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26/01/2009

J'ai perdu une couille ...

 

 

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(photographe inconnu)

 

En cognée contre le mur, ses fesses sur la console, nos corps se possèdent.

Son sexe avide aspire le bûcheron que je suis devenu.

Ses encouragements décuplent mes forces du Mâle.

Coups de boutoir en bélier de stupre.

La chose était partie, l'assaut allait durer jusqu'à épuisement des combattants.

Soudain une de mes couilles disparaît ...

Partie, volatilisé , plus de battement contre son entrecuisse, rien qu'une bille orpheline de sa jumelle.

Peut on bien baiser avec une couille ?

Je vous avoue que c'est perturbant.

Ne rien laisser paraître et continuer les frénétiques va-et vient, pas question de ralentir au stade de sa jouissance.

Pas de débandade des troupes après la fuite de cette lâche, on serre les cuisses et les rangs.

"The show must go on", comme disent les artistes. 

Je cogne et me renfrogne, mais où est-elle donc ?

Ma main quitte le sein que je martyrisais pour son plus grand bonheur,

je redouble d'ardeur pour compenser cette retraite.

Commence un travail de recherche, celle de la couille cachée.

Hummmm indiscutablement elle n'y est plus, ma bourse a fondu de moitié, comme au pire krach boursier. 

Soudain j'appuie sur l'aine et je presse, la voilà qui ressort timidement du corps où elle s'était réfugiée ...

Couarde qui s'enfuit au premier ébat un peu plus bestial, reprends ta place !

Les chocs sur son sexe ne peuvent que t'exciter pas t'effrayer.

A ton poste, les munitions vont être nécessaires.

La fugueuse est à nouveau là, en gémellité de sa soeur, ensembles elles battent à l'unisson de mes coups de reins.

Qu'il est bon de baiser à couilles rabattues.

Il faut en finir, je laisse aller les deux jumelles à se vider ... leur tâches est finie , elles ont lâché.

Le bélier peut se dégonfler, pal implacable, devenu baudruche percée.

Dans le lit qui repose nos dos de nos acrobaties, c'est le moment des confessions, détente post-coïtale.

- au fait t'as senti que j'avais perdu une couille tout à l'heure ?

- tu sais dans l'état dans lequel j'étais je ne pouvais rien sentir ...

- Ok, tu veux dire que tu t'en battais les couilles de ma couille perdue

- rires ... Oui, c'est ta bite qui m'occupait.

 

 

 

 

 

17/01/2009

Juste cela

 

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En sexe tendu de pénétrer , juste envie de te faire râler.

 

11:24 Publié dans ENVIES | Lien permanent | Commentaires (42)

14/01/2009

Titianus Fecit , waid dixit

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Verlaine faisait souvent ce rêve étrange et pénétrant, d'une inconnue qu'il aime et qui l'aimerait

Moi votre bel inconnu vous m'avez offert de vous connaître.

Telle une Vénus du Titien, vous m'êtes apparue dans l'oeilleton de ma curiosité

Mais ce don de votre image avait prix.

Adam chassé de l'Eden, après avoir goûté au fruit de la connaissance, je vais m'en acquitter jusqu'à la nuit de mon temps.

Doux supplice, en réalité que ce sort que vous m'avez jeté.

Désormais, en blonds tourments, vous hantez mes nuits agitées.

Votre Corps, en lascif port, est un temple d'Aphrodite.

Orphée des temps modernes je suis charmé à vous vouer, culte, nocturne.

A  Lune reine des cieux,

je prierai et chanterai votre hymne tant et tant

que vous accepterez mon sacerdoce après mes mots d'aède

Au péristyle de votre temple, je me prosternerai,

en génuflexions, je vous approcherai,

offrant mes caresses à votre divine beauté.

De mille baisers, je vous couvrirai.

Ma langue en sacrifice, sur l'autel de votre mont sacré.

Enivré par la myrrhe et l'encens de votre cyprine en flot d'invite,

couvert en signe de d'humilité,

en votre saint des saints je pénétrerai,

afin de sonner le cor, d'un corps à corps,

en arche d'alliance, avec votre divinité.

Et chaque nuit recommencée,

jusqu'à ce que votre corps, en réelle étreinte,

ne me libère de ce charme dont vous m'avez lié.

 

Ps 

Une monstrueuse erreur s'était glissée dans l'image, la Vénus que j'avais publié était celle de Giorgione tableau antérieur , le premier du genre qui avait inspiré Titien ... mille excuses 

 

 

 

 

 

 

 

10/01/2009

la nuit que je n'ai pas eue

 

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(photographe inconnu)

 

 

Il y a parfois des nuits que l'on espère et qui ne viennent jamais.

Tout pourtant était là, sauf l'essentiel, le désir.

B ..., Barcelone, fin de la route nous pénétrons dans le parking souterrain,

entrailles de ce building si beau qu'il en donne le tournis.

Tes yeux me regardent, ta main m'envahit, ta bouche me happe en prélude souterrain

l'ascenseur, embrassades mains indécentes et regards envieux ,

le hall somptueux, vite les clefs

ascension difficile, interminables couloirs, caresses et feu du désir

slalom entre les saut à champagne des coïts assoiffés des chambres voisines

la clef, la porte et  la chambre

la ville lumière sur l'écran géant de la fenêtre.

je l'enlace, nos corps choient.

Foin de lit frais et accueillant.

Non, sur la moquette nos instincts de bêtes seront  libérés.

Le coït sera bestial.

Point de mots, des cris,

sexe trop bandé n'a point d'oreille.

Le combat cessera à la mort des deux combattants.

Nos corps en croix sur la moquette.

Mort au coït.

Ce fut un rêve qui se transforma en cauchemar, d'une mise au point d'un couple fatigué.

 

 

http://www.hoteles-silken.com/barcelona_diagonal_fotos_2/...

 

 

13:37 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (27)

08/01/2009

annonce du JEUDI

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( hummm merci à celle qui porte la culotte de me rappeler le nom du photographe)
ANNONCE :
Langue coquine en deuil de votre toison intime.
Envoyer faire part au journal

07/01/2009

Sexuellement transmissible

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Dépression post coïtale ...

Baise blues ...

Et pourtant j'étais couvert

C'est grave docteur ?

05/01/2009

Nuit du premier

 

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( photographe inconnu)

 

 

Le premier janvier, à l'hôtel des Chevaliers, je t'ai retrouvée en complice de notre liberté pour inaugurer l'année.

Sur l'autel de nos désirs, 8 fois je t'ai possédée jusqu'à l'épuisement de nos forces au matin de notre débauche.

Ton corps qui m'avale, tes yeux qui se crispent, tes jambes qui m'enserrent pour me dicter ton plaisir.

Mes doigts connaissent toute la géologie de ton sexe, ils ont perçu ses bouleversements intérieurs à l'approche de l'orgasme.

La pression artérielle de ton clito m'est devenue aussi intime que les battements de mon propre coeur.

Ma langue pourrait redessiner toute la forme de ton corps tant elle l'a de fois parcourue à bride abattue en hussard de mes caresses.

Mon sexe t'a prise, pilonnée, bourrée à toutes heures de la nuit, canonnade de guerre, mineur de fond stakhanoviste mais encore pieu de velours en douces voluptés de printemps.

Le doux et le violent comme esclave de ton désir

Et puis dans le feu de ce corps à corps,  ton accord de déflorer ton oeillet qui baillait d'impatience sous mes doigts indécents.

Citadelle aisément conquise faute de résistance tant celle-ci voulait s'abandonner à l'envahisseur et s'unir à ses forces du mâle.

Instant de suspend comme étonné de tant de facilité avant l'intime torture,  jusqu'à oublier toute douceur, toute retenue en réponse à tes injonctions de jouir plus fort.

Plongée en apnée dans tes entrailles, tendu de notre jouissance, oxygéné de tes râles bestiaux sous le joug de mon pal implacable.

Brasier de ton intime qui jaillit sur nos corps éperdus, explosion de nous, en épuisement de notre frénésie ...

Qu'il fut difficile de reprendre pied et d'aller chancelants, haletants, pantelants vers la douche réparatrice de nos sueurs.

Eau rédemptrice ou miraculeuse ?

Je ne sais, mais elle nous redonna plus d'ardeur encore pour être relapse de notre sommeil.

Comme des corps sans conscience, nous avons encore joui de nous, oubliant le temps, nous oubliant même, guidés par le plaisir le plus grégaire à l'essence même de notre animalité.

Telle fut notre résolution de nouvel an, nous abandonner dans le stupre de nos impatiences, dans la concupiscence de nos invariances pour des instants de feu à mille lieux de notre vie pour mieux la vivre.

Puisqu'il fallut voler notre bonheur à une existence trop rangée, cette nuit fauve en délinquance de nos voeux matrimoniaux, à nos corps acceptants, recèlera nos plus brûlants voeux de nouvel an.

2009 année érotique ... en tout cas en ses fonds baptismaux, certainement.

Même si tu laisses un complice épuisé et d'encore impatient, merci à toi, tout simplement 

 

01/01/2009

Résolution 2009

 

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( photo curiosa-and-curiosa)

 

 

 Plus de cuni aprés le premier baiser pour ne plus passer pour cochon ...

 

Bonne et heureuse année 2009

30/12/2008

Réponse ...

 

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Pour vous Monsieur je vais
Le temps d'une journée, le temps d'une nuit
Oublier mari et couvée
Et la vie qui passe, et le temps qui fuit
Retrouver vos bras, vos étreintes, vos baisers
Un moment hors le temps, inaugurer l'année

A ...

 

13:50 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (7)

29/12/2008

Message pour Elle

 

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(photo escada)

 


Ecoutez vous madame,

Quittez votre mari et vos enfants

Pensez à ses bras qu’il vous tend

Et rejoignez votre amant

 

L’an nouveau vous offre ses espoirs.

lui vous offre ses baisers


Ecoutez le madame,

Quittez votre maisonnée

Rejoignez pour la nouvelle année

dans l’interstice de votre vie, votre aimé

 

Rdv à l'hotel des chevaliers

pour que vos désirs soient honorés

le premier de cette année.


 

13:49 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (13)

25/12/2008

Trêve des confisseurs

 

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(photo by my self)

 

 

Laissez vous aller à la trêve des confisseurs.
Bollinger 1996
A déguster sur votre corps
bulles en papille de votre sexe
vin en délice de vos seins
fermez les yeux
dégraffez votre corset
et laissez vous aller
la nuit sera belle
vous êtes ici et  j'ai du vin
me voila ennivré au calice de vos reins

 

22/12/2008

un an déjà , mots en jetés

 

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(photographe inconnu )

Singuliers au pluriel voilà mes amours.

Chacun représente une minute, un enthousiasme, un échec, une volupté.

J'aime le luxe des plaisirs qui ne coûtent rien, regarder les jambes des femmes arpenter le monde pour en mesurer la sensualité.

J'aime le désir naissant dans des yeux pétillants, quand le temps comme le souffle se tend.

On est sur terre pour quoi faire ? S'élever à la condition d'homme, ou satisfaire ses instincts ? J'ai choisi l'élévation, les mots. le charme des femmes. Voilà mon viatique.

Bien sûr, ces voyages au pays des ravissements pourraient passer pour libertins. C'est oublier que derrière chacune de ces nuits il y a deux individus qui se souhaitent, se donnent mais se disent aussi, comment mieux connaître l'autre que de le parcourir des doigts ou de la langue, comment mieux vivre l'autre que de l'écouter après l'orgasme.

Je suis trop libre pour continuer à vouloir porter des chaînes, même celles si rassurantes de la fidélité. Explorateur des autres, voilà ce à quoi j'aspire, certainement pour mieux me connaître moi-même.

Que d'années, de mondes, de modes, j'ai vécu. Peu furent aussi belles que cette dernière.

Chaque minute me fait plus serein et plus désireux.

Paradoxe doux qui fait le sel de ma vie que j'aime paradoxale, forme ultime de rébellion contre moi même.

Force de mes tendres souvenirs qui me portent serein vers mon avenir.

Un an de blog, un an de tendre stock.

 

 

ps pour lire le chemin parcouru dans l'écriture :

 

 

http://waidandsee.hautetfort.com/archive/2007/12/22/chamb...

 

 

17/12/2008

Programme

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Par la douceur te préparer
goulûment te déguster
A l'orgasme de ta grotte m'extirper
ma langue humide excitée
Observer ton corps trembler
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Quitter ta forêt vierge.

 gravir à pas de langue tes monts jumeaux

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Absorber le  téton du sommet
Le rouler avec les lèvres
contempler ton corps appaisé
respirer ton désir
te disposer bien stable
Pour la frénésie que tu désir
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En feu te baiser

 

Quitter ta forêt vierge.

 

en cris effrénés
nous abandonner

08:51 Publié dans ELLE | Lien permanent | Commentaires (36)

14/12/2008

La taille du sexe.

 

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(photo waid - traitement graphique V.P.)

 

Je sais, je sais, s’il y a bien un sujet masculin tabou à ne pas aborder, c’est celui de la taille du sexe masculin.

Combien d'ados inquiets de la norme concernant le vit et angoissés à ne pas posséder la hampe suffisamment longue et large pour ne pas flotter inutilement dans le corps du délice ?

Que de femmes rassurantes pour dire « mais non, la taille ne compte pas c'est son comportement qui est apprécié », mais qu'en est-il en réalité?

La lecture des annonces échangistes donnent le tournis. Taille minimum exigée pour l'impétrant (en fait l'annonce est moins culturellement riche) 23 cm, la mention TTBM pour très très bien membré est une constante. Vous imaginez l'angoisse pour la masse des TBM, des BM, ou pire des tout simplement M.

Juillet 2006, Métro tokyoïte, 7h du matin. Un peu, en fait très, saoûls, nous rentrons d'une nuit de beuverie nippone. La trame est bondée de japonais sages, résignés à l'ardeur de leurs tâches futures. Soudain on nous interpelle, un grand noir, gabonais de son état, heureux d'entendre enfin sa langue, vive la francophonie.

Comme tous mâles, nous abordons, au milieu de ces nippons silencieux, une discussion sexuelle comparative ethnographique. Vient la question de la taille, oui une constante masculine, et nous apprenons que le sexe de notre ami bien plus volumineux que celui de notre ADN est absolument incompatible avec le con chinois, mais totalement absorbé par celui japonais qu'il honorait pour le bonheur de ses sept maîtresses.

Recevoir en un tel lieu, une sainte vérité, l'illumination de la grâce, était hautement improbable et pourtant oui, nous avons découvert dans cette trame nippone, par ce francophone que nous ne rencontrerons jamais plus, la Vérité de la Loi de la relativité.

Cette Loi d'airain s'écrit comme ceci :

Ce n'est pas la taille du sexe qui compte mais celle du con

Enfin libéré d'une angoisse métrique, l'homme pourra désormais rechercher son vagin d'or, celui taillé (les tailleurs anglais de Saville Row disent fité) à son outil.

Où comment le sur mesure devra remplacer le prêt à porter.

 

 

11/12/2008

c'est la crise

 

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C'est la crise ! vive les petits prix

Et vous vous faites quoi contre la crise ?