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08/09/2008

Montalembert

 

Cela faisait des années que j’en mourais d’envie,

Rendez vous fut pris, tenue libre à l’exception d’une consigne nous ne devions ni l’un ni l’autre porter de culotte.

Mon sexe sous le jean attendait patiemment qu’elle arrive,

Le salon de l’hôtel Montalembert représente mon rêve de lieu parisien.

 

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Quartier Saint Germain , rue du Bac ,atmosphère des écrivains de la Nrf , Gaston Gallimard et son écurie dont mon cher Paul Morand à qui ce lieu contemporain et chaud n’aurait pas déplu.

Le dernier livre de Renée Char entre les mains , fasse à cette cheminée moderne , de pierre grise du Hainault , entouré des éditions de la Nrf dont la couleur jaune est si intemporelle , je sirote mon café dans ce grand canapé chiné , calé contre le dossier oreille.

Seul dans ce coin intimiste comme chez moi.

Elle arrive, robe verte , dessin très Emilio Pucci , se cale contre mon corps , visage radieux de son désir.

Un café , des mots échangés et vite le langage des corps.

Doigts qui jouent sur sa jambe si lisse , ma main qui s’égare sous la jupe.

Ses doigts dans mes cheveux , son nez et ses lèvres sur mon visage.

Délicieuse sensation que cette érection sous la toile du Jeans , une tache de goutte de sperme apparaissant à sa plus grande satisfaction.

Osera t elle ?

Je me lève et passe le bar , tourne devant le desk , évite mon reflet devant la superbe glace régence et descend les escaliers.

 

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Ambiance noire , chêne et bronze tout en luxe serein.

Les toilettes pour femmes s’ouvrent devant moi , immense glace et lavabo contemporain creusé dans la pierre beige , odeur de parfum.

La porte s’ouvre c’est elle , nous nous enlaçons.

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Et puis juste des flashs , la deuxième porte celle des toilettes vite franchie , son corps contre le mien , sa langue fougueuse , sa jupe relevée , son sexe trempé , mes mains qui la pénétrent , sa bouche qui me happe , nos soupirs.

Les amuses bouches étant  trop peu caloriques à nos ventres affamés , je la plaque dans l’angle du mur , ses jambes s’arqueboutent sur les cotés.

Les femmes sont souples quand elles désirent !

Mon sexe la pénètre la soulevant à chaque coup de boutoir , incroyable sensation de transgression et de sexualité bestiale , sans artifice que le plaisir du plus profond.

Sentiment de ne faire qu’un avec elle, littéralement greffée à moi.

Je ne me souviens plus du temps , mais de ses râles et de ses spasmes.

Je me souviens de nos vêtements tâchés de nos envies.

Je me souviens de son regard et du rouge de son visage en passant devant le desk.

Je me souviens de mon envie encore plus grande , de ma main dans la sienne , et de notre course vers notre chambre.

 

 

 

07/09/2008

Spleen du dimanche soir

 

 

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J'ai rencontré un tueur de couple, il n'était ni blond, ni plus jeune , ni plus sexy,

Il était noir avec des yeux brillants, la lame de son arme luisait dans la nuit de l'hôtel du cul tourné.

Ce tueur se nommait routine,

Il oeuvrait dans le quotidien.

Ses complices s'appelaient stress du travail et enfants, ou plutôt pré-ados.

Ce tueur rendait malheureux avant de planter sa lame.

Il obligeait à se poser des questions,

Il bouleversait vos certitudes avant de vous expédier.

Dialoguer ne suffisait pas à le faire fuir, car il avait accumulé tant de petits renoncements.

Vous pensiez être fort de la famille idéale que vous avez créée.

Belle femme,beaux enfants, belle profession, belle maison, belle bibliothèque, belle collection, beaux voyages... bonheur glacé de stéréotypes alors que ce n'était que tigre de papier.

Ses fondations étaient minées par les caprices des enfants, les crises pour qu'ils écoutent où fassent un minimum, par les non dits, par le manque de fantaisie, par les mots d'énervement pendant un travail nerveusement épuisant, par la fin des passions communes, par le fait que l'amant qui était en vous a disparu à ses yeux, par ces putains de soirée Tv, cul de basse fosse où disparaît l'envie.

Alors que faire ?

Tout briser et fuir ?

Oui mais vous renoncez à ce que vous avez bâtis sur 20 ans.

Faire le point et repartir comme sur une page blanche.

Oui mais il faut pour cela être deux, il faut que chacun accepte ses propres complicités avec le tueur et ne renvoie pas tout à l'autre.

Il faut un nouveau chemin, certains l'ont trouvé dans l'échangisme mais ce remède est pire s'il n'est pas partagé.

D'autres dans un changement de lieu de vie, mais nos envies sont antinomiques, elle la lenteur de la campagne, moi la vitesse des villes.

Vous pouvez ignorer le tueur et faire comme s'il n'allait pas frapper, mais à la veille de l'inventaire, avant fermeture du rideau, que de regrets.

Ne croyant pas en l'au-delà, j'ai peur des regrets, pas de la mort.

J'ai choisi le sursis d'une liberté ailleurs et secrète ... mais pour combien de temps ?

 

 

 

03/09/2008

Nuit tendresse

 

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Elle venait de rencontrer celui qui serait son Lui mais nous avions rendez-vous, inventaire avant liquidation de sa période libertine.

Je la vis arriver fiévreuse de sa rencontre et de la grippe qui lui brûlait la gorge.

Je la vis encore plus belle que la dernière fois.

Bras-dessus, bras-dessous, nous avons parcouru la ville.

Mangé dans l'obscurité.

Mon entrée fut ses seins, mon dessert sa langue en feu.

La fatigue nous obligea à nous réfugier dans la chambre.

Brûlante, elle désira des remèdes que je cherchais aussitôt.

Ils l'apaisèrent, bien qu'elle se refusa à ceux anaux pourtant plus puissants,

restes de mauvais souvenirs enfantins.

Joie pour moi de l'en menacer si elle n'avalait pas les autres.

Notre nuit fut tendresse et décence.

Son corps brûlait et tressautait, moi je me lovais contre elle, essayant par une caresse ou un baiser d'apaiser son tourment.

Ai je réussi ? J'en doute, mais elle s'est finalement endormie.

Je restais à la regarder, à la sentir, la respirer, je savais que c'était la dernière fois.

Nos gorges étaient serrées à notre au-revoir.

Elle brûlant encore de fièvre, moi luttant contre le vague à l'âme.

Malgré toutes nos embrassades je ne fut point malade, j'avais décidé de m'interdire toutes maladies d'amour.




 

28/08/2008

Toute existence est une lettre postée

 

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(c) Rankin

 

 

 

Paul Morand écrivait « toute existence est une lettre anonymement postée »

Cet été, la mienne a porté les cachets de Bruxelles, Genève, Paris, Londres et la campagne.

Rêverais-je un jour, de me poser, de vivre le temps de l’ennui dans un lieu étranger?

L’ennui n’existe plus dans notre société, chassé par les heures utiles, il est pourtant source de découvertes, de réflexion et de compréhension.

Mais l’ennui suppose le temps et je ne suis pas maître du mien, je suis son esclave et ne peux que par éclairs m’en libérer.

Alors je cours, je vis intensément, trop peut-être, pas encore assez à mon goût.

Pour être honnête, ce temps que je n’ai pas n'est qu'un prétexte.

J’aime les voyages éclairs, j’aime zapper de ville en ville, les découvrir dans la course le nez au vent et l’œil affûté par le manque de temps.

Cela fait hurler mais j’ai l’impression qu’ainsi ce n’est pas mon œil cartésien, critique, qui analyse, voit et tente de comprendre la ville mais mon cerveau animal, celui de l’instinct, celui qui perçoit un son ,un bruit, une odeur, un mot fugitif et qui ressent au plus profond de son être l’ambiance et l’âme du lieu.
 
Alors je saute d’avion en taxi, de taxi en tgv et de train en vélib.

J’hume, je guette, je goûte, et recompose au calme de mon Loiret, tel l’Ulysse du poème, mon voyage.

J’aimerais être Phileas Fogg.

Je zappe les lieux et ma zappette, ce n’est plus l’indicateur des chemins de fer mais ebrooker, tripadvisor, airfrance.

Suis-je comme cela dans la vie ?

Je le crains. La vivre rapidement, la brûler intensément (j’étais sabreur dans ma jeunesse). La vélocité, l’adresse et l’adrénaline en jets puissants mais fugaces, je crois que j’en suis encore drogué.

Je lisais hier une annonce dans libé, rubrique transports amoureux. Un jour je rédigerai celle-ci :

Aéroport, Roissy, le xx xx à xx 

Vous courriez vers le nord, moi vers le sud.

Regards croisés , tellement de choses dites sans un mot.

Et si nous courrions ensemble pour aller plus vite , plus haut, plus fort.


Mais qui aura assez de souffle pour me répondre ?

24/07/2008

boutique waid and see

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Même en vacances je n'ai pas pu m'empêcher de faire du shopping et oui la boutique waid and see existe.

Bises de Bruxelles

22/07/2008

Sur l'ecran blanc de mes nuits noires , je fais mon cinéma.

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J'ai le fantasme d'aller à Buenos Aires , d'y marcher dans les rues , d'y voir les couples danser le tango , de m'y saouler dans les bars. , d'y faire de telles rencontres, ces deux là par exemple.

dans l'attente le blog sera en vacances.

 

 

(photo helmut Newton , le plus grand , le plus sensuel , un dieu de la beauté féminine)

 

 

11:05 Publié dans ENVIES | Lien permanent | Commentaires (17)

15/07/2008

café BACI




En souvenir d'une soirée où les poupées de crinoline étaient censeurs et le chasseur cible.

d'hallali point , mes censeurs étaient fidéles , heureux élus de leurs coeurs.

j'ai fini seul dans un bar à boire un bordeaux , marais oblige entouré de gays.

dieu que nos histoires sont simples à coté de celles entendues en ce lieu.


10:10 Publié dans ENVIES | Lien permanent | Commentaires (11)

10/07/2008

un jour je serai une beauté des plages

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Sur cette plage, écrasée par le soleil, deux beaux papas allemands jouent aux pâtés de sable avec de charmantes têtes blondes.

Grands, blonds, bronzés et musclés tels des Adonis .

Le gourmand que je suis ne sera jamais une beauté des plages ... si je suis de silhouette assez mince, je ne suis ni sec, ni musclé, la faute à mon ADN, oui bien sûr, mais l'excuse est belle, je n'aime pas manier la fonte, cela m'ennuie prodigieusement, et l'ennui est la chose que je fuis le plus au monde. Et puis je suis gourmand. Me priver de dessert, impossible. Je suis d'une faiblesse (bon je sais j'en entends qui ricanent) à l'égard des desserts, et puis le vin, ah le vin, je le bois, non en connaisseur, mais en amateur non éclairé, c'est à dire en quantités parfois excessives.

Si mes costumes et mes chemises sont cintrées grâce aux doigts d'or des retoucheurs, comment cintrer un corps nu sans lâcher ma gourmandise ou ma fainéantise.

Non je ne suis pas une beauté des plages. J'aurais rêvé être un beach boy, au teint hâlé et à la musculature d'un mannequin d'anatomie sorti d'une séance avec des étudiantes en médecine.

Mais avez vous parlé un jour à une femelle de beach boy ?... consternant, désolant, à refuser de se reproduire.

Alors que faire ?

Un corps d'intello ... pouah, je ne le supporterai pas, j'aime trop faire du shopping et je tiens à conserver ma taille 48 en costume (ce n'est pas la taille du pantalon, avis à celles qui ne sont pas spécialistes du costume).

L'homme a marché sur la lune et je ne pourrai trouver un moyen de devenir beach boy sans effort et sans renoncement ?

Si, justement, la NASA nous le fournit, c'est la POWER PLATE, je vais en commander une.

RDV en 2009. Le super musclé sur la plage, oui celui-là, ce sera moi.




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07/07/2008

Contradictions

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Quine et ladyD vous m'avez mis en ligne de mire et vous avez tiré, touché je m'y colle, allongé sur le divan de Freud, l'ordi en écoute.


Cinq contradictions, cinq le chiffre du compagnon, celui de l'apprentissage de soi encore, alors allons pour 5 :


1/ Mon blog me fait paraître très chaud, sexe voire trop sexuel, et pourtant si j'aime le sexe, il n'est pas un but mais la consécration d'un moment, le feu d'artifice, un élément parmi le tout. En fait, je suis plus affectif que sexuel, je me priverais facilement de sexe, je ne puis supporter le manque d'affection. Je ne puis faire l'amour sans affection. Je peux être chaste avec une de mes coquines, je ne supporterai pas la fin de son affection, le coup m'en est toujours douloureusement fatal.

2/Je peux apparaître bling bling, il est vrai que je peux vous parler de la coupe d'une veste (ah le galbe qui souligne la silhouette), de la qualité d'une montre (un jour je vous raconterai l'incroyable façon dont les rubis sont enchâssés dans le corps avec chaton et vis en acier bleu) et de la beauté d'un cuir pendant des heures, mais si j'ai pris les choses, les choses ne m'ont pas prises. J'aime les belles choses comme j'aime les belles âmes voilà tout. L'addiction est dans la beauté, pas dans les choses.

3/Si je suis un affectif pourquoi être infidèle alors ? Parce que l'affection monogame ne me suffisait plus, il me fallait d'autres affections, le sentiment d'être aussi dans le regard d'autres, l'affection est une drogue, la faute à mes parents qui m'en ont trop donné (s'ils lisaient ! Les accuser de trop d'amour, quelle ingratitude ; Mamans  attention pas trop de baisers). Longtemps j'ai ignoré ce besoin, des choses à construire, des murs à abattre, mais maintenant que ceux-ci sont tombés et que j'ai construit, je ne peux m'oublier plus longtemps. Pour combien de temps ? Comme le temps de refroidissement du canon, un certain temps.

4/Si je peux apparaître sûr de moi, voire parfois trop sûr, c'est aussi pour cacher une insécurité, l'insécurité du petit garçon qu'il me semble toujours être sous ce masque de l'adulte. Cette sûreté est le fruit d'un travail sur moi, celui qui m'a fait découvrir mes forces et accepter mes faiblesses, celui qui m'a appris à me réconcilier avec moi. Parfois cette insécurité ressort, ainsi cette blonde superbe et d'une classe folle à la sortie du parking, pourquoi ne pas l'avoir abordée ?

5/ Si je parais impudique, volubile et même bavard, je me livre peu sauf maintenant, mes mots aujourd'hui sont en contradiction avec ma naturelle retenue pour l'expression de mes sentiments, j'ai un mal fou à dire je t'aime et pourtant j'aime.

Cinq c'est fait je suis nu.

04/07/2008

Nice

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A ce bar d'hotel tes talons noirs m'hypnotisaient.

Brune encore non eue , je t'aurai voulu presque nue , dans cette chambre pourpre de mon désir.

J'imagine ton corps parfait luisant de la sueur de nos ébats.

Mon sexe endolori de son plaisir.

L'odeur de notre union exaltée par l'orgasme.

Souffle ivre de bonheur.

membres tétanisés de jouissance.

Mais tes talons ont tournés et tu as disparu.

Tu n'étais que délicieuse réverie

     .

 

Ps et vous avez vous eu de telles réveries ?

09:51 Publié dans ENVIES | Lien permanent | Commentaires (18)

02/07/2008

Contretemps

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je ne peux donner qu'à celle qui veut recevoir ,

je lis dans tes mots " mais si tu n'es plus là , je comprendrais " une façon sensible de me dire au revoir .

il est vrai que je suis apparu dans ta vie à un moment où tu étais en colère et que celle ci est oubliée.

mon temps a fait son temps , rien n'est pire que d'être à contretemps.

nos chemins se décroisent donc mais je garderai nos instants comme des moments précieux .

je te remercie de ceux ci , d'autres t'attendent , je te l'espere.

Affectueusement.

waid

20:56 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (8)

30/06/2008

Nuit du Marais

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En ce marais qui n'était pas Poitevin

l'attente.

Le noir pour conséquence du bandeau.

Une clef , des pas , un souffle , une voix , odeur de printemps.

La finesse de ses bras , le soyeux de sa peau , le cassant de sa robe en soie.

L'impuissance de l'aveugle en réponse au sexe étouffant sous le pantalon.

contact de ses lèvres , de sa langue encore timide et pointue.

Ses doigts qui jouent de moi , qui m'explorent qui m'effeuillent

Passif j'explore de mes mains ce visage inconnu , cette robe à lacet , ces bas , ce porte jartelles.

Recherche du graal sous la dentelle de ce presque rien qui s'interpose.

Un baiser langoureux, instant décisif où les peaux se jaugent.

Ma chemise qui s'ouvre , une main qui me parcourt et affole mes tétons.

Sa voix qui s'amuse de cette soumission qui m'annonce la suite

mon sexe dans ses doigts , son pouls.

Pourquoi cette gène, mon absence d'abandon ?

Le manque de regard.

Impertinent et libertaire je ne supporte la soumission

l'initiative et le regard voila mon trouble.

Je jette le masque ,

me descille et la roule sur le matelas.

je vois ses yeux , il me crient son désir 

j'entends son corps il m'interpelle goulument.

Je m'y plonge avidement.

Elle est surprise , son vagin acquiesce et bat à l'unisson.

Roulades jusqu'au matin,

Dans les râles et les cris ,

Dans la sueur et l'orgasme.

Dans la baignoire et les rues.

Dans la douceur de la couche.

Au matin, le soleil pour reconstituant de cette nuit qui m'a laissé vide ,

absolument vide , mais si plein de ces si beaux instants.

 




 

26/06/2008

HALDE

 

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Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis , bon j'ai suffisament clamé ma blonde addiction pour qu'elle ne soit pas ignorée.

Mais cette addiction se doublait de l'addiction à l'intelligence et oui mon challenge , ma croix  était de séduire les blondes intelligentes , ce challenge je l'ai assumé , mais là je ne peux plus ....

Non que j'ai épuisé le stock de cette denrée qui m'est précieuse , non que Bruxelles ait imposé des quotas pour permettre une meilleurs reproduction de l'espéce , il parait qu'elles vont disparaitre , mondialisation oblige.

Tout cela à cause de la H A L D E , haute autorité pour la lutte contre les discriminations et exclusions.

En effet la HALDE dont je vous joins les coordonnées  ( HALDE ) lit semble t il les blogs et le mien en particulier , je viens de recevoir un mail privé , encore un me direz vous.

En substance on me rappelle l'interdiction formelle de toute discrimination fondée sur la race , la religion la couleur et là on me confirme une lapalissade ...

La couleur des cheveux est une couleur ! être séduite que par elle serait une forme de discrimination illicite.

Je suis donc en infraction avec la loi dans mes preferences sexuelles .... et moi qui me croyait libre , je fais donc l'objet d'une enquête préliminaire avant eventuelles poursuites.

Bientôt je serai soumis au testing ...

On me poursuit pour mes préférences sexuelles et nul association ne vient à mon secours pour dénoncer ces pratiques liberticides.

Je dois justifier d'actions non discriminatoires vis à vis des brunes , or ma derniere était chinoise comment obtenir d'elle une attestation de non discrimination.... en cantonais ?

Je crois que la note de la russe a été la goûte d'eau qui a fait déborder la patience de la HALDE 

J'ai eu beau dire que c'était le fruit d'un hasard que j'aime les brunes que j'en connais que je mange avec certaine sque je leur fait même parfois la bise , rien n'y fait je serai un discriminant sexuel , pour ne pas récement avoir eu de relations intimes avec elles !

Si ce blog est arrété c'est que je suis à la santé , et moi qui suis encore vierge du derriere comment vais je faire pour prendre une douche ?

En serrant les fesses , surtout pas dit un proverbe turc , si ton ennemi te force par derriere ne lui donne pas le plaisir de serrer les fesses ... les turcs y s'y connaissent.

Bref la situation est grave on attente à nos choix intimes sous pretexte de quotas et autres discriminations positives.

Vais je devoir lancer un appel à discrimination positive ?

Oui je le crois et peut être pour mon bonheur !

Alors je le lance : mes prochaines galipettes ne seront pas blondes ...

Oui mais à la HALDE ils ne se contentent pas de profession de foi ils veulent des actes , waid au boulot sinon tu ne pourras plus te marier en blanc virginal si tu passes par la santé car tu n'y perdra pas que celle ci , ( on sodomise sous les douches ....)

En attendant l'illustration de cette note ne sera pas blonde.

1er effet de la Halde.

Désolé les coquines blondes soyez fair .

 

Ps

 

Chère L.... , petit poussin blond ,  tu vois grace / à cause de la HALDE je ne peux te faire passer de la catégorie divagations à celles Envies , je sais , ne pas dire à une femme que l'on a envie d'elle c'est un peu l'ignorer , presque la mépriser mais je suis désormais tenu à des quotas ( non .... pas comme pour le thon rhooo , comme pour la coquille Saint jacques celle qui portait venus sur les flots dans le tableau de boticelli aï oui Mr de la Halde j'avais oublié que vénus était blonde aussi ... je suis incorrigible)

 

 

24/06/2008

Cornélien LA REPONSE

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Chère pollicitante ,

J'ai bien reçu votre proposition si déstructurante , vous m'avez bien cerné , je suis joueur , gourmand et peu résistant à la frustration.

Privilégier mon plaisir ou le votre.

Avoir une stratégie autre , celle vous contraindre par la jouissance extrême de mon cunni à renoncer à vos règles du jeu.

Je suis trop impertinent et aime trop la liberté pour me soumettre à une règle, fut elle si sensuelle.

Une règle c'est une prison que l'on s'impose or le blog est ma clef des champs , il n'est donc pas compatible avec la notion même de règle.

D'ailleurs pourquoi m'avoir imposé cela , pas pour votre plaisir charnel qui si l'on suit la règle sera amputé du plaisir de la réciprocité , pour tester ma résistance , pour jouer de moi , pour jouer de vous aussi?

Chère vous,  je ne sais dissocier au lit mon plaisir de celui de ma partenaire , le sexe égoïste m'effraie même , car pour moi il s'agit d'une communion des corps , jouir seul n'est qu'une prière , c'est jouir à deux que je recherche.

Alors point de jeu qui déroge à cette règle , si vous me voulez madame c'est sans limite de nos jouissances physiques réciproques , je ne concéderai rien sur ce point.

Vous êtes déçue ?

Non je ne le crois pas car si vous m'avez écrit pour me tenter c'est que vous m'avez lu et si vous l'avez fait , alors vous avez compris que je n'étais pas homme à jouer sans l'autre.

J'aime trop le dialogue pour accepter un monologue.

 

Waid

 

12:56 Publié dans ENVIES | Lien permanent | Commentaires (16)

22/06/2008

Cornélien


Je vois que tu es joueur waid , moi aussi , en plus j’aime l’amour destructuré.

Nous nous verrons qu’une seule fois :

Au choix :

 

 

Un cunni d’enfer pour moi ,

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Ou une fellation d’anthologie pour toi

 

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©Jan Saudek

Rien d’autre ne sera fait ...

A toi de choisir j’attends ta réponse sur ton blog bien sur.

 

22:55 Publié dans ENVIES | Lien permanent | Commentaires (28)