […] […] de morale qu'elles observent si régulièrement en public. »

Au matin je m’inquiète du ressenti de ma Feuj ,dont le sens de la propriété et de son refus du communautarisme, s’exprime parfois en cris et claquements de portes.

( j'y avais eu droit avant de retrouver nos amis, celle-ci étant furieuse de n'être pas la première à inaugurer les lieux )

"alors hier soir tu as trouvé cela comment ?"

J’ai été surpris de la facilité qu’elle avait montré à oublier sa jalousie, Fourrier avait raison les honnêtes femmes de nos capitales aiment se genre de divertissement.

 

Pour lire le Nouveau monde amoureux 

 

http://inventin.lautre.net/livres/Fourier-Nouveau-monde-amoureux.pdf


pour une brève note biographique sur Charles Fourier


Fils de marchands de draps, Charles Fourier, malgré son aversion pour le libéralisme, travaille comme employé de commerce à Lyon, puis à Paris en 1826. Il pose en 1808 les bases d'une réflexion sur une société communautaire dans son ouvrage ‘Théories des quatre mouvements et des destinées générales’, qu’il poursuit dans ‘Le nouveau monde industriel et sociétaire’ (1829). Sa théorie est à la recherche d’une harmonie humaine ; pour la trouver, il classe en 810 catégories chaque type d’homme et de femme. Sur cette base de 1620 caractères, il jette l’organisation des phalanstères composés d’autant de personnes. Selon Fourier, le travail se doit d’être attractif. De fait, chaque personne au sein du phalanstère oeuvre selon ses affinités, tout en accordant une place particulière à l’agriculture, ainsi qu’aux arts et aux sciences. Convaincu par son utopie, il tente de la faire réaliser par quelques mécènes fortunés, mais n’y parvient pas de son vivant. Après sa mort, quelques tentatives de création de phalanstères ont eu lieu, mais aucune n'approche le bonheur promis par le théoricien socialiste.

21/12/2012

Nuit de fin du Monde


 

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La chaleur de son sexe éjaculant sur ma bite.

Les abysses de mon plaisir engloutissant son corps qui me chevauchait.

Mes égarements à sa bouche qui m’embrasait.

Tout cela ne dit rien et tait tout.

Les mots butent sur l’indicible jouir qui nous transperçait.

Impuissant que je suis à exprimer mon cerveau qui explosait, mon corps qui se tordait de se retenir ou ma queue raide incapable de la quitter.

Je revois ses yeux illuminés de l’outre plaisir mais je ne peux les décrire.

Je sens dans ma chair les lambeaux vivants de ses spasmes sans réussir à les faire partager.

Inapte à dire les vagues qui nous ont  chavirés, les paroles qui nous ont excité,

A partager le goût des fluides expurgés de nos corps haletants.

Et pourtant je voudrai les écrire, les marteler, les claironner.

Fanfare d’elle en tintamarre de nos émois.

Affalé sur la couche de nos ébats, épuisé de ces milliards d’instants sans temps, je reste en apnée dans le stupre maculé de nos draps blancs.

Avec pour stigmates ;

des taches de nous,

des capotes que nous rêvions de ne plus mettre,

une fumée d’elle qui flotte en encens de son départ,

Je reste solitaire, immobile et sans vie, regardant à la télé une fin du monde que quelques heures plutôt nous pensions voir venir dans la stupeur de nos tremblements.

05/11/2012

Nuit de la Feuj

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« C’est bouché, je vais faire une marche arrière. »

L'accélération me plaque contre le siège du taxi, nous remontons à reculons en pleine vitesse sur 500 mètres le boulevard, coups de frein, braquage, contre braquage, un sens interdit, un deuxième sens interdit, accélération, évitement d’une voiture, nous voilà dans le bon sens, remake du film taxi, mais ce n’est pas à Marseille c’est à Pigalle.

10 mn plus tôt  je me heurtais à la porte close de la boutique Démonia, un taxi et me voilà à filer vers Pigalle paradis des sex shop pour une emplette pour cette soirée.

Nous pilons devant le Moon, émotion, tant de souvenirs mais c’est en face que je file,  au sexodrome.

15 euros la course, je n’ai que 50 euros, le taxiteur renâcle, «  j’ai des livres sterling » « oui ça je prends », décidément l’euro est foutu.

De jeunes couples parcourent en rigolant les rayons de la boutique, j’aime cette complicité sexuelle que je n’ai jamais eue dans mon couple…

La cravache choisie, les bracelets découverts et la laisse achetée je saute dans le métro la rejoindre.

La Feuj avait lâché aimer l’idée d’une cravache, son souhait fut un ordre qu’avec zèle je m’apprêtais à exécuter pour notre rencontre.

Rue Monsieur le Prince, la voilà nue, attachée, en position de prosternation sur le lit, ses fesses me sourient, je tire la laisse qui pénètre ses lèvres intimes.

De petits coups de cravache pour chauffer sa chair et préparer son corps.

Des tensions sur la chaîne pour la faire Feuler.

Sourire en pensant à l’article de ce magazine féminin qui s’interroge sur ce que l’on peut faire le soir d’une rencontre, « Surtout ne pas jouer les pervers disait la journaliste vous feriez fuir la dame. »

Je ne dois pas rencontrer de lectrices de ce magazine … ou alors la journaliste est nulle au lit.

Les coups pleuvent aléatoires dans leur force, générant des cris ou des sursauts.

Ma main enserre son cou, tandis que l’autre s’abat sur son cul.

Son visage écrasé sur le matelas exulte, la salive tache les draps, son con coule.

Ma main entre en elle l’explore entraînant des torsions de jouissances, mes doigts sont trempés, son sexe gicle de ses plaisirs.

Je cesse, elle se retourne et me suce, me pompe, décidément c’est vrai, les Feuj sont de formidables suceuses de bites circoncises, elles ont cet art de vous donner l’impression avec leur langue et leurs lèvres que votre prépuce est ressuscité de la brit-mila.

Un don donné aux filles de ceux qui coupent pour réparer le mal peut-être ?


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Sur mes indications un doigt explore mon intime en épice de sa fellation.

La garce aime le pouvoir que donne sa bouche, son regard brille à mes cris de jouissance, c’est délicieux sauf pour les voisins.

Un préservatif enfilé me voilà en elle, petit sexe bien serré que je découvre ivre de cyprine.

Mon corps la couvre, ma bouche aspire le lobe de son oreille, son corps tressaille, oubliés les coups, vive les caresses comme baume de mes brusqueries antérieures.

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Je ne me presse pas, je suis lent, trouver cette sensation d'un archet sur les cordes. Ce moment où ma bite ressent les moindres plis, comme pour les déplier.

La nuit ne fait que commencer, elle est rétive au cuni mauvais souvenirs de son mariage, sans état d’âme je vais me hâter de l’y convertir, cela sera une révélation.

69 en toutes les langues, elle qui parle hébreu et arabe.

Vais je devenir prosélyte ?  En tout ma Feuj a l'enthousisame des convertis.

Ses jouissances sont plus rapides que les miennes, peu importe c’est à la bouche qu’elle m’achèvera en un corps à corps fatal, hurlement de ma libération, goût de mon foutre sur son visage souillé, ma main qui avait repris la direction des opérations en est pleine, sur son corps je la nettoie.

j'aime ce sentiment de moi pénétrant sa peau, n'était ce pas un élixir de jouvence?

Elle veut rentrer dans la nuit, je m'y refuse, un départ nocturne serait un coitus interomptus, j'ai envie  de me blottir contre elle, de l'envelopper.

Une nuit douce, une nuit réparatrice, avant d’autres tempêtes car la Feuj est aussi versatile que bonne suceuse, le calme précède la tempête de colères qui jusque là m’avaient été épargnées dans mes rencontres.

Je la subis interloqué.

Reproches et rhabillements vite oubliés, nous voilà bras dessus bras dessous pour manger dans la salle si typique de la brasserie la Palette, rue de seine.

Paris est magnifique à deux.

L'envie de se revoir s'empare de nous, tant de cochonneries pas kasher à accomplir...

Le lendemain mon ami juif m’appelle pour demander "alors les Feuj  ? converti ?"

Dommage qu'il ne connaisse pas ce blog il lirait ma conversion.


 

 

10/09/2012

Nuit du couple novice

 

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- Vous étiez bien dans la chambre 4 avec le couple ?

Les yeux du réceptionniste sont pleins d’un sommeil de 4h du matin

- Oui, nous fêtions une initiation.

- Deux bouteilles de champagne ce n’est pas tous les soirs qu’on en demande.

- Ce n'est pas tous les soirs première ...

- Ah je vois …

Vous voulez un taxi ?

- Non, où est la station, j’ai besoin de marcher un peu, l'air frais de la nuit me fera du bien.

- Juste en haut de la rue, bonne nuit alors.

- Elle le fut merci.

Le boulevard Raspail est encore vivant, deux américaines sur le trottoir, regardent un taxi qui est libre.

- Attendez vous ce taxi ?

- Non

Ton sec destiné à couper court à toutes discussions, incommunicabilité moderne alors qu'elles doivent être suspendues à leurs notifications Facebook.

Je le hèle.

Rue Crozatier s’il vous plait.

Le chauffeur vérifie que je ne suis pas saoul avant de déverrouiller la porte.

Je m’affale sur le sky , ouvre la fenêtre grande et m’enivre de l’odeur chaude de l'air de Paris.

Des bandes de jeunes éméchés se jettent sous nos roues.

Boulevard St Germain, les filles titubent , des mecs se castagnent, demain leurs habits de fils de bonne famille seront souillés de leurs excès.

Passez par la Concorde s’il vous plait.

Les lumières dansent.

Mes yeux se ferment.

Mon sexe est apaisé.

Je suis bien.

Finir la nuit dans des bras qui m’attendent.

Dormir sur les souvenirs des instants fauves.

Leur laisser ceux de la transgression accomplie.

28/07/2012

SUMMER VINTAGE : Nuit de la secretaire

 

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Devant mon écran blanc, mes mots vides, comme mon corps.

Repu mais sans force, de nos sauvages ébats.

Ecorchures et courbatures,

mon sexe en souvenir de ses orgasmes,

mes doigts, désormais, hors de son corps pour coucher ces phrases,

témoignage du vide post coïtal ... du calme après la tempête.

Avenue Montaigne, rue Chomel, et rue de Ponthieu,

j'ai baisé le bonheur faite femme.

Et de ses baisers j'en ai fait des souvenirs.

Celui de nos jeux et de nos complicités.

Celui de sa frustration ... devant 14 cm de cuir dressé.

De nos ventres qui bouillaient, en un lieu trop public pour les exaucer.

De cette jambe si douce qui ne savait pas jouir, quand nous étions au bord de l'extase.

De ce tableau de Delvaux, visité, en une nuit sans fin.

De nos conversations, j'en ai fait des envies, celles de vivre aussi bien son couple.

De ses râles, j'ai composé un hymne à la joie, usant des capotes comme des notes.

De son bonheur j'en ai fait une étoile qui va maintenant me guider.

.

 

 

17/07/2012

Nuit Moldave

 

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"Zu Oranienburger Straße hôtel A ..."

Le parking est une véritable station de métro, les taxis jaunes en file déposent ou reprennent des clients.

L’adresse donnée, me voilà à retraverser Berlin en sens inverse, celui de la vertu, du lit qui m’attend, de la journée normale de visite de galeries et de musées, de mes amis qui n’imaginent pas que je me suis échappé conduit par le stupre de mon autre vie.

Je compose le numéro, je sais qu’elle ne dort pas, être vestiaire d’une soirée échangiste maintient en éveil. "Alors racontes", me dit-elle , "moi ce fut calme ce soir mais hier après midi dans le jardin ce ne le fut pas."

Me voilà dans un taxi Berlinois conduit par un kurde, à raconter au téléphone à une parisienne en soirée échangiste mon dépucelage avec une prostituée moldave dans un bordel ...

L’Artemis à Berlin est l’un d'eux, je l’avais sagement fréquenté trois ans auparavant me contentant de gouter à la décadence de la situation pour composer un poème que j'ai publié dans nuit berlinoise.

De retour dans la ville et en mal d’expérience à raconter une idée m’est venue, celle de tenter au sexe tarifé pour comparer.

L’endroit ressemble de l’extérieur à un hôtel baladin, si ce n’est la foule et les taxis devant l’entrée, là un desk où l’on vous demande si c’est votre première visite et votre langue.

Un prospectus vous est tendu. "Droit d’entrée 80 euros, boissons sans alcool à volonté, jetons alcool 10 euros, filles 60 euros la demie heure avec fellation et coït compris à leur régler directement après"

Je lis et m’acquitte du droit d’entrée. Autour de moi le monde entier, allemands, américains en uniformes, anglais en costumes, indiens, hommes d’affaires arabes ou turcs.

Les vestiaires sont pleins de vie, la douche accueille comme des sportifs les arrivants ou les sortants, de tous âges , des beaux, des petits, des biens membrés des circoncis, des asiatiques petitement montés, tout cela ri et se douche.

Peu d’hommes seuls, des groupes en copains, nous sommes loin des ambiances glauques. C’est comme un sauna libertin hyper propre, des femmes frottent partout, les clients déambulent en peignoirs beiges et chaussons bleus.

En bas une grande piscine, des transats, des hommes dorment certains se font masser par un professionnel, les saunas et hammam sont vident mais superbes.

Une salle de cinéma à gradin- lits, trois couples, deux se font sucer , le troisième est monté en amazone. L’escalier passé j’entre dans une pièce immense avec un îlot bar et gradins avec canapés beiges.

C’est le centre du lieu, des grappes de filles nues, soulignées d’une chaîne à la ceinture ou d’un serre taille, montées sur des talons compensés transparents, déambulent ou dansent. Blondes en majorité, canons en vérité.

Quelques noires, asiates ou beurettes. Des poitrines artificielles, des naturelles, de franchement très belles filles, la vingtaine.

Elles boivent parfois un verre avec des clients , assises sur eux, les caressent, fument, rigolent. Tout cela est assez léger, elles vous abordent et finalement on en vient à décliner presque tout le temps leurs sollicitations tellement il y en a.

Je bois mon verre en observant la scène, je cherche une jolie arabe ayant eu vent de la qualité de leurs caresses.

Hélas, les seins outrageusement refaits me rebutent je n'aime pas le look zahia. Une très fine blonde, taille moyenne, se présente devant moi, 25 ans, petit cul superbe et doré, des jambes longues et fines,des petits seins naturels, tant pis pour le Maghreb, j'opte pour la Moldavie et vive les voyages.

Issabela roule les r, je la suis à travers les couloirs, nous descendons aux coins câlins, ma main caresse le galbe excitant de ses fesses, elle se retourne et me fait des clins d'oeils...

Pour le reste ... comment dire ? voilà:

une carrosserie de bolide , un moteur mort

la professionnelle vous annonce un supplément si je craque dans sa bouche et fait tout pour l'obtenir, n'y arrivant pas elle passe vite au plat principal, décidément le client doit pas tenir bien longtemps.

Interloquée parce que je lui impose mes préservatifs dont je connais l'efficacité, elle met une ridicule noisette de crème, moi qui adore le gel, je suis circonspect.

Devant un tel postérieur, je sollicite une levrette, une main me guide puis reste pour contrôler les opérations et surtout tenter de me faire craquer plus vite, n'y parvenant pas elle demande une position plus traditionnelle.

Son sexe est mort sans vie, sans humidité, cela n'est franchement pas agréable.

Elle pousse des cris comme dans des pornos, cela en est risible, rapidement elle me demande de finir

"hey darling come on now ..."

J'accélère pour y arriver car même si le spectacle de son sexe lisse et fin est superbe, son contact n'est pas excitant, mes coups sont donc plus profonds ce qui provoque des cris.

"hey darling,  be careful to my pussy ! "

bon sang je n'aurai jamais imaginé cela, je faire accusé de défoncer une professionnelle ! Pourtant mes coups de reins n'ont rien de particulier, je termine pour en finir.

Elle vérifie que le préservatif est bien resté en place lorsque je me retire et nous allons à mon vestiaire pour régler ,elle me remercie.

Retour au bar, une fille se précipite sur moi

"ohhhh you have destroy the pussy of my friend !!!"

C'est tellement incongru que j'éclate de rires ,décidément le sexe tarifé n'est même pas une idée de ce que c'est que le vrai sexe, une bonne branlette est plus jouissive, c'est ce que j'ai du faire au retour de l'hôtel tellement cette expérience fut frustrante.


un article sur le lieu

le site du bordel

 

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19/06/2012

Nuit du container


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La douleur du passage est passée, laissant le plaisir monter de ma bite, les ondes de jouissance parcourent ma hampe , tournent autour , envahissent mon anus au sphincter dompté, sentiment de dilatation, comme si ma chair était déchirée.
 
A l'interieur de moi la longue et large bite de silicone m'habite, prend place, repoussant mes boyaux, les ouvrant à son inéxorable pénétration. Au plus profond je la sens au bout de mon sexe qui n'est qu'un gant qu'une main lubrique habiterait.
 
ce chibre artificiel habite le mien, le durcit, l'affole.
 
Je demande que les mouvements soient lents pour mieux les vivre, c'est au retrait que les frissons de plaisir electrisent mon échine, mes coups de reins se font profonds, entrainant E dans l'electrification de nos corps.
 
l'enculeuse dicte le plaisir de la baisée, mon corps est le tampon de leurs jeux.
 
elles se regardent et vibrent, l'une attendant que l'autre me pousse en elle, comme un piston décalé d'un plaisir lesbien où je serai sex toys
 
Le plaisir du recto verso est intense par l'echo qu'il provoque.
 
mes tétons bruissent de plaisirs et m'affolent quand je les frôles.
 
Je me noie dans cette jouissance: intense, lourde, orgiaque qui anilhe le temps et l'espace.
 
J'ouvre les yeux pour reprendre conscience, possession de mes sens , contrôler, respirer.
 
dans la glace qui couvre le mur de la cabine je vois 5 personnes enlacées, hard porn.
 
Je suis dans E en missionnaire, mon corps calé entre ses jambes repliées pour plus fermer à mon plaisir son sexe trempé. Elle suce R qui la caresse et observe la scène.
 
Derrière moi à genoux se trouve la jeune M qui ceint d'un gode ceinture m'envoie les longs et profonds coups de reins qui m'arrachent les cris de jouissance, brâme qui l'excite au point que coule le long de ses cuisses une cyprine chaude.
 
A moins que ce soit N qui la doigtant avec art la conduise aux vocalises qui nous excitent tous.
 
derrière nous; une vitre et des couples nous contemplant, la poignée de la porte tourne frénétiquement mais nous protège de leurs envies.

Décidement le container n'est pas la chaloupe, il est chaud chaud ce soir là. Songez être dans une boite à demi homo, enculé non par les beaux ephébes qui barbotaient à coté de moi dans la piscine, mais par une jeune donzelle à 70 % gouine, spécialiste de la fessée, et portant couette.
 
La situation est pour le moins inédite, rajoutez que c'était la première fois qu'elle jouait à l'homme avec un homme et qu'elle acceptera sans difficulté que je la baise de la façon la plus hétéro qui soit alors que jamais le premier soir notre lesbos ne se livre au mâle désir, vous comprendrez l'incroyable connivence qui nous a habité tous les 5.
 
Une évidence, moment rare qu'il convient de souligner.
 
Le lien du Container à visiter si vous êtes sur bordeaux