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06/02/2009

"Vanitas Vanitatum et omnia Vanitas"

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"Soyons pragmatique (clin d'oeil) je "consomme" des femmes, voilà tout. aucune, même la plus experte, ne m'a fait un cunni comme le tien ! J'en ai encore des palpitations quand j'y repense ! Fais gaffe, tu vas devenir Monsieur Cunni sur la blogosphère.

 

c'est une réputation difficile à porter ;-)) Bon, ne prends pas le melon non plus, hein ?!"

 

 

heu le melon non !
 
Enfin ... un peu peut être.
 
Je tente de me répéter "Vanitas Vanitatum et omnia Vanitas" pour l'éviter.
J'ai toujours pensé que mes cours de philosophie me seraient un jour utiles.
 
Mais bon sang je comprends que tu consommes des femmes !
 
La lesbienne qui est enfermée dans mon corps de Mâle se Pâme de plaisir à la lecture de ton compliment ....
Là tout de suite recommencer.

13:54 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (17)

02/02/2009

Dans les nimbes de ma mémoire

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(photographe inconnu)

 

Un an bientôt et dans les nimbes de ma mémoire,

le goût de ta langue s'estompe.

L'odeur de ton cou s'évente.

La douceur de ta peau s'efface.

Le son de tes gémissements diminue.

L'éclat de l'éclair de ton regard pâlit.

Tout part, tout disparaît, ainsi va la vie, ton corps a du m'oublier.

Je ne suis plus qu'un parfum évaporé.

Mais j'ai gardé en moi le frisson de l'orgasme que tu m'a donné.

Cicatrice intime de notre rencontre que je caresse parfois en souriant.

Il pourrait être niais ce sourire,

s'il n'était empli de ton beau souvenir.

Il est temps de rendre plus vivantes mes lèvres,

En les lançant dès demain sur ton corps de feu,

et nos souvenirs redeviendront vie, le temps d'une nuit.

 

 

 

09:01 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (18)

31/01/2009

Révélation

 

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(photo XXX MRBLACK WS)

Waid, nous nous prévoirons une autre petite rencontre sexuelle.

Je t'avais dit, plutôt printemps,

Là je suis plus dans une phase câlin, douceur sexuelle,

ce qui ne correspond pas tout à fait à ta sexualité.

Je redeviendrai plus dans ton genre de sexualité au printemps.

Là pour l'instant, à mon avis, on serait pas "sex-compatible",

tu me diras ce que tu en penses ?

 

Ben que j'ignorais que j'avais une sexualité printanière ...

 

15:02 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (33)

29/01/2009

arithmétique

 

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Un mot pour te dire

que je te désire.

Deux mots, pour te chuchoter

que tu me fais bander.

Trois jours encore, pour t'embrasser

qu'il est mesquin de compter.

20:47 Publié dans ENVIES | Lien permanent | Commentaires (27)

26/01/2009

J'ai perdu une couille ...

 

 

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(photographe inconnu)

 

En cognée contre le mur, ses fesses sur la console, nos corps se possèdent.

Son sexe avide aspire le bûcheron que je suis devenu.

Ses encouragements décuplent mes forces du Mâle.

Coups de boutoir en bélier de stupre.

La chose était partie, l'assaut allait durer jusqu'à épuisement des combattants.

Soudain une de mes couilles disparaît ...

Partie, volatilisé , plus de battement contre son entrecuisse, rien qu'une bille orpheline de sa jumelle.

Peut on bien baiser avec une couille ?

Je vous avoue que c'est perturbant.

Ne rien laisser paraître et continuer les frénétiques va-et vient, pas question de ralentir au stade de sa jouissance.

Pas de débandade des troupes après la fuite de cette lâche, on serre les cuisses et les rangs.

"The show must go on", comme disent les artistes. 

Je cogne et me renfrogne, mais où est-elle donc ?

Ma main quitte le sein que je martyrisais pour son plus grand bonheur,

je redouble d'ardeur pour compenser cette retraite.

Commence un travail de recherche, celle de la couille cachée.

Hummmm indiscutablement elle n'y est plus, ma bourse a fondu de moitié, comme au pire krach boursier. 

Soudain j'appuie sur l'aine et je presse, la voilà qui ressort timidement du corps où elle s'était réfugiée ...

Couarde qui s'enfuit au premier ébat un peu plus bestial, reprends ta place !

Les chocs sur son sexe ne peuvent que t'exciter pas t'effrayer.

A ton poste, les munitions vont être nécessaires.

La fugueuse est à nouveau là, en gémellité de sa soeur, ensembles elles battent à l'unisson de mes coups de reins.

Qu'il est bon de baiser à couilles rabattues.

Il faut en finir, je laisse aller les deux jumelles à se vider ... leur tâches est finie , elles ont lâché.

Le bélier peut se dégonfler, pal implacable, devenu baudruche percée.

Dans le lit qui repose nos dos de nos acrobaties, c'est le moment des confessions, détente post-coïtale.

- au fait t'as senti que j'avais perdu une couille tout à l'heure ?

- tu sais dans l'état dans lequel j'étais je ne pouvais rien sentir ...

- Ok, tu veux dire que tu t'en battais les couilles de ma couille perdue

- rires ... Oui, c'est ta bite qui m'occupait.

 

 

 

 

 

17/01/2009

Juste cela

 

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En sexe tendu de pénétrer , juste envie de te faire râler.

 

11:24 Publié dans ENVIES | Lien permanent | Commentaires (42)

14/01/2009

Titianus Fecit , waid dixit

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Verlaine faisait souvent ce rêve étrange et pénétrant, d'une inconnue qu'il aime et qui l'aimerait

Moi votre bel inconnu vous m'avez offert de vous connaître.

Telle une Vénus du Titien, vous m'êtes apparue dans l'oeilleton de ma curiosité

Mais ce don de votre image avait prix.

Adam chassé de l'Eden, après avoir goûté au fruit de la connaissance, je vais m'en acquitter jusqu'à la nuit de mon temps.

Doux supplice, en réalité que ce sort que vous m'avez jeté.

Désormais, en blonds tourments, vous hantez mes nuits agitées.

Votre Corps, en lascif port, est un temple d'Aphrodite.

Orphée des temps modernes je suis charmé à vous vouer, culte, nocturne.

A  Lune reine des cieux,

je prierai et chanterai votre hymne tant et tant

que vous accepterez mon sacerdoce après mes mots d'aède

Au péristyle de votre temple, je me prosternerai,

en génuflexions, je vous approcherai,

offrant mes caresses à votre divine beauté.

De mille baisers, je vous couvrirai.

Ma langue en sacrifice, sur l'autel de votre mont sacré.

Enivré par la myrrhe et l'encens de votre cyprine en flot d'invite,

couvert en signe de d'humilité,

en votre saint des saints je pénétrerai,

afin de sonner le cor, d'un corps à corps,

en arche d'alliance, avec votre divinité.

Et chaque nuit recommencée,

jusqu'à ce que votre corps, en réelle étreinte,

ne me libère de ce charme dont vous m'avez lié.

 

Ps 

Une monstrueuse erreur s'était glissée dans l'image, la Vénus que j'avais publié était celle de Giorgione tableau antérieur , le premier du genre qui avait inspiré Titien ... mille excuses 

 

 

 

 

 

 

 

10/01/2009

la nuit que je n'ai pas eue

 

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(photographe inconnu)

 

 

Il y a parfois des nuits que l'on espère et qui ne viennent jamais.

Tout pourtant était là, sauf l'essentiel, le désir.

B ..., Barcelone, fin de la route nous pénétrons dans le parking souterrain,

entrailles de ce building si beau qu'il en donne le tournis.

Tes yeux me regardent, ta main m'envahit, ta bouche me happe en prélude souterrain

l'ascenseur, embrassades mains indécentes et regards envieux ,

le hall somptueux, vite les clefs

ascension difficile, interminables couloirs, caresses et feu du désir

slalom entre les saut à champagne des coïts assoiffés des chambres voisines

la clef, la porte et  la chambre

la ville lumière sur l'écran géant de la fenêtre.

je l'enlace, nos corps choient.

Foin de lit frais et accueillant.

Non, sur la moquette nos instincts de bêtes seront  libérés.

Le coït sera bestial.

Point de mots, des cris,

sexe trop bandé n'a point d'oreille.

Le combat cessera à la mort des deux combattants.

Nos corps en croix sur la moquette.

Mort au coït.

Ce fut un rêve qui se transforma en cauchemar, d'une mise au point d'un couple fatigué.

 

 

http://www.hoteles-silken.com/barcelona_diagonal_fotos_2/...

 

 

13:37 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (27)

08/01/2009

annonce du JEUDI

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( hummm merci à celle qui porte la culotte de me rappeler le nom du photographe)
ANNONCE :
Langue coquine en deuil de votre toison intime.
Envoyer faire part au journal

07/01/2009

Sexuellement transmissible

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Dépression post coïtale ...

Baise blues ...

Et pourtant j'étais couvert

C'est grave docteur ?

05/01/2009

Nuit du premier

 

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( photographe inconnu)

 

 

Le premier janvier, à l'hôtel des Chevaliers, je t'ai retrouvée en complice de notre liberté pour inaugurer l'année.

Sur l'autel de nos désirs, 8 fois je t'ai possédée jusqu'à l'épuisement de nos forces au matin de notre débauche.

Ton corps qui m'avale, tes yeux qui se crispent, tes jambes qui m'enserrent pour me dicter ton plaisir.

Mes doigts connaissent toute la géologie de ton sexe, ils ont perçu ses bouleversements intérieurs à l'approche de l'orgasme.

La pression artérielle de ton clito m'est devenue aussi intime que les battements de mon propre coeur.

Ma langue pourrait redessiner toute la forme de ton corps tant elle l'a de fois parcourue à bride abattue en hussard de mes caresses.

Mon sexe t'a prise, pilonnée, bourrée à toutes heures de la nuit, canonnade de guerre, mineur de fond stakhanoviste mais encore pieu de velours en douces voluptés de printemps.

Le doux et le violent comme esclave de ton désir

Et puis dans le feu de ce corps à corps,  ton accord de déflorer ton oeillet qui baillait d'impatience sous mes doigts indécents.

Citadelle aisément conquise faute de résistance tant celle-ci voulait s'abandonner à l'envahisseur et s'unir à ses forces du mâle.

Instant de suspend comme étonné de tant de facilité avant l'intime torture,  jusqu'à oublier toute douceur, toute retenue en réponse à tes injonctions de jouir plus fort.

Plongée en apnée dans tes entrailles, tendu de notre jouissance, oxygéné de tes râles bestiaux sous le joug de mon pal implacable.

Brasier de ton intime qui jaillit sur nos corps éperdus, explosion de nous, en épuisement de notre frénésie ...

Qu'il fut difficile de reprendre pied et d'aller chancelants, haletants, pantelants vers la douche réparatrice de nos sueurs.

Eau rédemptrice ou miraculeuse ?

Je ne sais, mais elle nous redonna plus d'ardeur encore pour être relapse de notre sommeil.

Comme des corps sans conscience, nous avons encore joui de nous, oubliant le temps, nous oubliant même, guidés par le plaisir le plus grégaire à l'essence même de notre animalité.

Telle fut notre résolution de nouvel an, nous abandonner dans le stupre de nos impatiences, dans la concupiscence de nos invariances pour des instants de feu à mille lieux de notre vie pour mieux la vivre.

Puisqu'il fallut voler notre bonheur à une existence trop rangée, cette nuit fauve en délinquance de nos voeux matrimoniaux, à nos corps acceptants, recèlera nos plus brûlants voeux de nouvel an.

2009 année érotique ... en tout cas en ses fonds baptismaux, certainement.

Même si tu laisses un complice épuisé et d'encore impatient, merci à toi, tout simplement 

 

01/01/2009

Résolution 2009

 

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( photo curiosa-and-curiosa)

 

 

 Plus de cuni aprés le premier baiser pour ne plus passer pour cochon ...

 

Bonne et heureuse année 2009

30/12/2008

Réponse ...

 

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Pour vous Monsieur je vais
Le temps d'une journée, le temps d'une nuit
Oublier mari et couvée
Et la vie qui passe, et le temps qui fuit
Retrouver vos bras, vos étreintes, vos baisers
Un moment hors le temps, inaugurer l'année

A ...

 

13:50 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (7)

29/12/2008

Message pour Elle

 

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(photo escada)

 


Ecoutez vous madame,

Quittez votre mari et vos enfants

Pensez à ses bras qu’il vous tend

Et rejoignez votre amant

 

L’an nouveau vous offre ses espoirs.

lui vous offre ses baisers


Ecoutez le madame,

Quittez votre maisonnée

Rejoignez pour la nouvelle année

dans l’interstice de votre vie, votre aimé

 

Rdv à l'hotel des chevaliers

pour que vos désirs soient honorés

le premier de cette année.


 

13:49 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (13)

25/12/2008

Trêve des confisseurs

 

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(photo by my self)

 

 

Laissez vous aller à la trêve des confisseurs.
Bollinger 1996
A déguster sur votre corps
bulles en papille de votre sexe
vin en délice de vos seins
fermez les yeux
dégraffez votre corset
et laissez vous aller
la nuit sera belle
vous êtes ici et  j'ai du vin
me voila ennivré au calice de vos reins